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lundi 26 août 2024

La vie dans la section des femmes de la prison.



Prisonnière nue et pudique
Prisonnière nue et pudique.


Une prisonnière en confinement solitaire.


Amira est retenue confinée dans une petite cellule vide d'un mètre sur deux, avec seulement une toilette à la turque et un robinet comme arrivé d'eau et une petite fenêtre avec des barreaux, et une grande porte métallique.

Elle est stupéfaite, elle n'y croit pas, comment est ce que ça peut lui arriver ? Elle se retrouve emprisonnée après un raid des forces  armées américaines sur sa maison et en confinement solitaire dans l'aile féminine de la prison d'Abou Ghraib, sans savoir pourquoi.

Elle a envie de pleurer, elle est entièrement nue, enchainée comme un animal dans une cellule qui ressemble plus à une cage.

"J'y crois pas, comment peuvent ils faire ça ? que vais je faire là comme un animal nu et enchainé dans ce terrible endroit ? Combien de temps me garderont ils ? j'en sais rien. Pas plus que les raisons pour lesquelles je suis ici ...", Elle se questionne aussi sur ce qu'elle va faire dans cette cellule vide terriblement ennuyeuse 

Elle tente ensuite de penser plus clairement, car beaucoup de choses se sont déroulées depuis que les marines ont débarqué chez elle en pleine nuit. Elle n'a pas subie de violence. Avant d'être conduite dans le centre de détention d'Abou Ghraib, son premier interrogatoire a été simple et cordial, un officier militaire lui a simplement demander son nom, âge, adresse, profession, sur sa situation matrimoniale, son travail, et sur ce qu'elle sait des activités de ses oncles et cousins. 

Elle se demande  comment contacter sa famille, et s'interroge pour savoir si cette dernière  est au courant , car elle était seule quand les soldats ont débarqués, les voisins qui ont entendu ont probablement prévenu sa famille, qui a des relations et peut recruter un bon avocat pour faire quelques choses pour l'aider à se sortir de là.


Elle regarde les menottes à ses poignets et  les chaines à ses chevilles, elle se demande pourquoi est ce qu'ils l'ont enchainée en cellule alors qu'il n'y a aucun moyens de fuir, en plus elle est toute nue, comment imaginer qu'une jeune femme irakienne irait tenter de s'enfuir totalement à poil ? ils ne l'on pas laisser remettre de vêtements après la très intrusive et humiliante fouille d'accueil.


Elle se rappel encore la sensation du doigt ganté et lubrifié qu'un garde américain lui a introduit dans l'anus, et la honte de devoir retirer tous ses habits devant des gardes hommes. La pauvre, l'humiliation ressentie est totale, elle en rougie rien que d'y repenser.


Elle s'est déshabiller et a remis ses vêtements l'un après l'autres bien docilement en pleurant sous les regards pervers et narquois des gardiens pour l'inspection.

Elle cogite à plein de choses, à sa honte car elle n'a pas du tout envie que sa famille sache qu'elle est retenue sans vêtements car c'est très infamant pour elle.

Elle entend des bruits de bas vers sa cellule, un officier en treillis militaire et un interprète ouvrent la porte de sa cellule. L'officier est un homme grisonnant d'une cinquantaine d'années et son associé un jeune homme d'une trentaine d'année d'origine moyen oriental, probablement libanais/américain.

L'officier indique à Amira qu'elle est désormais "la prisonnière numéro 780743F" et qu'elle doit s'identifier et répondre à ce numéro qui lui sert d'identité sous peine de punition. La jeune détenue doit se lever et se mettre en position de sécurité les mains sur la tête et les jambes écartées. Le militaire et son assistant en profite pour mater ses seins et sa chatte à l'air. Puis au garde à vue et écouter avec docilité les américains, c'est la base d'un bon dressage ajoute le responsable militaire.

Il continue en disant qu'il est la pour l'informer des règles et conditions de détention dans le secteur d'isolement d'Abou Ghraib, block C. Amira est aussi informée de son  droit à poser des questions.

De règles générale la détenue devra passer 16heures par jours en cellule, avec des chaines et entraves en permanence sauf en cas de collaboration pleine et entière. Le reste du temps est consacrées aux différentes taches et activités de la prison : interrogatoire, travaux, ménage, sport obligatoire, douche une fois par jours sous réserve qu'il y ait suffisamment d'eau courante.

Amira doit aussi rester nue en permanence pendant toute sa détention, que ce soit en cellule, lors des "activités" et lors des déplacements au sein du secteur d'isolement.

La nudité est la règle,  c'est un élément essentielle et primordiale, pour la sécurité, les personnes privées de liberté n'ont pas le droit de porter de vêtements.
 
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jeudi 14 octobre 2021

Elles la mettent toute nue pour l'humilier et la punir.


Nudité imposée et méchanceté entre filles.
Fille cachée à poil dans la rue par vengeance.


Expédition punitive et vengeance avec mise à poil forcée.


Les faits se sont déroulés en Ile de France dans la grande couronne dans la journée du lundi 11 octobre 2021.  Zoé et Sirine, deux copines ont mener une opération punitive pour se venger  contre la jeune Lucie accusée d'avoir voler un téléphone et d'avoir tourner autour du petit ami de Sirine deux jours avant.



Les deux filles ont pénétrer en force dans le domicile de Lucie pour lui donner une correction et la séquestrer.



Les filles attrapent Lucie par les cheveux et lui donnent l'une après l'autre une série de gifles pour la remettre à sa place et fouillent le domicile de la victime.



Ensuite les filles décident de mettre à poil leur victime pour bien la dresser. Lucie n'a pas le choix et doit retirer tout ses vêtements, y compris sa culotte et ses chaussettes.


Après l'avoir humilier et donner plusieurs fessées et forcer à faire du sport à poil, les filles ont relâcher Lucie toute nue dans la nature.



Lucie a été retrouvée marchant à poil par des passants.



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mardi 10 août 2021

Visite médicale sans pudeur.

 

Une fille dénonce les visites médicales obligatoires  humiliantes à l’université
Étudiante auscultée toute nue et les seins palpés par le médecin.

Les humiliantes visites médicales dénoncées par les étudiantes.


Elodie 20 ans plusieurs autres jeunes filles étudiantes dans cet IUT (Institut Universitaire Technologique rattaché à l’Universite)  de province se plaignent du comportement des médecins de du caractère intrusif, autoritaire et peu respectueux de la pudeur et de l’intimité des étudiants pendant les visites médicale obligatoires.

Élodie témoigne des méthodes archaïques en matière de prévention santé dans son établissement d’enseignement supérieur.

“J’ai reçu ma convocation pour passer la visite médicale obligatoire à l’infirmerie de l’IUT. La bas après avoir vérifier nos papiers et nos documents, l’infirmière nous oblige à nous déshabiller, comme les autres filles j’ai du retirer tout mes vêtements devant cette vieille !”

Certaines filles ont protestes et ont voulu garder leurs habits mais l’infirmière à menacer de les faire exclure alors elles ont du se foutre a poil en pleurant.

Nous devons être toutes nues devant l’infirmière qui nous mesure, nous pèse et procède à des tests de visions et d’auditions.

Je précise que nous devons être pieds nus et retirer nos chaussettes, bas, collants car selon elle une jeune femme est plus féminine les pieds découverts et c’est bien plus hygiénique.
Il faut aussi enlever la culotte!

Ensuite on doit aller à poil dans le cabinet du médecin qui nous interroge et nous examine sous toutes les coutures. Bien sûr que si nous avons droit à la totale: palpation des seins, inspection gynécologique, examen de l’anus etc...”

La direction de l’IUT n’a pas souhaité répondre aux sollicitations des journalistes et affirme simplement que les visites médicales sont obligatoires.


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