lundi 14 novembre 2022

Les processus et traitements spciaux infligés aux prisonnières.


 Les conditions humiliantes de détention imposées aux femmes.


L'armée américaine a choisi d'isoler les femmes prisonnières qu'elle détient dans une aile spécifique de la prison d'Abou Ghraib du coté de Baghdad et de leur imposer différents sévices spécifiques selon la presse internationale.


Des observateurs de la croix rouge dans un rapport confidentiel ont révélé que les femmes prisonnières de "haute sécurité" sont gardées dans des conditions très éprouvantes. Elles sont maintenues la plupart du temps dans de toute petite cellule qui ressemble plutôt a des cages de zoo.


Pire encore, les prisonnières sont entièrement nues, les responsables de l'armée reconnaissent  que le déshabillage est une technique d'interrogatoire approuvée aux plus hauts cercles du pouvoir US. Les prisonnières sont contrainte de se dénuder totalement en arrivant sur le site, et doivent rester sans vêtements durant leur période de captivité.


Liens :


Prisonnière soumise à la nudité forcée.



jeudi 10 novembre 2022

Une prisonnière mise nue et humiliée en détention.

 

Prisonnière attachée toute nue sur un lit pour être exhibée.
Prisonnière attachée et exhibée nue.

Une détenues de sécurité soumise aux traitements dégradants.


Dalia est une femme de 31 ans, ancienne fonctionnaire du régime irakien renversé par les Etats Unis lors de la seconde guerre du golfe (2003/2011). Lorsque les forces armées l'ont contrôler lors d'une opération de ratissage, le renseignement militaire a estimer qu'elle était susceptible d'avoir des informations importantes sur les insurgés, et certains dignitaires en fuite qu'elle connaissait et donc de l'arrêter et de la détenir plusieurs mois sans inculpation sous le statut de "détenue de sécurité".

Lorsque la prisonnière arrive sur le site dur, accompagnée par des marines, qui l'a "confie" aux personnel de la prison. Les marines l'ont traité avec courtoisie et respect.


Sur place la galanterie est terminée, de "Madame", elle passe à numéro 270917, elle est vêtue d'une tenue arabe traditionnelle chic et bien propre, d'un hijab, c'est une femme coquette, bien élevée.


Le cauchemar commence pour Dalia qui doit se déshabiller entièrement devant les gardiens hommes et femmes. C'est une pratique volontairement humiliante que d'obliger des femmes pieuses et honorables à se mettre nues devant les conquérants américains. Les psychologues et interrogateurs de l'armée utilisent le tabou culturel et religieux de la nudité pour soumettre les captifs, tout est fait pour mépriser et rabaisser la prisonnière et lui retirer non seulement ses vêtements mais aussi toute dignité et tout statut social.

C'est quasiment la première choses qui est faite lorsqu'une femme arrive : le déshabillage intégrale.

Dalia doit se dévoiler et retirer son hijab et le donner aux américains, et le reste de ses habits y passe aussi; elle doit les remettre pièce par pièce, tout, y compris la culotte de la prisonnière.

Le retrait des culottes et leur confiscation sont des enjeux important pour le staff car  les sous vêtements féminins et les utilisent pour humilier les hommes en les forçant à s'exhiber en lingerie féminine ou avec une culotte sur la tête  comme des idiots ...


Les slips de femmes ont beaucoup de valeur au sein de la prison car ils sont rares du fait du nombre restreint de détenues et les gardes peuvent se les échanger à des prix allant parfois a plus de 250 dollars.


Les prisonnières riches portent souvent des culottes de bonne qualités et très sexy et les plus modestes des sous vêtements plus simples.


Les culottes sont bien sur interdites, Dalia  comme les autres prisonnières sont gardées  les fesses à l'air et sont donc toutes à égalité. "Les femmes sont "cul nus" ça leur fait pas de mal de se promener les fesses à l'air".


Lorsque Dalia est arrivée les gardiens ont parié entre eux pour savoir si elle se rase ou pas la chatte, d'ou la présence de nombreux spectateurs masculin lors des fouilles d'accueil des femmes.


Dalia s'épile le pubis, ça lui aura au moins éviter l'humiliation d'être raser, car la responsables américaines des surveillants dans son devoir de civilisation et d'émancipation estime que les irakiennes doivent avoir le sexe et l'anus bien lisse et propre comme les femmes américaines.


L'équipe de surveillants américains estime que les femmes doivent non seulement être nues, mais aussi exposée et exhibée publiquement et privées de toute intimité pour être montrer en exemple et être humiliées et punies. Les interrogateurs sont très partisans de cette technique simple et efficace à mettre en oeuvre. L'humiliation  est très fortement ressentie lorsque les vêtements d'une femme sont en train d'être retirés en public en arrivant. 

Pour les gardiens c'est à la fois un moyen de contrôle et de punition, car si elles sont prisonnières sont là c'est qu'il y a une raison et elles doivent en baver, mais aussi par méchanceté et pour s'amuser de voir la détresse d'une femme pudique obligée d'exposer ses parties les plus intimes et sans défense.


Liens :

 

Séquestrée et ligotée nue par un cambrioleur.


Les humiliants sévices subies par les prisonnières.



samedi 5 novembre 2022

Humiliations publiques pour les femmes prisonnières.

 

Nudité et exhibition humiliante en prison BDSM
Les prisonnières humiliées alignées nues.

Les humiliations perverses imposées par les gardiens sur les femmes détenues.


Les gardiens et militaires américains pendant la seconde guerre d’Irak (2003/2011) ont déclenché plusieurs scandales en rapport avec les conditions de détention et le traitement des prisonniers de guerre dans les centres de détention de l’armée Us en Irak pendant la période et en particulier dans la prison d’Abou Ghraib prêt de Baghdad ou des sévices pervers et humiliant sont systématiquement imposés aux prisonniers. Les femmes prisonnières ne sont pas non plus épargnées par la méchanceté des gardiens.


Un ancien prisonnier  de droit commun raconte avoir vue sa cousine Hoda se faire humilier et dresser publiquement par les gardes dans les couloirs de la prison d’Abu Ghraib.



«  Ma cousine Hoda est arrêtée  le 07 avril 2004 sur un malentendu par les troupes américaines à côté  de son université où elle étudie le droit et tente de défendre les intérêts  de ses concitoyens face aux occupants américains. 

Il n’en faut pas beaucoup pour être emprisonné et arrêter au secret pendant plusieurs mois par les autorités Us. Le fait d’avoir été consulté en tant que juriste par la famille d’une personne suspectée de résistance et de faire partie de la rébellion a value à Hoda d’être emprisonnée  sans aucune charges plusieurs mois pour « menace  à la sécurité nationale » et soupçons d’appartenance à la rébellion.


Elle s’est faite  arrêter sur le campus puis vue son statut de prisonnière de haute sécurité transférée à bord d’un véhicule militaire jusqu’à la prison d’Abou Ghraib. 


Elle est arrivée et plusieurs autres femmes étaient là, il y avait jeune fille  accusée de prostitution, et deux autres femmes bien habillées, l’une commerçante et une ancienne employée du ministère du pétrole.

Hoda et ses camarades sont d’abord invitées à remettre leurs papiers d’identité, argent, bijoux, montres,

Puis elles sont soumises à des relevés d’empruntes digitales et prélèvements d’ADN. 


Une fois toutes ces procédures terminées les prisonnières ont reçu chacune un petit carton d’environ 40 cm sur 40 avec un numéro et le nom de chaque détenue.

Les femmes doivent suivre une gardienne en marchant alignées  et traverser une aile de la prison où sont gardés des hommes dont moi son cousins jusque à la salle d’admission.


La salle d’admission est ouverte  et les fenêtres donnent sur la cours ce qui fait que les détenus et personnels de l’administration peuvent voir ce qui s’y passe.

Une fois dans cette pièce où elles sont attendues par l’équipe qui gère la partie de la prison où elles doivent être retenues.

Certains membres de la police militaires sont de vrais brutes de décoffrage. Pour les américains l’arrivée de nouvelles détenues est toujours un spectacle amusant certains aiment par sadisme voir la situation difficile dans laquelle se trouvent les femmes incarcérées.


Hoda et les autres reçoivent l’ordre d’enlever tout leurs vêtements  et de les mettre dans le carton devant tout le monde hommes inclus !

Je la connais, elle porte le voile et  elle est très pudique et réservée et n’a jamais oser se promener ne serait ce qu’en maillot de bain sur la une plage, c’est très difficile d’imaginer ce qu’elle peut ressentir lorsque l’ordre est tombé.

Les autres femmes aussi ont l’air anxieuses et désespérées sauf pour celle qui est ici pour prostitution qui a l’air un peu délurée et porte un jean et un T shirt avec des baskets blanches.


Les prisonnières doivent se déshabiller les unes devant les autres et devant un large public. Bien sûr que les américains les oblige les femmes à retirer leurs hijab (voiles) abayas (large robe traditionnelle arabe) pour les dominer mais ils vont bien plus loin et les force a enlever vraiment  tout.

Les américains expliquent qu’ici ils sont les maîtres et qu’il n’y a pas de place pour la pudeur et la timidité.

Certaines tentent souvent comme Hoda et l’ancienne fonctionnaire  du ministère de garder leurs culottes mais c’est impossible et elles doivent aussi les baisser et les remette aux geôliers. Les américains sont intraitable et ne font jamais aucune concession sur la question de la nudité et les femmes fières et pudiques comme ma cousine se retrouvent toujours les fesses à l'air ... Tout doit être ôter , bien sur tout les vêtements et sous vêtements, mais aussi les épingles à cheveux et les culottes ...`

 la prostituée qui est pleine de tatouages et plutôt exhibitionniste a été réprimander pour avoir oublier de retirer ses chaussettes. 

Les femmes sont traitées comme les hommes, totalement dépouillées et ensuite inspectées et fouillées en profondeur. 

Ma si pudique cousine doit avec ses camarades d'infortunes exposer tout son corps et son intimité en public, ces jeunes femmes sont totalement nues et pieds nus après avoir déposer tout leurs vêtements dans les cartons qui sont ramassés par un gardien et ensuite placés dans la consigne. Elle a l'air dépitée de voir ses précieux vêtements confisqués et sans savoir quand elle pourra à nouveau les porter


Ma cousine et les autres sont laisser sans rien et doivent rester debout pendant un long moment, les gardes pour leur apprendre  l'obéissance et la soumission et leur montrer qui est désormais le patron obligent les prisonnières nues à mettre les mains sur la tête et a tourner sur elle même lentement sous les regards et remarques  méprisantes  et moqueuses du staff pénitentiaire. Tout geste de pudeur est rigoureusement interdit, mettre sa main sur ses seins ou son sexe pour tenter de le dissimuler aux regards du public est proscrit par les gardiens.

La procédure oblige les nouvelles arrivantes à s'exhiber et tout montrer "Tout le monde peut voir que vous êtes toutes nues et bien dociles et obéissantes, il faut qu'on puisse tout voir, pas de pudeur ici.


Liens : 


BDSM en prison.


Fouille à nu abusive.