dimanche 20 mars 2022

Les humiliantes pratiques sur les prisonniers de guerre

 

Nudité forcée, humiliation sexuelles imposées aux femmes prisonnières.
Humiliation collective de prisonnières nues attachées sur des lits.


Humiliations, sévices et tortures contre des femmes prisonnières de guerre.



Un  important responsables militaires américains, un officier de haut rang de l'armée de terre pendant la  seconde guerre de golfe guerre en Irak (2003/2011) a remarqué que les pratiques de tortures et d'humiliations sexuelles sur les prisonniers et prisonnières de guerre se sont multipliées et généralisées.


L'officier a un jours constaté que, Latifa, une jeune femme irakienne d'environ 22 ans qui travail comme secrétaire pour l'administration civile américaine dans son service, a été un jours arrêtée lors d'une opération de ratissage militaire dans un quartier proche de la zone verte d'ou ont été tirer des obus de mortier.


Les forces de sécurité ont ensuite procédé a des arrestations à l'aveugle et ont arrêter Latifa avec un groupe d'environ 30 personnes.


Lorsque l'officier s'est aperçue, le lendemain lue l'absence de  la jeune femme  qui a été enlevée par un commando et transférée dans un centre d'internement tenu par l'armée US. L'officier exige de voir la prisonnière immédiatement et se rend dans centre en question qui se trouve être la tristement célèbre prison d'Abou Ghraib dans la région de Baghdad.


Sur place il découvre avec effroi que 5 femmes prisonnières sont attachées nues à sur des lits et pleinement exposées. Elles ont toutes étés capturées lors de la même opération.


 Latifa est là, totalement à poil attachée par les poignets et les chevilles avec les fesses en l'air et l'anus et le vagin totalement exhibé en public, une de ses amies Nassira est là aussi dans la même situation embarrassante.


Latifa est très honteuse d'être vue comme ça dans cette situation très embrassante, le haut gradé a pu lire dans son regard toute la honte qu'elle  peut ressentir d'être dans cette situation dégradante.


Le militaire est intervenu pour faire libérer Latifa et sa copine, qui sont ressorties libres le lendemain. Les jeunes filles ont eu de la chance de connaitre quelqu'un qui a le bras long et connait des personnes en haut lieue qui les dégager de cette situation difficile.


Le dignitaire américain s'est plaint officiellement du traitement imposé aux deux femmes innocentes. Les membres de la police militaire chargés des interrogatoires ont répondu que c'était la procédure standard dans cette prison, et qu'ils n'ont fait que d'appliquer les directives données par leurs supérieurs. Les détenus hommes ou femmes lorsqu'ils arrivent en prison sont soumis à une fouille à corps (strip search) et très poussée, qui implique un déshabillage complet.


Après la rafle, Latifa et Nassira ont été amenées dans ce centre d'interrogatoire et comme les autres, elles ont été forcées de retirer tout leurs vêtements. Les déshabillage sont public, les jeunes filles et les femmes arrêtées doivent se mettre nues et s'aligner pour des inspections corporelles très pousser. La responsables de la prison doivent vérifier que les prisonnières ne dissimulent rien et leurs fouillent tout les orifices naturelles (bouches, anus, vagin, oreilles, nombril, entre les doigts de pieds etc.). Ensuite elles ont subie différents interrogatoires, toujours nues bien sur car les prisonniers sont interrogés nus, et les femmes aussi il n'y a pas d'exception pour elles.


Les gardes américains ont bien aimer faire parader les prisonnières nues les fesses à l'air, ça les fait beaucoup rirent. Pour mieux humilier Latifa et ses compagnes de malheur les soldats les ont attachées à poil sur des lits les fesses en l'air pour que toutes personnes qui passent puissent  les voir. L'humiliation fait partie du processus pour rendre les suspects dociles, coopératifs et soumis.


Prisonnière attaché à poil en restriction sur un lit.
Prisonnière attachée et exhibée nue en guise de punition par les gardiens.

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9 commentaires:

  1. Usurpateur..

    Arthur

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  2. On imagine les soldates israéliennes prisonnières à Gaza..

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  3. Où les soldates palestiniennes à Guantanamo

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  4. Sur les marchés africains, les prisonnières sont mises à disposition des maquignons sur des lits dans cette position pour une inspection complète avant les enchères, pal^pations, doigtages, tout est permis

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  5. Leur jeu favori, sodomie suivie de gorge profonde, nourries uniquement au sperme, pendant le repos, elles sont suspendues par les mamelles

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