Le rituel impudique de la fouille des orifices intimes des prisonnières. |
Le dressage de la prisonnière Linda.
Avant d'être incarcérée et avilie Linda, 27 ans, était une femme respectable de la bourgeoisie citadine. Sauf qu'elle a été arrêtée par les forces spéciales américaines dans un raid sur sa maison. car son oncle est recherché par la coalition internationale comme membre de l'ancien régime renversé par les USA durant la seconde guerre en Irak de 2003/2011).
La prisonnière, jugée comme étant de "haute valeur" était détenue dans le secteur d'isolement de la prison réservé à ce type de prisonniers. Avant son incarcération, même si des rumeurs disaient que les américains humiliaient les prisonniers, elle n'y a avait pas crue, et elle n'aurait jamais oser imaginer être déshabiller et devoir s'exposer nue devant des étrangers dans des positions parfois obscènes.
Pourtant, lorsqu'elle est arrivée dans l'aile de détention en isolement pour les détenus avec son type de profil, dans un secteur de la prison en dur, ou les quelques femmes sont placée dans un couloir de l'aile principale à l'étage et les hommes sont en bas. Elle a été contrainte de se déshabiller sur ordre du staff de la prison. Les fouilles s'effectuent à nu sans respect pour l'intimité et la pudeur des femmes. Les gardiens ont pour consigne d'être intransigeant sur cette question car il en va de la sécurité, peu importe si ça peut être perçu comme humiliant par les captifs de guerre.
Linda n'avait pas droit au moindre traitement de faveur du fait qu'elle soit une femme. Le fait de retirer ses vêtements était une épreuve difficile. Pour une femme arabe et musulman qui porte le voile (hijab) plus par tradition que par convictions religieuses profonde elle doit d'abord retirer le couvre chef et dévoiler sa chevelure puis ses chaussures et le reste de ses vêtements, elle avait tenter de garder sa culotte et son soutien gorge mais les gardes n'avaient rien céder et lui ont confisqué aussi ses dessous.
L'une des particularité dans cette section d'isolement de la prison était que les détenus étaient confinés dans des petites cellules vide ne contenant qu'un très fin tapis de couchage sur une couchette surélevée et des toilettes "à la turque". Tout autre objet étaient strictement interdit.
Les détenus présent dans ce secteur devaient être complètement nus à tout moment. Après l'inspection corporelles Linda ne s'était pas vu remettre le moindre vêtements, ses affaires personnelles et ses chaussures avaient été mises sous scellés et consignés et aucun uniforme ne lui avait été remis.
Si la nudité imposée pouvait paraitre difficile à vivre et choquante pour des femmes pudique et pieuse comme Linda, qui s'était en quelques minutes retrouvée de presque intégralement voilée à totalement poil. Il faut dire qu'avec le temps la nudité est de plus en plus naturelle, avoir les seins, les fesses et le vagin exposés et visibles.
Le pire est ce dressage à la nudité, l'obligation régulièrement de devoir montrer sa chatte et son trou du cul sur commande comme un animal de zoo. Les pauvres femmes doivent se soumettre régulièrement à des sorte de "danse" obligatoire ou elles doivent exposer et ouvrir leurs fesses et leur chatte en public pour les montrer aux gardiens.
Liens :
Vidéos de femmes déshabillées en enchainées.
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RépondreSupprimerComme les filles prisonnières pour des dettes de shit dans les caves des cités..
RépondreSupprimerLes filles ou les mères de famille, n'est-ce pas ?
SupprimerToutes celles qui ne payent pas, même les mères de famille. À poil dans des caves transformées en cellules..
SupprimerLes mères de famille de tous âges ?
SupprimerOui
SupprimerEt qu'est ce qu'on leur faisait à ces mères de famille ?
Supprimerquelle grosse dondon ! de la cellulite, de la chair flasque, gélatineuse, pas toute jeune la morue, ton temps est passé pas envie de voir ta moulasse ni le reste ! rentre chez toi patate !
RépondreSupprimerGrosse truie bonne à fouetter, la graisse et la cellulite amortiront les coups, toutefois les nibards et le pétard qui rougiront exiteront les voyeurs
RépondreSupprimerTout juste bonne pour la passer à l'huile de vidange sur tout son corps, et à lui en enduire sa chatte, et lui ouvrir la fente pour lui remplir son vagin
SupprimerSuper bonne idée
SupprimerOu aussi lui mettre une sévère fessée, lui tordre les lèvres de sa schneck ainsi que son clito, et lui ouvrir la fente pour lui introduire de la harissa dedans pour que ça la pique bien.
SupprimerLa fessée en public, après la harissa dans le vagin.. quel magnifique spectacle
RépondreSupprimerOui magnifique spectacle, la femme se trémousse bien car ça lui pique les conduit vaginal.
RépondreSupprimerSon gros cul qui se tremousse et ses mamelles qui ballottent .
RépondreSupprimerUne bonne bastonade s'impose
Amusant de la voir danser sous les coups de baton, le piment dans tous les trous et ses cris de femme punie
RépondreSupprimerLui mettre beaucoup de harissa dans le vagin et le plus profond possible, la taper énergiquement, la faire se rouler par terre sous les coups et avec les brûlures du harissa, l'entendre gueuler, la voir gigotter, que du bonheur!
SupprimerEncore plus sadique en présence de sa famille impuissante à la sauver.
RépondreSupprimerDes cours de pieds dans les côtes pour la faire ramper à terre, une marque plantée dans l'anus et la lui faire lecher..
Un piment antillais pour bien pousser la harissa profond jusqu'à son utérus de pondeuse
Je connais encore un truc plus dégueu que la mafia avait fait sur une femme. C'est ce que j'ai lu qu'un mafieux qui était prêteur sur gages. Un type était venu lui demander un prêt à cet usurier mafieux, et quand le mafieux a reclamé sa commission, le type lui dit qu'il ne voulait pas le rembourser. La suite pour ceux qui aiment ça.
SupprimerMilky
Je crois sue je vais aimer ça
RépondreSupprimerNelly
Nelly Tu vas trouver très sadique, mais accroche-toi car ça peut choquer. Donc le type qui avait emprunté de l'argent à un mafeux via le syndicat des camionneurs, en plus avec une commission à l'appui, quand ça a été d'accord, le mafeux a dit au type que c'était ce qui avait été convenu et qu'il voulait son fric. L'autre lui répète qu'il ne peut pas lui donner. Le mafeux a dit à son homme de main qu'il lui doit une certaine somme. Et le lendemain, l'homme de main arrive chez le mafeux et lui donne le fric que le type lui devait. Alors il lui demande comment il s'y est pris. L'homme de main a été tout droit à la maison du type, sa femme y était seule. L'homme de main lui a enlevé son slip et l'a assise sur une chaise. Il a mis un gant de caoutchouc, puis avec un peu de vaseline, il lui a ouvert la fente et lui a glissé un couteau dedans. Après il lui a dit de bigophoner à son mari pour lui expliquer la situation :s'il n'apportait pas le fric dans une heure, elle serait obligée de se lever et de marcher avec le couteau en elle. Alors tu vois, pas très raffiné mais efficace. Mais aussi sadique.
RépondreSupprimerMilky
Merci pour le témoignage
RépondreSupprimerJe ne suis pas choquée
Le sadisme n'a pas de limite.
Si le type n'avait pas payé il aurait retrouvé sa femme mutilée, ou pire découpée en petits morceaux.
Souvent la mafia coupait les forêts, un par un jusqu'au paiement.
Nelly
Les doigts.. oups..
RépondreSupprimerNelly
Heureusement en effet.
RépondreSupprimerTout les moyens sont bon et l'imagination des bourreaux est sans limite.
Merci beaucoup pour le témoignage
Nelly
Pendant les interrogatoires, l'harissa est souvent utilisé. Une mère et sa gamine en ont fait les frais. Pendues par les pieds écartés, le sexe et l'anus sont farcis et on laisse agir pour une danse effrénée, le nerf de boeuf est souvent appliqué en meme temps aux mamelles pour accèlerer les aveux. Ensuite l'éxécuteur se fait sucer par les deux, elles resteront toute la nuit dans cette position après avoir pris soin de farcir les trous de gros godes à picots
RépondreSupprimerPour les interrogatoires, on asseyait la fille attachée sur un récipient rempli de fourmis carnivores, de guepes ou autres bestioles qui se régalaient du vagin enduit de miel, le sexe doublait, voire triplait de volume, si on obtenait pas les aveux, on introduisait un tube metallique dans le vagin pour y mettre un rat, on chauffait le tube refermé ne laissant que la seule issue de pénétrer à l'intérieur en grignotant la chair, pour les cas difficiles, on procédait de la meme façon par l'anus en travaillant les mamelles avec des pinces rougies
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