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dimanche 14 septembre 2025

Humilier et ridiculiser une prisonnière.

Humiliation psychologique lors des interrogatoires.
Humilier toute nue devant les gardiens et gardiennes de prison.

 Ridiculiser et dégrader les détenues.


Dans les murs sombres de la prison d'Abu Ghraib en Irak, pendant la seconde Guerre du Golfe, les troupes américaines détenaient des femmes soupçonnées de liens avec l'insurrection. Ces prisonnières étaient à la merci de gardiens cruels et sadiques, qui avaient carte blanche pour briser leur esprit par l'humiliation et les abus. La discipline était absolue : soumission totale aux règles impitoyables, où la nudité forcée et les fouilles intimes par des mains masculines impitoyables étaient la norme pour maximiser la honte.

Dalila, une détenue musulmane voilée, accusée de soutien à la rébellion, était leur cible favorite. Pudique et fière, elle incarnait la résistance brisée. Confinée dans une cellule exiguë d'un mètre sur deux, vide et oppressante, elle était souvent extraite pour servir d'outil de distraction érotique aux gardiens. Nue en permanence – car pour les "prisonnières de haute importance" comme elle, l'humiliation maximale exigeait une exposition totale –, Dalila devait tourner sur elle-même, exhibant ses courbes sous tous les angles, la peau frémissante sous les regards lubriques. À quatre pattes, elle marchait, l'anus ouvert et vulnérable, bien visible, sentant l'air froid caresser ses parties intimes tandis que les rires moqueurs résonnaient.

Les gardes, mixtes hommes et femmes, savouraient la détresse dans ses yeux sombres, la honte brûlante qui rougissait sa peau mate. "Chienne, tu fais moins la fière comme ça ?", lançaient-ils en riant, profitant de sa pudeur innée pour amplifier leur plaisir sadique. Souvent désignée comme "le clown" de la prison, Dalila était traînée hors de sa cellule pour divertir la troupe. Les soldats dessinaient sur son corps nu des gribouillis pervers : "Spank me" en lettres grasses sur ses fesses rebondies, des insultes dégradantes tracées au marqueur indélébile sur ses seins et son ventre, transformant sa chair en toile vivante d'humiliation érotique.

Forcée à s'humilier verbalement, Dalila devait réciter d'une voix tremblante : "J'aime être nue devant mes maîtres supérieurs, les gardiens et gardiennes. Je suis fière d'avoir enlevé mon voile, mes vêtements et mes chaussures pour être enfin nue et libre." Chaque mot arraché renforçait sa soumission, un mélange enivrant de terreur et de résignation qui excitait les gardes.

 

Lien :  

Discipline stricte en prison. 

dimanche 18 mai 2025

Fouille nue d'une détenue pudique et soumise.


Humiliante fouille à nu
Fouille (strip search).

Fouille à nue (strip search) lors du processus d'accueil en prison.

Abou Ghraib, Irak, 2005.

 

 Noor, une Irakienne de 27 ans, était assise à l’arrière d’un Humvee, les mains entravées par des menottes en plastique, le regard baissé. Son hijab noir couvrait ses cheveux, et son abaya, légèrement poussiéreuse, témoignait de sa foi sunnite et de sa pudeur. Murmurant des versets du Coran, elle tentait de calmer son cœur affolé. Accusée à tort de complicité avec des insurgés sur une dénonciation malveillante, elle avait été arrêtée trois jours plus tôt. Aujourd’hui, elle entrait dans un centre de détention sous contrôle américain.

Le véhicule s’arrêta dans un nuage de poussière à l’arrière du complexe. Deux femmes en uniforme militaire attendaient près d’une entrée. La première, une blonde d’une trentaine d’années au chignon strict, portait des galons sur son uniforme. C’était la sergente Mitchell, dont l’autorité froide intimidait Noor. Réservée et timide, Noor évita son regard, mais ne put ignorer la prestance de cette femme, qui la troublait étrangement.

« Noor al-Hassani ? » demanda la sergente Mitchell, consultant une feuille.

Noor hocha la tête, puis murmura : « Oui… Madame. » Sa voix tremblait, et elle rougit, gênée par son propre malaise.

« Nous sommes ici pour vous prendre en charge officiellement. Placez vos mains contre le véhicule. »

Noor obéit, posant ses mains contre la carrosserie brûlante. La seconde gardienne, silencieuse, la fouilla rapidement, inspectant son hijab et ses vêtements. Noor, submergée de honte, garda les yeux rivés au sol. Les menottes en plastique furent remplacées par des menottes métalliques, froides contre ses poignets. Elle murmura une prière, implorant la force.

Les gardiennes l’escortèrent vers un bâtiment entouré de barbelés. Un panneau indiquait « Intake ». La sergente activa sa radio : « Une pour l’admission. » La porte métallique s’ouvrit dans un bourdonnement.

À l’intérieur, l’air était glacial. On la fit asseoir face à un bureau encombré de dossiers. La sergente s’installa et lut : « Noor al-Hassani, 27 ans, cheveux noirs, yeux marrons, poids approximatif : 55 kilos. Est-ce exact ? »

« Oui, Madame », répondit Noor, intimidée par l’assurance de Mitchell. Une étrange fascination pour cette femme autoritaire naissait en elle, mêlée de crainte.

« Bien. Vous allez être conduite au traitement. Vous devrez retirer tous vos vêtements – vous serez toute nue, mais ne vous inquiétez pas, c’est entre femmes. Vous serez fouillée, recevrez votre uniforme, vos photos seront prises, et vous irez en cellule. Comprenez-vous ? »

Noor hocha la tête, mais la sergente la reprit : « Réponse verbale. Appelez-moi Madame. »

« Oui, Madame », murmura Noor, les joues brûlantes. L’idée de se dévêtir la terrifiait, mais la précision « entre femmes » l’apaisa à peine.

Les gardiennes la firent lever et l’escortèrent dans un couloir gris jusqu’à une porte marquée « Processing ». La sergente activa sa radio : « Une pour le traitement. » La porte s’ouvrit, révélant une pièce austère avec une table métallique, une chaise, et un coin pour les photos. Une troisième gardienne, à la table, tenait un bac en plastique. Noor sentit son estomac se nouer.

« Nous allons retirer vos menottes », annonça la sergente. « Tenez-vous droite, mains le long du corps, face à la gardienne à la table. Suivez ses instructions, ou votre désobéissance sera signalée. Comprenez-vous ? »

« Oui, Madame », répondit Noor, la gorge serrée.

Les menottes ôtées, Noor se tint droite, tremblante. La sergente et l’autre gardienne reculèrent près de la porte. La gardienne à la table ouvrit un sac en plastique : « Retirez vos boucles d’oreilles. »

Noor n’en portait pas. « Je n’en ai pas, Madame », dit-elle doucement.

La gardienne nota quelque chose. « Retirez vos chaussures et chaussettes. »

Noor défit ses sandales usées et ses chaussettes blanches, posant ses pieds nus sur le sol glacé. La gardienne inspecta les chaussures, les chaussettes, et ordonna : « Levez chaque pied, montrez-moi la plante. » Noor obéit, humiliée, tandis que la gardienne commentait : « Vous êtes bien sensible, hein ? On dirait que vous n’avez jamais marché pieds nus. »

Noor rougit, baissant les yeux. « Maintenant, retirez votre hijab. »

Noor défit les épingles, pliant le foulard avec soin avant de le tendre. Ses cheveux noirs tombèrent sur ses épaules. « Regardez-moi ça, on dirait une nonne qui se cache », ricana la gardienne, jetant le hijab dans le bac. Noor sentit les larmes monter.

« Votre abaya. »

Noor défit les boutons, laissant l’abaya glisser à ses pieds. Elle la tendit, restant en tunique et pantalon noirs. La pièce était si froide qu’elle frissonna, croisant les bras. « Bras le long du corps », ordonna la gardienne. « Pas la peine de jouer les pudiques ici. »

Noor obéit, rouge de honte. La tunique, puis le pantalon, furent retirés. En sous-vêtements, elle se sentit exposée. La gardienne lança : « Pas très épais, votre corps. On dirait une gamine qui se cache sous tous ces tissus. »

Noor, mortifiée, garda le silence. « Retirez votre soutien-gorge. »

Les larmes coulèrent alors qu’elle dégrafait son soutien-gorge, le tendant tout en couvrant sa poitrine. « Bras le long du corps », répéta la gardienne. « Arrêtez de faire la timide, ça ne sert à rien. » Noor obéit, exposant ses seins. La gardienne ricana : « Pas grand-chose à montrer, hein ? »

« Maintenant, la culotte. »

Noor, sanglotant, fit descendre sa culotte et la tendit, se tenant nue, pieds nus sur le sol froid, les mains le long du corps. « Regardez-moi cette pudeur ridicule », commenta la gardienne. « Vous croyez que votre Dieu vous regarde ici ? »

Noor ferma les yeux, récitant une sourate en silence. La gardienne dressa la liste : « Un hijab noir, une abaya noire, une tunique noire, un pantalon noir, un soutien-gorge blanc, une culotte blanche, une paire de sandales, une paire de chaussettes. Exact ? »

« Oui, Madame », murmura Noor.

« Signez ici. » Noor signa, tremblante. « Maintenant, la fouille corporelle. Éloignez-vous de la table, tenez-vous droite, bras le long du corps. »

Noor obéit, les larmes roulant sur ses joues. La gardienne prit une lampe torche, lui ordonnant de secouer ses cheveux, de tirer ses oreilles, d’ouvrir la bouche, de soulever sa langue. Puis, elle inspecta ses mains, ses aisselles, et ordonna : « Soulevez vos seins. » Noor obéit, humiliée, tandis que la gardienne lançait : « Rien à cacher là-dessous, visiblement. »

« Écartez les jambes. Écartez vos lèvres vaginales. » Noor, sanglotant, obéit, exposant son intimité. « Toujours aussi gênée ? Vous vous y ferez », railla la gardienne, inspectant avec sa lampe. « Tournez-vous, écartez vos fesses, accroupissez-vous, toussez. » Noor s’exécuta, chaque mouvement brisant un peu plus sa dignité. Enfin, elle leva chaque pied pour une nouvelle inspection. « Vos pieds sont trop propres pour une terroriste », ironisa la gardienne.

« Fouille terminée », annonça-t-elle. « Vous pouvez prendre une douche avant l’uniforme. Suivez-moi. »

Noor, toujours nue, fut conduite à une cabine de douche ouverte. L’eau froide la fit frissonner, mais elle se lava rapidement, sous le regard de la gardienne. Revenue dans la pièce, elle attendit, tremblante, pieds nus sur le sol glacé.

La gardienne revint avec une simple combinaison orange. « Voici votre uniforme. Pas de sous-vêtements, pas de voile. Les hijabs sont interdits. Enfilez ça, pieds nus. »

Noor, horrifiée, protesta faiblement : « Madame, s’il vous plaît… mon hijab, c’est ma foi. Je ne peux pas… »

La sergente Mitchell, qui avait observé en silence, s’avança. Sa voix était ferme, mais étrangement douce : « Noor, écoutez-moi. Ici, les règles sont strictes. Pas de hijab, pas de discussion. Vous devez vous conformer. Mais je veillerai sur vous, d’accord ? Faites ce qu’on vous dit, et ça ira. »

Noor, les larmes aux yeux, hocha la tête, vaincue. Elle enfila la combinaison, qui grattait sa peau nue. Sans sous-vêtements, elle se sentait encore plus exposée, et ses pieds nus sur le sol froid renforçaient sa vulnérabilité. Le numéro 47219 était cousu sur la poitrine.

« Mains derrière le dos », ordonna la sergente. Les menottes claquèrent. On la conduisit aux photos d’identification. Noor fixa l’objectif, puis tourna la tête pour les profils, son visage marqué par la honte et la résignation.

« C’est terminé », dit la sergente. « Vers votre cellule. »

 

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 Strip search. 

 

lundi 12 mai 2025

L'humiliation et le dressage d'une nouvelle en pensionnat.

Humiliation hard en pensionnat de jeunes filles
Dressage sans pitié.

Élitisme et dressage en grande école.


Sainte-Clothilde, un pensionnat isolé dans les Alpes françaises, était un bastion de l’élite bourgeoise, où les filles de familles blanches et fortunées, héritières d’un conservatisme hautain, étaient formées à régner. Derrière les murs ornés de dorures, un système sadique prospérait : les nouvelles venues, surtout celles jugées « inférieures » par leur classe ou leur origine, étaient soumises à un rituel d’humiliations érotiques et cruelles. Les anciennes, dirigées par la cruelle Clémence, imposaient leur domination avec la complicité tacite de la direction, méprisant les « filles du peuple » et, plus encore, celles d’origine maghrébine ou africaine, même françaises de longue date.

Amira, 18 ans, boursière issue d’une famille modeste de Marseille, d’origine algérienne, venait d’arriver dans cet antre de privilèges. Elle rêvait d’ascension sociale, mais dès son premier jour, les regards des anciennes lui firent comprendre qu’elle n’était qu’une proie. Clémence, une brune au sourire venimeux, la toisa. « Une boursière », siffla-t-elle, le mot dégoulinant de mépris.

Le soir même, dans le dortoir éclairé par des chandelles, Clémence ordonna : « Déshabille-toi, lentement, sale petite Arabe. » Sous les rires des anciennes, Amira, tremblante, ôta sa robe, exposant sa peau mate. « Pas mal pour une moins-que-rien », railla une fille, tandis que Clémence lui pinçait les seins, arrachant un sursaut. « Ici, tu rampes, ou tu souffres. »

Les jours devinrent un enfer d’humiliations. Amira n’avait droit qu’à une tunique transparente, si courte qu’elle révélait ses cuisses, et devait marcher pieds nus sur le marbre glacé. Les corvées étaient son fardeau : elle servait les anciennes à table, ramassant leurs insultes – « Dépêche-toi, chienne ! » – tout en recevant des pincements sur les fesses ou les seins. Les douches étaient un calvaire : nue sous un jet d’eau froide, elle devait se savonner pendant que les anciennes la fixaient, certaines glissant des doigts sur son corps, l’une s’attardant sur son entrejambe, la forçant à se mordre les lèvres pour ne pas gémir.

Les fessées étaient quotidiennes. Pour une assiette mal lavée ou un regard jugé insolent, Amira était traînée dans une salle aux murs de pierre. « À quatre pattes, salope », ordonnait Clémence, un fouet en cuir à la main. Les coups claquaient sur ses fesses, chaque claque résonnant sous les rires. Parfois, après, une ancienne la forçait à rester dans cette position, lui pinçant les seins ou glissant un doigt entre ses lèvres intimes, riant de ses frissons. « Tu aimes ça, hein, pute du peuple ? »

Les « séances d’autocritique » étaient particulièrement humiliantes. Amira, nue, devait s’agenouiller devant les anciennes et réciter ses « fautes » : « Je suis une boursière indigne, une Arabe qui ne mérite pas d’être ici. » Chaque phrase jugée insuffisante valait une claque ou un pincement. Une fois, Clémence lui ordonna de se masturber devant elles, sous leurs regards moqueurs. « Montre-nous à quoi servent les filles comme toi », ricana-t-elle. Amira, rouge de honte, obéit, ses larmes coulées sous leurs insultes.

Les défis étaient incessants. Une nuit, on la força à ramper à travers le dortoir, un collier de cuir autour du cou, tirée par une laisse. Les anciennes jetaient des miettes sur son passage, criant : « Mange, chienne ! » Une autre fois, par une pluie battante, elles la firent marcher nue dans la cour, à quatre pattes, la boue collant à sa peau, tandis qu’elles riaient depuis les fenêtres. « Regardez la sauvage, elle est dans son élément ! »

Les « soirées de soumission », dans une crypte aux torches vacillantes, étaient le summum de la perversion. Amira, « l’exotique », était attachée par des rubans de soie, forcée de danser nue sur des musiques lancinantes. « Écarte les jambes, sale pute », ordonnait une ancienne, tandis qu’une autre lui pinçait les seins ou glissait un plumeau sur son corps, s’attardant sur ses zones sensibles. Un soir, Clémence lui banda les yeux et l’attacha à une chaise, laissant les anciennes, une à une, effleurer sa peau, pincer ses mamelons, ou caresser son entrejambe, murmurant des obscénités. « Devine qui te touche, petite traînée. »

Un autre défi la marqua profondément. On lui ordonna de ramper sous une table où les anciennes dînaient, nue, pour « divertir » leurs pieds. Elles la forçaient à lécher leurs chaussures ou à rester immobile pendant qu’elles pressaient leurs talons sur son dos, riant de sa soumission. Une ancienne, plus audacieuse, glissa un orteil entre ses cuisses, la faisant tressaillir sous leurs moqueries.

 

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Dressage des nouvelles. 

samedi 12 avril 2025

Une bonne fessée et des humiliations pour une jeune fille pudique.

 

Punir et fesser les filles pudiques
Les filles doivent être reprises en main par des éducatrices sévères et strictes.

 Aïcha une étudiante punie par une éducatrice.

Dans un pensionnat isolé, où des jeunes filles de toutes origines sont envoyées pour corriger leurs écarts de conduite ou leurs lacunes académiques, l’ordre règne en maître. Les règles, gravées dans un règlement validé par une ordonnance ministérielle, prônent une discipline inflexible, où l’humiliation et la soumission sont des outils privilégiés. Les éducatrices, dotées d’une autorité incontestée, veillent à ce que chaque infraction soit châtiée avec une précision presque rituelle.

Aïcha, 21 ans, est une jeune musulmane au caractère bien trempé. Toujours vêtue de vêtements amples et d’un hijab impeccablement noué, elle arbore sa pudeur comme un étendard. Placée dans ce foyer par la justice pour absentéisme à l’université et comportement rebelle, elle défie les règles avec une insolence calculée : retards, remarques cinglantes, refus de se plier aux consignes. Mais ce soir, c’est une autre faute qui attire l’attention : son hijab, qu’elle porte ostensiblement malgré les rappels répétés sur la laïcité imposée dans l’établissement.

Dans le réfectoire, l’atmosphère est lourde. Madame Claire, l’éducatrice en chef, se tient au centre, imposante. Son tailleur strict et son regard perçant lui confèrent une aura de domination froide. Elle savoure ces moments où elle peut briser les résistances, surtout celles des filles pudiques comme Aïcha, dont la retenue l’agace autant qu’elle l’inspire. Les autres pensionnaires, assises en silence, savent qu’un spectacle se prépare.

« Aïcha, tonne Claire, tu as encore manqué tes cours, tes notes sont désastreuses, et tu persistes à défier la laïcité de cet établissement avec ce voile. Sans parler de cette pudeur excessive qui te pousse à te croire au-dessus des règles. Ce soir, tu vas apprendre ce qu’il en coûte. »

Aïcha, adossée à une chaise, croise les bras, un sourire narquois aux lèvres. « La laïcité ? Vous voulez juste me contrôler. Et ma pudeur, c’est pas votre problème. J’suis majeure, Madame, vous pouvez pas me forcer à quoi que ce soit. »

Un frisson parcourt l’assemblée. Les filles échangent des regards, impressionnées par l’audace d’Aïcha. Claire, loin d’être déstabilisée, esquisse un sourire cruel. « Oh, Aïcha. Tu penses que ton petit numéro m’impressionne ? Le règlement que tu as signé autorise des mesures… disons, éducatives. Et j’adore corriger les filles dans ton genre. Déshabille-toi. Complètement. »

Aïcha écarquille les yeux, feignant l’indignation. « Quoi ? Hors de question ! Vous savez que je porte le voile, que je suis pudique. Vous voulez m’humilier, c’est ça ? »

Claire s’approche, sa voix devenant un murmure menaçant. « Exactement. Les pudiques dans ton genre ont besoin d’une leçon d’humilité. Retire tout, y compris ce hijab. Ou je m’en chargerai moi-même. »

Aïcha hésite, jouant la révolte. Elle secoue la tête, lance un « C’est abusé ! » théâtral, mais au fond d’elle, une part secrète s’éveille. La sévérité de Claire, son autorité implacable, éveillent en elle une étrange fascination. Elle proteste pour la forme, mais son cœur bat plus vite à l’idée de céder. Lentement, elle commence à dénouer son hijab, ses doigts tremblants trahissant un mélange de honte et d’excitation. Le tissu glisse, révélant ses cheveux noirs. Puis viennent la tunique, le pantalon, les chaussettes. Elle marque une pause devant ses sous-vêtements, lançant un regard de défi à Claire.

« Continue, ordonne l’éducatrice, impatiente. Une soumise ne cache rien. »

Aïcha soupire bruyamment, mais obéit, laissant tomber ses derniers vêtements. Nue, elle croise les bras sur sa poitrine, jouant la gêne. « Satisfaite ? » lance-t-elle, provocatrice.

Claire la toise, savourant sa victoire. « Pas encore. Les bras le long du corps. Montre-toi. »

Aïcha obéit, un éclat rebelle dans les yeux, mais son souffle s’accélère. Elle sent tous les regards sur elle, et l’humiliation, orchestrée avec soin par Claire, la trouble plus qu’elle ne veut l’admettre. Claire désigne une chaise au centre de la pièce. « Viens ici. Sur mes genoux. »

Aïcha avance, chaque pas amplifiant cette tension délicieuse entre résistance et soumission. « Vous êtes malade, marmonne-t-elle, mais elle s’allonge sans trop protester, son corps frémissant d’anticipation. La position, humiliante, la ramène à une vulnérabilité qu’elle feint de détester.

Claire pose une main ferme sur son dos. « Ceci est pour ton bien, Aïcha. Pour ton insolence, ton voile, ta pudeur mal placée. » Sa voix est un mélange de reproche et de satisfaction. La première claque s’abat, vive et sonore. Aïcha sursaute, un gémissement lui échappe. Les coups suivants s’enchaînent, méthodiques, chaque claque ponctuée d’une leçon : « Tu apprendras… à obéir… à respecter… mon autorité. »

Les fesses d’Aïcha rougissent, la douleur se mêlant à une chaleur qu’elle refuse d’admettre. Elle serre les dents, jouant la rebelle, mais ses larmes, quand elles coulent, sont autant de honte que de relâchement. Claire, experte, sait exactement jusqu’où pousser. Quand elle s’arrête, Aïcha tremble, à la fois brisée et étrangement apaisée.

« Relève-toi, ordonne Claire. Au coin, mains sur la tête. Deux heures. »

Aïcha se redresse, lançant un dernier regard de défi. « Vous êtes dure, quand même, » murmure-t-elle, mais elle obéit, prenant place face au mur. Nue, exposée, elle sent l’humiliation peser sur elle, mais au fond, une part d’elle savoure cette discipline stricte, cette perte de contrôle orchestrée par Claire. Les autres filles observent, certaines intimidées, d’autres intriguées. Claire arpente la salle, triomphante. « Que ceci soit une leçon pour vous toutes. Défiez-moi, et vous connaîtrez la même correction. »

Le pensionnat, avec ses méthodes controversées, affiche un taux de réussite inégalé. Les filles, même les plus rebelles, finissent par plier, façonnées par la main de fer de Claire. Aïcha, elle, commence à comprendre qu’elle pourrait bien aimer ces jeux de pouvoir, même si elle ne l’admettra jamais à voix haute.

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La maison de correction.

mercredi 1 janvier 2025

Le réveil difficile de pas mal de femme le 1er janvier.

Drunk girl is sleeping naked
Une fille se réveil à poil dans un lit inconnu le 1er janvier.

Le premier janvier, quand une femme se réveille à poil chez des inconnus ...

 Aujourd'hui, en ce 1er janvier 2025, des milliers de femmes après une nuit de fête, de débauche,  de consommation d'alcool et de diverses substances plus ou moins légales durant la fête du nouvel ans se réveillent avec le gueule de bois, dans des endroits totalement inconnus, avec un mal de crane et la bouche pâteuse, mais pas seulement ...

Beaucoup de femmes vivent l'expérience, chaque année, de se réveiller à poil dans des lits ou des canapés, avec comme question : Qu'est ce que je me suis prise dans la chatte et dans le cul hier soir ?

Par exemple ici sur la photo, Amélie ici à l'anus et le vagin irrités, elle espère qu'ils ne sont pas passer à plus de 10.

Elles ne se rappellent même pas des mecs qui les ont ramener chez eux, en général, c'est de toute façon des mecs moches et peu recommandables qui les ont baiser toute la nuit. En général, ils jettent les vêtements des filles, comme ça quand elles se réveillent, elles ne peuvent pas s'habiller et doivent rester à poil.

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Dormir toute nue.


 

dimanche 8 septembre 2024

Soumission musclé d'une magistrate nazie.

 

Une prisonnière blonde humiliée et dressée salement
Une femme détenue humiliée à poil et traitée comme une chienne.

Soumission sexuelle d'une responsable ukrainienne. 

 Une responsable néo nazie ukrainienne s'est rendue pour se soumettre aux forces russes, Elle s'est constituée prisonnière après la prise d'une ville décisive par les forces russes.

Pour lui accorder une grâce présidentielle, l'ultra nationaliste doit se faire pardonner et montrer sa soumission. Elle s'est mise nue et pieds nus devant les responsables russes en signe d'humilité et de soumission, et s'est prosterner devant ses maitres russes.
Ses seins doivent toucher le sol et ses fesses pointées vers le haut avec l'anus et la chatte bien ouverte. Elle doit rester dans cette position obscène sous les rires des russes qu'elle insultait il y à quelques jours de racailles communiste asiatico islamiste, et aujourd’hui elle se soumet et collabore.
 
 
Une prisonnière blonde BDSM nue à genoux très soumise.
Une prisonnière nue doit se soumettre pour être pardonnée et libérée.

 Liens :

jeudi 14 juillet 2022

L'avilissement et le dressage d'une prisonnière

 

Prisonnière nue et humiliée dans une séance d'exhibition.
Le rituel impudique de la fouille des orifices intimes des prisonnières.

Le dressage de la prisonnière Linda.


Avant d'être incarcérée et avilie Linda, 27 ans, était une femme respectable de la bourgeoisie citadine. Sauf qu'elle a été arrêtée par les forces spéciales américaines dans un raid sur sa maison. car son oncle est recherché par la coalition internationale comme membre de l'ancien régime renversé par les USA durant la seconde guerre en Irak de 2003/2011).


La prisonnière, jugée comme étant de "haute valeur" était détenue dans le secteur d'isolement de la prison réservé à ce type de prisonniers. Avant son incarcération,  même si des rumeurs disaient que les américains humiliaient les prisonniers, elle n'y a avait pas crue, et elle n'aurait jamais  oser imaginer être déshabiller et devoir s'exposer nue devant des étrangers dans des positions parfois obscènes.


Pourtant, lorsqu'elle est arrivée dans l'aile de détention en isolement pour les détenus avec son type de profil, dans un secteur de la prison en dur, ou les quelques femmes sont placée dans un couloir de l'aile principale à l'étage et les hommes sont en bas. Elle a été contrainte de se déshabiller sur ordre du staff de la prison. Les fouilles s'effectuent à nu sans respect pour l'intimité et la pudeur des femmes. Les gardiens ont pour consigne d'être intransigeant sur cette question car il en va de la sécurité, peu importe si ça peut être perçu comme humiliant par les captifs de guerre.


Linda n'avait pas droit au moindre traitement de faveur du fait qu'elle soit une femme. Le fait de retirer ses vêtements était une épreuve difficile. Pour une femme arabe et musulman qui porte le voile (hijab) plus par tradition que par convictions religieuses profonde elle doit d'abord retirer le couvre chef et dévoiler sa chevelure puis ses chaussures et le reste de ses vêtements, elle avait tenter de garder sa culotte et son soutien gorge mais les gardes n'avaient rien céder et lui ont confisqué aussi ses dessous. 


L'une des particularité dans cette section d'isolement de la prison était que les détenus étaient confinés dans des petites cellules vide ne contenant qu'un très fin tapis de couchage sur une couchette surélevée et des toilettes "à la turque". Tout autre objet  étaient strictement interdit.


Les détenus présent dans ce secteur devaient être complètement nus à tout moment. Après l'inspection corporelles Linda ne s'était pas vu remettre le moindre vêtements, ses affaires personnelles et ses chaussures avaient été mises sous scellés et consignés et aucun uniforme ne lui avait été remis.


Si la nudité  imposée pouvait paraitre difficile à vivre et choquante pour des femmes pudique et pieuse comme Linda, qui s'était  en quelques minutes retrouvée de presque intégralement voilée  à totalement  poil. Il faut dire qu'avec le temps la nudité est de plus en plus naturelle, avoir les seins, les fesses et le vagin exposés et visibles.


Le pire est ce dressage à la nudité, l'obligation régulièrement de devoir montrer sa chatte et son trou du cul sur commande comme un animal de zoo. Les pauvres femmes doivent se soumettre régulièrement à des sorte de "danse" obligatoire ou elles doivent exposer et ouvrir leurs fesses et leur chatte en public pour les montrer aux gardiens.


Liens :


Le Dressage en prison.


Vidéos de femmes déshabillées en enchainées.





mardi 24 mai 2022

Témoignage d'humiliations de prisonnières.

 

Des femmes prisonnières nues et humiliées dans des postures obscènes.
Deux prisonnières photographiées nues dans des postures humiliantes.

Deux femmes dégradées et humiliées en détention.


Suite aux révélations sur les actes de tortures, de sévices et d'humiliation pratiquées par l'armée et les service de renseignement dans la prison militaire américaine d'Abou Ghraib en Irak en 2004 pendant la seconde guerre du golfe. Des enquêtes menées par les autorités militaires, civiles et politiques, des centaines de personnes ont témoigné avoir vue des choses surprenante et dérangeantes.


Une jeune soldat de 22 ans, engagé dans la prison comme surveillant sans réel expérience ni formation dit avoir vue un de ses cousins de 41 ans, ancien policier texan se comporter de façon très déplacée et sans aucun respect pour la pudeur et la dignité des captifs.


Devant les enquêteurs, il raconte plusieurs choses qui nous informe sur l'ambiance de cette prison sinistre et l'état d'esprit des gardiens souvent pervers et cruels.


"Je me nomme Billy Jr Schmidt, je me suis engagé sur recommandation de mon cousin, Bobby Hart qui est l'un des accusés des sévices et qu'ont peut voir sur plusieurs photos en train d'humilier les prisonniers. Il m'a aider à obtenir un diplôme dans la sécurité et m'a expliquer que je pourrais aller dans l'armée avec ça; il m'a aider a dénicher un poste de gardien de prison en Irak près de Baghdad, le salaire et l'envie de voyage étaient intéressant pour moi.


Bobby avait été plusieurs fois poursuivis pour des abus sur des suspect et différentes bavures policières ( harcèlement envers les femmes, corruption et liens avec des trafiquants de drogues et des trafiquants de femmes et de migrants latinos, il s'en est sortie en donnant quelques pots de vin aux juges et parce qu'il détient des vidéos embarrassantes pour plusieurs hommes politiques avec des prostituées immigrées.


Ceci dit pour éviter trop de scandale, d'un commun accord, on lui a recommandé de quitter quelque temps sa ville et de restaurer son image en allant défendre la Patrie contre le terrorisme et en répandant la démocratie et les droits de l'homme en Irak. Servir sous les drapeaux ne peut que le servir et son expérience et sa réputation en matière de traitement des suspects intéressait fortement l'armée.


Une fois sur place, il a été nommé comme l'un des chefs des gardiens chargé de collaborer avec les services de renseignement. 


Les premiers jours pour moi sont de la formation, il m'a appelé pour me dire que deux suspects arrivent, a ma surprise, c'était des femmes, menottées les mains dans le dos, une mère de 40 ans environs et sa fille de mon âge, 22 ans. Elles sont comme beaucoup de femme arabes irakiennes habillées en tenue traditionnelle et voilée de la tête aux pieds, seules leurs visages et mains sont visibles. Les forces armées les ont arrêtées pour des soupçons de liens avec les rebelles qui s'opposent à l'occupation de leur pays. Pour mon cousin et pas mal de gardiens et gardiennes d'ici, c'est très amusant de disposer de personne arrêtée pour rien de concret. Mon cousin aux Etats Unis était réputé pour mettre en garde à vue des femmes sous n'importe quel prétexte et de les retenir 72 heures pour les "cuisiner".


Les deux femmes sont conduite dans une salle par Bobby et une autre gardienne, Jennifer Sanchez. C'est une métisse de père mexicain catholique  et de mère américaine blanche protestante, mais elle est complètement athée. J'imaginais qu'ils prenaient des renseignements biologique, ou des prises d'ADN. 


Il ne se passa rien de mon point de vue pendant une petite heure. Soudainement, Bobby est sortie de la salle pour se rendre probablement aux toilettes, et a laisser la porte entrouverte. J'ai pas pu m'empêcher d'y jeter un coup d'oeil et ce que j'ai vu, je ne l'oublierais jamais : les deux femmes sont complètement nues et  attachées dans des positions obscènes les fesses en l'air avec l'anus et la chatte totalement ouvertes et exposées.


Elles ont la tête elles yeux baissés silencieuses, leurs visages sont tout rouges et on peut supposer qu'elles sont totalement humiliées.


Sous le choc, j'ai du mal à estimer le temps qui s'est écoulé avant que Bobby ne revienne. Il m'a dit de rentrer dans la pièce ou sont les deux femmes dénudées.


Il m'a dit ne faire que  d'appliquer les consignes, et que "La première chose à faire quand un prisonnier arrive est de le fouiller avant de les faire rentrer dans l'établissement et de les placer en cellule. Le but est de recherche de la contrebande." Il ajoute que c'est aussi "Un moyen de faire comprendre qui est le patron et de les punir, et puis avoir un boulot qui permet de mettre des femmes nues c'est assez cool je pense que tu devrais toi aussi aimer".

Il continue fiérement  : "Vois tu, nous avons forcer ces deux prisonnières à retirer tout leurs vêtements devant nous et l'une devant l'autre, elles sont vulnérables et sans défense, exposées totalement sans avoir la possibilité de dissimuler à la vue du public leur corps et leurs parties intimes".


A ce moment là Bobby est très sur de lui en affirmant ceci comme si ce qu'il est en train de faire est  bien et tout à fait normal. Il faut savoir qu'aux Etats Unis plusieurs femmes ont porter plaintes contre lui pour des faits de harcèlements sexuels et d'humiliations. Toute les affaires ont bien sur était mises sous silence mais il me semble que les responsables ont recruter Bobby pour son expérience en matière d'humiliation des femmes.


Il sort ensuite son appareil photo pour officiellement remplir le dossier des prisonnières et officieusement pour sa collection personnelle.


Il donne l'appareil à Jennifer Sanchez, qui est en train de claquer les fesses des captives pour s'amuser, et de tripoter leurs seins et d'obliger la mère et la fille à exhiber leurs chattes lisses ouvertes l'une devant l'autre en leur disant qu'elles sont traitées comme les putes et mises à poil à poil pour divertir les gens.


Bobby se met à hurler "Maintenant nous allons prendre des photos pour nos dossiers, nous faisons ça avec tout les détenus qui arrivent ici".


La plus jeune des deux prisonnières qui parlent anglais répond en pleurant "Quoi, ne faite pas ça s'il vous plait, car nous sommes toutes nues".


En souriant Bobby leur dit que "Ceux sont les règles et les pratiques dans les centre de détention américain, nous devons faire des dossiers très précis sur chaque détenus, nous nous documentons sur leurs visages et leurs corps pour plus de sécurité et une meilleur identification".


Bobby lance une salve de photos des deux femmes encore à quatre pattes les fesses en l'air.


La mère tentant de protéger sa fille dit toujours en anglais "C'est moi que vous voulez laissez la partir et remettre des vêtements".


Bobby en prenant des photos lui répond que les deux femmes sont détenues par les Etats Unis et qu'il ne peut pas les laisser partir. Ensuite "Détache les Jennifer je vais prendre des images de leurs visages et de leurs poitrines". Ils prend ensuite les seins, les chattes , les fesses avec l'anus ouvert, les pieds nus des prisonnières sont aussi photographiés.


Ensuite Bobby et sa complice regardent les photos en se marrant et en faisant des commentaires vicieux et demandent aux captives "Qu'est ce que vous pensez d'envoyer ces images à vos familles et a vos proches ?"


Les deux femmes pleurent de plus belles et supplient Bobby de ne pas faire ça.



Liens :


Dans une prison US pour femmes ...



La prison des soumises.


samedi 9 avril 2022

Lynchage et humiliation sexuelle publique d'une femme politique soumise par la foule.

 

Humiliation publique d'une candidate perdante aux élections.
Lynchage et humiliation publique d'une femme politique.

Violence politique et humiliations sexuelle pendant la campagne présidentielle française.


Les élections françaises génèrent d'énormes frustrations, surtout parmi les perdants, qui manifestent brutalement leur colère après les résultats. L'une des principales candidate de droite, qui a lamentablement perdue et été éliminée dès le premier tours avec un faible score a été prise à partie par les membres du parti de droite "Les Républicains". 


Les militants se sont retournés contre la candidate qu'ils avaient pourtant élues lors des primaires. Plusieurs politicien de droit assez sexiste et ayant encore en travers de la gorge leur échec auraient en coulisse tout fait pour couler la campagne de leur championne et auraient inciter en sous mains les militants enragés à humilier et dresser la candidate déchue.


Ce fait divers montre bien l'état de déliquescence dans lequel se trouve la France de 2022. La victime en sortant de son QG de campagne a été prise à partie par une foule rageuse (avec la complicité du staff de sécurité corrompu et soudoyés par des rivaux politique ...).


Les activistes ont déshabiller de force leur candidate et l'ont exhiber toute nue en pleine rue pour l'humilier.


La pauvre bourgeoise qui dispose de beaucoup de propriété immobilière a vue ses vêtements de luxe arrachés, découpés et brûlés sur les trottoirs. 


Elle a du parader à poil et pieds nus sous les insultes et les moqueries des passants : "Perdante !  voleuse ! Traitresse ! Corrompue !" Des militants accusent la candidate bourgeoise d'être une gauchiste cachée et de dissimuler son idéologie gauchiste et d'avoir comploter pour saborder la droite.


Les gens de droite ont ensuite donner à tours de rôle des fessées à la bourgeoise déchue, avant de l'a forcer à marcher à poil à quatre pattes comme une chienne pour bien la dégrader et la rabaisser. Les autres ténors de la droite se sont bien marrés en voyant la pauvre perdante dans cette situation humiliante ...


Elle a aussi subie des sévices pervers et vicieux, comme le supplice des pinces à linges sur les seins et les tétons, des claques sur les fesses, poitrines, chattes, des injures, des crachats etc.



La politique en France est vraiment devenu un métier à risque pour les femmes.



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Homme politique pervers.

samedi 5 février 2022

Humiliations et tortures des femmes prisonnières.

Discipline et punition humiliante en prison
Des prisonnières nues et punie en position de stress (hogtied).

 Une femme humiliée et victime de sévices pendant sa détention témoigne.


Une ancienne détenue de la prison militaire d'Abou Ghraib en Irak pendant la seconde guerre du golfe (2003/2011) témoignage des humiliations, brimades, mauvais traitements, humiliations, tortures et sévices que les gardes  et interrogateurs américains imposaient aux prisonniers hommes et femmes.


Elle utilise le pseudonyme de Salma, et elle  avait 26 ans le jours de sont arrestation dans un quartier chic de Baghdad ou habitaient beaucoup d'ancien privilégiés de l'ancien régime renversé par la coalition internationale menée par les Etats Unis. Les soldats l'avaient arrêtées sur ordre des services de renseignement militaires car elle est la demi soeur d'un responsables en fuite et recherché activement par les occupants, et a ce titre avaient décider de la retenir dans la prison d'Abou Ghraib comme "prisonnière de haute sécurité" car elle était susceptible de détenir des informations importantes pour la coalition.


Elle avait été menottée les mains dans le dos, puis placée dans un camion militaire avec un sac noir  sur la tête selon le processus utilisé par l'armée lors des arrestations.


Lors de son arrivée sur le site, elle avait été envoyées dans une aile en dur de la prison ou sont retenus des femmes et des prisonniers de haute sécurité. 4 gardes l'attendaient, deux hommes et deux femmes, ils lui ordonnaient de se déshabiller et d'enlever tout ses vêtements devant eux sous la menace d'utiliser la force. La mise à nue était systématique dans cette prison, Salma comme les autres femmes musulmanes incarcérées avait du retirer son voile, son abbaye (robe arabe traditionnel ample et large), ses sous vêtements, y compris la culotte, ses bijoux, sa montre, ses boucles d'oreilles, retirer ses chaussures ainsi que ses bas, collants ou chaussettes pour celles qui en portaient.

Les règles d'incarcération n'admettent aucune exceptions et les femmes sont totalement nues et pieds nus.


La prisonnière avait été fouillée minutieusement de la têtes aux pieds, les gardes lui avaient même fait écarter les fesses pour regarder dans son anus et dans son vagin avec une lampe torche comme le veut la procédure. Salma avait reçue aussi un doigt dans le cul et un dans la chatte.


Les prisonnières étaient soumises à des fouilles des cavités deux à trois fois par jours sans aucun respect pour leur pudeur et dignité. Les gardes utilisaient selon les ordres et consignes que la police militaire leur avait donner les fouilles à corps comme moyen d'asservissement et d'humiliation des détenus hommes et femmes.


Salma se souvient que les gardes prenaient plusieurs détenus, les placer contre le mur et leur fouillaient les entre fesses avec des gants en caoutchouc et faisaient même parfois venir des chiens pour renifler l'anus d'une prisonnière et parfois, l'animal léchait la chatte d'une détenue terrorisée, ce qui provoquait le rire les matons.


Les gardiens interdisent aux femmes de porter des vêtements, officiellement pour des raisons de sécurité et par le fait qu'il n'y a pas assez d'uniforme orange ou jaune disponibles mais dans les fait la nudité est une technique d'interrogatoire et de contrôle très efficace et simple à mettre en oeuvre.


Les américains savent aussi que les femmes irakiennes sont pudiques et réservées pour des raisons culturelles et religieuses; et que les déshabiller et les forcer de rester nue est très humiliants et dégradants pour des personnes bien élevées d'être à poil. 


Ces femmes arrivent en générale totalement couverte de vêtements larges, porte des voiles pour dissimuler leurs cheveux, et elles se retrouvent entièrement nue devant des femmes et surtout des hommes étrangers. Elles perdent tout respect et dignité, et tout est fait pour leur imposer le plus de honte et de vexations à caractères culturelles possibles.


Pour Salma la nudité est particulièrement dégradante , elle avait ressentie une énorme honte à être privée de vêtements, d'être dans l'impossibilité de cacher son corps et ses partis intimes, de devoir exposer ses seins, ses fesses, son sexe etc. à la vue de tous.


Les soldats se vantent de garder les prisonnières nues comme des trophées, et les obligent a parader nue lors des déplacement au sein de la prison, en étant visibles et exposées à tout le staff pénitentiaire et administratif américain mais aussi à la vue des autres prisonniers et prisonnières.


Salma avait du marcher nue escortée manu militari jusque dans une petite cellule, et elle avait été exposée à une musique très forte, attachée aux barreaux de sa cellule pendant plusieurs jours. Les prisonniers sont toujours amenés nus dans les salle d'interrogatoire.

Obligée de marcher nue pour l'interrogatoire musclé.
Femme nue conduite vers la salle d'interrogatoire.


Salma avait du prendre des poses et postures humiliantes et à caractères sexuels et prise en photo dans cette situation embarrassante pour la faire craquer. Les gens du renseignement l'avaient aussi obligée a danser nue devant eux et le public, ils l'avaient aussi forcer à aller distribuer les repas à poil aux détenus mâles. Ces exhibitions de femmes nues devaient servir a montre le pouvoir et la domination des américains sur la société dont ils venaient de prendre le contrôle. Salma était à poil devant les détenus et les américains menaçaient les hommes de faire la même chose à leurs mères, soeurs, filles, épouses lorsqu'ils les captureraient.


Dans d'autre registre, Salma avait aussi du s'enfiler des morceaux de savon mouillés dans la chatte et le cul dans les douches avec deux autres femmes sous les insultes et moqueries des gardiens.


Les femmes étaient  aussi contrainte à faire des exercices sportifs nues jusque à l'épuisement comme courir dans les escaliers, faire des jumping jack, des burpees jusque à ne plus pouvoir tenir debout.


Un jours, Salma et deux autres détenues ont été contrainte d'uriner en public dans les couloirs de la prison et les gardiens les ont forcer à ramper dans leur propre pisse avant de les attacher pendant une après midi en hogtied (Techinique de bondage).


La masturbation forcée et public et le sexe entre femmes étaient aussi imposées aux femmes qui devaient pratiquer des actes de lesbiennes sur ordre des gardes.


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Histoire BDSM en prison.


Femme prisonnière tondue.

lundi 24 janvier 2022

Fille larguée à poil par une bande de justicières.

 

Des justicières mettent à poil une délinquante et l'humilient
Mise à poil public sans pudeur !

Mise à l'air punitive, justice et sécurité.



Alexandra a été retrouvée errante, totalement nue et très choquée par les autorités municipales une nuit en plein centre ville. C'est encore le résultat  d'une opération punitive menée par une association de justicière pour l'ordre et la moralité publique. C'est une sorte de milice citoyenne chargée d'assister la police et aire régner la sécurité et la tranquillité des habitants.


Alexandra qui est nouvelle dans le village a jeter plusieurs mégots et canettes dans le parc et manque de chance pour elle, des gens l'ont signaler. De courageuse citoyennes engagées ont décider de passer à l'action et de donner une bonne leçon d'éducation civique à la fille mal élevée.


Premièrement les justicières ont appréhender Alexandra et l'ont forcer a se déshabiller en public car l'humiliation est au coeur de la punition pour être dissuasif et éviter toute récidive. La mise à nue public est un moyen très efficace pour remettre a leurs places les auteurs d'incivilité.



Alexandra est très humiliée de se retrouver nue et pieds nus devant tout le monde ! Tout ses vêtements lui sont confisqués même sa culotte et ses chaussettes ! Alors que c'est une fille très pudique !



Les filles forcent la délinquante a faire plusieurs tours à poil exhibée à la vue de tous, dans une marche de la honte digne de "Game of Trones".


Surtout que les gens rigolent et se moquent d'elle et certains lui demande d'ouvrir ses fesses pour bien rendre son anus visible et ça fait rire grassement les justicières.

Ensuite la jeune femme est relâchée toute nue en foret dans une vieille bâtisse abandonnée totalement hagard.


La police soutient ces initiatives qui ont fait baisser l'insécurité de 75%.


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dimanche 16 janvier 2022

Vidéo: Un pervers force une fille à faire le ménage à poil et l'a baise.

 


Il oblige une fille a se mettre nue pour le ménage et lui faire des trucs sexuels (Vidéo).


Une femme blonde soumise se déshabille pour laver la maison et récurer le sol toute nue à quatre pattes sous les directives d'un homme vicieux qui la force à le sucer et veut la pénétrer.


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samedi 15 janvier 2022

Condamnée aux Travaux forcée et nudité en camp d'internement.

 

Camp de travaux forcés et nudité obligatoire.
Femme nue dans un camp de travail.

Des chrétiennes internées dans des camps de rééducation gardées complètement nues.


Dans l'un des derniers pays communistes ayant pour religion d'Etat l'Athéisme matérialiste de Marx le régime réprime durement les pratiquants des religion et très spécifiquement les catholiques.


Irina, une femme chrétienne de 27 ans a été condamnée a deux ans de détention dans un camp de rééducation et d'insertion (ndlr : terme officiel utilisé par le régime pour parler des prisons ou sont retenus les opposants politiques et religieux).


Elle a été arrêtée en pleine nuit par la police politique après avoir été dénoncé pour avoir donner des cours de catéchisme en cachette et enseigner la bible chrétienne à des jeunes à la place des enseignement du leader suprême de la révolution.


Ces centre de détention pour le bien être du peuple et la cohésion sociale sont en réalité de véritable bagne moderne ou la discipline est très stricte et les travaux physiques obligatoire.


De plus pour les chrétiens et les chrétiennes la nudité totale est souvent imposée pour mieux les humilier et les dégrader. 

Lorsque Irina est arrivée dans le camp, elle a été soumise a une fouille à nu comme dans la plupart des prisons du monde, et les gardiens ne lui on pas fourni le moindre vêtements, ni uniforme.


Les autorités socialistes justifient la nudité des chrétiens pour plusieurs raisons: 


Le climat chaud permet sans problèmes de garder les détenus sans vêtements.


Les chrétiens doivent être humiliés et dégradés et rien de plus simple et efficace que de les faire travailler et s'exhiber à poil pour leur faire perdre toute dignité et tout statut social.


La dimension culturel et religieuses , le christianisme prônant la pudeur est une technique utilisée par le pouvoir communiste pour soumettre et dominer les esprits des chrétiens.



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Bagne et travaux forcés.

jeudi 2 décembre 2021

Femme séquestrée nue, par un cambrioleur, et torturée façon BDSM

 

Cambriolage BDSM qui tourne mal.
Bondage et torure nue lors de la séquestration.

Un cambrioleur sadique sévit et abuse des femmes.



Une femme riche et bourgeoise prénommée Maria témoigne dans la presse avoir été cambriolée et séquestrée  chez elle pendant une nuit par un homme sadique et pervers.


Le malfrat s'est introduit chez sa victime et l'a prise par surprise avant de la ceinturer et de l'attachée totalement nue sur un lit pour l'humilier et la torturer pour la faire parler et savoir ou se trouve le coffre fort.


Le délinquant est un spécialiste de toute les techniques de bondage, de liens, de corde et aime attachée ses victimes nues pour les torturer doucement et les faire parler.



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jeudi 18 novembre 2021

ENF Embarassed Naked Female : Tout nue en pleine ville après un bizutage !

 

Nudité et exhibition, pendant les journée d'intégration étudiante.
Toute nue en public au bizutage.


Une jeune fille noire à poil pendant le bizutage.


Lors du bizutage, les anciens, élèves avec la complicité des dirigeant font respecter les traditions locales. Laura, une étudiante en première année a été forcer de déambuler entièrement nue dans le centre ville d'une cité universitaire.


Une journée d'intégration est organisée le second samedi après la rentrée, Laura est une fille réservée, assez pudique qui n'aime pas trop faire la fête ni même les attroupements public. Mais pour réussir, elle doit faire du réseau et développer des relations avec les autres.


Elle est donc de facto oblige de se rendre à la journée d'intégration organisée par le bureau des étudiants (BDE).


Sur place, Laura est prise en charge par les anciennes, elle est rapidement contrainte de se déshabiller complètement et devant tout le monde avec les autres nouvelles "bizutes". 


Les filles sont totalement nues et pieds nus et exposées en public comme si elles n'étaient que du bétail ou des esclaves sur un marché.


Les étudiantes les plus pudiques sont promener et balader dans le plus simple appareil sur le campus et dans le centre ville dans le but de les décoincées et la jeune fille noire est soumise à cette marche de la honte ...



Liens : 


Bizutage de rentrée.


Blog à voir sur sur le bizutage.



 

samedi 11 septembre 2021

Dressée et soumise au bizutage

 

Bizutage étudiant humiliant qui tourne mal et nudité
Écarter les fesses et exhiber le cul au bizutage.

Bizutage de rentrée.


Nadia est une étudiante de 22 ans qui vient d'intégrer une grande école de commerce. Comme toute les nouvelles arrivantes, elle est soumise à un bizutage sexuel de la part des anciens.


Lors de ce rituel traditionnel la pudeur et la modestie de l'étudiante est mise à mal. Les secondes années obligent les nouvelles à subir des mise à nue publique. 


C'est très humiliant pour une fille réservée, timide et bien élevée comme Nadia que de devoir retirer ses vêtements , tout bien sur, c'est la totale nudité qui est imposée, la bizutée doit retirer son string et ses chaussettes car c'est intégralement nue qu'il faut être.


La jeune fille doit s'exhiber et parader nue dans les couloirs de l'université et exposer son intimité et écarter les fesses pour qu'on puisse voir son anus quand un étudiant le souhaite.


Imaginez  ce que représente le fait de devoir écarter les fesses  pour exhiber son cul ?


La jeune femme est aussi exposée sur une estrade et les autres font des commentaires sur son corps nu et exposé et commenté par les autres.


Elle doit aussi recevoir une fessée jusque à ce que ses fesses deviennent rouges, se masturber prendre des poses obscènes, dire qu'elle est une pute soumise etc.



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A poil en publique au bizutage !



Pyramide de filles nues.

mercredi 8 septembre 2021

Française incarcérée dans une prison étrangère.

 

Prison et fouille à nu
L'humiliante fouille des cavités intimes.

Une arrogante femme française humiliée dans une prison étrangère.

Christelle est une jeune femme française, cadre dans une grande banque, issue de la bourgeoisie française, ave un salaire plus que correct au alentour des 5000 euros net par mois, qui habite dans un riche ville des Yvelines. Cet été, elle est partie faire du tourisme dans un pays étranger malgré les restriction du à la pandémie de covid 19.


La jeune femme est allée passer des vacances en République Tchèque pour visiter Prague et passer du bon temps.

Manque de chance, la jeune femme a été condamnée à trois semaines de prison ferme pour des délits mineurs (ivresse publique, et outrage à agent) si ces actions en France ne sont pas vraiment poursuivies, dans ce pays d'Europe de l'Est on ne rigole pas avec le respect de l'ordre et de la loi.


La jeune bourgeoise lors de son arrivée en prison n'a eu droit à aucun privilèges. Christelle est amenée dans une salle ou ont lieu les fouilles et inspections des détenus.


Dans ce pays on le rigole pas avec l'ordre et la sécurité. Christelle est arrivée menottée, une gardienne lui ôte avant de lui ordonner strictement d'enlever tout ses vêtements et de les mettre sur la table.


La française a du retirer sa tenue de bourgeoise aisée, tout enlever y compris sa culotte et ses bas.

L'anus inspecté pendant la fouille
Se pencher, écarter les fesses pour l'inspection anale.




Christelle nue doit mettre les mains sur la tête pour une inspection de la tête aux orteils. La surveillante vérifie ses cheveux, oreilles, bouche, aisselles etc. Avant de lui demander de soulever ses seins et de les  palper.


Ensuite rien n'a été épargné à la Française qui a du faire des flexion toute nue pendant qu'on regarde qu'elle ne cache rien dans son anus ni dans son vagin.


La gardienne lui à même fait écarter les lèvres du vagin et les fesses et a regarder à l'intérieur avec une lampe torche de façon très humiliante. 

Contrairement aux prison françaises, ici les femmes incarcérées n'ont pas le droit de porter des vêtements civils et doivent porter un uniforme règlementaire très déshumanisant.

Pieds nus et uniforme de prisonnière obligatoire
Femme prisonnière en uniforme et enchainée par sécurité.





C'est une tenue très simple : Une longue chemise orange qui descend jusque aux cuisse, et une culotte blanche. Toutes les prisonnières portent la même tenue. De plus comme dans d'autres pays, les femmes doivent être pieds nus pendant toute la durée de leur peine, en signe d'humilité et pour des raisons de sécurité les pieds doivent être toujours découverts.


De plus les femmes sont constamment gardées enchainées.



Christelle a souffert pendant 3 semaines ...




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