dimanche 21 mars 2021

Une prisonnière soumise à la nudité forcée et à des sévices

 

Humiliation et nudité forcée : une femme prisonnière attachée et exposée nue aux barreaux de sa cellule guise de punition.
Femme prisonnière menottée nue au barreaux de sa cellule.

De la nudité imposée et des humiliations de la prison.

Un Scandale en vue à la prison de haute sécurité ?

 Des politiques auraient donner des directives visant à imposer des pratiques d'interrogatoire renforcées  et direction  de la prison aurait accepté contre des pots de vins ? C’est une nouvelle fois que cette prison faite parler d’elle dans les médias et les  rapports internationaux. 

Une ancienne détenue, de nationalité Française affirme avoir subi des traitements dégradants et inhumains, et avoir été témoins de choses horribles. Cette personne ayant été emprisonnée que deux mois avant d’être libéré par l’action de son ambassade, elle témoigne à charge contre le système pénitencier. 


Elle affirme devoir sa liberté que grâce à la protection diplomatique de l'Union Européenne et l’argent de sa famille. Lisa M  travaillait dans une grande entreprise internationales et elle s’est fait arrêter par la police politique  en marge d’une manifestation contre le gouvernement pro américain. La jeune femme est jugée en comparution immédiate, pour destruction de biens publics et coup et blessures à agent, et condamnée à  8 mois de prison ferme.

Ayant eu le bon réflexe de prévenir les autorités consulaires, c’est peut-être ce qui l’a sauvée de l’enfer. Nous vous laissons son témoignage.


« Après un jugement express, pour avoir été arrêtée au mauvais endroit au mauvais moment, les autorités m’ont envoyé dans une prison très éloignées de là où ils m’a jugé. Les policiers m’ayant conduite là-bas ne comprenaient d’ailleurs pas pourquoi m’envoyer à la prison de G, dans la campagne de ce pays  à trois heures de route de la capitale.


Les gens étaient gentil, polis, et le verdict est tombé brutalement, je pensais qu’en faisant appel ça irait, mais le juge à insister pour que je sois incarcéré d’office. Les policiers de mon escorte ne m’ont mis les chaînes aux pieds et les menottes qu’en sortant de la voiture, pour me remettre aux gardiennes de la prison ; ils étaient désolés de devoir faire ça. Je ne leur en veux pas.


 La remise fut plus difficile, les gardiennes en uniforme et casquette bleue m’ont prise comme un objet dangereux, leur attitude contraste avec celle des policiers.


On me fit entrer et présenta la prison, à gauche, la section homme, à droite celle des femmes, et derrière nous le bâtiment administratif, et encore après le quartier haute sécurité, la centrale. Puis on me conduit vers la droite, dans le quartier A.


 Les gardiennes me disent qu’ici faut se tenir calme, ne pas faire d’embrouille, que je ferais mieux de passer mes huit mois tranquilles, et espérer sortir dans cinq ou six. Je passe brièvement dans le bâtiment administratif pour prises des empruntes digitales et de photographie  de face et profil.


Une fois entré, ça reste très vétuste malgré quelques travaux de remise à neuf, on me conduit dans « une salle de fouille » comme le disent les gardiennes, là-bas, elles m’interrogent sur mon nom, prénom, âge, origines en vue d’établir un dossier, et de répondre simplement aux questions par oui ou par non, ou de donner les informations précises demandées. »

«  Es-tu bien Lisa M? ».  Oui


«  A tu des Problème psychiatrique ? »« Non jamais »


« Quel est ta Tailles, ton  poids,  et ta pointure ? » « 1.71 m pour 64 kilos,  je chausse du 38. ».

«De quelle origine raciale es tu ? »«  Métisse, blanche par mon père, wasp si vous préférez et afro-américaine par ma mère. »


 Cette question m’a choquée, je ne m’y attendais pas, même chez nous en France , ils font attention à ne pas trop faire ce genre de profilage. 


Humiliation et obligatoire de parader à poil dans le couloir de la prison
Prisonnière transportée nue dans les couloirs de la prison.


 Ensuite l’une des surveillantes m’a demandé de lui donner mon portefeuille, ma montre, mon téléphone, et mes bijoux (collier, bague, boucle d’oreilles), mes clés, mon argent,  et tout autre objet. Elle les a prisenoté sur un document, puis mis dans un sachet sous le scellé et ranger dans une consigne en me disant que tout me sera rendu à la sortie.  Elles m’ordonnent ensuite de me déshabiller, et de remettre mes vêtements à une surveillante qui les enregistre sur un papier après brève description. Elles inspectent minutieusement chaque vêtement.  J’enlève d’abord mon tailleur, puis mes chaussures, qu’elles enregistrent sur la feuille de consignations des vêtements.« Un tailleur noir de marque ; une paire de bottes courte en cuir  » Je leur remets ensuite mon bustier et mon pantalon«Un pantalon de type jean de marque… ».  Sans surprise, je savais que la nudité était obligatoire et que toute résistance inutile, mes chaussettes rejoignirent la table, me retrouvant pieds nus sur du béton.

Ma culotte et mon soutien-gorge suivirent. Être nue pour prendre une douche ou lors d’un examen médical ne m’a jamais dérangé plus que ça, n’étant pas spécialement pudique. Mais ce déshabillage dirigiste met la personne soumise en état d’infériorité, devant des gardiennes voyeuses qui ne cachent pas leur plaisir de rabaisser et avilir les autres. Elles me forcent à tourner à poil sur moi-même, et recherchent toute trace distinctives, elles ont inscrit ma trace de l’opération de l’appendicite et mes tatouages, l’un à la cheville gauche, et l’autre en bas du dos. Elles prennent leur temps de vous exhiber, de devoir rester sans rien les mains derrière la nuque pendant qu’elles rangent vos vêtements et remplissent leurs formulaires.Il faut ensuite soulever ses cheveux, et une gardienne les inspecte minutieusement, puis regarde dans les oreilles et trous de nez, l’une m’a mise sa main ganté de latex dégoutant  dans la bouche,  pour m’inspecter les dents, sous la langue et dans le fonds de la gorge. Elle m’a aussi palpé les seins qu’elle a soulevés et regarder sous les bras, dans le nombril, puis à écarter mes orteils un à un et passer sa main sous la plante de mes pieds. Elles m’ont ensuite fait sautiller nue devant elles, et forcer à me pencher en avant en écartant les fesses et en toussant le plus fort possible plusieurs fois, et me faire faire des squats les jambes écartées et tousse encore… L’humiliation ne s’arrête pas là, l’une des gardiennes ayant un doute m’a mis un doigt lubrifié dans l’anus et le vagin. Puis direction la douche, toujours nues, pour une douche tiède de quelques minutes, avant une autre épreuve, la désinfection, quand une surveillante vous jette une sorte de poudre horrible après la douche. Puis direction l’infirmerie pour une visite médicale, où une gardienne est présente. Le médecin me pèse, me mesure sous toutes les coutures, puis prise de sang et radio des poumons, la doctoresse s’intéresse ensuite à ma contraception, et m’a prescrit une pilule pour le mois, et m’a fait subir un examen gynécologique complet visant à voir selon elle à la fois eue des rapports avant de venir, si je suis enceinte, et de vérifier que je ne cache rien, tout ça sous le regard pervers de la surveillante qui n’en perd pas une miette. Sous escorte de la voyeuse.

Dégradation et asservissement d'une femme détenue
Humiliation , prisonnière nue la tête dans les toilettes.


Ensuite comme toutes les autres femmes prisonnières, elles m'ont donner un exemplaire du règlement de la prison et m'ont conduite dans ma cellule toute nue à la vue de tout le monde.


Liens :


Nudité en confinement solitaire.


Humilier et briser l'égo des prisonniers.



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