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L'humiliation après la fessée (spanked naked) |
Discours d'une éducatrice sur l'importance des châtiments corporels et des humiliations.
Le monde part en vrille, les gamines d’aujourd’hui se prennent pour des reines, crachant sur l’ordre et l’autorité comme si c’était une mode. Moi, je dirige un pensionnat où on ne cajole pas ces petites pestes. On les mate. On les plie. Et, oh, comme j’adore ça.
Chez moi, la discipline, c’est pas un mot gentil. C’est une religion, et je suis la grande prêtresse. Quand une de ces chipies – arrogante, insolente, ou juste trop sûre d’elle – ose défier mes règles, je la brise. Pas avec des mots doux ou des câlins. Non. Je la mets à poil, pieds nus, devant tout le monde. Complètement nue, sans rien pour cacher ses fesses, sa chatte ou ses seins. Vous savez pourquoi ? Parce que la honte, c’est la meilleur technique quand c'est associer à de la douleur physique. Les voir rougir, trembler, essayer de cacher leurs fesses rouges… Ça me fait sourire. Ça me donne envie d’aller plus loin.
Et on va plus loin, croyez-moi. Une bonne fessée, c’est ma signature. Pas une petite tape gentille, non. Une vraie, sur des fesses nues, bien exposées, où chaque claque résonne. Je les fais danser sous ma main, ces rebelles, jusqu’à ce qu’elles pleurent, jusqu’à ce que leurs fesses soient toute rouge. Et tout le monde regarde. Les autres filles, les yeux écarquillés, savent que leur tour viendra si elles osent me défier. C’est un spectacle, et je suis la reine de la scène.
Mais le clou, c’est l’exhibition. Après la fessée, je les plante au coin, nues, mains sur la tête, pendant deux heures. Deux. Longues. Heures. Elles sentent chaque regard, chaque murmure. Leur peau frémit, leur ego s’effrite. C’est cru, c’est brutal, et c’est tellement bon. L’humiliation publique, c’est mon art. Ça les remet à leur place, ça leur apprend qu’ici, c’est moi qui tiens la laisse.
Et ne venez pas me parler de morale ou de droits. Ces gamines, je les sauve. Je les mate et les rend moins tordues, leurs petites rebellions pathétiques je les écrase. Quatre-vingt-dix pour cent de mes filles décrochent leur diplôme, et elles me remercient après. Pourquoi ? Parce qu’au fond, elles adorent ça. Elles adorent être dominées, être forcées à obéir. Elles jouent les dures, mais je vois leurs yeux briller quand je lève la main. Elles être contrôlées, punies, soumises.
Alors, vous, les bureaucrates, les psy à deux balles, arrêtez de pleurnicher sur la modernité. La modernité, c’est de la merde Moi, je ramène l’ordre, et je le fais avec style. Venez voir mon pensionnat. Venez voir ces filles trembler sous mon regard, supplier en silence, et finalement plier. C’est beau, c’est pervers, c’est efficace.
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