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vendredi 12 septembre 2025

Toute nue pour la visite médicale.

Se déshabiller pour la visite médicale sans pudeur
Toute nue pour l'examen médicale de la fac.

 

La visite médicale universitaire.

 

À l'Université de Paris, la visite médicale obligatoire pour les étudiantes de première année prenait une tournure encore plus humiliante. Léa, la libertine audacieuse en mini-jupe et top décolleté, Aisha, la musulmane voilée dans sa longue robe modeste, et Marie, la brunette ordinaire en jeans et sweat-shirt, attendaient nerveusement dans la salle d’attente du centre médical. Une pancarte à l’entrée précisait : « Pour des raisons d’hygiène, toutes les étudiantes doivent se présenter pieds nus. » Les trois filles, déjà mal à l’aise, ôtèrent leurs chaussures, exposant leurs pieds nus sur le carrelage froid. Léa arborait une pédicure rouge éclatante, Aisha des pieds délicats et légèrement calleux, et Marie des pieds simples, sans vernis, un peu rougis par la gêne.

L’infirmière, Mme Dupont, les appela d’un ton sec : « Mesdemoiselles, suivez-moi. L’examen se fera en groupe pour gagner du temps. Le Dr. Moreau et son interne, Julien, vous attendent. » La salle d’examen, stérile et intimidante, sentait l’antiseptique. Une table gynécologique trônait au centre, entourée d’instruments luisants et de miroirs grossissants. Le sol glacé sous leurs pieds nus amplifiait leur vulnérabilité. Le Dr. Moreau, un homme imposant au regard dominateur, les toisa. Julien, l’interne de 25 ans, semblait nerveux mais excité, ses yeux glissant sur leurs pieds exposés.

« Déshabillez-vous jusqu’à la culotte et le soutien-gorge, et asseyez-vous sur la table. Restez pieds nus, bien sûr, » ordonna le docteur, sa voix chargée d’une autorité implacable. Léa se dévêtit avec aisance, sa lingerie rouge contrastant avec ses pieds vernis, qu’elle remuait avec un sourire provocant. Aisha, tremblante, ôta sa robe et son hijab, révélant une culotte blanche et un soutien-gorge simple, ses pieds nus semblant si fragiles sur la table. Marie, rouge de honte, se déshabilla à contrecœur, ses pieds nus crispés contre le métal froid.

« Enlevez vos soutiens-gorge, » commanda le Dr. Moreau. Léa libéra ses seins voluptueux, ses tétons déjà durs sous l’air frais. Aisha, au bord des larmes, dégrafa le sien, exposant une poitrine menue, ses pieds se recroquevillant de honte. « Pas de pudeur ici, baissez les bras, » gronda le docteur. Marie suivit, ses seins moyens frémissant, ses pieds nus pressés l’un contre l’autre pour se réconforter.

Julien s’approcha, gants en latex, pour la palpation mammaire. « On vérifie les anomalies. » Il commença par Léa, soupesant ses seins, pinçant ses tétons durcis. « Bien fermes, et regardez ces pointes… Très sensibles, » commenta le docteur avec un rictus salace. Léa gloussa, ses orteils se crispant d’excitation. Pour Aisha, l’examen fut un supplice : Julien malaxa ses seins délicats, tirant doucement sur ses tétons sombres. « Votre corps réagit malgré vous, n’est-ce pas ? » murmura-t-il, ses yeux glissant vers ses pieds nus, qu’elle essayait de cacher. Marie subit le même traitement, ses tétons pincés sous les regards des autres, ses pieds nus exposés ajoutant à son humiliation.

« Maintenant, enlevez vos culottes et mettez-vous à quatre pattes sur la table, côte à côte. Pieds bien visibles, talons relevés, » ordonna le Dr. Moreau. Léa s’exécuta avec un frisson de plaisir, son sexe rasé luisant, ses pieds cambrés mettant en valeur sa pédicure. Aisha, en pleurs, révéla une toison soignée, ses pieds nus tremblants alors qu’elle se positionnait en levrette. Marie, mortifiée, exposa son intimité, ses pieds nus crispés contre la table. Le docteur s’approcha avec un thermomètre rectal. « Julien, prenez la température. Et notez l’état des pieds – l’hygiène est essentielle. »

Julien, lubrifiant le thermomètre, l’inséra d’abord dans l’anus de Léa, qui gémit doucement, ses orteils se recourbant. « Trois minutes. Et vos pieds sont impeccables, mademoiselle, » dit-il, effleurant sa voûte plantaire, ce qui la fit frissonner. Pour Aisha, l’invasion fut un choc, son corps se crispant, ses pieds nus se contractant sous l’humiliation. « Détendez-vous. Vos pieds sont propres, mais un peu secs. On vérifiera mieux après, » commenta le docteur, sadique. Marie haleta lorsque le thermomètre pénétra son anus, ses pieds nus tressaillant sous le regard perçant de Julien.

Ensuite, le lavement. Julien inséra une poire d’eau tiède dans chaque anus, une par une. Léa rit nerveusement, ses orteils s’agitant alors que le liquide la remplissait. Aisha murmura des prières, ses pieds nus crispés de honte. Marie serra les dents, ses pieds glissant légèrement sur la table. « Retenez cinq minutes, puis allez aux toilettes. Et marchez pieds nus, pas de chaussures dans cette salle, » ordonna le docteur, les forçant à rester exposées, leurs pieds nus ajoutant une couche d’humiliation.

Après le lavement, elles furent pesées et mesurées, toujours nues et pieds nus. Le Dr. Moreau inspecta leurs pieds de près, palpant les voûtes et les talons. « Léa, pédicure parfaite, mais un peu d’audace dans votre démarche, non ? Aisha, vos pieds sont délicats, mais trop crispés – détendez-vous. Marie, pieds ordinaires, mais propres. » Les commentaires, mêlés de sous-entendus, amplifiaient leur malaise.

Enfin, la position gynécologique : jambes écartées dans les étriers, sexes exposés, pieds nus bien en vue. Le docteur examina la vulve de Léa, écartant ses lèvres. « Humide, comme prévu. Et ces pieds cambrés… Vous aimez être regardée, n’est-ce pas ? » Léa frissonna, ses orteils se contractant. Pour Aisha, l’examen fut un calvaire : « Une vulve si pure, mais réactive. Vos pieds tremblent, c’est révélateur, » dit-il, insérant un spéculum avec des commentaires vicieux. Marie, les jambes écartées, sentit les doigts gantés explorer son vagin et son anus, tandis que Julien caressait distraitement la plante de ses pieds, ajoutant une humiliation subtile. « Bien dilatée. Et ces pieds, si sensibles… »

L’examen s’acheva sur un dernier ordre : "Rhabillez-vous" Les trois filles, marquées par cette domination psychologique et l’exposition de leurs corps – pieds nus inclus – quittèrent la salle, emportant avec elles un mélange de honte, de stress et d’étranges frissons.

 

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Lesbienne à la visite médicale. 

 

 

 

mardi 9 septembre 2025

La nudité lors des visites médicales étudiantes obligatoire.

 

Nue pendant la visite médicale.
Une patiente se fait peser nue lors de la visite médicale.

Visite médicale étudiante à l'ancienne.

 

Le couloir du dispensaire universitaire, un boyau glacial aux néons tremblotants, semblait tout droit sorti d’un film d’horreur de série B. Nous étions en 1980, et la visite médicale annuelle des étudiantes était un rite de passage où l’humiliation rivalisait avec la bureaucratie. Alignées en sous-vêtements, pieds nus sur le carrelage gelé, les filles formaient une mosaïque humaine : des origines diverses, des tempéraments allant de la pudeur monacale à l’exhibitionnisme décomplexé, toutes soumises au regard tyrannique de Madame Dubois, l’infirmière en chef. Avec son chignon d’acier et son sourire de guillotine, elle semblait dire : « Vous êtes à moi, et vous allez le sentir. »

Tout commençait dans le gymnase reconverti en annexe médicale, où l’odeur de désinfectant se mêlait à celle de l’angoisse. « En sous-vêtements, mesdemoiselles ! Et plus vite que ça ! » aboya Madame Dubois, claquant des mains comme un metteur en scène sadique. Les aides-soignantes, surnommées les « Cerbères », patrouillaient, prêtes à bondir sur la moindre récalcitrante. Les vêtements s’entassaient sur des bancs : jeans délavés, jupes à volants, chemisiers à motifs psychédéliques, et surtout, les chaussettes – un festival de socquettes blanches, de modèles à rayures fluo, et même de vieilles chaussettes trouées, témoins des budgets étudiants.

Aïcha, voilée et réservée, incarnait la gêne absolue. Elle ôtait son foulard avec des gestes lents, comme si chaque mouvement était une trahison. Ses chaussettes grises, qu’elle tenta de garder comme un ultime bouclier, furent vite repérées. « Les chaussettes, mademoiselle ! On n’est pas chez les nonnes ! » siffla une Cerbère. Aïcha, rouge de honte, se retrouva en culotte blanche et soutien-gorge démodé, ses pieds nus crispés sur le sol. À l’opposé, Valérie, la rebelle peroxydée, faisait un show. Elle laissa tomber son haut avec une lenteur calculée, révélant une lingerie noire audacieuse, et lança ses chaussettes léopard comme des confettis. « Profitez du spectacle, les filles ! » lança-t-elle, déclenchant des rires.

Marie, la catholique fervente, marmonnait des prières en défaisant sa jupe, ses chaussettes beiges montant jusqu’aux mollets, un choix d’une austérité biblique. « Dépêchez-vous, ce n’est pas l’heure de la messe ! » railla Madame Dubois. Sonia, d’origine antillaise, était déjà en culotte, ses chaussettes arc-en-ciel à moitié baissées, chantonnant du zouk. « C’est pas un défilé de mode ! » grogna une aide-soignante, mais Sonia riposta : « Mes chaussettes, elles ont plus de style que votre blouse ! »

Les internes, jeunes médecins en herbe, observaient depuis un coin, prétendant consulter des dossiers. Pierre, le plus culotté, lançait des piques : « Jolies chaussettes, mademoiselle… un cadeau de grand-mère ? » dit-il à Marie, qui vira écarlate. Valérie contre-attaqua : « Occupe-toi de ta stéthoscope, docteur, mes chaussettes ont plus de fans que toi ! » Aïcha, elle, fixait le sol, priant pour disparaître.

Mais Madame Dubois veillait. Quand elle surprit Leila et Claire en train de glousser tout en bataillant avec leurs chaussettes dépareillées, sa voix claqua : « Vous deux ! Baissez vos culottes, et vite ! » Les filles, pétrifiées, furent traînées au centre, forcées de se dévêtir sous les regards mi-choqués, mi-amusés. Leurs chaussettes – à pois pour Leila, une vieille grise pour Claire – ajoutaient une note comique à leur humiliation. « Retournez dans le rang ! » ordonna Madame Dubois. Leila, mortifiée, se cacha derrière Claire, qui haussa les épaules : « Au moins, nos chaussettes font jaser ! »

Une fois déshabillées, les étudiantes furent alignées dans le couloir, en culotte, soutien-gorge et pieds nus, exposées comme des trophées dans une vitrine perverse. Les chaussettes, abandonnées sur les bancs, semblaient narguer leurs propriétaires, vestiges d’une dignité envolée. Aïcha serrait ses bras contre sa poitrine, son regard fuyant les passants – étudiants égarés ou techniciens de surface – qui jetaient des coups d’œil curieux. Valérie, elle, bombait le torse, sa culotte en dentelle rouge défiant quiconque de la juger. Marie triturait un chapelet imaginaire, tandis que Sonia lançait des blagues osées, indifférente aux regards.

« Silence ! » hurla Madame Dubois, brandissant une règle en bois. Malheur à celles qui osaient parler. Fatima, surprise en train de chuchoter, fut tirée du rang. « Vous trouvez ça drôle ? » siffla l’infirmière, avant de lui administrer une fessée théâtrale, sous les rires nerveux. Puis, dans un élan de cruauté, elle ordonna à Fatima de remettre sa culotte… sur la tête. « Et vos chaussettes sur les mains, pour faire bonne mesure ! » ajouta-t-elle, sadique. Fatima, rouge mais hilare, obéit, ses chaussettes à rayures pendant lamentablement.

La salle d’examen était un autre cercle de l’enfer. Pierre, l’interne à peine diplômé, jouait les apprentis sorciers avec un zèle suspect. « Tout nu, mesdemoiselles, on n’a pas toute la journée ! » lançait-il, un sourire narquois aux lèvres. Poids, taille, tout était noté sous l’œil de Madame Dubois, qui cherchait la moindre faille. « Trois kilos de trop, mademoiselle Leclerc ? Trop de croissants ? » ironisait-elle, provoquant des ricanements.

L’examen devenait plus vicieux. Pierre palpait les seins avec une lenteur exagérée, son « Tout va bien ici » sonnant comme une provocation. La prise de température rectale, annoncée comme une sentence, faisait grimacer les plus aguerries. « Baissez-vous, ce n’est qu’une formalité, » assurait-il, mais son ton trahissait un amusement malsain. Aïcha, qui avait débuté la journée en tremblant, lança un regard de défi à Pierre, comme si sa pudeur s’était muée en audace. Valérie, fidèle à elle-même, plaisanta : « C’est un thermomètre ou un accessoire de cinéma, docteur ? »

Les touchers rectaux et vaginaux, administrés avec une froideur clinique, étaient le clou du spectacle. « Détendez-vous, » murmurait Pierre, mais les filles grimaçaient sous ses sarcasmes.

Ceux et celles qui ont vécu ces visites médicales collectives en gardent un souvenir indélébile, mélange de malaise, d’absurde et d’une étrange nostalgie. Entre l’autorité implacable des soignants, les chaussettes abandonnées comme des reliques, et les rires nerveux, c’était un théâtre où la pudeur était mise à nu. Aïcha, qui était arrivée voilée et tremblante, quitta le dispensaire en riant avec Valérie, son voile légèrement de travers, ses chaussettes soigneusement rangées dans son sac. « Si je dois être à poil, autant que ça vaille le coup, » glissa-t-elle, un sourire espiègle aux lèvres. Valérie tapa dans ses mains : « T’es une championne ! » Même Madame Dubois, en les voyant partir, esquissa un rictus, comme si, l’espace d’un instant, elle reconnaissait leur victoire.

 

Nue à la visite médicale de la fac
Examen clinique d'une étudiante nue à la visite médicale.

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Visite médicale autoritaire et humiliante. 


dimanche 25 mai 2025

Visite médicale étudiante sans pudeur

 

Lesbienne à la visite médicale
Toute nue pour la visite médicale

Toute nue à la visite médicale.

 

Amina, 19 ans, ajusta son hijab avec des doigts nerveux avant de franchir la porte de l’infirmerie universitaire. Cette visite médicale obligatoire sentait le traquenard, et son cœur tambourinait comme un djembe sous amphétamines. Sa pudeur, ancrée dans sa foi, la rendait allergique à l’idée de se dévoiler, mais l’administration ne lui laissait pas le choix. Dans la salle d’attente, les autres étudiantes échangeaient des regards de biche effarouchée, prêtes à affronter l’inconnu. Puis, la porte s’ouvrit avec un grincement dramatique, et elle apparut : le Dr. Valérie, une femme d’une quarantaine d’années, silhouette de panthère, lèvres peintes en rouge sang, un stéthoscope enroulé autour du cou comme un fouet de cuir.

« Mesdemoiselles, en rang, et que ça saute ! » aboya Valérie, sa voix claquant comme un coup de cravache. « Ici, c’est mon territoire, et on joue selon mes règles. Déshabillez-vous. Tout. Et j’ai dit tout – y compris ces chaussettes ridicules que certaines d’entre vous s’obstinent à garder ! Pieds nus, mes chéries, ou je vous fais danser autrement ! » Elle ponctua sa tirade d’un sourire carnassier, ses yeux scrutant la petite troupe.

Amina déglutit, ses joues en feu. « Tout ? Même… les chaussettes ? » bafouilla-t-elle, espérant grappiller un semblant de dignité. Valérie s’approcha, son parfum capiteux envahissant l’espace. « Oh, ma douce, tu veux jouer les rebelles ? » roucoula-t-elle, son regard perçant glissant sur Amina comme une caresse interdite. « Pas de chaussettes, pas de culotte, pas de pudeur. Entre femmes, c’est naturel, non ? Ou veux-tu que je te donne une petite leçon ? » Elle tapota sa paume avec un stylo, mimant une fessée avec un clin d’œil taquin.

Les autres filles, rouges comme des tomates, commencèrent à se dévêtir dans un silence lourd, ponctué de froissements de tissu. Une étudiante, oubliant l’ordre, garda ses chaussettes à motifs licornes. Valérie s’en aperçut et éclata d’un rire moqueur. « Oh, regardez-moi ces licornes ! Tu crois que t’es à un défilé de mode, ma mignonne ? Enlève-moi ça, ou je te fais parader avec une fessée en prime ! » La fille, mortifiée, s’exécuta sous les gloussements gentils mais gênants des autres.

Amina, paralysée, sentit son cœur s’emballer. Elle voulait protester, défendre sa pudeur, mais une part d’elle – une part qu’elle n’osait nommer – frémissait sous le regard dominateur de Valérie. Lentement, elle défit son hijab, ses vêtements, et enfin ses chaussettes, ses pieds nus touchant le carrelage froid. « Voilà, c’est mieux », susurra Valérie, posant une main ferme sur l’épaule d’Amina, son pouce effleurant la peau nue d’une manière qui la fit tressaillir. « Tu vois, ma belle, obéir, c’est libérateur. »

La visite tourna vite au spectacle burlesque. Valérie, telle une maîtresse de cérémonie sadique, ordonnait aux filles de défiler en rang pour la pesée, la mesure, et des palpations mammaires aussi précises qu’intrusives. « Allez, mes poupées, poitrine en avant, on montre ce qu’on a ! » lança-t-elle, riant doucement en voyant Amina rougir. Quand une fille tenta de cacher son corps, Valérie s’approcha, menaçante mais joueuse. « Pas de ça ici ! Cache-toi encore, et je te donne une fessée devant tout le monde. Tu veux essayer ? » La menace, à moitié sérieuse, fit glousser certaines filles, détendant l’atmosphère.

Pour Amina, chaque étape était un combat intérieur. Lors du contrôle gynécologique, Valérie s’attarda, son souffle chaud frôlant l’oreille d’Amina. « Détends-toi, ma rebelle. Résister, c’est mignon, mais au fond, tu aimes ça, non ? » Amina voulut protester, mais sa voix se brisa. Son corps, ce traître, répondait à l’autorité de Valérie, à ses moqueries gentilles, à ses gestes assurés. Une fessée légère, donnée pour « corriger » une posture trop crispée, la fit sursauter… et, à sa honte, frissonner de plaisir.

« En rang, mes beautés ! » ordonna Valérie à la fin, faisant parader les filles, nues comme des statues grecques, dans la pièce. « Regardez-vous, libres, sublimes, sans honte ! N’est-ce pas délicieux ? » Amina, au bord des larmes au début, sentit une étrange chaleur l’envahir. La honte s’effaçait, remplacée par une euphorie inattendue. Elle avait résisté, protesté, mais au fond, elle aimait cette soumission, ce lâcher-prise face à l’autorité déjantée de Valérie.

En remettant son hijab, Amina croisa le regard de la doctoresse. « Pas mal pour une première, ma petite rebelle », lança Valérie avec un sourire narquois. « Reviens quand tu veux jouer. » Amina, un sourire timide mais audacieux aux lèvres, murmura : « Peut-être bien… » La pudique étudiante d’hier avait disparu, laissant place à une femme qui, malgré les frissons du début, avait découvert une facette d’elle-même qu’elle n’aurait jamais osé explorer.

 

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Julie à la visite médicale. 

 

mercredi 14 mai 2025

Pas de pudeur à la visite médicale.

 

Nudité à la visite médicale étudiante.
Pas de pudeur faut tout montrer à la visite médicale.

Fille pudique devant le docteur à la visite médicale.

 

Paris, automne 2010. La salle d’attente du centre médical universitaire puait l’antiseptique et le désespoir administratif. Sur une chaise en plastique inconfortable, Fatima, 19 ans, triturait ses doigts, ses yeux sombres fixés sur le linoléum usé. Première année de licence en chimie, elle redoutait cette visite médicale obligatoire comme une condamnation. Pudique, élevée dans une famille où la modestie était sacrée, elle portait un hijab gris et une tenue couvrante. Mais ici, dans ce lieu glacial, elle se sentait déjà nue.

La porte s’ouvrit brusquement. Une infirmière, la quarantaine bien tassée, chignon brun impeccable, la scruta avec un sourire acéré. Son badge annonçait « Mme Lambert ». Sa blouse blanche semblait taillée pour intimider.

« Fatima ? » lança-t-elle, massacrant le nom avec un mépris théâtral. « Bougez-vous, on n’a pas l’éternité. »

Fatima se leva, le cœur cognant, et suivit Mme Lambert dans un couloir blafard. Les néons grésillaient, accentuant l’ambiance oppressante. Dans la salle d’examen, un homme en blouse, le Dr. Morel, trônait derrière un bureau. La cinquantaine, cheveux poivre et sel, lunettes cerclées d’acier, il exsudait une autorité glaciale.

« Asseyez-vous », grogna-t-il, désignant une chaise métallique. Fatima s’exécuta, ses mains crispées sur ses genoux.

Mme Lambert claqua la porte. « Bon, ma petite, pas de simagrées. Cette visite est obligatoire, alors on va faire vite. Vous allez obéir, point barre. On a un planning chargé. »

Fatima déglutit, ses joues s’enflammant. « Oui, madame… »

L’infirmière ricana, un sourcil levé. « Oh, regardez-moi cette demoiselle Pudeur. Détendez-vous, on ne va pas vous dévorer. Enfin… pas encore. » Le Dr. Morel esquissa un rictus sans quitter son clipboard.

« Déshabillez-vous », ordonna-t-il, sa voix tranchante comme un scalpel. « Tout. Le voile, la culotte, les chaussettes. Rien ne reste. Vous n’êtes pas dans une mosquée, ici. »

Fatima sentit son estomac chavirer. « Tout ? » murmura-t-elle, la gorge nouée.

Mme Lambert croisa les bras, l’air exaspéré. « Oui, tout. Vous voulez qu’on vous dessine un schéma ? Allez, on n’a pas que ça à faire. Vos petits complexes, on s’en fiche. »

Les mains tremblantes, Fatima se leva. Elle dénoua son hijab, révélant une cascade de cheveux noirs qu’elle tenta vainement de discipliner. Le tissu glissa sur la chaise. Puis elle ôta son pull, sa jupe longue, ses chaussettes, chaque geste arrachant un morceau de sa dignité. Quand elle arriva à son soutien-gorge, elle hésita, jetant un regard suppliant vers le docteur.

« On attend le messie, ou quoi ? » s’agaça Mme Lambert. « Le soutif, la culotte, hop, dehors ! Vous croyez qu’on va examiner votre âme ? »

Au bord des larmes, Fatima dégrafa son soutien-gorge, puis fit glisser sa culotte, ses pieds nus frôlant le sol froid. Elle se tenait là, totalement exposée, les bras croisés sur sa poitrine, frissonnant sous les néons impitoyables.

Mme Lambert claqua la langue. « Pas de ça, les bras ! Mains sur les côtés. Vous n’êtes pas en train de poser pour un tableau de la Renaissance. »

Le Dr. Morel releva enfin les yeux, son regard clinique balayant son corps. « Sur la table », ordonna-t-il.

Fatima grimpa sur la table d’examen, le papier crissant sous elle. Elle fixa le plafond, tentant de s’échapper mentalement. Mais Mme Lambert s’approcha avec un tensiomètre, serrant le brassard autour de son bras avec une vigueur sadique.

« Tension correcte », marmonna-t-elle. « Pas de quoi s’évanouir, hein, ma jolie ? On dirait une biche aux abois. C’est juste un check-up, pas un tribunal. »

Fatima serra les dents, ravalant sa colère. L’examen continua, chaque étape plus humiliante. Le Dr. Morel posa son stéthoscope glacé sur sa poitrine, ses doigts frôlant sa peau avec une précision mécanique. « Respirez », dit-il, avant d’ajouter, narquois : « Si vous en êtes capable, évidemment. »

L’examen gynécologique fut un calvaire. Fatima, les jambes écartées dans les étriers, ferma les yeux, les poings serrés. Le Dr. Morel procédait avec une froideur clinique, mais ses questions étaient acérées. « Vous êtes vierge, je présume ? » lança-t-il, son ton dégoulinant de paternalisme.

Fatima rougit violemment. « Oui… », murmura-t-elle.

Mme Lambert ricana. « Oh, quelle surprise. Une petite sainte, hein ? Pas de petits copains, pas de bêtises ? Vous savez que c’est important de nous dire la vérité, n’est-ce pas ? On n’est pas idiots. »

« Je dis la vérité », protesta Fatima, la voix tremblante.

Le docteur haussa un sourcil. « On va vérifier ça. » Il effectua un test sommaire, son silence pesant. « Hm. Apparemment, vous ne mentez pas. Félicitations, vous passez le contrôle qualité. »

Fatima bouillonnait, mais sa timidité la clouait dans une soumission muette. Quand l’examen fut fini, elle s’attendait à se rhabiller, mais Mme Lambert l’arrêta d’un geste. « Pas si vite. On n’a pas fini de discuter. Restez comme vous êtes. »

Étrangement, quelque chose changea en Fatima. L’humiliation, l’exposition, tout cela commençait à perdre de son poids. Elle était nue, oui, mais elle était toujours là, intacte. Elle redressa les épaules, un éclat de défi dans les yeux.

« Quoi, vous voulez me garder en vitrine ? » lâcha-t-elle, un sourire timide aux lèvres.

Mme Lambert éclata de rire, surprise. « Tiens, elle parle, la statue ! Pas mal, pour une novice. »

Le Dr. Morel, amusé, reposa son stylo. « Vous savez, mademoiselle, la pudeur, c’est surfait. Vous survivez à ça, vous survivez à tout. »

Fatima, toujours nue sur la table, haussa les épaules, un rire nerveux lui échappant. « Ouais, c’est ça. La prochaine fois, je viendrai direct en tenue d’Ève, ça vous fera gagner du temps. »

Mme Lambert gloussa. « Ça, c’est l’esprit ! Allez, avouez, vous commencez à aimer jouer les rebelles. »

Fatima descendit de la table, ses pieds nus claquant sur le sol. « Rebelle ? Moi ? Non, je suis juste une pauvre étudiante torturée par des sadiques en blouse. » Elle ponctua sa phrase d’un clin d’œil, arrachant un sourire au docteur.

« Sadiques, rien que ça ? » rétorqua Mme Lambert, feignant l’offense. « Vous devriez nous remercier. On vous endurcit pour la vraie vie. »

Fatima attrapa son hijab, mais ne le remit pas tout de suite. Elle se sentait étrangement à l’aise, comme si cette épreuve l’avait libérée d’un poids. « Ouais, merci pour la thérapie gratuite. »

Le Dr. Morel secoua la tête, amusé. « Filez, insolente. Et n’oubliez pas : la santé avant tout. »

 Lien : 

Histoire de visite médicale lesbienne.

 

jeudi 31 octobre 2024

Une fille proteste contre la visite médicale obligatoire.

C'est toute nue qu'il faut être à la visite médicale universitaire.
Baisser et enlever sa culotte à la visite médicale.

Le protocole de la visite médicale de la Fac.

 La visite médicale de la fac est toujours redoutée pour les filles les plus pudiques et un peu coincées. Car il n'y a pas trop de place pour la pudeur, les autorités universitaires sont très peu respectueuse de la modestie et les examens médicaux peuvent paraître intrusifs.

Cette visite médicale est obligatoire, sans le tampon du médecin, c'est impossible de valider l'année donc les filles qui veulent réussir doivent la passer et ne peuvent pas l'éviter.

Les filles sont convoquées par petite groupe à l'infirmerie du campus universitaire, après quelques vérification administratives (identité, filière etc.) et le remplissage d'un bref questionnaire médicale, elles sont prises en charge par des infirmières et soignantes très autoritaires et pas très sympathique.

"Elles nous ont réunis avec plusieurs filles de toutes les filières et nous ont faite nous déshabiller" dit timidement Sara, "Elles nous ont dit de de garder que nos culottes et d'enlever tout le reste, et que si nous n'obéissons pas, elles nous mettraient à poil et nous fesseraient."

"C’était trop la honte de se retrouver les seins à l'air devant des filles qu'on connaissait à peine" "Nous devions même enlever nos chaussettes pour la visite c'est trop abusé, même ça c'est interdit il faut être pieds nus".

Ensuite les infirmières font différents examens de la vision, de l'audition, prennent la taille et le poids des filles, ainsi que leur tension et mesurent leur capacité pulmonaires.

"Ensuite, elles nous font aller l'une après l'autre dans le bureau du docteur. J'ai failli pleurer car il fallait enlever nos culottes et se présenter toute nue".

Lien :

Examen médicale gênant.


 

dimanche 6 octobre 2024

La visite médicale de la Fac est très intrusive

Visite médicale étudiante.
Examinée nue et pieds nus à la visite médicale.

 La visite médicale universitaire de première année.

Les filles redoutent beaucoup la visite médicale qu'elles doivent passer au service de médecin préventive du campus universitaire.

Durant ce rendez vous médical pourtant relativement rapide, car il ne dépasse rarement une demi heure, les étudiantes ont doit à un bref entretien sur leur habitude alimentaire, leur mode de vie, sexualité, historique médicale, puis ensuite les traditions tests d'audition et de vision sont pratiqués, et ensuite elles sont dirigées vers la salle d'examen ou un des médecins de l'université les attend.

Elles dénoncent l'obligation de se déshabiller pour l'auscultation et l'examen médical, même les culottes seraient retirées pour des rapides examens gynécologique et des tests de virginité.

La direction de l'université affirme que le protocole médicale est tout à fait légal et réglementaire, il ne s'agit pas à proprement parler d'un examen gynécologique, mais d'un simple contrôle visuel du vagin des étudiantes et une vérification de leur statut sexuel , vierge ou pas.




lundi 23 septembre 2024

Linda passe la visite médicale de la fac.

 
Les étudiantes soumisent à l'examen gynécologique.
Examen gynécologique pendant la visite médicale.
 

Visite médicale embarrassante.

 "Linda F !" appela l'infirmière du centre de médecine préventive universitaire du campus, l'endroit ou se déroulent les visites médicales obligatoires pour les étudiantes en première année.

"Suivez moi" dit  gentiment l'infirmière en blouse blanche. Elle conduit l'étudiante dans une salle d'examen médicaux sommes toute assez simple et classique, avec une table d'examen au milieu, tout pour une balance médicale électrique peser et mesurer, du matériel médical, des affiches de prévention collées aux murs, des étagères bien en ordres et un un bureau avec un PC et une chaise en face.

"Alors Linda, vous pouvez vous asseoir le médecin arrive, déposez votre veste sur le porte manteau.

Le médecin arrive, c'est un homme de 40 ans, assez beau et sportif en blouse blanche.

"Bonjour je suis le docteur Seddik, j'espère que tu vas bien, c'est aujourd'hui ta visite médicale, tu a besoin que je te valide l'examen  et que je te déclare apte pour pouvoir valider ton année. Nos étudiants étant amener à travailler en entreprise  ou dans l'administration pour leurs stages, nous devons nous assurer que tout aille bien au niveau santé.

Après quelques questions sur son âge, ses habitudes alimentaires , sa consommation d'alcool de tabac et de drogue, et après avoir consulter son carnet de santé, le docteur déclare que tout à l'air d'aller bien mais qu'on va voir tout ça pendant l'examen médical.

"Déshabille toi derrière la cloison, y compris tes sous vêtements".

L'ordre du médecin résonne encore dans la tête de Linda, dans quelques instants elle sera complétement nue devant ce docteur parfaitement inconnu qui ressemble plus à un playboy qu'a l'image qu'elle se fait d'un médecin ...

Mais son avenir est en jeux, donc elle n'a pas le choix.

"Oui la culotte aussi bien sur j'ai dit tout" car Linda hésite à l'enlever.

"Tu as toujours tes chaussettes il faut aussi les enlever voyons Linda, une visite médicale se déroule toujours pieds nus.".

Etudiante se déshabille à la visite médicale.
Il fait enlever les chaussettes et être pieds nus à la visite médicale.

 

Ensuite le docteur utilise son stéthoscope pour écouter le cœur et la respiration de Linda, il en profite pour lui titiller les tétons et fait exprès de placer le métal froid sur le bout des seins de l'étudiante, lorsqu'il vérifier les poumons, Linda sent la main du docteur passer entre ses fesses  pendant qu'elle inspire et expire le plus fort possible ...

Il passe ensuite à la dentition, Linda se sent comme un animal, plus exactement un cheval, puis son cou, regarde dans ses oreilles en disant en rigolant "qu'il faut vérifier tout les trous ..." Ce qui glace le sang de l'étudiante.

"Ouvre grand la bouche et fait Ahh" dit le docteur en enfonçant sa main dans la bouche de la jeune fille qui failli vomir.

"Bien, passons aux nichons, les seins pardons" et ni un ni deux il se met à palper la poitrine de Linda dans tout les sens et à lui caresser en même temps "Oh tu es sensible, ça pointe", et je vois qu'en bas ça mouille", mais que ce passe t"il Linda ?


La jeune femme est tétanisée devant le comportement du docteur, mais en même temps elle a plus envie de se doigter voir plus, se faire baiser.


Après s'être fait plaisir, le docteur donne une tape sur les fesses de Linda et lui dit "Allez file sur ta table, pose tes petites fesses là bas"


Le docteur palme la jeune fille sur la table d'examen, il commence par le ventre qu'il malaxe bien, puis les cuisses, vérifient les pieds et même entre les orteils "C'est bien Linda tu ne sens pas mauvais des pieds contrairement à beaucoup de tes camarades crados", par contre y'a quelque chose qui coule de ta chatte ça t'arrive souvent ? voyons ça.

L'anus a l'air serré, mais il est propre, l'hygiène anal est important, par contre pour ta chatte va falloir trouver une solution, on va appeler un plombier pour déboucher tout ça, il a de gros outil pour régler tout ça".

Le docteur de la fac est un vrai pervers.
Examen gynécologique pervers à la fac.

"Écarte bien les cuisses", et là stupéfaite Linda voit arrivé Jean Pierre le mécano de la France, l'homme à tout faire, le concierge du campus avec des drôles d'objet".

"L'avant de la boutique ou l'arrière" dit Jean pierre en essayant de masquer son érection et rangeant son zizi tout dur dans son froc. Elle a toujours sut que ce mec était un pervers, un vieux qui vient lui enfiler un gode dans la chatte "sous prétexte qu'il y a une fuite de liquide non identifié !

Le pire c'est qu'elle jouit "comme une salope" avec ses petits gémissement de chienne. Linda est proche de l'orgasme, elle ne répond plus de rien ...


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Lamia et le médecin.


jeudi 29 août 2024

Les étudiantes protestent contre la visite médicale obligatoire.

Le protocole humiliant de la visite médicale universitaire.
Étudiante nue et pieds nus pendant la visite médicale universitaire.

Témoignage de visite médicale à la Fac.

Lina, 21 ans, étudiante en sciences économique de gestion témoigne du manque de tact et de l'autoritarisme du personnel médical et des médecins du service de médecine préventive de l'université lors des visites médicales obligatoires.

Les filles de premières années reçoivent leur convocation pendant le court de l'année, elles sont convoquées par petite groupe à l'infirmerie du campus. Une fois sur place les infirmières pas commodes font quelques vérifications administratives et remplir quelques formalités comme un bref questionnaire médicale, avant de donner l'ordre aux filles de se déshabiller, elles n'ont le droit que de garder la culotte, et sont déshabillées en groupe.

Les filles sont toutes pieds nus sans bas ni chaussettes.

Les étudiantes sont pesées et mesurées en culotte, on leur prend la tension et procède à quelques vérifications de vision et d'audition.

Puis avant d'entrer dans la salle d'examen ou se trouve le médecin, les filles doivent retirer leurs culottes et rentrer entièrement nues dans le bureau du docteur.

Ce protocole tout droit sortie des années 1960 est très humiliant et difficile à vivre pour des jeunes femmes de 2024.

Surtout que le médecin n'hésite pas a leur faire prendre des positions dégradantes, à les examiner de la tête aux pieds, et leur impose même un petit contrôle gynécologique.

 

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Pas de place pour la pudeur lors des examens médicaux.

lundi 18 avril 2022

Un médecin du travail pervers humilie des femmes.

 

Le docteur pervers ausculte l'anus d'une patiente.
Le docteur écarte les fesses d'une femme pour voir son anus.

Le docteur humilie les femmes durant les visites médicales d'embauche.



Dans un centre de médecine du travail en région parisienne, plusieurs femmes se plaignent des pratiques d'un médecin jugés pervers par beaucoup de salariées mais jamais inquiété  par ses supérieurs ni par la justice.


Le système à l'air bien rôdé  puisque toute les femmes salariées  de la région âgées entre 20 et 45 ans sont "orientées" vers ce docteur aux méthodes douteuses mais qui à l'air d'être très bien protégé par ses supérieurs et par les autorités.


Des dizaines de patientes dénoncent les examens humiliants, la nudité imposée et abusive devant ce docteur voyeur et pervers.


Les femmes doivent se mettent intégralement nues et sont soumises à des inspections complètes et le docteur insiste sur les palpations des seins, ausculte avec soins les anus et écarte souvent lui même les fesses des femmes nues.


Ce docteur pervers est intouchable et les femmes si elles veulent garder leur emploi doivent se soumettre à sa perversion.


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vendredi 1 avril 2022

Nudité pendant la visite médicale de prévention étudiante.

 

Etudiante nue lors de l'examen par le docteur.

La traditionnelle visite médicale dans l'enseignement supérieur (Fac, IUT, école d'ingénieur etc.)



Après le bac, lorsqu'un étudiante choisie de s'inscrire dans l'enseignement supérieur pour y poursuivre ses études, que ce soit à  dans des établissements universitaires comme à la fac, à l'IUT, dans une école de commerce, d'ingénieurs ou autre. Il y a une visite médicale  de prévention obligatoire durant la première année.


Héléna, 21 ans, inscrite dans l'IUT pour faire des études d'administration des entreprises, elle prépare un DUT GEA. Elle a reçu sa convocation pour passer la visite médicale à l'infirmerie du campus.


La jeune fille se rend à l'heure indiquée et est accueillie par une infirmière qui procède a quelques vérifications administratives et qui pose ensuite plein de question relatives à l'état de santé, à l'adaptation à la vie universitaire, à l'hygiène de vie, la pratique sportive etc. 

L'infirmière pratique aussi un test de vision et d'audition et Héléna voit très bien et n'a aucun problème d'oreille.

Ensuite elle doit se rendre sur indication de l'infirmière dans une cabine pour se déshabiller en attendant d'être reçu par le médecin.


Il faut se déshabiller complètement, enlever tout les ordres sont très strictes et la soignante à l'air autoritaire et il ne vaut mieux pas la contredire et ne pas faire la prude et mettre sa pudeur de coté sous peine de risquer de se faire gronder et de recevoir une fessée.


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Histoire de visite médicale érotique.


Visite médicale du travail.



jeudi 3 mars 2022

Thérapie par la fessée, le docteur corrige une jeune fille lors d'une visite médicale.

 

Punie et fessée par le docteur pendant la visite médicale.
Le docteur lui donne une fessée pendant la visite médicale.

Un médecin sévère donne une fessée humiliante à une femme.



Maryse, 22 ans, est une jeune femme qui vit dans un pensionnat pour jeunes femmes âgée entre 18 et 30 ans en difficulté sociale et familiale. Dans ce type d'établissement traditionnel, conservateur l'ordre est une valeur fondamentale et la discipline y est stricte et sévère.


Les filles sont soumises à un suivi très strictes avec deux visites médicales par ans plus une visite d'admission.


Le docteur est très strict, dominateur et a pour réputation d'être très intrusif et d'humilier les patientes. Ce comportement est en adéquation avec la politique éducative du foyer.


Lors de la première semaine, Maryse est convoquée à l'infirmerie, une surveillante vient la chercher et l'accompagne. Sur place, dans une sorte de petit vestiaire, Un ordre ferme est sec lui est donné de se déshabiller en sous vêtements.


La jeune femme est ensuite dans le bureau de l'infirmière avec qui elle remplie une questionnaire de santé très générale, une vérification des vaccins et des tests de visions et d'audition. Maryse entend et voit très bien. Elle doit ensuite aller dans le bureau du médecin, et laisser son soutien gorge et ses chaussettes avant d'entrer.


Pieds nus, seins à l'air devant se docteur inconnu, mais elle n'a pas le choix vue la situation.


Après quelques présentation, et une reprise du dossier par le médecin, le docteur lui ordonne d'enlever sa culotte car "elle n'en aura pas besoin pendant l'examen". Maryse refuse, deja elle est quasiment à poil !


Face à ces hésitations, le docteur hausse le ton et saisit la jeune femme pour lui mettre de bonne claques sur les fesses. Puis il l'installe et l'allonge sur ses genoux pour lui donner une fessée déculottée jusque à ce que ses fesses rougissent !


La fessée est un bon moyen de discipliner les filles et de faire respecter l'autorité et les ordres.



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samedi 19 février 2022

Prison, confinement solitaire et conventions de Genève.

 

Naked female prisoner in cell.
Une prisonnière nue attend l'inspection corporelle.

Le sort des femmes prisonnières de haute sécurité.


On en sait désormais plus sur le traitement subi par les femmes prisonnières irakiennes dans la prison d'Abou Ghraib.


Un rapport d'une ONG (Organisation non gouvernementale) sur l'une des détenues, Nadia, 33 ans, incarcérée plusieurs mois dans ce centre  pour ses liens avec des membres importants de l'ancien régime renversé par la coalition menée par les Etats Unis vient de paraitre.


Prisonnière sous le statut de "détenu de haute sécurité" ou de "haute valeur", elle est soumise à des règles de détention très strictes et parfois jugées inhumaines et dégradantes. Ce type de prisonnier est retenue dans la partie dure du site, à l'isolement sans aucun contact avec le monde extérieur.


La prisonnière Nadia est gardée nue et enchainée dans une toute petite cellule vide ne comportant qu'une banquette pour dormir,  un seau d'eau pour faire ses besoins et qui est changer une fois tout les trois jours, et un petit robinet pour l'accès à l'eau. Nourrie une fois par jours avec du riz, du poulet et parfois une banane ou un oeuf.


Comme beaucoup de prisonniers hommes, la jeune femme lors de sont arrivé a été obligée de se déshabiller et de rester sans aucun vêtements en confinement solitaire. Si les autorités reconnaissent que les fouilles sont systématique et obligatoire et qu'elles imposent la mise à nue totale des prisonnières pour des raisons de sécurité, la pratique de garder nu les détenus en confinement solitaire serait d'éviter tout suicide, toutes tentatives de dissimuler des armes, objets dangereux ou illicite et serait un excellent moyen de garantir l'ordre et la sécurité dans le pénitencier. C'est officieusement une technique utilisée et approuvée  par les plus haute autorités militaires, politiques et du renseignement  pour humilier et mettre la pression sur les prisonniers pour les rendre coopératifs et les faire parler lors des interrogatoires dit "renforcés".


Pour Nadia, ses affaires, ses vêtements  et ses chaussures lui ont été confisqués en arrivant. Son statut de femme arabe respectable et pieuse musulmane en a pris un coup lorsque les gardes américains lui ont imposer un strip tease intégral.


Se voir imposer la nudité est un puissant moyen d'intimidation, et d'humiliation psychologique. Et dans le cas d'une femme culturellement conservatrice comme Nadia c'est encore plus dégradants, c'est une humiliation totale et inimaginable que les gardiens lui ont fait ressentir.


Nadia est contrainte d'enlever tous ses vêtements sous le prétexte de vérifier que la prisonnière n'a rien cacher d'illégal ou de dangereux dans son corps pour elle, pour les gardiens et autres prisonniers. Les autorités US insistent sur la nécessité d'assurer la sécurité. Aucune exception n'est admise la nudité totale est de rigueur. Elle doit défaire son voile (hijab), sa robe traditionnel, ses sous vêtements sexy en dentelle, ses chaussures etc. Le tout devant des hommes et des femmes pour accroitre la honte ressentie.


Une fouille et un examen de l'anus et du vagin de chaque prisonnières est aussi pratiquée. Nadia qui est arrivée habillée de façon pudique et conservatrice s'est retrouvée 5 minutes après à poil et contrainte d'écarter ses fesses devant des gardes, quelle déchéance !


La détenue n'a pas le droit de porter des vêtements, ses vêtements civils sont mis sous scellé et confisqués et aucun uniformes ne lui a été remis. Nadia est obliger de vivre nue et pieds nus comme la plupart des autres détenus.


Jamais elle n'aurait imaginer subir ça un jours, être totalement exposée, de plus la nudité forcée fait ressentit une très forte vulnérabilité que les interrogateurs de la police militaire utilise pour ramollir les prisonniers en vue des interrogatoires.


L'armée américaine pour parer a tout accusation de viols ou d'agression sexuelle impose aux femmes des inspections et des contrôle médicaux hebdomadaires.

Prisonnière nue attachée et ligotée par un docteur.
Attachée nue sur une table d'auscultation médicale.

Nadia comme les autres femmes prisonnières est régulièrement amenée, nue bien sur, dans une petite salle avec des objets médicaux pour subir une inspection corporelle. La femme est attachée et cinglée toute nue sur une table d'auscultation, pour se faire examiner le corps, le docteur et l'inspecteur cherche toute traces de violence, marques, traces, contusions, blessures, chaque centimètre de peaux de la détenue est controlé, même entre ses orteils.


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Deux femmes nues en captivité.


Témoignage d'une femme en prison.




mercredi 9 février 2022

Devoir se déshabiller lors de la visite médicale du travail.

 

Pesée et mesurée toute nue par le médecin du travail.
Nudité pendant la visite médicale.

Visite médicale obligatoire du travail.


Zoé vient d'être embauchée comme employée administratif dans un grand groupe d'assurance international , mais avant la prise de poste une petite formalité s'impose : la visite médicale de prévention santé.


La nouvelle recrue est convoquée et doit se rendre dans un centre de médecine du travail avec sa convocation, une pièce d'identité, un carnet de santé ou de vaccination, ses lunettes ou verres correctifs, et éventuellement de tout documents en rapport avec un examen passé les mois précédents.


Sur une tablette, la jeune femme doit répondre à un questionnaire de santé très général : allergie, âge, antécédent chirurgicaux, alimentation, régime etc. Mais surtout sur les liens entre le travail et la santé : trajet, problème de sommeil, stress, pressions managériales, éventuelle contact avec des substances ou produits chimique dangereux, risque de harcèlement, alimentation, l'interrogatoire comprend aussi des questions sur le sport et l'activité physique, le suivis gynécologique et contraceptif, la consommation d'alcool et de tabac etc.


Ensuite une infirmière prend en charge Zoé, lui demande de faire pipi dans un gobelet puis d'attendre dans un couloir que le  médecin vienne la chercher.


Ensuite l'infirmière ouvre une porte (cabine de déshabillage) Zoé reçoit aussi comme consigne de se déshabiller et de ne garder que la culotte.


Lorsque le docteur et son infirmière arrivent, ils constatent que Zoé a garder son soutient gorge et ses chaussettes, ils lui rappellent ferment les consignes, et regardant le dossier médicale et constatant que la jeune femme n'a pas de suivis gynécologique régulier, elle ferait mieux l'enlever aussi sa culotte car de toute façon elle devra s'en défaire.


 Depuis la réforme de la médecine du travail les femmes qui ne peuvent pas justifier d'un examen gynécologique de moins d'un ans doivent subir un contrôle de prévention.


La jeune femme doit obéir et n'a pas le choix, elle doit mettre sa pudeur  de coté car pour avoir son aptitude il faut l'accord du docteur. Nue, pieds nus, Zoé est totalement exposée aux regards du docteur et de l'infirmière. Elle est pesée,  mesurée, doit passer un test de vision et d'audition, qu'elle réussi avec succès, elle voit et entend parfaitement bien.


Ensuite elle doit s'entretenir avec le docteur pour parler de la pénibilité au travail et comment prévenir les risques, prendre des postures plus ergonomiques, bien se reposer les yeux, sur les insomnies et les troubles de la vigilance et de la concentration. Quelques postures sont montrées a la jeunes femmes qui doit les refaire à poil ...


Ensuite c'est le moment de l'examen clinique , Zoé est examinée nue, allongée sur la table médicale, pour une prise de la tension, l'écoute de son coeur et de sa respiration au stéthoscope, son pouls est pris aussi, il est assez élevée mais c'est normal car elle est un peu stressée vue la situation ...


Le médecin continue l'auscultation, palpations du ventre, des ganglions, du cou, test des réflexes sur les coudes, genoux, plantes des pieds (ça chatouille un peu). Elle n'échappe pas non plus a une intense palpation des seins, puis elle doit se lever et s'assoir sur une chaise gynécologique et écarter les jambes pour un examen complet du vagin.


Examen gynécologique nue lors de la visite médicale du travail.
Examen gynécologique à la médecine du travail.

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Visite médicale de l'enseignement supérieur.


Médecine du travail.





samedi 29 janvier 2022

Vidéo: Un médecin pervers abuse d'une jeune patiente nue

 


Un docteur pervers baise une fille nue lors de la visite médicale (Vidéo).



Vidéo d'une visite médicale universitaire qui tourne mal. Le médecin de prévention de l'université convoque une étudiante qu'il fait mettre à poil pour l'examen clinique et gynécologique. La jeune fille étant très sexy, le docteur qui reste un homme ne peut pas s'empêcher de lui lécher la chatte et de la baiser.

Sexe avec l'infirmière lesbienne.
Une infirmière lesbienne baise une femme blonde pendant l'examen.


Avec la crise économique et la crise sanitaire de plus en plus de soignants et de médecins baisent leurs patientes pour le moindre prétexte.


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mardi 25 janvier 2022

Prête pour passer la visite médicale du travail

 

Une jeune fille se déshabille pour passer sa visite médicale.
Le déshabillage obligatoire à la médecine du travail.


La première visite médicale du travail de Noémie.


Lors de la visite médicale de prévention pour la santé au travail, après l'accueil et les formalités administratives (vérification d'identité, petit questionnaire de santé, contrôle de la mise à jours des vaccins, tests de vision et d'audition ...).


Noémie, une jeune et belle femme noire découvre qu'il ne faut pas être trop pudique lors de la visite médicale quand la secrétaire médicale lui indique de se rendre dans une petite cabine double porte et de se déshabiller, de retirer le haut, et le bas et de ne garder que la petite culotte. La secrétaire a bien préciser qu'il fallait aussi enlever le soutien gorge et les chaussettes, bas, collants pour apparaitre pieds nus et seins découverts.


Il y a d'abord un entretien médical avec le médecin presque à poil devant lui, sur la pénibilité au travail, l'état de santé général, avant de passer à l'examen clinique en culotte sur la table d'auscultation médicale qui comprend une palpation des seins systématique.


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mercredi 12 janvier 2022

Une femme non vaccinée humiliée par une doctoresse perverse.

 

Antivax humiliée et dressée pendant la visite médicale.
Humiliée nue par la doctoresse (prise de température rectal).

Une femme médecin décide elle aussi d'emmerder les non vaccinées lors des visites médicales.


Suite aux propos  président français Emmanuel Macron qui dit vouloir emmerder les vaccinés, une femme médecin à pris l'initiative de faire de même en humiliant ses patientes non vaccinées face au coronavirus.


Dana Y est une femme médecin âgée d'environs 40 ans,, lesbienne, autoritaire et dominatrice  qui face à l'absence de vaccination contre le Covid 19 d'une jeune fille étudiante  lors de son rendez vous pour la visite médicale de prévention universitaire a décider de lui imposer un examen de la tête aux pieds très humiliant pour "l'emmerder".


Dana est très sévère avec la jeune fille qui refuse se se protéger contre le terrible virus qui déferle sur le monde.


La doctoresse oblige l'étudiante à se mettre toute nue et pieds nus des le début de façon très énergique. Une bonne mise à poil avec absence de pudeur fera du bien à cette insouciante qu'elle a très envie d'humilier en profitant de son autorité pour abuser de son pouvoir sur une jeune fille naïve.


Elle en profite pour dresser la patiente , en lui faisant faire des exercices sportifs à poil dans des positions dégradantes, à exposer son anus et sa chatte sans dignité, pour lui mettre des doigts dans le cul et dans la chatte sous couvert de toucher rectal et de contrôle hygiénique et gynécologique.


La doctoresse pour bien rabaisser l'antivax lui a sous pris la température en lui insérant un thermomètre entre les filles pour voir si elle a de la fièvre.


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Visite médicale humiliante.


Nue à la visite médicale.




lundi 10 janvier 2022

Une infirmière aide et supporte le personnel de santé pendant la crise du covid 19.

 

Exhibitin de la chatte et des pieds nus d'un infirmière.
Exhib d'une infirmière black.


Infirmière à baiser et à exhiber en pleine épidémie de coronavirus.


En  janvier 2022 les hôpitaux et les services d'urgence sont débordés par les vagues successives de coronavirus, le variant Delta et le variant Omicron par leur forte contagiosité déferlent sur la France et l'Europe, les autorités son débordés, le personnel soignant est à bout de force, au bord de l'épuisement face à l'afflux de plus en plus fort de malades en manque de réconfort.


Cherima, une infirmière sexy et décider de prendre quelques initiatives pour soutenir les patients et ses collègues médecins, infirmiers, réanimateurs, soignants etc.


Elle pense qu'en s'exhibant et se faisant baiser, ca remonte le moral de ses collègues et des patients désespérés. Elle s'installe en général du un banc ou une chaise et prend des postures sexuellement provocante pour chauffer les gens, les soignants ont accès libre à ses orifices qu'ils peuvent lécher et pénétrer à volonté.


Pour les fétichistes des pieds, il est aussi possible des lui sucer les orteils et déchets les petons.


Le directeur de l'hôpital à saluer l'initiative de l'infirmière qui offre son corps pour supporter le système de santé en cette période compliquée et invite les femmes sexy a devenir des esclaves sexuelles pour le personnel soignant.


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Devenir lesbienne pendant le confinement.






dimanche 9 janvier 2022

Pas de place pour la pudeur lors de la visite médicale de la Fac.

 

Le docteur fait déshabiller sa patiente totalement nue.
Se mettre toute nue devant le docteur est difficile quand on est pudique.

Visite médicale toute nue sans pudeur.


Lorsque j'étais étudiant en droit à l'université je me souviens d'une fille qui étaient dans mon amphi, Déborah, une jeune femme de 23 ans qui vient de reprendre des études de littéraires  après avoir travailler quelques années après le bac dans une entreprise de produits cosmétiques. C'est une fille sympa, mais assez pudique et réservée avec qui je partage quelques TD (travaux dirigés) et avec qui j'ai fais connaissance et développer de l'amitié.


La législation et le règlement de la Fac prévoit une visite médicale de prévention pour les étudiants en premières années, et nous avions reçus tous les deux une convocation pour le même jours et à la même heure à l'infirmerie du campus.


Dans la salle d'attente nous avions un peu discuter et elle était un peu , tendue et stressée, surtout que les autres qui avaient deja passer leurs visites  disaient que c'était un mauvais moment à passer  et que les patients sont examinés sous toute les coutures ...


Déborah me disait qu'elle espère qu'il ne faudra pas se déshabiller, j'ai tenter de la rassurer en lui disant que nous sommes adultes et que c'est probablement  une simple formalité administrative.


Ensuite une infirmière d'âge mure avec un air strict et froid nous avait accueillie et donner un questionnaire de santé générale à remplir (historique des anciennes opérations chirurgicales, habitudes alimentaires, relation sociales etc.).


Ensuite on nous avait appeler et ordonner de nous rendre dans des cabines avec pour directives de "Se déshabiller et de ne garder que le slip" et d'attendre que le docteur vienne nous chercher.


Les cabines étaient juste à coté et nous pouvions entendre ce qui se passe de l'autre coté. Je pouvais discerner qu'elle se déshabillait.


J'vais ensuite entendu du bruit et une voix forte qui disait "Nous nous avions dit de vous mettre en petite culotte mademoiselle !".

Je sentais que Déborah bougeait et elle devait surement être en train d'enlever son soutien gorge et ses chaussettes pour être pieds nus pour monter sur la balance et se peser.


Quelques minutes après, pendant lesquelles l'étudiante avait du subir différents tests de vision et d'audition, une voix masculine retentissait et ordonnait à la jeune fille "d'enlever sa culotte car une visite médicale qui se veut complète doit permettre d'accéder à toute les parties du corps." et qu'il ne "faut pas faire sa prude ni sa pudique."



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samedi 11 septembre 2021

Julie humiliée nue à la visite médicale.

Visite médicale humiliante collective avec nudité totale à l'ancienne.
Obligée de retirer sa culotte à la visite médicale.

 Une étudiante dénonce les visites médicales obligatoires et humiliantes.


Julie, une étudiante de 19 ans dénonce les organisateurs de visite médicale et les abus de pouvoir des médecins et des infirmières.



"Les visites médicales de prévention sont très difficile lorsqu'une fille est pudique et qu'elle est réfractaire à la nudité commune.


Il n'y a rien de pire que ce que j'ai vécue, nous sommes convoquées par petit groupe de filles à l'infirmerie et là bas l'infirmière nous oblige à nous mettre complètement à poil ! 


Et lorsque j'ai chercher à savoir si je pouvais garder ma culotte et mes chaussettes l'infirmière m'a durement réprimander en me forçant à tout enlever.


Nous avons dues parader avec les autres filles dans le plus simple appareil pour être pesée, mesurée, examinée, et subir une palpation des seins et un rapide contrôle gynécologique et touché vaginal sans aucune pudeur !


C'est trop la honte, nous pleurions d'être traité comme ça, la scène ressemblait à un marché aux esclaves ! comment l'administration peut elle tolérer de telles pratiques en 2021 ?


C'est l'un des moments les plus humiliants et dégradants de ma vie.



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