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mercredi 11 septembre 2024

Travaux forcés, humiliations et réhabilitation.

Deux femmes nues aux travaux forcés.
Corvée toute nue.

Les centre  régionaux de prévention de la délinquance.

"Ces deux femmes ont violer la loi et vous ne devez avoir aucune pitié ni compassion pour elles" c'est par cette écriteau que les clients de ce centre commercial ultra moderne ont pu découvrir  deux femmes totalement nues obligées de nettoyer les toilettes en cette mâtinée.

Pour limiter l'engorgement des prison tout en étant efficace contre la délinquance, le gouvernement à décider de laisser se développe des centres de prévention et de réhabilitation comme alternative à la prison. Ces centres organisés localement par les forces de police et les tribunaux locaux s'occupent  accueille des femmes ayant commis diverses légères incivilités.

Le juge chargé de la mise en œuvre de ce projet est adepte des travaux d'intérêts généraux et des humiliations publics comme alternative à la prison. Ces méthodes controversés sont pourtant jugées légales car pleinement efficaces.

Elodie et Linda sont pendant une semaine condamnée à nettoyer le centre commercial géant, et pour rendre la punition mémorable et vraiment dissuasive, les deux femmes sont nues et pieds nus.

Lien :

Brimades et humiliation en foyer pour jeunes filles.


dimanche 18 février 2024

Les règles de la prison des femmes d'Abou Ghraib

 

Les prisonnières doivent faire les corvées et travaux forcés à poil.
Une prisonnière nue lors des travaux forcés.
 

Notes et révélations sur les consignes données par l'armée et la CIA pour traiter les prisonnières d'Abou Ghraib.

 

Suite au scandale concernant les abus et les tortures subies par des prisonniers irakiens entre les mains des américains pendant la seconde guerre du golfe (2003/2011), c'est vite poser la question du traitement des dizaines de femmes retenues dans ce terrible complexe pénitentiaire. Plusieurs journalistes et chercheurs ont découvert que ces abus ne sont pas le fruit de la perversion de brebis égarées, mais un système mis en place et pensée par les plus hautes autorité du renseignement militaire et de la CIA. Des notes ayant valeurs de consignes et de règlement à appliquer aux femmes comme lignes directrices ont été données au staff pénitentiaire.

 

 Pour plus d'information sur le contexte historique et politique veuillez vous référer à ce lien.

 

Les méthodes d'interrogatoires renforcés utilisées :


Les interrogateurs estiment qu'il faut utiliser les tabous culturels et religieux des prisonniers, et comme la nudité est particulièrement infamante pour les arabes, toutes les personnes incarcérées doivent donc être nues.

Les prisonnières doivent être nues en permanence, les femmes musulmanes doivent être déshabillées lors du processus d’incarcération, les gardes doivent veiller à ce qu'elles enlèvent tout. Elles sont pudiques et voilées de la tête aux pieds et les gardiens sont sans pitié et les force à tout retirer, bien sur que les femmes enlévent leurs robes et leurs voiles, les culotte aussi et les gardes interdisent même les tampons hygiéniques !

Les fouilles des cavités (bouche, oreils, anus, chatte, orteils) plusieurs fois par jours pour s'assurer qu'elles ne cachent rien. 

Les femmes doivent être exposées nues pour une humiliation totale, entre elles,  devant les gardiens mais aussi devant les prisonniers masculins.

C’est plus efficace de forcer les femmes à s’exhiber devant leurs communautés, elles paradent nues devant des hommes qui peuvent être leurs époux, cousins, voisins, employés, frères etc.

Obligation de travailler à poil en prison.
Une prisonnière nue lave et nettoie le sol.


Les prisonnières doivent apprendre l’humilité, en étant nues et pieds nus. Elles doivent s'exhiber devant leur proches.

Les femmes sont utilisées comme moyen de pression sur les hommes, qui prennent vite peur, car ils savent que si  une femme de leur entourage est capturée, et bien elle sera exposée comme un trophée par les américains.

Les femmes lors des défilés doivent se présenter, dire leurs noms, prénoms, ville, confession religieuse, profession tout en montrant leurs corps aux hommes irakiens.

Les hommes doivent bien comprendre que si leurs femmes, sœurs ou filles sont arrêtées, elles subiront le même sort.

Travaux forcés et corvées: Chaque femme doit à tour de rôle servir les repas des autres prisonnières et prisonniers, c'est une habitude qu'on pris les gardes pour obliger les femmes à perdre leur pudeur.

Les femmes doivent aussi effectuer diverses taches et corvées comme nettoyer le sol, laver les murs, balayer, récurer. Tout doit briller et être propre.

Les gardiens obligent les prisonniers et prisonnières à marcher pieds nus et si leurs pieds sont sales les autres détenues doivent les lécher.

Les fouilles : les femmes sont soumises à plusieurs inspections des cavités par jours pour vérifier qu'elles ne dissimulent rien et surtout apprendre l'humilité. Elles doivent régulièrement faire une sorte de chorégraphie ou elles exposent leurs cheveux, doivent ouvrir la bouche, , soulever, leurs seins, écarter les fesses pour montrer l'anus, ouvrir les lèvres de leurs chattes, secouer les orteils.

L'homosexualité et la masturbation : Les prisonnières sont régulièrement forcées d'avoir des relations lesbiennes et de se toucher la chatte jusque à la jouissance.

Les gardiennes utilisent les femmes pour les soulager sexuellement.

Sport et épuisement : Courir, sauter, sautiller, faire des squats et des flexions  jusque à l'épuisement, sous les rires et moqueries des surveillants qui regardent leurs seins et fesses bouger dans tous les sens.

Autocritique et conditionnement mental : Les détenues doivent critiquer leurs cultures d'origine et rejeter le port de vêtements et de chaussures.

Photos et vidéos :les photos des prisonnière nues dans des positions obscènes sont placardées partout dans la prison.


Liens :

 

L'humiliation comme mode de gestion de la prison.

dimanche 28 janvier 2024

La stricte discipline de la prison pour femme.

 

Corvée et travaux forcés en prison
Travail forcé , une prisonnière nue lave.

La prison doit punir et dresser. 

Dans la prison d'Abou Ghraib, pendant la seconde guerre du golfe, les forces armée américaines détiennent des milliers de prisonniers irakiens, dont des femmes. Les conditions de détentions sont très strictes et sévères. Hoda, une irakienne de 33 ans, arrêtée par les forces américaines pour soupçon de financement de la rébellion et pour ses liens avec l'ancien régime raconte dans un journal avoir subie un traitement difficile.
 
La trentenaire s'est retrouvé emprisonnée à Abou Ghraib pendant 5 mois, elle affirme avoir vécu des moments éprouvants et reste choquée même après sa libération.

Dans son long témoignage que nous résumerons ici, elle rapporte que les soldats américains ont fait du secteur ou sont détenues les femmes "un enfer", "une machine à broyer" et que tout est fait pour avilir et "dresser" les prisonnières.
 
Elle nous apprend que les prisonnières irakiennes sont gardées en confinement solitaire dans de petites cellules d'un mètre sur deux, sombre, sans confort (pas de matelas, toilette à la turque, nourriture fade etc.). Avec l'interdiction de parler sans autorisation, l'obligation de baisser les yeux devant les américains etc.

Comme pour les  prisonniers de sexe masculin, Hoda doit passer son séjour nue. Les prisonnières musulmanes et chrétiennes sont toutes interdites de porter des vêtements. Les américains pour dresser et "décoincer "les détenues, dont la pudeur est jugées "archaïque" et contraire à la culture démocratique ont fait de la prison "un centre nudiste".
 
Hoda a vue ses vêtements être découpés et détruit par les gardiens en arrivant, sa culotte volée, et ses chaussures confisquées.

Les femmes comme elle qui porte le voile et de longue robe arabe traditionnels sont systématiquement déshabiller complétement devant des hommes et en publique. Hoda s'est faite mettre à poil devant tout le monde, les gardiens sont très rudes et ordonnent en hurlant en arabe et en anglais "A poil !" "Allez vite salope! ", "déshabillez vous", "faut tout enlever !"
"Si vous ne supportez pas de vous trimbaler les fesses à l'air fallait pas être des terroristes !".

Les gardes sont sans aucun respect et ne ressentent aucune pitié ni empathie lorsqu'une femme arrive. C'est même avec un plaisir sadique non dissimulé qu'ils humilient les prisonnières. La nudité forcée et les fouilles des cavités sont l'une des bases du "traitement". 
"Vous êtes peut être pudique, mais nous, on vous met à poil, on vous interdit de porter vos vêtements ridicules et obscurantistes, vous aimez vos hijabs, vos voiles, vos larges robes, et bien ici, vous êtes sans rien ! Vos chattes sont à l'air et vous vous promenez cul nu".

 
"Salope, on va t'apprendre à faire la pudique, tu retire tout, tes chaussures et tes chaussettes aussi."
 
Hoda est ensuite inspectée de la tête aux pieds avec fouille des cavités (doigt ganté et lubrifié dans le cul et la chatte). Les détenues sont très régulièrement soumises à des fouilles anales et vaginales.

Les détenues sont aussi photographiées nues et pieds nus, subissent un prélèvement d'ADN, des relevées d'empreinte digitales.

Les femmes pendant leur période de détention doivent rester nues, elles ont l'interdiction de porter des vêtements ou de couvrir leurs corps.

Hoda explique que cette politique de nudité forcée est ordonnée par les plus hautes sphères dirigeantes de la prison. Un gardien lui aurait expliquer que les ordres sont de forcer les prisonnières à rester nues en permanence à la fois pour des raisons de sécurité et d'économie (absence de moyens de fournir des uniformes). Mais aussi pour instrumentaliser leurs craintes culturels et religieuses. Les femmes arabes et musulmanes doivent être rééduquées et reconditionnées pour perdre toute pudeur et modestie.
 
La nudité totale et permanente des prisonnières est la règle ici. Hoda nous dit que toutes les femmes sans exception sont obligées de s'exhiber en permanence. 
 
Les repas sont distribués les matin, midi et soir, et une femme est chargée de les servir aux autres détenus, hommes et femmes. Hoda était  régulièrement obligée de servir nue certains homme de son quartier qui l'ont reconnue. 
 
Les américains aiment forcer les femmes à être nues devant leurs proches.
 
Les douches sont collectives, et se déroulent devant les gardiens qui ont le droit de vérifier que les femmes se lavent bien la chatte et les fesses. 

En plus des distribution, les femmes doivent aussi "travailler" et faire toutes les corvées nécessaires au bon fonctionnement et à la propreté de la prison.

Les prisonnières nues récurent le sol, le nettoient, passent le balais et la serpillière sur le sol, lavent les douches. Tout doit être nickel sous peine de sanction collectives et de punitions.

Liens: 
 






samedi 15 janvier 2022

Condamnée aux Travaux forcée et nudité en camp d'internement.

 

Camp de travaux forcés et nudité obligatoire.
Femme nue dans un camp de travail.

Des chrétiennes internées dans des camps de rééducation gardées complètement nues.


Dans l'un des derniers pays communistes ayant pour religion d'Etat l'Athéisme matérialiste de Marx le régime réprime durement les pratiquants des religion et très spécifiquement les catholiques.


Irina, une femme chrétienne de 27 ans a été condamnée a deux ans de détention dans un camp de rééducation et d'insertion (ndlr : terme officiel utilisé par le régime pour parler des prisons ou sont retenus les opposants politiques et religieux).


Elle a été arrêtée en pleine nuit par la police politique après avoir été dénoncé pour avoir donner des cours de catéchisme en cachette et enseigner la bible chrétienne à des jeunes à la place des enseignement du leader suprême de la révolution.


Ces centre de détention pour le bien être du peuple et la cohésion sociale sont en réalité de véritable bagne moderne ou la discipline est très stricte et les travaux physiques obligatoire.


De plus pour les chrétiens et les chrétiennes la nudité totale est souvent imposée pour mieux les humilier et les dégrader. 

Lorsque Irina est arrivée dans le camp, elle a été soumise a une fouille à nu comme dans la plupart des prisons du monde, et les gardiens ne lui on pas fourni le moindre vêtements, ni uniforme.


Les autorités socialistes justifient la nudité des chrétiens pour plusieurs raisons: 


Le climat chaud permet sans problèmes de garder les détenus sans vêtements.


Les chrétiens doivent être humiliés et dégradés et rien de plus simple et efficace que de les faire travailler et s'exhiber à poil pour leur faire perdre toute dignité et tout statut social.


La dimension culturel et religieuses , le christianisme prônant la pudeur est une technique utilisée par le pouvoir communiste pour soumettre et dominer les esprits des chrétiens.



Liens :


Bagne et travaux forcés.

lundi 20 décembre 2021

Le programme de réhabilitation sociale en prison BDSM

Faire les corvées ménagère toute nue et enchainée
Travaux forcés, nudité, punition en centre de réhabilitation pénal.

 Quand aller en prison rime avec punition.


Le tout répressif est devenu la norme fin 2021 début 2022 en France. La droitisation voir la fascisation de la société française pousse le gouvernement à prendre des mesures de plus en plus digne d'un régime totalitaire.


Pour rendre plus efficace la justice le gouvernement a décider de  faire de certaine prison des centre de réhabilitation stricte pour réduire le taux de récidive et réinsérer les délinquants dans la société. Ces endroit sont de véritables bagnes modernes. La politique pénale s'est beaucoup durcie.


Noémie, une jeune française qui a commis plusieurs petit délits a été condamnée par un juge à passer un mois dans un centre de réinsertion sociale et de devoir effectuer des travaux d'intérêts généraux, c'était soit un mois la bas soit deux ans dans une prison alors la jeune femme n'a pas eux trop le choix.


La jeune femme doit passer un mois dans un camp ou le staff estime qu'elle a besoin de honte, d'humiliation et de douleur pour ré apprendre la vie en société et être punie pour ses fautes. Les travaux d'intérêts généraux et les châtiments corporels sont obligatoire (fessée, falaka, martinet paddle).


Le règlement indique aussi que Noémie comme les autres pensionnaires du centre n'ont pas le droit de se vêtir. Les vêtements sont confisqués lors du processus d'accueil car la situation de nudité totale et permanente est un moyen efficace de sanction contre ces jeunes filles sur la mauvaise pente, et ça les fera réfléchir et les empêchera de recommencer lors de leur sortie. Noémie doit rester nue et pieds nus comme une esclave.


Les travaux et les corvées sont effectués dans le centre mais aussi en dehors avec la possibilité d'être vue à poil par les citoyens et accroitre le sentiment de faiblesse, d'avilissement  et d'impuissance des délinquantes punies.



Liens :








lundi 6 décembre 2021

Dégrader, briser l'égo, humilier, dresser, maltraiter les prisonnières au quotidien

 

Travaux forcés pour une femme prisonnière nue et humiliée.
Une prisonnière nue et travaux forcés.

Humiliations, pressions physiques et psychologiques sur les prisonnières de guerre.


Durant la seconde guerre du golfe (2003/2011) les Etats Unis d'Amérique ont envahi l'Irak suite aux attaques du 11 septembre 2001et ont pris le contrôle de la prison d'Abou Ghraib près de Baghdad pour en faire un centre de détention regroupant des prisonniers de haute importances dit de "sécurité" ou les conventions de Genève ne sont pas appliquées et ou l'armée et la police militaire ont carte blanche pour interroger les suspects de façon musclés et d'utiliser de méthodes assimilables à de la torture.


Les personnes arrêtées par la coalition internationale et soupçonnée de liens avec l'ancien régime, de soutenir la rébellion , de liens avec le terrorisme international ou de détenir des informations stratégiques sont très souvent transférées dans cette prison pour subir des interrogatoires renforcés.


Yousra L,  une femme de 31 ans qui travaille dans l'industrie pharmaceutique a passé 4 mois dans le complexe pénitentiaire. C'est une scientifique et une ancienne apparatchik du régime déchu, une femme très bien placée socialement, éduquée. Les gardes américains qui se sont occupés d'elle pendant sa période de captivité l'ont traiter selon les procédures standard de la prison et avaient carte blanche pour dresser, rabaisser et humilier tout les détenus en préparation des interrogatoires.


Susan Sanchez, une ancienne militaire ayant servie dans la prison comme surveillante des femmes prisonnières se souvient tout d'abord avoir ressenti un certain choc en arrivant et en constatant que :

 "La majorité des personnes privées de liberté sont gardées nues. Il était difficile d'avoir une explication claire et officielle. Cette situation parait normal pour les gardes plus anciens, c'est pour certains une procédure que le renseignement militaire leur a dit de mettre en place, un ordre a simplement appliqué sans poser de question. 

Un collègue m'a dit aussi que par raison de sécurité il est plus facile de contrôler les prisonniers lorsqu'ils sont nus car certains cachent des objets illicites si on les autorise à porter des vêtements. Quand je lui demande si ce n'est pas dégradant, il m'a répondu que ça l'est peut être mais qu'ici c'est une zone de guerre et que nous sommes dans un endroit dangereux et que la sécurité du personnel passe avant tout autre considération."

D'autre témoins sont tout aussi claires dans cette politique de nudité générale et totale imposée aux détenus, un ancien militaire sous couver d'anonymat raconte que "Nous ne faisons qu'appliquer les ordres, déshabiller les prisonniers pour les fouiller et les garder sans vêtements faisait partie de la procédure standard. Traiter les captifs comme des chiens et avec mépris et cruauté était aussi une consigne que venait souvent répéter les gens du renseignement."


Susan Sanchez reprend en faisant référence a la prise en charge de la femme prisonnière Yousra L, "Lors de ma prise de poste, je me suis occupé des femmes retenues, il n'y en avait pas beaucoup, l'une d'entre elles , Yousra, était une prisonnière de haute valeur car  suspectée d'être une cadre de l'ancien régime et donc d'avoir des informations importantes en matière de renseignement. Lorsqu'elle est arrivée sur le site, elle était habillée de noir et presque intégralement voilée, c'est une femme moderne et ouverte mais qui respecte les normes sociales de son environnement et les traditions. Les gardes l'ont obliger a se déshabiller complètement pour la fouille (strip search) obligatoire.


Comme les autres détenus, elle a très mal pris l'opération de déshabillage, être obligée de s'exposer nue lorsqu'on est une personne respectable et bien élevée est très difficile et c'est pour ça que pour ramollir et discipliner les prisonniers, ordre à été donner d'imposer la totale nudité.


Yousra est très humiliée d'être mise toute nue en public et d'être priver de toute pudeur, elle est sans aucune défense et les gardes aiment faire des commentaires salaces et vicieux sur ses gros seins, ses fesses ou sa chatte qui a été rasée lors de l'admission. En effet, la des responsables de l'aile ou son garder les femmes estime que les Etats Unis sont là pour apporter le progrès et la civilisation au Moyen Orient et que tondre le vagin des prisonnières fait partir de cette mission civilisatrice."


Une autre ancienne responsable  de l'aile ou les femmes sont gardées, Helen Chapard  confirme que ce type de traitement déshumanisant et dégradants sont monnaie courante dans la prison.

"Rabaisser, dégrader, humilier, ici tout est fait pour briser l'égo des femmes, qu'on garde et exposent totalement nue en permanence, à qui on oblige d'écarter l'anus et le vagin devant des gardes masculins pour accroitre encore plus le sentiment de honte et de vulnérabilité ressentie, Yousra était tout le temps à poil et les gardes l'ont prise en photo ainsi en lui disant que les images seraient diffuser à sa famille et dans toute la prison pour en faire un exemple. Ce type de chantage et de menace est aussi une pratique courante pratiqué dans ces locaux. 

La cheffe de la section américaine (elle même d'origine arabe) est très claire : nudité totale pour les femmes, obligation d'être pieds nus, tonte forcée des pubis. Si dans les prison américaine les femmes musulmanes peuvent s'habiller et porter le voile, pas question ici car l'objectif est d'imposer des humiliations et vexations à caractère culturelles et religieux aux détenus. La nudité doit faire partie de la punition.


discipline de vie  stricte, Yousra a du faire des corvée et travailler nue. Toute tentative de pudeur est punie, cacher ses seins ou ses fesses devant un garde est une infraction, Yousra a été punie plusieurs fois ( fessée, falaka, torture des seins) par la responsable sadique.


Pour les torturer, les gardes imposent des exercices sportifs jusque à l'épuisement".



Fin.


Modèle sur la photo Trina Michaels.


Liens : 


Histoire BDSM de prisonnières.


Ridiculiser les détenues.


Nudité forcée en prison.