vendredi 12 septembre 2025

Toute nue pour la visite médicale.

Se déshabiller pour la visite médicale sans pudeur
Toute nue pour l'examen médicale de la fac.

 

La visite médicale universitaire.

 

À l'Université de Paris, la visite médicale obligatoire pour les étudiantes de première année prenait une tournure encore plus humiliante. Léa, la libertine audacieuse en mini-jupe et top décolleté, Aisha, la musulmane voilée dans sa longue robe modeste, et Marie, la brunette ordinaire en jeans et sweat-shirt, attendaient nerveusement dans la salle d’attente du centre médical. Une pancarte à l’entrée précisait : « Pour des raisons d’hygiène, toutes les étudiantes doivent se présenter pieds nus. » Les trois filles, déjà mal à l’aise, ôtèrent leurs chaussures, exposant leurs pieds nus sur le carrelage froid. Léa arborait une pédicure rouge éclatante, Aisha des pieds délicats et légèrement calleux, et Marie des pieds simples, sans vernis, un peu rougis par la gêne.

L’infirmière, Mme Dupont, les appela d’un ton sec : « Mesdemoiselles, suivez-moi. L’examen se fera en groupe pour gagner du temps. Le Dr. Moreau et son interne, Julien, vous attendent. » La salle d’examen, stérile et intimidante, sentait l’antiseptique. Une table gynécologique trônait au centre, entourée d’instruments luisants et de miroirs grossissants. Le sol glacé sous leurs pieds nus amplifiait leur vulnérabilité. Le Dr. Moreau, un homme imposant au regard dominateur, les toisa. Julien, l’interne de 25 ans, semblait nerveux mais excité, ses yeux glissant sur leurs pieds exposés.

« Déshabillez-vous jusqu’à la culotte et le soutien-gorge, et asseyez-vous sur la table. Restez pieds nus, bien sûr, » ordonna le docteur, sa voix chargée d’une autorité implacable. Léa se dévêtit avec aisance, sa lingerie rouge contrastant avec ses pieds vernis, qu’elle remuait avec un sourire provocant. Aisha, tremblante, ôta sa robe et son hijab, révélant une culotte blanche et un soutien-gorge simple, ses pieds nus semblant si fragiles sur la table. Marie, rouge de honte, se déshabilla à contrecœur, ses pieds nus crispés contre le métal froid.

« Enlevez vos soutiens-gorge, » commanda le Dr. Moreau. Léa libéra ses seins voluptueux, ses tétons déjà durs sous l’air frais. Aisha, au bord des larmes, dégrafa le sien, exposant une poitrine menue, ses pieds se recroquevillant de honte. « Pas de pudeur ici, baissez les bras, » gronda le docteur. Marie suivit, ses seins moyens frémissant, ses pieds nus pressés l’un contre l’autre pour se réconforter.

Julien s’approcha, gants en latex, pour la palpation mammaire. « On vérifie les anomalies. » Il commença par Léa, soupesant ses seins, pinçant ses tétons durcis. « Bien fermes, et regardez ces pointes… Très sensibles, » commenta le docteur avec un rictus salace. Léa gloussa, ses orteils se crispant d’excitation. Pour Aisha, l’examen fut un supplice : Julien malaxa ses seins délicats, tirant doucement sur ses tétons sombres. « Votre corps réagit malgré vous, n’est-ce pas ? » murmura-t-il, ses yeux glissant vers ses pieds nus, qu’elle essayait de cacher. Marie subit le même traitement, ses tétons pincés sous les regards des autres, ses pieds nus exposés ajoutant à son humiliation.

« Maintenant, enlevez vos culottes et mettez-vous à quatre pattes sur la table, côte à côte. Pieds bien visibles, talons relevés, » ordonna le Dr. Moreau. Léa s’exécuta avec un frisson de plaisir, son sexe rasé luisant, ses pieds cambrés mettant en valeur sa pédicure. Aisha, en pleurs, révéla une toison soignée, ses pieds nus tremblants alors qu’elle se positionnait en levrette. Marie, mortifiée, exposa son intimité, ses pieds nus crispés contre la table. Le docteur s’approcha avec un thermomètre rectal. « Julien, prenez la température. Et notez l’état des pieds – l’hygiène est essentielle. »

Julien, lubrifiant le thermomètre, l’inséra d’abord dans l’anus de Léa, qui gémit doucement, ses orteils se recourbant. « Trois minutes. Et vos pieds sont impeccables, mademoiselle, » dit-il, effleurant sa voûte plantaire, ce qui la fit frissonner. Pour Aisha, l’invasion fut un choc, son corps se crispant, ses pieds nus se contractant sous l’humiliation. « Détendez-vous. Vos pieds sont propres, mais un peu secs. On vérifiera mieux après, » commenta le docteur, sadique. Marie haleta lorsque le thermomètre pénétra son anus, ses pieds nus tressaillant sous le regard perçant de Julien.

Ensuite, le lavement. Julien inséra une poire d’eau tiède dans chaque anus, une par une. Léa rit nerveusement, ses orteils s’agitant alors que le liquide la remplissait. Aisha murmura des prières, ses pieds nus crispés de honte. Marie serra les dents, ses pieds glissant légèrement sur la table. « Retenez cinq minutes, puis allez aux toilettes. Et marchez pieds nus, pas de chaussures dans cette salle, » ordonna le docteur, les forçant à rester exposées, leurs pieds nus ajoutant une couche d’humiliation.

Après le lavement, elles furent pesées et mesurées, toujours nues et pieds nus. Le Dr. Moreau inspecta leurs pieds de près, palpant les voûtes et les talons. « Léa, pédicure parfaite, mais un peu d’audace dans votre démarche, non ? Aisha, vos pieds sont délicats, mais trop crispés – détendez-vous. Marie, pieds ordinaires, mais propres. » Les commentaires, mêlés de sous-entendus, amplifiaient leur malaise.

Enfin, la position gynécologique : jambes écartées dans les étriers, sexes exposés, pieds nus bien en vue. Le docteur examina la vulve de Léa, écartant ses lèvres. « Humide, comme prévu. Et ces pieds cambrés… Vous aimez être regardée, n’est-ce pas ? » Léa frissonna, ses orteils se contractant. Pour Aisha, l’examen fut un calvaire : « Une vulve si pure, mais réactive. Vos pieds tremblent, c’est révélateur, » dit-il, insérant un spéculum avec des commentaires vicieux. Marie, les jambes écartées, sentit les doigts gantés explorer son vagin et son anus, tandis que Julien caressait distraitement la plante de ses pieds, ajoutant une humiliation subtile. « Bien dilatée. Et ces pieds, si sensibles… »

L’examen s’acheva sur un dernier ordre : "Rhabillez-vous" Les trois filles, marquées par cette domination psychologique et l’exposition de leurs corps – pieds nus inclus – quittèrent la salle, emportant avec elles un mélange de honte, de stress et d’étranges frissons.

 

Lien : 

 

Lesbienne à la visite médicale. 

 

 

 

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