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Une prisonnière nue et enchainée. |
L'unité ou sont détenues les femmes prisonnières d'Abou Ghraib en Irak.
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Photo d'une prisonnière nue devant un garde. |
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Une prisonnière photographiées nue dans une position obscène. |
Blog érotique et pornographique consacré au Bdsm ( Bondage Domination et Sado Masochisme). Les principaux fantasmes abordés : prisonnières nues, visites médicales, nudité forcée, fessées et autres punitions, bizutage, filles en pensionnat, exhib, pieds féminins, fétichisme etc. Suite de l'ancien blog https://camp-bdsm.blogspot.com
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Une prisonnière nue et enchainée. |
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Photo d'une prisonnière nue devant un garde. |
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Une prisonnière photographiées nue dans une position obscène. |
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Lyla, une prisonnière mise nue et forcée de faire du sport. |
Un membre de l'administration chargée d'enquêter sur les conditions de détention dans les prisons tenue par l'armée américaine en Irak visite le quartier de la prison d'Abou Ghraib à coté de Baghdad ou sont retenue les femmes, en particulier Lyla, 27 ans, la fille d'un d'Houda la femme de ménage qui s'occupe de son logement dans la zone verte, le quartier ultra sécurisé de la capitale ou se trouve l'ambassade américaine et le siège du gouvernement provisoire. L'aide ménagère lui a demander de retrouver sa fille, portée disparue depuis plusieurs semaines après un raid des marines dans son quartier.
Je n'ai pas pu refuser de rendre service à Houda concernant sa fille Lyla, qui a été mise aux arrêts et qui j'en étais sur était retenue au secret et en isolement dans la prison d'Abou Graib. De par ma position, j'ai accès à beaucoup d'endroit, et a des personnes haut placées. Obtenir une autorisation pour visiter cet endroit n'est pas si difficile pour un officier du pentagone proche de l'ambassadeur.
L'endroit est au premier abord un immense complexe, il y a les internés, des personnes retenues dans le camp, dans des tentes en général, il s'agit de détenus de droit commun ou de personnes arrêtées au hasard, et la partie dure du site, avec des bâtiments et des ailes comprenant des tas de cellule et une zone isolée.
En arrivant dans cette endroit, ce qui frappe les yeux c'est que les prisonniers sont tous complètement nus, y compris les femmes. Les gardes prennent tranquillement leur café, et m'invite à leur table.
Je leur dis brièvement expliquer la raison de ma présence et que je cherchais Lyla, une jeune prisonnière arrivée il y a peu.
Un garde avec un air assez primaire, surement un redneck, un cul terreux d'électeur républicain originaire du centre des Etats Unis lui dit qu'elle est à la gym, l'une des activité obligatoire de la prison pour maintenir en forme les détenues, et aussi et surtout, les dresser.
Là, j'ai vue quatre prisonnières, toutes complètement à poil, Lyla était permis elles, les gardiens les obligent à faire des exercices sportifs chaque matin, jusque à l'épuisement. Quand elle m'a vu elle m'a lancé un regard extrêmement gênée, plein de honte que je n'oublierais jamais. Elle était exposée, sa chatte rasée de prêt et exhibée dans toute sorte de positions.
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Les sévices et traitements humiliants en prison. |
Je me suis exclamé "Les prisonnières ne doivent pas être obligées de suivre des séances de sport nues et en public ! C'est choquant " Les gardes tiennent à coeur a suivre les recommandations des autorités qui insiste sur le fait de maintenir les détenues entre 18 et 45 ans en bonne forme physique.
"Et pourquoi sont elles à poil ?"
"C'est la procédure, on ne sait pas trop, on applique les ordres, et entre nous, c'est un métier agréable"
Un autre militaire un peu bougon et l'air détaché ajoute que c'est comme ça depuis qu'il est arrivé et que c'est normal d'avoir les prisonnières nues.
Pauvre Lyla, elle et sa maman sont très pudique, c'est difficile d'imaginer ce qu'elle peut ressentir. Lorsque le l'avais rencontré elle était comme la plupart des femmes de ce pays, vêtue d'une robe large et ample et portait un foulard (hijab) cachant ses cheveux, son cou, et sa poitrine. C'est une fille pieuse et religieuses respectueuse des préceptes de la religion musulmane. Les gardes l'obligent à rester nue en permanence, a montrer ses fesses, sa chatte, ses petits seins, et a montrer ses trous bien fait partie de la routine comme pour les autres détenues.
C'est un bon moyen de maintenir l'ordre et d'apprendre l'humilité aux prisonnières. Lyla apprend à vivre nue, comme les autres, elle a abandonner toute pudeur a force d'être exhibée nue devant les gardiens qui l'harcèlent et se moquent d'elle sans cesse on lui imposant toutes sortes d'outrages et d'obscénités.
Les gardes par exemple aiment lui faire faire des pompes et des abdos jusque à l'épuisement, lui faire faire des squats pour bien qu'on puisse voir ses fesses et sa chatte ouverte, l'obliger a se masturber en public et a jouir.
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Une prisonnière obligée de se masturber jusque à la jouissance en public. |
Liens :
Prisonnière de haute sécurité.
L'omniprésence de la nudité dans cette prison.
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Une étudiante punie et humiliée nue doit écarter les fesses. |
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Fille toute nue dans le parc. |
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Pas de place pour la pudeur à poil ! |
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Nue en enchainée totalement exhibée dans sa cellule de prison. |
Dans un foyer pour jeune fille qui accueille des femmes migrantes ou ayant des problèmes familiaux compromettant leur éducation, la discipline est très stricte et le directeur et les surveillants sont adeptes des punitions physiques (fessées) et autres châtiments corporels comme la falaka ou bastinado qui consiste à flageller la plante des pieds de la personne punie.
Les punitions se font toujours toutes nues pour rendre la sanction plus efficace car accompagnée d'humiliations et de hontes. Yasmeena n'est pas très bonne dans ses études, ni très disciplinée et respectueuse du règlement intérieur.
Elle se masturbe et se trifouille souvent la chatte au lieu d'étudier, de lire ou de faire le ménage et de tenir correctement sa chambre. De plus le directeur souhaite faire respecter la laïcité dans l'établissement et la jeune fille a été plusieurs fois prise en train de porter le voile hijab, totalement interdit comme tout les autres couvres chefs.
Outre l'obligation d'avoir la tête nue, les pensionnaires dans les locaux sont obligées de porter des tenues féminines, légère et peu couvrantes, en dehors des périodes de règles les filles doivent porter des petites jupes sans culotte, fesses à l'air, et sans soutient gorge sauf pour celles ayant de très grosse poitrines ce qui n'est pas le cas de Yasmeena.
Les chaussettes sont interdites et les pieds doivent être nus, les chaussures doivent être féminines, à talons, des sandales ou alors elles doivent rester pieds nus.
Yasmeena doit se défaire se son éducation religieuses pour devenir une fille libertine et sans pudeur respectueuse des règles.
Prise en train de se branler et de porter le voile, le directeur l'oblige a se mettre toute nue, chose simple car elle ne porte que des escarpins et une petite robe sans rien dessous comme toute bonne petite femme chaude mais lui fait garder son foulard pour mieux la punir.
la jeune fille est ensuite fouettée sur la plante des pieds, puis obligée de se mettre contre le mur toute nue avec une badine entre les fesses pour servir d'exemple.
Liens :
Punitions collectives et humiliante.
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Les terriblement humiliantes "revue des anus" en pension. |
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Deux prisonnières nue torturées humiliées et fessées avec une canne. |
En 2004 lors de l'invasion américaine de l'Irak sous le faux prétexte des armes de destruction massive et du sois disant soutien du régime au terrorisme international les Etats Unis ont eu beaucoup de difficultés à conquérir et surtout maintenir l'ordre contrôler et contrôler le pays. Les dirigeants US ont choisi de mener une politique agressive pour tenter de vaincre la rébellion et les atteintes aux droits de l'homme se sont multiplier.
Un étudiant rapporte que lui et sa fiancée, Sara ont été arrêtés par les forces spéciales américaine car un de ses cousin éloigné est suspecté d'être impliqué dans la résistance et est recherché. Elle n'a aucune nouvelle de lui depuis plusieurs années et n'a aucune implication dans la rébellion et est totalement innocente.
Les troupes d'élites ont fait irruption dans la maison familiale pour la capturer et ils ont par la même occasion arrêter plusieurs personnes dans le quartier dont le futur époux de Sara.
Ils ont été ligotés et bâillonnés avant d'être jetés dans un fourgon militaire avant d'être transférés dans un centre de détention et d'interrogatoire militaire.
La jeune fille et les autres captifs sont soumis aux traitements standard que les USA imposent. Sur place la jeunes filles et d'autre malheureuses arrêtées avec elle, bien que très pudiques et voilées de la têtes aux pieds sont obligées et se déshabiller devant les militaires américains. Celles qui tentent de résister sont mises à poil de force avec leurs vêtements découpés.
La nudité est imposée systématiquement et les autres prisonniers dont sont petit ami ont pu voir Sara toute nue et honteuse menottée les mains dans le dos. Les responsables et stratèges américains considèrent la nudité forcée comme un outil coercitif et de discipline très efficace et facile à mettre en oeuvre qui ne coute rien (pas la peine d'acheter des uniformes orange ou jaune de prisonniers). C'est très humiliant et déstabilisant pour Sara car elle n'a jamais exposé son corps dénudé et c'est dégradant pour elle d'être moquée et vue par tour le monde sans aucun vêtements. Les américains exhibent les femmes prisonnières nues comme des trophées pour rabaisser le plus possible leurs égos et les rendre docile.
Les pauvres victimes sont pour le plaisir des gardiens forcer d'écarter grand leurs fesses pour ouvrir leurs chattes et anus pour des inspections publique en profondeur.
Ensuite dans la salle d'interrogatoire, Sara est molestée et subie divers châtiments corporels en compagnie d'autres détenues d'infortune. Elles sont soumises notamment au supplice de "la perche" qui consiste à attacher toute nue la captive à une sorte de perche de perroquet pour lui fmetre des coups de cannes dans les fesses et oui flageller les plantes des pieds (falaka, bastinado).
Après les pieds des suspectes sont aussi longuement chatouiller et lécher jusque a ce que ce soit insupportable
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Torture d'une prisonnière nue avec la perche du perroquet (ass and feet). |
Elles sont aussi promener nues et forcer de servir les repas des hommes, de faire le ménage jusque a ce que les services de renseignements obtiennent des aveux pour envoyer les femmes prisonnières à Guantanamo Bay ou à Abou Ghraib.
Liens :
Visite d'une prison réputée pour sa dureté.
Deux filles sexy à poil dansent érotique. |
Exhib d'une infirmière black. |
En janvier 2022 les hôpitaux et les services d'urgence sont débordés par les vagues successives de coronavirus, le variant Delta et le variant Omicron par leur forte contagiosité déferlent sur la France et l'Europe, les autorités son débordés, le personnel soignant est à bout de force, au bord de l'épuisement face à l'afflux de plus en plus fort de malades en manque de réconfort.
Cherima, une infirmière sexy et décider de prendre quelques initiatives pour soutenir les patients et ses collègues médecins, infirmiers, réanimateurs, soignants etc.
Elle pense qu'en s'exhibant et se faisant baiser, ca remonte le moral de ses collègues et des patients désespérés. Elle s'installe en général du un banc ou une chaise et prend des postures sexuellement provocante pour chauffer les gens, les soignants ont accès libre à ses orifices qu'ils peuvent lécher et pénétrer à volonté.
Pour les fétichistes des pieds, il est aussi possible des lui sucer les orteils et déchets les petons.
Le directeur de l'hôpital à saluer l'initiative de l'infirmière qui offre son corps pour supporter le système de santé en cette période compliquée et invite les femmes sexy a devenir des esclaves sexuelles pour le personnel soignant.
Liens :
Devenir lesbienne pendant le confinement.
Filles nues et pieds nus pendant le bizutage étudiant. |
A poil pendant le bizutage au gymnase. |
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Soumis ! Lèche les plantes de mes pieds et passe ta la fut entre mes orteils ! |
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Fille aux belles fesses et pieds sexy. |
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Femme nue dans sa cellule de confinement solitaire. |
Nora, une jeune femme âgée d'environs 25 ans à passer environs deux mois en confinement solitaire dans une prison militaire américaine. Elle parle de la dureté et de l'inhumanité de ses conditions de détentions qui visent selon elles à briser les captifs pour les faire parler et les rendre plus coopératif. Si elle n'a pas été physiquement torturée, elle a subie des pressions psychologiques intenses et de multiples humiliations pendant sa période de privation de liberté.
Les services de renseignement militaires l'ont capturés et l'ont considérées comme une détenue de haute valeurs du fait de sa position importante dans l'ancien régime, elle est la fille d'un scientifique important très recherché.
"Les miliaires après m'avoir arrêtée m'on transférée dans une prison près de la capitale dans laquelle j'ai passé deux mois environs.
Comme les quelques autres femmes, j'étais enfermée dans ma cellule 23 heures sur 24 et 7 jours sur 7. J'avais théoriquement droit à une douche tous les trois jours, et a une heure de sortie par jours qui n'était pas toujours respecté.
L'isolement est très dur, et très cruel, il n'y a absolument rien à faire, j'étais enfermée dans une petite seule avec des barreaux et un simple matelas , un robinet pour avoir accès à l'eau et des toilettes à la turque. Hormis quelques livres et un journal par semaine à lire nous n'avons rien.
Nous n'avons pas le droit de porter des vêtements en cellule, ils nous interdisent de nous habiller. Des les premiers instant ou nous arrivons, nous devons nous déshabiller soit disant pour la fouille de sécurité et ensuite ils nous laisse toute nue sans nous rendre nos affaires ni même nous donner d'uniforme !
J'ai passé deux mois intégralement nue sans pouvoir cacher mon intimité. Les gardes nous fouilles de façon humiliante plusieurs fois par jours : A poil ils nous font lever les pieds, écarter les orteils, puis nous accroupir et tousser pour s'assurer que nous ne cachons rien dans nos parties intimes, puis nous devons sautiller et soulever nos seins, et ouvrir la bouche en tirant la langue.
Ils nous traitent comme des animaux, l'isolement est très oppressif. C'est une expérience très difficile.
Liens :
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Soumise à une fouille très poussée à poil ! |
Lors d'une garde à vue (mesure judiciaire dans laquelle une personne est retenue pendant une période déterminée par la police ou la gendarmerie car suspecté d'avoir commis des crimes ou délits ou comme témoins), avant la mise en cellule, il y a ce qu'on appelle la fouille de sécurité ou la fouille à nu.
C'est officiellement et légalement une mesure qu'on retrouve aussi en prison et dans les centre de privation de liberté qui à pour but de s'assurer que la personne arrêtée ne détient pas d'objets dangereux ou illicite, ni de drogues, poisons, ni ne cache de pièce à conviction sur elle par rapport au délit dont elle est soupçonnée. La police pratique systématiquement lors des mises sous écroue.
Lina est arrêtée pour vol à l'étalage et placée en GAV pour 48h. La prisonnière est amenée dans la salle de fouille. La policière chargée de l'inspection lui ordonne d'abord de lui remettre tout ses effets personnels et elle en fait l'inventaire. Lina doit donner ses papiers d'identité, bijoux, montre, téléphone, objets personnels qui sont mis sous scellés.
La policière est très autoritaire et dominatrice et aime en faire baver aux prisonnières, elle ordonne à Lina de se déshabiller complètement. La suspecte doit remettre un à un ses vêtements qui sont vérifié scrupuleusement. Une fois en sous vêtements, la policière lui faire tout enlever même les chaussettes, car une fouille à nu se déroule toute nue de la tête aux pieds !
Tout collants, bas, ou chaussettes est de toute manière strictement interdit en cellule car c'est potentiellement dangereux, comme les soutien gorge, les barrettes, les lacets, ceintures etc.
Lina ne porte plus qu'une petite culotte et la policière lui crie dessus "Baisse le slip, à poil !"
Elle donne le dernier rempart de son intimité à l'inspectrice. Elle est totalement nue et se sent un peu rabaissée et humiliée par cette nudité imposée.
Elle sent ses pieds nus sur le béton froid, l'agent de police lui inspecte les cheveux, les oreilles, lui fait ouvrir la bouche et ouvrir les lèves, tirer la langue.
Elle se fait aussi palper les seins, vérifier sous les aisselles et son nombril est vérifié. L'humiliation ne s'arrête pas là, Lina doit aussi se pencher et faire des flexion en toussant très fort pour que la police puisse voir qu'elle ne cache rien dans ses orifices naturels, il n'est pas rare que des femmes utilisent leurs vagins ou leurs anus pour y cacher des choses, donc la police doit bien s'assurer que rien n'est dissimuler dans l'intimité des femmes.
Les jambes et les pieds sont aussi inspecté, la policière va même jusque à chercher entre les orteils des prisonnières ! La policière n'hésite pas a faire des commentaires un peu salace sur l'anus et la chatte de la suspecte. La garde à vue doit impérativement être vécue comme une sanction et une punition donc la police imposer cette pratique dégradante pour assoir sa domination et son autorité.
Lorsque la policière a un doute, elle fait allongée les femmes sur une table, les jambes écartées, et leur fouille la chatte et l'anus en profondeur en y introduisant un doigt voir deux.
Cette fouille est humiliante et permet de déstabiliser les gardés à vue avant les interrogatoires.
Liens :
Strip searched and humiliated naked