mardi 31 août 2021

Histoire BDSM de prisonnière : La nudité imposée

 

Humiliation et exposition à poil d'une femme prisonnière
Prisonnière exhibée et humiliée nue par les gardiens de la prison.



Un interrogateur militaire se souvient d'une détenue nue.


Un ancien membre de la police militaire américaine chargé des interrogatoires des prisonniers de guerre entre les mains des forces US dans la prison d'Abou Ghraib en Irak témoigne sur les actes de tortures et de mauvais traitements ordonnés par les plus haut gradés de l'armée et les autorité du pénitencier.


"En 2003 et 2004, nous étions en guerre sur le multiples terrains d'opération dans le cadre de la lutte globale contre le terrorisme. En Irak les Etats Unis avait unilatéralement décider de renverser le régime irakien qui n'avait rien à voir avec le terrorisme d'ailleurs, c'était une grosse erreur politique.


La pression pour trouver des armes chimiques et des anciens responsables était très forte et venait de la présidence et du secrétariat à la Défense. C'est dans ce contexte, l'armée m'avait recruter et affecté en Irak, comme interrogateur dans la prison d'Abou Ghraib.


 L'une des premières choses que j'ai remarqué est que les simples gardiens et surveillants de la prison ont reçue pour consignes en vue d'adoucir  les prisonniers et les rendre coopératifs, c'est à dire les faire parler, les faire dire tout ce que nous voulons savoir pour étouffer la rébellion, arrêter les membres de l'ancien régime et les terroristes.


L'une des choses les plus marquante au début, c'est que les prisonniers à interrogés sont toujours amener nus dans les salles d'interrogatoires. 


Lors d'un raid les forces spéciales ont mis la main sur une jeune femme, Radia, âgée  d'environs 27 ans, proche cousine  d'un cadre de l'ancien ministre de l'intérieur recherché activement par la coalition. C'est une prise importante pour l'armée qui estime qu'elle peut détenir des informations importantes sur les personnes que nous cherchons.


Lorsque elle est arrivée, le processus d'admission est très proche de ce que nous faisons aux Etats Unis dans une prison de haute sécurité. Les hommes comme les femmes sont fouillés strictement même si le manque de moyens ne permet pas de garantir le respect de l'intimité des détenus.


La prisonnière a du se déshabiller devant trois gardiennes par une fouille corporelle dégradante. La nudité totale est exigée pour des raison de sécurité, la prisonnière qui est pudique et très religieuse a été obliger de défaire tout ses vêtements. C'est une épreuve très difficile pour une femme culturellement pudique qui n'a jamais oser mettre un bikini pour aller à la plage ou à la piscine que de retirer ses habits alors qu'elle est visible par des soldats hommes. 

Stress position : une femme forcée de reste à poil attachée aux barreaux de sa cellule.
Prisonnière nue attachée aux barreaux de sa cellule.


Retirer son voile, sa robe, ses chaussures, mais également les sous vêtements et les bijoux est difficile, surtout qu'on n'a pas épargner à la détenue un examen de ses cavités anales et vaginales. Normalement après la fouille, il aurait fallu donner un uniforme de prisonnière jaune ou orange à la détenue et une paire de tongs. 

Cela n'a pas été fait pour sous le prétexte officiel de manque d'uniforme, et parce que officieusement les détenus de valeurs doivent être gardés nus jusque à ce qu'ils se montre coopératif.


Les gardes m'ont plus tard aussi avouer qu'ils préféraient garder sans aucun vêtements les détenus pour mieux les contrôler et dominer pour des raisons de sécurité et par la chaleur, et parce que c'est "Fun" de les foutre à poil surtout les quelques femmes.


Bien sur les voiles et tenues traditionnelles ou a connotation religieuses sont strictement interdites par le règlement de la prison pour les femmes musulmanes incarcérées donc il est impossible de remettre ses vêtements civils à Radia. La politique consiste à imposer des humiliations et des vexations a caractères culturels et religieux donc les détenues femmes  ne peuvent pas porter de voile même si c'est autorisé dans certaines prisons aux Etats Unis. ici c'est la stratégie choisie pour faire parler les détenus.


La prisonnière est donc amenée nue dans la salle d'interrogatoire pour répondre aux questions.


Bien sur, une pauvre femme comme elle parle très rapidement, elle dit tout ce qu'elle sait, et invente des choses pour nous faire plaisirs en espérant que son cauchemar s'arrête. Elle n'a aucune information intéressantes et ce qu'elle dit et même dangereux pour le travail des forces armées car aller vérifier nous fait perdre du temps et met en danger les soldats sur place.


Malgré tout la prisonnière a été humiliée régulièrement par les gardes, elle était attachée dans les escaliers dans une postures stressante et exhibée à poil les cuisses écartés pour que tout le monde voit sa chatte ouverte.


Il n'était pas rare non plus de la voir attachée nue aux barreaux de sa cellule à la vue de tous.


Liens :


Sévices et nudité en prison.


Le scandale du traitement des prisonnières.












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