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lundi 26 mai 2025
Un petit bizutage de jeunes étudiantes.
dimanche 18 mai 2025
Fouille nue d'une détenue pudique et soumise.
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Fouille (strip search). |
Fouille à nue (strip search) lors du processus d'accueil en prison.
Abou Ghraib, Irak, 2005.
Noor, une Irakienne de 27 ans, était assise à l’arrière d’un Humvee, les mains entravées par des menottes en plastique, le regard baissé. Son hijab noir couvrait ses cheveux, et son abaya, légèrement poussiéreuse, témoignait de sa foi sunnite et de sa pudeur. Murmurant des versets du Coran, elle tentait de calmer son cœur affolé. Accusée à tort de complicité avec des insurgés sur une dénonciation malveillante, elle avait été arrêtée trois jours plus tôt. Aujourd’hui, elle entrait dans un centre de détention sous contrôle américain.
Le véhicule s’arrêta dans un nuage de poussière à l’arrière du complexe. Deux femmes en uniforme militaire attendaient près d’une entrée. La première, une blonde d’une trentaine d’années au chignon strict, portait des galons sur son uniforme. C’était la sergente Mitchell, dont l’autorité froide intimidait Noor. Réservée et timide, Noor évita son regard, mais ne put ignorer la prestance de cette femme, qui la troublait étrangement.
« Noor al-Hassani ? » demanda la sergente Mitchell, consultant une feuille.
Noor hocha la tête, puis murmura : « Oui… Madame. » Sa voix tremblait, et elle rougit, gênée par son propre malaise.
« Nous sommes ici pour vous prendre en charge officiellement. Placez vos mains contre le véhicule. »
Noor obéit, posant ses mains contre la carrosserie brûlante. La seconde gardienne, silencieuse, la fouilla rapidement, inspectant son hijab et ses vêtements. Noor, submergée de honte, garda les yeux rivés au sol. Les menottes en plastique furent remplacées par des menottes métalliques, froides contre ses poignets. Elle murmura une prière, implorant la force.
Les gardiennes l’escortèrent vers un bâtiment entouré de barbelés. Un panneau indiquait « Intake ». La sergente activa sa radio : « Une pour l’admission. » La porte métallique s’ouvrit dans un bourdonnement.
À l’intérieur, l’air était glacial. On la fit asseoir face à un bureau encombré de dossiers. La sergente s’installa et lut : « Noor al-Hassani, 27 ans, cheveux noirs, yeux marrons, poids approximatif : 55 kilos. Est-ce exact ? »
« Oui, Madame », répondit Noor, intimidée par l’assurance de Mitchell. Une étrange fascination pour cette femme autoritaire naissait en elle, mêlée de crainte.
« Bien. Vous allez être conduite au traitement. Vous devrez retirer tous vos vêtements – vous serez toute nue, mais ne vous inquiétez pas, c’est entre femmes. Vous serez fouillée, recevrez votre uniforme, vos photos seront prises, et vous irez en cellule. Comprenez-vous ? »
Noor hocha la tête, mais la sergente la reprit : « Réponse verbale. Appelez-moi Madame. »
« Oui, Madame », murmura Noor, les joues brûlantes. L’idée de se dévêtir la terrifiait, mais la précision « entre femmes » l’apaisa à peine.
Les gardiennes la firent lever et l’escortèrent dans un couloir gris jusqu’à une porte marquée « Processing ». La sergente activa sa radio : « Une pour le traitement. » La porte s’ouvrit, révélant une pièce austère avec une table métallique, une chaise, et un coin pour les photos. Une troisième gardienne, à la table, tenait un bac en plastique. Noor sentit son estomac se nouer.
« Nous allons retirer vos menottes », annonça la sergente. « Tenez-vous droite, mains le long du corps, face à la gardienne à la table. Suivez ses instructions, ou votre désobéissance sera signalée. Comprenez-vous ? »
« Oui, Madame », répondit Noor, la gorge serrée.
Les menottes ôtées, Noor se tint droite, tremblante. La sergente et l’autre gardienne reculèrent près de la porte. La gardienne à la table ouvrit un sac en plastique : « Retirez vos boucles d’oreilles. »
Noor n’en portait pas. « Je n’en ai pas, Madame », dit-elle doucement.
La gardienne nota quelque chose. « Retirez vos chaussures et chaussettes. »
Noor défit ses sandales usées et ses chaussettes blanches, posant ses pieds nus sur le sol glacé. La gardienne inspecta les chaussures, les chaussettes, et ordonna : « Levez chaque pied, montrez-moi la plante. » Noor obéit, humiliée, tandis que la gardienne commentait : « Vous êtes bien sensible, hein ? On dirait que vous n’avez jamais marché pieds nus. »
Noor rougit, baissant les yeux. « Maintenant, retirez votre hijab. »
Noor défit les épingles, pliant le foulard avec soin avant de le tendre. Ses cheveux noirs tombèrent sur ses épaules. « Regardez-moi ça, on dirait une nonne qui se cache », ricana la gardienne, jetant le hijab dans le bac. Noor sentit les larmes monter.
« Votre abaya. »
Noor défit les boutons, laissant l’abaya glisser à ses pieds. Elle la tendit, restant en tunique et pantalon noirs. La pièce était si froide qu’elle frissonna, croisant les bras. « Bras le long du corps », ordonna la gardienne. « Pas la peine de jouer les pudiques ici. »
Noor obéit, rouge de honte. La tunique, puis le pantalon, furent retirés. En sous-vêtements, elle se sentit exposée. La gardienne lança : « Pas très épais, votre corps. On dirait une gamine qui se cache sous tous ces tissus. »
Noor, mortifiée, garda le silence. « Retirez votre soutien-gorge. »
Les larmes coulèrent alors qu’elle dégrafait son soutien-gorge, le tendant tout en couvrant sa poitrine. « Bras le long du corps », répéta la gardienne. « Arrêtez de faire la timide, ça ne sert à rien. » Noor obéit, exposant ses seins. La gardienne ricana : « Pas grand-chose à montrer, hein ? »
« Maintenant, la culotte. »
Noor, sanglotant, fit descendre sa culotte et la tendit, se tenant nue, pieds nus sur le sol froid, les mains le long du corps. « Regardez-moi cette pudeur ridicule », commenta la gardienne. « Vous croyez que votre Dieu vous regarde ici ? »
Noor ferma les yeux, récitant une sourate en silence. La gardienne dressa la liste : « Un hijab noir, une abaya noire, une tunique noire, un pantalon noir, un soutien-gorge blanc, une culotte blanche, une paire de sandales, une paire de chaussettes. Exact ? »
« Oui, Madame », murmura Noor.
« Signez ici. » Noor signa, tremblante. « Maintenant, la fouille corporelle. Éloignez-vous de la table, tenez-vous droite, bras le long du corps. »
Noor obéit, les larmes roulant sur ses joues. La gardienne prit une lampe torche, lui ordonnant de secouer ses cheveux, de tirer ses oreilles, d’ouvrir la bouche, de soulever sa langue. Puis, elle inspecta ses mains, ses aisselles, et ordonna : « Soulevez vos seins. » Noor obéit, humiliée, tandis que la gardienne lançait : « Rien à cacher là-dessous, visiblement. »
« Écartez les jambes. Écartez vos lèvres vaginales. » Noor, sanglotant, obéit, exposant son intimité. « Toujours aussi gênée ? Vous vous y ferez », railla la gardienne, inspectant avec sa lampe. « Tournez-vous, écartez vos fesses, accroupissez-vous, toussez. » Noor s’exécuta, chaque mouvement brisant un peu plus sa dignité. Enfin, elle leva chaque pied pour une nouvelle inspection. « Vos pieds sont trop propres pour une terroriste », ironisa la gardienne.
« Fouille terminée », annonça-t-elle. « Vous pouvez prendre une douche avant l’uniforme. Suivez-moi. »
Noor, toujours nue, fut conduite à une cabine de douche ouverte. L’eau froide la fit frissonner, mais elle se lava rapidement, sous le regard de la gardienne. Revenue dans la pièce, elle attendit, tremblante, pieds nus sur le sol glacé.
La gardienne revint avec une simple combinaison orange. « Voici votre uniforme. Pas de sous-vêtements, pas de voile. Les hijabs sont interdits. Enfilez ça, pieds nus. »
Noor, horrifiée, protesta faiblement : « Madame, s’il vous plaît… mon hijab, c’est ma foi. Je ne peux pas… »
La sergente Mitchell, qui avait observé en silence, s’avança. Sa voix était ferme, mais étrangement douce : « Noor, écoutez-moi. Ici, les règles sont strictes. Pas de hijab, pas de discussion. Vous devez vous conformer. Mais je veillerai sur vous, d’accord ? Faites ce qu’on vous dit, et ça ira. »
Noor, les larmes aux yeux, hocha la tête, vaincue. Elle enfila la combinaison, qui grattait sa peau nue. Sans sous-vêtements, elle se sentait encore plus exposée, et ses pieds nus sur le sol froid renforçaient sa vulnérabilité. Le numéro 47219 était cousu sur la poitrine.
« Mains derrière le dos », ordonna la sergente. Les menottes claquèrent. On la conduisit aux photos d’identification. Noor fixa l’objectif, puis tourna la tête pour les profils, son visage marqué par la honte et la résignation.
« C’est terminé », dit la sergente. « Vers votre cellule. »
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samedi 17 mai 2025
Prisonnière pudique sanctionnée.
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Fouettée et sanctionnée par les gardiens de prison. |
Fouettée et fessée en prison.
Par une journée étouffante de 2004, Amira 42 ans, arriva à la prison d'Abou Ghraib, le cœur lourd de honte et de peur. Détenue pour de vagues accusations de « risques pour la sécurité » à la suite d’une dénonciation mensongère d’un voisin, elle se tenait dans une pièce en béton sans fenêtre, entourée de cinq autres Irakiennes, toutes dans la vingtaine. Certaines arrêtées lors de rafles, d’autres trahies par des liens familiaux ou par pur hasard, elles partageaient la même indignité. Amira, élevée dans la pudeur et la préservation de sa dignité, tremblait à l’idée de se dévêtir.
Leurs vêtements civils, hijabs et effets personnels remplissaient une caisse qu’une soldate américaine avait déjà emportée. L’ordre aboyé résonnait dans l’esprit d’Amira : « Déshabillez-vous ! Tout, maintenant ! Pas de pudeur ici, détenues ! » Les gardiens – hommes et femmes soldats savourant leur autorité – lançaient des ordres d’une voix méprisante, indifférents aux sensibilités culturelles des femmes. Amira, paralysée par la honte, hésita, ses mains tremblantes agrippant son hijab. « Plus vite ! » cria une gardienne. Son retard, bien qu’involontaire, fut perçu comme une désobéissance.
La fouille à nu obligatoire et l’inspection des cavités corporelles, effectuées devant le groupe, constituaient la première étape pour briser les nouvelles détenues. La politique des soldats semblait conçue pour maximiser l’humiliation. Alors que des mains gantées exploraient son corps, y compris une inspection anale invasive, Amira sentit ses joues s’enflammer de honte. Les jeunes femmes pleuraient en silence, les yeux rivés au sol. Un soldat ricana : « Si tu n’aimes pas ça, tu n’avais qu’à obéir plus vite, terroriste ! »
Pour son hésitation à se déshabiller, Amira fut immédiatement punie. « Tu veux traîner ? » lança une gardienne. Au lieu de passer à l’étape suivante, elle fut forcée de poser nue pour ses photos d’admission, le flash de l’appareil gravant son humiliation. Puis, les gardiens la traînèrent dans une petite pièce à l’écart, où deux soldates lui administrèrent cinq coups de lanière en cuir sur le dos, chaque coup un rappel cinglant de son impuissance. La douleur était vive, mais c’était l’exposition – son corps dénudé devant des étrangères – qui la blessait le plus profondément.
La fouille fut suivie d’une pulvérisation de désinfectant et d’une douche froide en groupe, les femmes exposées sous les regards des soldats. Puis vint le rasage obligatoire du pubis, effectué avec des rasoirs émoussés par une soldate indifférente, ajoutant une nouvelle couche d’humiliation. Amira, comme les autres, sentit son intimité violée davantage, son corps exposé sans égard pour sa dignité. La perte de son hijab, qui couvrait ses cheveux, lui donna l’impression qu’on lui volait son identité. Elle serra ses bras contre sa poitrine, désespérée de se protéger.
Après la punition, Amira fut envoyée directement dans une cellule d’isolement pour une nuit – toujours sans vêtements – pour « apprendre à obéir rapidement »
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mardi 13 mai 2025
Les femmes humiliées lors des fouilles.
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Fouille collective nue très humiliante en prison. |
Femmes humiliées lors d'une rafle de l'armée.
Prison dAbou Ghraib en 2004.
La nuit vibrait encore de l’attaque au mortier dans Al-Mansour. Les blindés américains avaient envahi le quartier, et les rafles avaient rempli un camion de quinze femmes, âgées de 19 à 35 ans, arrachées à leurs foyers sans accusation. Amina, 24 ans, institutrice, tremblait à côté de Layla, 19 ans, étudiante pieuse, de Fatima, 32 ans, mère de famille, et de Noor, 28 ans, vendeuse au tempérament rebelle. Sunnites, chiites, chrétiennes, kurdes – leur diversité importait peu. Elles étaient des corps à soumettre, des esprits à briser, dans une détention administrative sans procès.
Le convoi s’arrêta à Abou Ghraib, la prison de l’horreur. Sous des projecteurs aveuglants, les femmes furent poussées dans une cour de béton, leurs pieds nus écorchés par le sol rugueux. « Déshabillez-vous ! » hurla un soldat, secondé par un interprète irakien, la voix tremblante de honte. Les femmes se figèrent. Amina, élevée dans la pudeur, sentit ses jambes flancher. Layla, en pleurs, serra son hijab contre elle. Fatima murmura une prière, ses mains crispées sur sa robe. Noor, plus dure, lança un regard de défi, mais ses doigts hésitaient.
Les gardes, tous hommes, ne patientèrent pas. Ils s’avancèrent, arrachant foulards, abayas, tuniques. Amina tenta de retenir sa culotte, un réflexe désespéré pour préserver un semblant de dignité. Un soldat la gifla, tirant le tissu si fort qu’il se déchira. Layla, en sanglots, s’accrocha à son soutien-gorge ; un garde le coupa avec un couteau, riant de ses cris. Fatima, paralysée, oublia ses chaussettes dans la panique ; un soldat les arracha, moquant ses « pieds sales ». Noor, déterminée à ne pas supplier, enleva tout sauf sa culotte, qu’un garde fit glisser lentement, savourant son humiliation. Une femme, chrétienne, tenta de cacher ses seins ; un coup dans le dos la força à se redresser. Les vêtements, symboles de leur identité, furent jetés dans un brasier, leurs odeurs de tissu brûlé emplissant l’air.
Nues, exposées, les femmes furent alignées pour une fouille humiliante. Des gardiennes américaines, visages durs, prirent le relais, traitant les prisonnières comme du bétail. Amina sentit des doigts gantés fouiller ses cheveux, arrachant des mèches. Une gardienne lui ouvrit la bouche, inspectant ses dents, sa langue, comme si elle cherchait des armes dans sa gorge. Ses oreilles furent sondées, son nombril scruté. Puis vint le pire : on lui ordonna d’écarter les jambes. Une gardienne, sans un mot, inspecta son vagin et son anus avec une lampe et des doigts intrusifs, ignorant ses tremblements. Entre ses fesses, la fouille était brutale, déshumanisante. Layla, à côté, sanglotait, incapable de supporter l’intrusion. Fatima, stoïque, serrait les dents, mais ses yeux trahissaient sa douleur. Noor jura à voix basse, ce qui lui valut un coup. Les gardiennes passèrent aux pieds, écartant les orteils d’Amina, grattant sous ses plantes comme si la saleté était une preuve de culpabilité. Chaque femme subit ce rituel, certaines hurlant, d’autres se murant dans le silence.
Le processus se poursuivit, méthodique, implacable. Les femmes, encore nues, furent conduites à une table pour les mugshots. Une à une, elles durent fixer un appareil photo, les flashs brûlant leurs yeux. Amina, les joues inondées de larmes, entendit le clic de l’appareil immortaliser sa nudité. Layla tenta de baisser la tête ; un garde lui releva le menton de force. Les photos, elles le savaient, seraient diffusées, leur honte rendue publique.
Ensuite, une douche collective. L’eau, froide et puante, jaillissait de tuyaux rouillés. Les gardiennes hurlaient : « Lavez-vous, sales bêtes ! » Amina frotta son corps, essayant de se concentrer sur l’eau, mais les regards des gardes masculins, postés à l’entrée, la transperçaient. Fatima⁓Fatima, épuisée, s’appuya contre le mur, son corps tremblant. Noor, plus résistante, se savonna avec défi, mais même elle ne pouvait ignorer les rires. Layla, paralysée par la honte, se recroquevilla, à peine capable de bouger.
Puis vint l’épouillage. Une gardienne aspergea les femmes d’un produit chimique âcre, brûlant leur peau. Amina toussa, les yeux piquants. Layla, fragile, s’étouffa, tandis que Fatima murmura des prières pour ses enfants. Noor, malgré tout, lança un regard noir à la gardienne, qui répondit par un sourire cruel.
Chaque femme reçut un bracelet en plastique, gravé d’un numéro. Amina était désormais « 472 ». Plus un nom, juste un chiffre. Les formalités administratives suivirent : des formulaires en anglais, incompréhensibles, signés sous la menace. Amina apposa son empreinte digitale, les mains tremblantes. Layla pleurait doucement, Fatima fixait le vide, Noor serrait les poings.
Enfin, le cortège final. Enchaînées, les coudes tirés en arrière par des menottes, les quinze femmes paradèrent, nues et pieds nus, vers les cellules. Les couloirs gris d’Abou Ghraib résonnaient des insultes des gardes : « Avancez, chiennes ! ».
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dimanche 11 mai 2025
La soirée chaude du bizutage ( ou d'intégration).
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Filles dansent nues et pieds nus au bizutage étudiant |
Bars étudiant durant le bizutage.
Les soirées d’intégration estudiantines sont des rituels légendaires, où l’alcool coule à flots dans les bars du centre-ville, et où les bizutages flirtent avec l’excès, mêlant traditions ancestrales et débordements charnels. Les mœurs sont plus libres, mais les hiérarchies estudiantines restent impitoyables, surtout pour les nouvelles, ciblées pour leur timidité ou leur air "coincé".
Le bar L’Antre du Vice, un bouge enfumé du centre-ville, est bondé ce vendredi soir. Les néons rouges clignotent, la bière bon marché inonde les tables, et une foule d’étudiants enfiévrés hurle des chansons paillardes. C’est la soirée d’intégration de la fac de droit, et le bizutage bat son plein. Les anciens, autoproclamés maîtres du chaos, ont orchestré un spectacle aussi cruel que lubrique, où les premières années, surtout les filles, sont les proies désignées.
Jessica, 19 ans, frêle brunette aux joues rosies par la honte, n’a jamais aimé les foules. Pudique, réservée, elle a grandi dans une petite ville où les regards indiscrets la mettaient déjà mal à l’aise. Ce soir, elle regrette d’avoir mis sa jupe plissée et son chemisier sage : ils font d’elle une cible parfaite pour les anciens, qui adorent briser les "saintes-nitouches". À ses côtés, d’autres bizutes tremblent, notamment Sophie, une blonde menue qui serre les pans de son cardigan comme un bouclier, et Clara, une étudiante en histoire au visage fermé, qui marmonne des supplications pour garder sa culotte en coton blanc.
Dans l’amphithéâtre, plus tôt dans la soirée, l’ambiance était déjà électrique. Les anciennes, vêtues de cuir et de rictus moqueurs, ont traîné Jessica, Sophie, Clara et trois autres bizutes sur l’estrade. "À poil, les coincées !" rugit la foule, un chœur de voix avinées. Les ordres claquent comme des fouets : "Enlevez tout, ou on le fera pour vous !" Jessica tremble, ses doigts maladroits s’emmêlent sur les boutons de son chemisier. Sophie, en larmes, s’accroche à sa culotte, bégayant : "S’il vous plaît… juste ça… laissez-moi la garder…" Une ancienne, une grande brune aux ongles vernis de rouge, éclate de rire et arrache le sous-vêtement d’un geste sec, le brandissant comme un trophée sous les hourras.
Clara, elle, croit s’en tirer en oubliant – ou feignant d’oublier – ses chaussettes rayées. "T’es sérieuse, la ringarde ?" aboie une ancienne, la forçant à les retirer sous les sifflets moqueurs. Une autre bizute, une rousse prénommée Manon, tente de négocier en gardant ses bas résille, arguant qu’ils "font partie du look". L’argument ne passe pas : une ancienne les déchire sauvagement, laissant des marques rouges sur ses cuisses. Pas d’échappatoire. La pudeur est un crime ici, et les plus timides sont punies avec zèle.
Nues sous les sifflets, les bizutes doivent exhiber leurs corps. Jessica tente de cacher ses seins, mais une ancienne lui écarte les bras d’un geste brusque. "Montre tout, poupée ! Ouvre grand, qu’on voie la marchandise !" Sophie, effondrée, sanglote en écartant ses cuisses, tandis que Clara, mâchoire serrée, obéit en fixant le sol. La foule exulte, certains filment avec des caméscopes VHS, vestiges d’une époque où l’intimité n’avait pas de prix. Manon, elle, bombe le torse avec un sourire crispé, espérant désamorcer l’humiliation par une fausse assurance.
Après l’amphi, les anciennes organisent une "parade des délices", une tradition perverse où les bizutes, toujours nues, doivent défiler dans les couloirs de la fac, puis à travers le campus. Les rires et les quolibets pleuvent, des mains baladeuses frôlent leurs corps. Jessica, pieds nus sur l’asphalte froid, sent son cœur cogner. Sophie trébuche, ses chaussettes oubliées désormais un lointain souvenir, tandis que Clara murmure des jurons, maudissant chaque pas.
Le clou de la soirée, c’est le bar. L’Antre du Vice est le théâtre final de ce rituel dépravé. Les bizutes, toujours dévêtues, sont poussées à l’intérieur sous les hourras des clients, un mélange d’étudiants, de profs libidineux et de piliers de comptoir. La musique, un tube de synthpop des années 80, pulse dans l’air saturé de sueur et de désir. Jessica est hissée sur une table poisseuse, Sophie et Clara sur le comptoir, où elles doivent improviser des danses lascives.
Manon, la rousse, prend les devants. Elle grimpe sur le bar, ses hanches ondulant au rythme de la musique, ses mains glissant sur ses courbes avec une sensualité forcée mais convaincante. La foule hurle d’approbation, lançant des billets froissés. Sophie, maladroite, tente de l’imiter, ses mouvements saccadés trahissant sa panique. Une ancienne lui glisse un shot de vodka, qu’elle avale en grimaçant, et bientôt, elle se laisse aller, ses seins tressautant sous les flashs des appareils photo. Clara, elle, reste raide, ses déhanchés mécaniques arrachant des rires moqueurs. "Bouge ton cul, la nonne !" crie un client, jetant une poignée de pièces à ses pieds.
Soudain, les anciennes annoncent le clou du spectacle : un "concours de Miss Bizute". Chaque fille doit défiler sur le comptoir, nue, et exécuter une performance pour séduire la foule. Les critères ? "Charme, culot et chaleur !" ricane une ancienne, un mégaphone à la main. Manon ouvre le bal, jouant la carte de la provocatrice : elle s’agenouille, cambre le dos et lance des baisers, provoquant une ovation. Sophie, poussée par l’alcool, tente une danse plus audacieuse, se caressant les hanches sous les sifflets. Clara, toujours rétive, se contente d’un tour rapide, les bras croisés, ce qui lui vaut des huées et une pluie de serviettes en papier.
Jessica, dernière à passer, est paralysée. "Danse, ma jolie ! Montre-leur ce que t’as !" crie une ancienne, un verre de gin à la main. Elle monte sur le comptoir, les jambes flageolantes, et tente un déhanché timide. La foule, impatiente, scande : "Plus chaud ! Plus chaud !" Une ancienne lui tend un autre shot, qu’elle boit d’un trait. L’alcool embrume son esprit, et, portée par la musique, elle se surprend à onduler, ses mains frôlant ses seins. Les hourras redoublent, et pour la première fois, elle sent une étrange montée d’adrénaline.
Le concours s’achève dans un délire collectif. Manon est couronnée "Miss Bizute", une écharpe en papier toilette autour du cou. Mais le véritable défi suit : les bizutes doivent "servir" les clients. Pas de plateaux ni de verres, non. Elles doivent se pencher, offrir leurs courbes aux mains des spectateurs, qui rient et s’enhardissent. Jessica, forcée de s’asseoir sur les genoux d’un étudiant éméché, sent ses doigts rugueux explorer son dos. Sophie, à moitié ivre, rit nerveusement en dansant pour un groupe de profs. Clara, elle, refuse de bouger, mais une ancienne la pousse vers un client, qui lui glisse un billet dans les cheveux.
Dans ce chaos, une énergie perverse flotte. Certaines bizutes, brisées puis libérées par l’adrénaline, commencent à jouer le jeu, défiant leurs bourreaux avec une insolence nouvelle. Manon, portée par sa victoire, improvise un strip-tease théâtral sur le comptoir, arrachant des rires et des applaudissements. Jessica, elle, reste en retrait, mais une ancienne remarque son regard. "T’inquiète, chérie, l’an prochain, c’est toi qui donneras les ordres."
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vendredi 9 mai 2025
Une fille ronde se plain des visites médicales à la fac.
mercredi 23 avril 2025
Incident nudité forcée en prison.
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Nue en cellule. |
Femme nue dans sa cellule de prison.
Dans les entrailles de la prison militaire d’Abou Ghraib, Mounia, 32 ans, Irakienne, professeure de lycée respectée, gît nue, enchaînée, dans une cellule d’isolement. Cousine d’un ancien cadre du ministère de l’Intérieur, traqué par la coalition internationale, elle est devenue une "prisonnière de sécurité". Son crime ? Rien de prouvé. Son châtiment ? Une nudité imposée, crue, humiliante.
Mounia, femme pieuse, toujours drapée de la tête aux pieds, conforme aux codes de sa foi musulmane, a été dépouillée de tout. Son avocat, sidéré, raconte le choc : "Ma cliente, nue, exposée, enchaînée comme un animal." Officiellement, cette nudité est une mesure de "sécurité" pour prévenir la contrebande. Mais un responsable, sous couvert d’anonymat, lâche une vérité plus sordide : "On les force à rester nues pour les briser, pour les punir." Les femmes musulmanes, en particulier, sont visées, leur pudeur transformée en arme contre elles.
À son arrivée, Mounia a subi une fouille à nue, procédure standard. Mais ce qui suivit n’a rien de standard : on lui a refusé tout vêtement. "Pas d’autorisation", a-t-on justifié. Dans l’Irak brûlant, où la chaleur suffocante rendrait le port de vêtements facultatif selon certains gardes, elle est laissée à vif, sans voile, sans dignité, sans aucun signe de sa culture ou de sa religion. Le statut de "prisonnière de sécurité"
Liens : Rapport visite prison
lundi 21 avril 2025
C'est le bizutage il faut marcher nue en public.
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Parader à poil pendant le bizutage. |
La marche nue et public lors du bizutage étudiant.
Le soleil de fin septembre cogne sur le campus universitaire, transformant le chemin central en un ruban de bitume brûlant. Inaya, nue, les poignets liés dans le dos par une corde en nylon, avance en dernière position de la file des quatre amies, forcées à défiler dans le cadre du bizutage cruel de la phase deux. Les anciens, bandanas rouges au cou, encadrent le groupe, hurlant des ordres obscènes pour humilier les premières années. La foule, massée de part et d’autre du chemin, est un mur de regards avides, de sifflets et de rires moqueurs.
Clara, la cheffe des anciens, marche à côté, un mégaphone à la main. « Remuez vos culs, les salopes ! Faites les coquines, ou on vous le fera regretter ! » Solène, en tête, obéit avec un enthousiasme provocateur, ondulant des hanches, ses fesses rondes rebondissant à chaque pas. Ses seins généreux tressautent, attirant des cris enthousiastes. Mélanie, juste derrière, avance tête baissée, ses joues écarlates, ses seins menus frémissant sous l’effort, sa peau pâle luisant de sueur. Élodie, troisième, grogne des insultes à voix basse, mais ses hanches musclées roulent malgré elle, son corps athlétique captant les regards.
Inaya, dernière, sent chaque pas comme un coup de poignard. Ses pieds nus, délicats et peu habitués à la rudesse du sol, s’écorchent sur les graviers incrustés dans l’asphalte. La chaleur du bitume irradie à travers ses plantes de pieds, lui arrachant des grimaces qu’elle dissimule sous un masque de défi. Sa peau mate, luisante sous le soleil, expose chaque courbe de son corps : ses seins pleins, aux aréoles sombres légèrement durcies par la brise, son ventre plat, et son pubis soigneusement épilé, vulnérable aux regards. Ses cheveux noirs, libérés de son hijab, cascadent sur ses épaules, collant à sa peau moite.
« Regardez la voilée ! » hurle un étudiant dans la foule, déclenchant des rires gras. « Montre ton cul, la sainte ! » Inaya serre les dents, son cœur battant à tout rompre. Elle refuse de baisser les yeux, défiant les spectateurs d’un regard brûlant. Ses hanches, malgré elle, suivent le rythme imposé par Clara, qui tape des mains comme un métronome. « Plus sexy, Inaya ! Balance-toi, ou on te fait ramper ! »
Chaque pas accentue son humiliation. La corde mord ses poignets, tirant ses épaules en arrière, forçant sa poitrine à s’offrir davantage. La foule scande : « À poil ! À poil ! » Des sifflets fusent, mêlés de commentaires crus : « Joli cul ! » « T’as déjà baisé, la coincée ? » Un ancien, posté sur le côté, tente de filmer avec son téléphone, mais Marc, un autre organisateur, le stoppe d’un geste sec : « Pas de vidéos, crétin ! On a dit pas de preuves ! »
Le chemin traverse le cœur du campus, longeant la bibliothèque vitrée où des étudiants collent leurs visages aux fenêtres, et le parvis du bâtiment administratif, où même quelques professeurs observent, l’air amusé ou gêné. In Inaya sent la honte l’envahir, mais elle canalise sa rage. Elle pense à ses amies, à leur pacte de rester unies. Solène, devant, se retourne brièvement et lui lance un clin d’œil : « T’es une bombe, meuf ! » Inaya esquisse un sourire crispé, puisant du courage dans ce soutien.
À mi-parcours, Clara ordonne une pause humiliante. « Tournez-vous, montrez vos culs ! » Les filles obéissent, pivotent pour offrir leurs fesses à la foule. Inaya, les joues en feu, se plie, exposant son postérieur rond et ferme. Les cris redoublent : « Secoue-le, la voilée ! » Elle obéit à contrecœur, ses fesses frémissant sous les rires. La honte la submerge, mais elle se redresse, refusant de craquer.
La marche reprend, plus lente, pour prolonger l’épreuve. Inaya sent ses jambes trembler, ses pieds douloureux, mais elle avance, déterminée. Le chemin s’achève près de l’amphithéâtre en plein air, où le prochain défi attend. Clara hurle : « Bien joué, les putes !
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samedi 7 décembre 2024
La revue des anus lors du bizutage.
Le bizutage est souvent un évènement très marquant dans la vie des jeunes filles, car c'est l'une des premières fois qu'elles sont totalement exhibées lors de ce rituel traditionnel qui existe et perdure depuis au moins le moyen âge voir avant.
Dans cette école d'ingénieurs, qui est d'ailleurs très réputée et fournie les grandes entreprises en brillant technicien et spécialiste, le bizutage est toujours pratiqué et parfois très difficile à vivre pour les filles.
Aucune place pour la pudeur, les anciens sont sans pitié, insensibles voir même brutaux et obligent les nouvelles, de gré ou de force, sous une terrible pression à se déshabiller, et complétement.
Se retrouver toute nue devant du public et des anciens hilares, sans rien pour se couvrir et pieds nus rend les filles dans une situation ou elles se sentent très vulnérables. Les filles de toutes cultures et toutes religions différentes sont à poil, avec l'obligation de s'exhiber et de prendre des positions obscènes devant tout le monde.
Les bizutes défilent nues les mains sur la tête pleine de honte dans les couloirs des bâtiments de l'école et dans la cours et les environ, sous le contrôle strict des anciens qui les insulte et se moquent continuellement des filles en parlant de leurs grosses fesses, ou grosse chatte odorante , d'anus sale, de petit seins, de mamelle de vache, les filles aux chattes poilues sont rasées.
Les filles sont appelé par des surnoms pervers en rapport avec leurs corps, comme "petit nénés" Gros cul graisseur" "mamelle de vachette" etc.
Les attouchements et claques sur les fesses sont réguliers, les seins palpés, les tétons tirés et pincés aléatoirement et régulièrement sur le chemin du défilé.
Vers la fin du parcours, et en public, les filles doivent se pencher et écarter les fesses pour la traditionnelle "Revue des anus".
Les anciens invitent les passants à regarder dans les orifices des filles, à faire des commentaires sur l'hygiène, ou la pilosité, et à se moquer des filles aux fesses ouvertes à la vue de tous.
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mercredi 4 décembre 2024
Déshumaniser les prisonnières.
dimanche 1 décembre 2024
Interrogatoire renforcée d'une jeune femme pudique
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Utiliser les craintes des détenues pour les faire parler. |
J'ai commencer ma carrière d'agent du renseignement militaire avec le colonel Mc Kenzie, un vétéran expérimenté de la contre insurrection et de la lutte contre le terrorisme. Nous étions en poste sur le terrain pendant la guerre en Irak et nous avions comme consignes de collecter le plus d'informations possibles et de qualité sur la localisation et les habitudes des chefs rebelles liés à la résistance irakienne.
Nous travaillions sur le terrain en collaboration avec les forces armée régulière et la CIA. En fin de journée d'une chaude journée de printemps, dans un quartier Bagdad pourtant censé être sécurisé, nos troupes avaient subies 2 attaques et des tirs de mortiers étaient partis de la zone pour atteindre la zone verte. En réaction l'armée a effectué plusieurs raid sur le quartier et arrêté une vingtaine de personnes susceptible d'être complice ou témoin.
Parmi ces gens nous avions capturé Safia, une jeune femme d'environ 25 ans, habitante du quartier et étudiante en doctorat de physique à l'université de science. Elle portait comme toute bonne musulmane un joli hijab noir (foulard porté par les musulmanes pratiquantes) en tissu brodé, une tunique beige qui descend jusque aux genoux , un jean et des baskets. Elle parlait un anglais parfait et avait voyagé plusieurs fois en Europe et en Amérique. C'est une fille de famille de classe moyenne ayant réussi.
Après le raid les prisonniers ont été conduit dans la petite base ou nous opérons pour faire du renseignement. Safia était la seule femme du lot.
La protocole dans ces circonstances obligent les soldats à effectuer des fouilles et de déshabiller les prisonniers, les suspects sont mis à poil, ils doivent même retirer leurs slip et leurs chaussettes.
Concernant Safia, son cas et remonté aux oreilles du colonel Mc Kenzie, car il est rare que des femmes soient arrêtées et transférées ici et donc son cas méritait réflexion concernant l'attitude à avoir.
Le militaire expérimenté a décider qu'elle devait être traitée comme les hommes, selon la procédure en vigueur dans l'armée. Les soldats ont confisqués les vêtements et les chaussures de la prisonnières, le colonel a même fait rappeler à ses gars que la détenue devait enlever ses chaussettes, car nous sommes dans un pays chaud, le sol n'est pas froid donc elle doit aussi être pieds nus.
Après avoir donner ses consignes, nous avons attendus une dizaine de minutes que les soldats préparent Safia, c'est à dire la déshabiller et la fouille.
La détenue est conduite dans la salle d'interrogatoire en pleurant et rouge de honte, elle est totalement à poil devant des hommes !
La jeune fille est placée sur une estrade avec de la lumière devant les interrogateurs.
Elle croise les jambes et tente de cacher ses seins avec ses long cheveux.
Le colonel prend la parole sur un ton strict :
- Tu es bien Safia G ?
- Oui répond la jeune femme en tremblant et tentant de dissimuler son corps.
- Quel âge as tu ?
- J'ai 25 ans.
- Es tu bien de nationalité irakienne et née à Kirkouk ?
- Oui vos informations sont justes.
- Quelle est cette posture, c'est interdit de croiser les cuisses, et tu dois mettre tes mains dans le dos et empêcher tes cheveux de cacher ta poitrine. Lui dit sur un ton moqueur le colonel.
- Mais je suis toute nue répondit Safia paniquée
- Et alors ! sur des intonations tout de suite plus agressives, écarte les cuisses et mains dans le dos ou je te fouette !
Safia n'a pas le choix elle est déjà terrifiée.
- Alors ça fait quoi de montrer ta chatte rasée et tes mini seins à des américains ? avec un sourire narquois et pervers , Des seins tout petit en riant.
- Hahahahhaaa hiihiiiiiii s'exclame l’interrogateur en pointant la poitrine de la détenue.
Safia rougit encore plus et se retient de pleurer.
- REPOND A LA QUESTION SALOPE !
- C'est honteux monsieur répond Safia avec une petite voix.
- Tu es pourtant selon mon dossier une femme pieuse et respectable, bonne musulmane, voilée, et là tu t'expose avec ta chatte humide et rasée devant des soldats américains, qu'est ce que ta famille va penser ?
- Ils vont me tuer, me renier ... répond Safia.
- Nous interdisons aux femmes prisonnières de porter des vêtements et des chaussures, et bien sur les pieds nus aussi. Dit Mc Kenzie en ayant la culotte culotte et les chaussettes de la jeune fille dans les mains. Tout le monde vas te voir à poil.
- Oui dit Safia en pleurant, s'il vous plaît arrêtez
- C'est moi monsieur.
- Qui est quoi !?
Je suis toute nue et pieds nus monsieur, vous m'avez fait horriblement fouillée avant d'entrer dans ce bureau et j'ai aussi interdite de garder mes chaussettes ...
Mc Kenzie sort son appareil photo et prend quelques clichés de la prisonnière nue.
- Je vais envoyer ça à ta famille et mettre ça sur internet pétasse.
- Non non non non ! arrêtez s'il vous plait ! s'exclame la fille en détresse.
- Tu mouille salope, tu voudrais qu'un régiment te baise ? en quelque claquement de doigt je peux appeler des soldats qui feront un gang bang et te prendront par la chatte et le cul ... sauf si tu coopère...
- Pitié pitié non, Safia a peur.
- Oui alors tu ferais mieux de parler. Qui sont les rebelles dans ton quartier ?
La jeune femme à dénoncer la plupart de ses voisins et collègues de travail, elle ne sait manifestement rien mais elle a cracher tout ce qu'elle pouvait. Les soldats l'ont libérer quelques heures après.
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lundi 25 novembre 2024
Le défi du bizutage
lundi 18 novembre 2024
Les femmes n'ont pas le droit de porter de vêtements en prison.
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Femme nue et pieds nus en prison. |
Nudité totale pour la jeune prisonnière pudique.
Dans la prison militaire d'Abou Ghraib, les femmes irakiennes musulmanes et arabe comme Meriem n'ont pas le droit de couvrir leurs corps et doivent rester nues en permanence et devant tout le monde.
Au mépris de leur culture et de leur religion, ces pauvres femmes souvent innocentes, dont le seul "crime" est d'avoir un proche recherché par la coalition sont soumises à des conditions de vie terriblement humiliante.
Ce qui choque le plus Meriem et ses compagnes, c'est l'obligation d'être nue.
Les musulmanes pratiquantes sont très pudiques et portent le voile (hijab) et sont couvertes de la tête aux pieds. Alors les responsables des interrogatoires, pour utiliser les tabous culturels et les faiblesses des prisonnières décident qu'elles doivent être nues et pieds nus en permanence.
Meriem qui était voilée et couverte de la tête aux pieds doit se soumettre aux ordres des gardiens, elle n'a de toute façon pas le choix car les femmes récalcitrantes qui tentent de se rebeller sont mise à poil de force et sans ménagement, elle sait que toute résistance est stupide et inutile et ne fera qu'augmenter ses problèmes. De plus tout refus de coopérer est punit "du mitard", enfermement à poil dans une mini cellule isolée ...
La détenue doit subir de multiples fouilles plusieurs fois par jours, les gardiens estiment qu'en apprenant à montrer son vagin, son anus, ses fesses, ses pieds, la jeune femme oubliera sa pudeur et deviendra comme les femmes américaines occidentales.
Meriem demande souvent pourquoi est ce qu'on la fouille puisque elle est toute nue et qu'ils savent qu'elle ne cache rien. La réponse est qu'elle doit se soumettre et montrer son corps à tous le monde en guise de punition et qu'il ne faut plus ressentir de pudeur et adopter le nudisme. Et qu'il faut quand même contrôler ce qu'elle pourrait cacher dans ses fesses ...
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vendredi 15 novembre 2024
Le cas d'une jeune prisonnière pudique.
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Femme prisonnière fessée nue car pudique. |
Mise à poil sans ménagement en prison.
Abou Ghraib en avril 2004.
Sa famille et ses amis avertirent plusieurs fois Maya, 22 ans, qu'elle devait faire attention à ce qu'elle dit et ce qu'elle fait. Cette jeune fille musulmane irakienne refuse de voir son pays occupé par les troupes américaines et a émis des critiques un peu trop prononcées au yeux des autorités d'occupation.
C'est une fille assez timide et réservée, elle est célibataire et n'a pas de petit ami. Elle porte le voile et de longues robes arabes traditionnelles depuis l'âge de 16 ans. Elle une musulmane assez pratiquante, cette jeune fille ne s'est jamais mise de maillot de bain à la plage ou à la piscine par respect de sa religion et des valeurs de pudeur et de modestie que sa famille lui à transmise et enseigner depuis son enfance.
Mais elle n'a pas sa langue dans sa poche, même si c'est une personne assez introvertie, quand elle n'accepte pas quelque chose, elle le dit et le manifeste et est capable de s'énerver. Bien que l'incident soit assez minime, il lui a valut de passer plusieurs semaines en détention, sous le statut de "combattante ennemie" et "détenue de haute valeur" pour avoir dénoncer le fait que certaines étudiantes se prostituaient avec des soldats américains. L'une de ces dernière l'a dénoncer à ses "clients" pour se venger.
La jeune fille ne s'attendait pas à se faire arrêter pour ça, et encore moins se retrouver dans la tristement célèbre prison d'Abou Ghraib.
En arrivant dans la prison, dans l'aile féminine du site, il faut savoir que la fouille est un élément clé du processus, la jeune détenue a découvert stupéfaite et terrifiée qu'en prison son hijab est interdit, ainsi que les robes traditionnelles arabe.
Mais pas seulement, d'abord pour l'inspection, c'est toute nue, totalement à poil qu'il faut être, il faut aussi enlever les chaussures, la jupe, le T Shirt, la montre, les bijoux, et bien sur aussi la culotte, le soutien gorge et même les chaussettes !
Les gardiens n'ont aucun respect pour les coutumes et la religion des captives, et ne tolèrent pas la pudeur et la modestie, c'est nue et pieds nus en permanence.
Maya a beau pleurer, protester et supplier, les gardes s'en amusent.
Manifester de la pudeur est interdit, Lorsque Maya tente de dissimuler ses seins ou son sexe, elle est fessée et menacée d'aller au cachot pour ça.
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mercredi 13 novembre 2024
Les écologistes séquestrent et humilient les filles d'un industriel.
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Deux filles ligotées nues dans la foret. |
Les opérations coup de poing des militants écologistes.
Jean Wallon, un industriel important dans la région refuse de céder et compte bien détruire toute les forêts pour y implanter ses usines et jeter librement ses déchets et produits chimiques dans les fleuves et rivières des environs.
Avec le nouveau gouvernement français d'ultra droite, la justice a donner raison au patron, car celui qui à l'argent détient le pouvoir. Les organisations vertes et écologiques qui défendent la nature sont très en colère et certains militants ont décider de passer à l'action.
L'une des filles de l'homme d'affaire voulait organiser un concours de SUV très polluant après avoir fait raser une partie de la forêt. Mais elle et sa sœur ont été kidnappées et séquestrées par les écologistes radicaux pendant qu'elles allaient à un rendez vous en vue d'organiser leurs plan.
Les militants ont forcer les deux filles à se mettre toute nues devant tout le monde pour bien les humilier, les pauvres bourgeoises habituées à être traitées avec respect et référence sont ici malmener. C'est pas "madame" ou mademoiselle" qu'on les appel ici, mais "pute", "salope", "chienne".
Les pauvres paradent nues sous les huées et sont forcées de s'exhiber dans la nature.
Les filles ont été retrouvées par la police ligotées totalement à poil après que des photos d'elles nues aient été publiées sur les réseaux sociaux.
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mardi 12 novembre 2024
Les épreuves humiliantes du bizutage à l'IUT.
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Les épreuves du bizutage à poil. |
Dans cet IUT (Institut Universitaire de Technologie) de province, les anciennes sont très imaginatives en terme de brimades et d'humiliations à imposer aux nouvelles.
Comme dans tout bon bizutage qui se respecte, les nouveaux et les nouvelles doivent se mettre totalement à poil (nue et pieds nus). Et il y a plein de concours et d'épreuves rabaissante et dégradantes à faire subir.
Des nouvelles sont prises au hasard sont soumises à toutes sortes de jeux et test, comme devoir parader nues sur le campus, mimer des relations sexuelles, danser nue.
Il y a aussi des concours de "miss bizute", et des épreuves sportives, dont la pratique concernant à mettre plusieurs filles à quatre pattes comme des chiennes et faire tenir entre leurs fesses des petits bâtonnets fluoresçant.
Cette épreuve n'est pas si facile que ça, et nécessite d'avoir de l'endurance dans les muscles des fesses. Et c'est aussi très infamant pour les filles ...
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lundi 11 novembre 2024
Punir les filles récalcitrantes lors du bizutage.
samedi 9 novembre 2024
Deux prisonnières nues en prison
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Deux prisonnières nues. |
Des femmes interdites de porter des vêtements en prison.
vendredi 8 novembre 2024
La prison d'Abou Ghraib
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L'humiliation de la nudité forcée ressentie par les femmes prisonnières. |
Les femmes humiliées et soumises.
mardi 5 novembre 2024
Le calvaire des femmes en prison.
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Les prisonnières nues pour la fouille collective. |
Plusieurs rapports déclassifiés révèlent que les femmes irakiennes détenues par les forces américaines dans la prison militaire d'Abou Ghraib en Irak sont soumises à des traitements inhumains et dégradant et à des formes d'humiliations sexuelles.
Ce qui est le plus marquant c'est qu'elles sont forcées à se déshabiller complétement, au mépris de leur culture et de leur religion. La nudité totale est la règle, les prisonnières musulmanes pudiques et souvent voilées sont conditionnées psychologiquement pour vivre nues. Les voiles (hijab) abaya, robes traditionnels sont raillés et détruits devant les détenues. Elles doivent tout enlever même leurs culottes, leurs bas et leurs chaussettes, les gardes confisquent même les tampons hygiéniques des détenues ...
S'exhiber nues devant des hommes fait partie de la routine, les femmes ne doivent jamais manifester le moindre signe de pudeur sous peine d'être battues, fouettées ou fessées. Elles n'ont pas le droit de tenter de cacher leurs seins, leurs chattes ou leurs fesses avec leurs mains.
Les fouilles se déroulent nues et souvent de façon collective et en présence d'hommes ou elles doivent ouvrir la bouche, se faire inspecter le nez et les oreilles, écarter les fesses en ouvrant l'anus, se faire fouiller le vagin et même se faire contrôler la plante des pieds et les orteils.
Les prisonnières sont prises en photo nues et ces images sont placardées sur les portes de leurs cellules et couloir de la prison avec leurs noms, prénoms, adresses etc.
Les prisonnières doivent se dire fière d'être nues et pieds nus et remercier les troupes américaines de les avoir libérer de leurs vêtements.
Lien :
Deux prisonnières de guerre nues.