lundi 30 août 2021

Un inspecteur des prisons témoigne.

Nudité totale pendant la détention.
Nue lors de l'inspection de contrôle des détenus.

 Une prisonnière gardée nue en détention.

En 2004 après les révélations sur le scandale de la torture et des mauvais traitements  pratiqués par l’armée américaine et les services de renseignements américains en Irak dans la prison sous controlé US d’Abou Ghraib située près de Baghdad.


Les responsables américains ont réagi en affirmant que désormais ils respecteront les conventions de Genève et qu’ils feront cesser les mauvais traitements. Les prisonniers doivent être bien traité et bien nourris et les prisonniers peuvent être visités régulièrement par un inspecteur.


Les ONG et l’inspecteur ont vite demandé à avoir accès aux détenus les plus à risque c’est à dire les femmes et les détenus de “haute valeurs”. L’inspecteur a remarqué le cas d’une femme prisonnière, Sara,  âgée de 25 ans environ et placée en détention préventive pour ses liens avec les rebelles.


L’inspecteur témoigne dans un rapport sur les conditions de détention que la captive n’a pas subie de torture ni d’agression sexuelles.


Lors des visites, la prisonnière est amenée dans une salle où l’attend l’inspecteur et une femme médecin militaire  totalement nue manu militari entre les mains de deux gardiens hommes en uniforme de soldats.


L’inspecteur a remarqué qu’elle venait sans vêtements ni chaussures. Alors que normalement, elle devrait porter de quoi se couvrir et au moins une paire de tongs aux pieds.
Certes les règlements internationaux acceptent la nudité imposée lors de fouilles ou d'examen de contrôle médicaux , mais là, la prisonnière était intégralement nue et exposée aux hommes et aux femmes.


La détenue est inspectée de la tête aux pieds, avec un contrôle de sa tension artérielle et de son rythme cardiaque, son vagin et son anus sont controlés pour s'assurer qu'elle n'a aucunes traces d'agressions aussi.


Lorsque l'inspecteur a fait son rapport et a présenter ses recommandations à l'administration pénitentiaire en se demandant pourquoi la détenue a l'air de s'être habituée a vivre nue et pieds nus ?


Les responsables de la prison ont rappeler que dans cette section de la prison la nudité est fréquente et généralisée pour des raisons de sécurité et de contrôle des détenus, et par le fait du manque d'uniforme et de vêtements à donner aux détenus. Que Sara est placée sous le statut de "full strip" qui implique la nudité totale et permanente dans les locaux de la prison. 




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