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dimanche 6 octobre 2024

La visite médicale de la Fac est très intrusive

Visite médicale étudiante.
Examinée nue et pieds nus à la visite médicale.

 La visite médicale universitaire de première année.

Les filles redoutent beaucoup la visite médicale qu'elles doivent passer au service de médecin préventive du campus universitaire.

Durant ce rendez vous médical pourtant relativement rapide, car il ne dépasse rarement une demi heure, les étudiantes ont doit à un bref entretien sur leur habitude alimentaire, leur mode de vie, sexualité, historique médicale, puis ensuite les traditions tests d'audition et de vision sont pratiqués, et ensuite elles sont dirigées vers la salle d'examen ou un des médecins de l'université les attend.

Elles dénoncent l'obligation de se déshabiller pour l'auscultation et l'examen médical, même les culottes seraient retirées pour des rapides examens gynécologique et des tests de virginité.

La direction de l'université affirme que le protocole médicale est tout à fait légal et réglementaire, il ne s'agit pas à proprement parler d'un examen gynécologique, mais d'un simple contrôle visuel du vagin des étudiantes et une vérification de leur statut sexuel , vierge ou pas.




dimanche 22 septembre 2024

Une prisonnière escortée nue dans les couloirs.

La nudité imposée pour les prisonnières musulmanes et chrétiennes.
Une prisonnière nue escortée par un gardien en uniforme.

Scandale nudité forcée en prison.

Les médias nous informes que pendant la seconde guerre d'Irak, les forces armées américaines qui occupent le pays entre 2004 et 2011torturent et humilient régulièrement les prisonniers, en particulier dans le centre de détention d'Abou Ghraib.

Certaines photographies montrent des femmes prisonnières nues et exhibées totalement dans les couloirs de la prison.

Les femmes détenues sont gardées toutes nues au mépris de leur culture et religion, l'islam qui enseigne la pudeur et la modestie, les détenues musulmanes sont obligées d'enlever tout leurs vêtements devant tout le monde.

Ce traitement serait systématiquement mis en place pour punir et humilier particulièrement les femmes, en effet la majorité portent le voile et de longues robes arabes traditionnelles par respect des commandements de leurs religion et parque la culture arabe prône la pudeur. Les autorités veulent combattre la radicalisation et promouvoir la laïcité et le progrès et pour cela il faut déshabiller les femmes et humilier les hommes.

Les gardes américaines comprennent et appliquent les consignes avec une très grande implication.

"Les irakiens voilent les femmes et les enferment, en tant qu'américain, nous montrons la voie inverse et les déshabillons."

"Nous ne leur faisons aucun mal, nous leur expliquons que dans le monde civilisé les femmes ne portent pas de voile ni de large robe et se découvre, et qu'avec nous elles n'ont pas à se soucier de leur pudeur puisqu'on détruit leurs vêtements rétrogrades et obscurantistes".

Lien : 


Stricte discipline.



jeudi 19 septembre 2024

Les femmes misent nues en prison.


Groupe de prisonnières alignées nues.

Scène d’humiliation dans la prison d’Abou Ghraib en Irak en mai 2004.

 Une groupe de femmes irakiennes vient d'arrivé dans la prison, nous connaissons Wafa et Samia, deux femmes  d’environ 25 ans. Elles ont été arrêtées par les forces américaines pour avoir exercer des activités syndicale et critiquer l'occupation américaine du pays.

Ces deux femmes portent le voile comme toutes femmes musulmanes respectueuses des préceptes de sa religion et de sa culture, comme les trois autres femmes présentes avec elles.

Les gardes les conduisent à travers les couloirs de la prison vers une grande pièce . et quelques instants après les gardes leur ont donné l’ordre d’enlever leurs vêtements en arabe et en anglais.

« Déshabillez vous » hurlent les surveillants en hurlant et frappant sur les murs et la porte avec leurs matraques pour faire du bruit. « Sales putes , vous enlevez tout, toutes nues compris ? »

C’est un cauchemar pour  les femmes musulmanes pudiques mais la nudité est obligatoire, les gardes n’ont aucun respect pour l’intimité et la modestie des captives. « Pas de voile, pas de chaussures » « toi tu enlève tes chaussettes » hurle l’un des surveillants à Wafa qui est la seule femme à porter des chaussettes, et elle doit aussi se mettre pieds nus comme les autres.

Elles sont ensuite fouillée en public

les détenues pourtant de confession musulmane et culturellement arabe portent le hijab et sont très pudiques, mais ici elles sont nues, leurs voiles et vêtements traditionnels sont interdit.

Pour marquer leur domination, les américains gardent les femmes nues en permanence.


Lien : 

Le dressage d'une prisonnière.

mardi 17 septembre 2024

Deux femmes humiliées et misent nues en prison.

 

Toute nue et pieds nus, les gardes ne blague pas avec les prisonnières.
Deux femme se déshabillent en prison.

Les prisonnières et la nudité forcée.



Durant l'été 2003, Le scandale du traitement des prisonniers dans la prison militaire américaine en Iraq à Abou Ghraib a ébranlé les Etats Unis et jeté l'opprobre sur les pratiques de l'armée américaine et de la CIA (Service de renseignement américain).

La presse internationale a révélé des photos et des vidéos prises par les soldats américains, des gardiens et des policiers militaires en train d'imposer des sévices, tortures, et humiliations envers les prisonniers irakiens.

Mais ce qui différencie cette prison des autres sinistres centre de détention et d'interrogatoire dans le monde, ce que là bas, d'après tout les témoignages, interview d'ancien captifs,  dans les compte rendu d'enquête, c'est que la nudité était imposée de façon quasi systématique aux détenus pour les humilier, les rendre coopératifs et les préparer aux interrogatoires et que cette pratique a été généralisé à l'échelle de toute la prison.

De plus l'immense majorité des photos et des vidéos révélées, les prisonniers sont nus.

La nudité comme technique d'interrogatoire et d'asservissement a toujours existé durant les guerres, mais jamais au point d'être généralisée et d'être devenue omniprésente. Si naturelle que tous les gardiens considèrent que de garder à poil les prisonniers est tout à fait normal et légitime et ne constitue pas un abus.

Le cas de Madame Abir J, et de sa fille Naima est édifiant. La mère et la fille ont été arrêtée pour liens avec la résistance et pour avoir exercer un role dans l'ancien régime, Abir était responsable d'un service financier du ministère de l'économie, et sa fille stagiaire dans la haute fonction publique, bien qu'elle ne soit pas la cible, les américains ont capturer aussi la fille, ne serait ce que pour faire pression sur sa mère.

Durant les premières semaine de détention, les deux femmes ont été relativement bien traitée et préservées des outrages et respectées même si les conditions de détention sont difficiles (petite cellule d'isolement, peu d'activité)  et sans confort, l'alimentation est correcte mais réduite au minimum.

Leur intimité était globalement respectée, lors des fouilles, seuls les gardiennes pouvaient être présente, c'était interdit au gardiens hommes. Ces fouilles n'étaient pas à nue, dans 80% des cas c'était simplement des palpations, et pour la fouille d'accueil une simple mise en sous vêtements, avec le droit de garder les chaussettes sous prétexte que le sol est sale et froid. De plus elles avaient le droit de conserver leurs vêtements civils, ainsi que leurs voile (hijab).

Dès juillet 2003, les gardes ont pris l'habitude de déshabiller les prisonniers jugés dangereux et important sur ordre de la police militaire et de la CIA. Puis la pratique s'est généralisée petit à petit en quelques semaines, si bien qu'en octobre et novembre 2003 la pratique était généralisée.

Pour un prétexte ou pour un autre, les hommes et les femmes détenus ont été déshabillés, et nos deux prisonnières ici n'ont bien sur pas échappées à la nudité forcée.

Abir est élégante , elle a la quarantaine, mais fait plus jeune.
La maman est vêtue d'une longue tunique noir brodée et élégante, avec un foulard blanc enroulé autour  de sa tête et drapé sur le haut de sa poitrine, elle porte un saroual beige et  est pieds nus une paire de sandales couleurs or. Sa fille Naima, 19 ans est habillée en jean, basket, chaussettes, et porte un large T Shirt et a un foulard   noir sur la tête. 

Les deux détenus entretiennent leurs apparences en prison et prennent soin de leurs affaires comme de leurs cellules qui sont parfaitement propre.

Des gardes sont allés sortir les deux femmes de leur cellule, et ont exiger qu'elles retirent tout leurs vêtements. Abir répond "Vous ne pouvez pas nous demander ça, je suis un maman  musulmane mariée et avec ma fille, on veut pas être toutes nues devant vous !". 

Les militaires expliquent aux captives que quoi qu'il arrive, leurs vêtements seront retirés, de gré ou de force et qu'elles finiront nues. Qu'il vaut mieux coopérer et obéir pour que tous ce passe bien.


Le surveillant dépose une sorte de sot, de bac dans laquelle les deux femmes doivent déposer leurs vêtements comme l'ordonne le surveillant..

Il commence par leur faire retirer leurs hijabs,c'est désormais totalement interdit sur décision du général Miller, et de lâcher leurs cheveux. Puis d'enlever leurs chaussures et chaussettes pour se présenter pieds nus. 

Elles sont des jolis pieds, soignés et bien entretenus qui paraissent doux. Ensuite le reste des vêtement y passe, les ordres sont les ordres, les deux femmes doivent bien sur aussi enlever leurs culottes.
 
"Vos vêtements et vos chaussures vous sont confisqués jusque à nouvel ordre, probablement jusque à votre sortie".

Lien : 
 

vendredi 6 septembre 2024

Une jeune détenue torturée toute nue

Nudité et interrogatoire renforcé.
Toute nue devant sa gardienne.

Kelly victime de la torture dans cet état ultra répressif.

Cette jeune touriste américaine est allée en Russie et s'est plusieurs fois moquer du président et à voulu défendre la cause LGBT, face à cette ingérence étrangère les autorités russes ont vite réagi et la jeune perturbatrice étrangère a vite été appréhendé par les forces de sécurité pour troubles à l'ordre public et comme agent de l'étranger, des termes vagues qui donne la possibilité aux autorités d'arrêter les gens sur des critères flous et abstrait, dans le but ici de les échanger plus tard contre des prisonniers russes détenus à l'étranger.

La jeune fille est transporter dans une prison spécial pour y être traité et disciplinée. La jeune fille doit être gardée complétement nue, officiellement pour prévenir tout risque de suicide, les autorités russes considère que Kelly est instable mentalement. Les prison russes doivent garder leur standing et leur réputation internationales.

La détenue doit en baver. Les gardiennes lui impose les règles : Baisser les yeux devant elles, interdiction de parler sans autorisation, l'obligation de rester debout pendant plus de 16 heures par jours, interdiction de tout loisir, fouille des cavité trois fois par jours.

Il y à aussi les séance de discipline ou les gardiennes s'amusent avec la prisonnière en lui pinçant les seins, donnant des coup de poing et de pieds, l'obligeant à ramper par terre à poil, l'aspergeant d'eau froide.

Lien : 

Collaboratrice humiliée.



mardi 27 août 2024

Une détenue musulmane pieds nus et sans voile en uniforme orange de prisonnière.

Prisonnière musulmane en uniforme court et orange, pieds nus et sans hijab.
Prisonnière pieds nus en uniforme dans sa cellule de prison.

Déshabillée et dévoilée en prison.

Malika, 30 ans est une femme musulmane qui vient d'être incarcérée et mise en détention pour un mois dans l'attente de son procès suite  un différent avec ses voisins.

Dans ce comté les femmes musulmanes  portant le voile sont très minoritaire et rien n'est prévue en terme d’accommodement et d'uniforme pour respecter leurs libertés religieuses en détention.

Le Shérif est un homme strict et sévère, élu par ses citoyens pour faire respecter l'ordre et la justice.

Quand Malika est arrivée, elle a été soumise au même processus que les autres : Ses affaires, son argent, ses bijoux,  ses papiers, sa montre et ses vêtements religieux lui ont été confisqué lors de la fouille  à nu d'entré en prison, puis ses empreintes digitales ont été prise ainsi que des photographies d'identité sans son voile.

Le Shérif à une politique budgétaire minimaliste en matière d'uniforme, étant situé dans un Etat chaud du sud des Etats Unis, les détenues n"ont le droit que de porter une culotte blanche inconfortable et une chemise orange très courte de prisonnière.

Les prisonnières  sont toutes pieds nus, et n'ont pas le droit de porter de soutien gorge.

Le Shérif refuse toute modification de sa politique carcérale pour des raisons de sécurité et de neutralité religieuse.


Lien :

Laïcité : une étudiante voilée punie.

 

dimanche 18 août 2024

La professeur Nassira K, prisonnière n°0407795

Les femmes prisonnières nues sont humiliée en permanence.
Une prisonnière nue et enchainée parade nue dans les couloirs.

Rapport sur une détenue de sécurité "Nassira"

Nassira K est une professeur à l'université et l'épouse d'un haut dignitaire du régime irakien. Elle a été potée disparue suite à son arrestation lors d'un raid sur sa maison. Les forces américaine l'ont arrêtée et emprisonnée sous le statut de "prisonnière de haute valeur".

Son avocat a retrouver sa trace quelques mois après sa capture. Tout d'abord, il faut savoir que Nassira comme les autres prisonnières d'Abou Ghraib sont gardées nues en confinement solitaire et ne sont ni maltraitées ni torturées et nourries régulièrement (riz, poulet, bananes, pomme de terre, soupe, pain, œufs etc.) 

Lorsqu'elle a été amenée dans la prison, les gardes l'ont obliger à se déshabiller, lui ont fait retirer tous ses vêtements, ses chaussures, bijoux.  

Les femmes arabes sont mises complètement nues, c'est une humiliation terrible pour Nassira.

Ses proches l’ont toujours connue très pudique et modeste, elle a toujours porter le voile et des tenues larges et couvrantes, et maintenant elle est gardée sans vêtements. Elle n'a jamais porter ne serait ce qu'un maillot de bain, et elle s'est vue imposer la nudité totale.

Les américains veulent déposséder les prisonnières de toute pudeur et dignité. Elle est pieds nus comme toutes les autres captives. Lors de sa fouille elle a du même retirer ses chaussettes, les femmes doivent être pieds nus. en permanence.

La détenue est contrainte de marcher nue dans les couloirs, les soldats aiment voir les prisonnières humiliées  parader à poil, les regarder dans les yeux pour contempler leur dégradation.

Si les américains évitent de torturer et de frapper les femmes, ils sont inflexibles sur la nudité qui n'est pas négociable. Les femmes doivent servir d'exemple, être punies et servir d'exemple...

 Liens :

Une prisonnière parade nue dans les couloirs de la prison.

mercredi 7 août 2024

Une femme terroriste en prison, nue ou habillée ?

 

Nudité forcée comme partie intégrante de la punition.
Une détenue suspectée de terrorisme doit elle rester nue en permanence ?

Le sort d'un femme terroriste coopérantes en suspens.

Loubna G, une femme incarcérée dans une prison supermax aux États Unis a obtenu sous la présidence de Joe Biden un relatif assouplissement de ses conditions de détention.

Si Loubna, de nationalité irakienne et incarcérée pour soupçons de terrorisme a pu éviter de rester à Guantanamo Bay après avoir acceptée sa culpabilité et reconnue ses erreurs en échange d'une réduction de peine et d'un assouplissement de ses conditions de détention.

Son avocat et diverses organisation de défense des droits de l'homme ont obtenu différents droits : Détention dans une prison civil avec possibilité de recevoir des visites de sa famille, deux sorties par jours, de meilleurs repas, et surtout le droit de porter quelques vêtements : Un uniforme orange de prisonnière très court et une simple culotte blanche difforme, plus de confort, de la nourriture halal et accès aux journaux et livres.

Par contre la prison refuse à Loubna le port de soutien gorge, de chaussettes et de vrai chaussures (seul les chaussures de type "flip flop" sont autorisés dans ce type de prison).

La demande de porter le voile islamique (hijab), des uniforme plus couvrant à par contre été rejetée. La détenue doit accepté de porter des tenues très courte et d'avoir les cheveux à l'air et de se déshabiller devant des hommes lors des fouilles, et des douches collectives.

Les juges estiment qu'il n'est pas attentatoire aux libertés que de priver une femme d'objet religieux et que l'ordre et la sécurité passe avant le droit à la pudeur. 

Ceci dit, l’équipe de Donald Trump en pleine période électoral estime que c'est une erreur, et que la prisonnière doit conformément à la politique pénale US en matière de lutte contre le terrorisme être gardée nue et pieds nus, et subir plusieurs fouilles intégrale par jours avec contrôle de l'anus, de la bouche et du vagin.

De plus la détenue est nue depuis plusieurs années, il n'y a aucune raison de lui remettre ses vêtements, et le syndicat des gardiens pro Trump est hostile à l'idée de permettre à cette détenue de s'habiller, car la nudité totale et permanente doit faire partir de la sanction, surtout que la prisonnière réclame le droit de porter des signes religieux et de pudeur en plus d'un petit uniforme, ce qui la rend plus dangereuse et nécessite plus de punitions.


La campagne présidentielle US peut basculer en faveur de Trump sur cette question.

 

 Autre affaire de nudité forcée en prison.




samedi 17 février 2024

Une femme forcée de se déshabiller devant les gardiens homme.

Striiped naked in front og male guard.
Prisonnière se déshabille devant un gardien homme.

Rapport d'incident à la prison d'Abou Ghraib  :  une femme forcée de se dénuder devant des hommes.

Le 7 mars 2004, dans la prison d'Abou Ghraib, Lila D, une détenue irakienne de 28 ans, retenue pour soupçons de soutient financier à la rébellion a été obligée de se déshabiller devant un garde américain en guise de punition.

Les gardes utilisent la nudité comme moyen de domination et de punition. La décision de lui enlever ses vêtements vient du fait qu'elle se soit plaint à son avocat de mauvais traitements, et aurait refuser de se lever pour écouter l'hymne américain.

Dans la section d'isolement les détenues portent un uniforme de prison de couleur orange, comme à Guantanamo Bay, avec inscrit "Inmate". Les détenues ne porte pas de sous vêtements, ni de chaussures ou de chaussettes.

Le hijab (voile islamique) que ces prisonnières portent comme toutes les bonnes musulmanes est interdit. Les prisonnières doivent en signe de soumission et d'humilité restées "tête nue" et pieds nus et porter des uniformes impersonnels oranges.

Les prisonnières sont traditionnellement gardées pieds nus pour leur enseigner la soumission et l’humilité.

Les femmes n’ont pas le droit de manifester leur appartenance religieuse.

Elles doivent se déshabiller devant des hommes, c'est important qu'elle comprennent qu'elles n'ont pas le droit à l'intimité ni à la pudeur et que les gardes ont le droit de voir leurs seins, leurs fesses et leurs chattes à volonté.

Lorsque une femme arrive elle doit se soumettre à une fouille très complète avec une inspection de l’anus et du vagin. C’est très humiliant, pudeur n'a pas sa place, mais c'est une prison de haute sécurité dans une zone de guerre.

 

Liens : 

 

Discipline en prison.

samedi 28 octobre 2023

Nezha, prisonnière dans une prison américaine.

Les gardes obligent les prisonnières à se déshabiller
Femme dénudée en cellule de prison.

Zoom sur  une détenue la prison militaire américaine d'Abou Ghraib.


Lors de la seconde guerre du golfe en Irak, les Etats Unis ont pris le contrôle de la prison d'Abou Ghraib dans les environs de Baghdad et en ont fait un centre de détention et d'interrogatoire pour y détenir les "combattants illégaux" détenus pour diverses raisons : terrorisme, membre de la rebellion, personnes liées à l'ancien régime etc. 

Force est de constater que cette prison abrite des détenus de profil très différent, il y a parmi eux beaucoup de personnes n'ayant pas de réels rapport avec les fait évoqués plus haut, qui se sont retrouver incarcérer pour ds raisons parfis absurdes ou douteuses : dénonciation calomnieuse, femmes "otages" détenus pour faire pression sur les familles et inviter les hommes recherchés à se rendre, de simple opposants ou critiques de l'ordre américains ...

Plusieurs femmes y sont retenues, dont une jeune femme connue sous le nom de Nezha dont on ignore s'il s'agit d'un pseudonyme ou pas. Elle est gardée avec d'autres dans une aile de la prison spécifique dans le quartier d'isolement dans des conditions très strictes.

Les américains l'ont amener car il l'a soupçonne d'être proche d'un ancien cadre du régime et d'avoir été sa maitresse et la détenue pour faire pression sur lui. 

Le lieutenant chef de la garde se souvient d'elle. Il nous apprend  lors de son entretien devant la commission d'enquête du sénat que cette détenue fait environ 1.60m pour 45 à 50 kilos. Elle est incarcérée pour liens avec l'ancien régime.

L'admission comporte une fouille. Comme dans les prison américaines, ces inspections se font  "à nue". Les femmes comme Nezha  doivent aussi y passer. Il n'y a pas de traitement de faveur pour les femmes, ni aucune pitié. 

Les fouilles à nu sont pour les autorité américaines  un élément essentiel pour briser et soumettre les captives  dans ce pays du moyen orient ou la culture arabe et la religion musulmane enseigne la pudeur et la modestie. 

Comme les autres détenues, Nezha doit remettre tout ses vêtements, sous vêtements,  effets personnels et être minutieusement inspectée de partout en entrant dans le centre de détention. En arrivant en détention l'objectif des américains et de soumettre et montrer qui est le patron, les détenues sont dépouillées de tout tissus mais aussi de toute dignité.

La prisonnière doit retirer son voile islamique (hijab) sa longue robe arabe traditionnelle, car ici il faut oublier toute pudeur et toute identité. Les signes d'appartenance culturel et religieux sont détruit sous les regards horrifiés des prisonnières, mais ici tout est fait pour détruire l'ancienne personnalité de la détenue et en faire une nouvelle personne docile et soumise.

Les fouilles sont très intrusives et la prisonnière est obligée d'ouvrir ses fesses et de présenter son anus et son vagin, de soulever les seins, d'ouvrir la bouche, d'écarter ses doigts de pieds pour remuer les orteils.



Uniforme orange de prisonnière.
Femme en uniforme de prisonnière.

Après les fouilles, les femmes sont laissées nues et exposées pour le fun et pour permettre aux gardes et aux personnels de découvrir les nouvelles avec les "fesses à l'air". 

Ensuite c'est selon le profil et le degré de coopération, la plupart doivent rester nues, certaines ont des culottes blanches et les plus chanceuses ont le droit à un uniforme orange court et une culotte et paire de tong.

Dans cette prison tout est fait pour avilir et rabaisser le plus possible les détenues comme Nezha. Le but est de reconditionner  et de remodeler leur personnalités et pour cela les tabous culturels et religieux sont utilisés. Nezha est pudique, musulmane pratiquante, et on l'oblige a parader nue devant tout le monde sous les rires et les moqueries des américains hilare de dominer les femmes et fiers de leur interdire de porter des vêtements.

Aucune pudeur, aucune dignité, les seules récompenses sont des uniformes très court et des culottes.


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dimanche 15 octobre 2023

La nudité forcée fait partie du processus d’incarcération dans cette prison.

Les humiliations subies par les femmes en prison
Prisonnière parade nue et enchainée dans les couloirs de la prison.


Une prisonnière très humiliée par l’obligation d’être nue.


Zohra, 35 ans, une ancienne prisonnière d’Abou Ghraib , elle a été détenue 8 mois dans cette sinistre prison par les américains pour soupçons de liens avec l’ancien régime et financement de la résistance. C’est une femme irakienne respectable, bien éduquée qui est pharmacienne de profession et qui donne des cours à l’université de médecine. Elle est moderne mais reste tout de même pieuse et conservatrice comme la plupart des femmes orientales.

Elle reste encore choquée par ce qu’elle a subie en détention.

Après mon arrestation, les militaires m’ont transféré dans cette endroit la, la prison d’Abou Ghraib à côté de Baghdad, c’est un endroit où ils gardent toutes les personnes qu’ils suspectent d’avoir des liens avec la résistance.

Sur place, les américains ont mis en place un processus qu’ils appellent “le traitement” auquel aucune prisonnières ne peut se soustraire.

La première chose qu’ils font c’est de déshabiller les détenues. J’y ai pas échappée. Il faut enlever ses vêtements et leur remettre l’un après l’autre, ils les inspecte et les mettent dans une petite boîte. Bien sûr vous pouvez dire adieu à toute pudeur et dignité. Exit votre hijab, votre abaya, vos chaussures, vos boucles d’oreilles tout y passe même les chaussettes!

Le pire c’est quand ils vous prennent la culotte comme si c'était un trophée et vous laisse les fesses à l'air pour se moquer de vous alors que vous êtes complètement nue, les pieds nus sur le sol sale et froid.

J'ai eu l'interdiction de cacher mes seins et mon sexe avec me bras, les soldats doivent pouvoir lorgner sur les vagins et les nichons pour qu'ils puissent fair leurs remarques grossières sur les poils pubiens ou la forme des seins.

Pour vous mettre la honte le plus possible ils procèdent à des fouilles complètes des anatomies des prisonnières qui doivent écarter les cuisses et les fesses le plus possible pour qu'ils regardent à l'intérieur avec des lampes et y introduisent leurs doigts gantés imbibés de vaseline.

Après l'horrible inspection, si vous pensez qu'ils nous redonnent nos vêtements ou donne un uniforme orange de prisonnier, et bien vous rêvez, ils vous interdisent de porter le moindre vêtement !

Pire, avant de vous conduire en cellule, ils vous force a parader nue et enchainée devant tout le monde y compris des gens de votre quartier qui pourraient vous reconnaitre !


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dimanche 30 juillet 2023

Le traitement et la procédure d'incarcération des femmes en prison.

La nudité forcée fait partie du processus.
Une prisonnière nue fouillée par sa gardienne en uniforme.

Note officielle du département d'Etat à la défense concernant les procédures à appliquer aux femmes détenues dans les prisons américaines en Irak (Abou Ghraib).

Règles et consignes applicables aux détenues de sexe féminin arrêtées et emprisonnées dans la prison d'Abou Ghraib et les autres centres de détention des forces américaine en Irak en 2004.

Objectif du règlement : Assurer la sécurité  et protection du personnel militaire et civil américain et des prisonnières dans les prisons et centre de détention, et prévenir tous abus es suite au scandale révélé dans la presse suite aux sévices imposées aux prisonniers irakiens.

1 - Toutes les femmes âgées de 18 ans jusqu'à 65 ans arrêtée par l'armée américaine ou ses auxiliaire sont concernées. Y sont inclus les irakiennes,  étrangères, et les américaines. 

2 - Sous réserve de leur état de santé satisfaisant, toutes les détenues seront soumises aux règles suivantes pour assurer leur bien être et sécurité. Les blessées, malades etc. sont exclue du champ d'application de cette note.

3 - Les forces armées ont le droit d'utiliser la force et la contrainte physique pour faire respecter les règles après avertissement et sommation. Les consignes doivent être données en anglais et en arabe, et si possible mais sans obligation dans la langue de la prisonnière si elle ne maitrise aucune des deux langues citées.

4 - Lors de toute arrestation, le prisonnière doit toujours être menottée aux poignet et aux chevilles.Une cagoule aussi doit être placée sur la tête de la captive. Un bâillon bouche peut aussi être utilisé si c'est estimé nécessaire.

5 - La détenue doit être fouillée par palpation dans un premier temps avant d'être transportée sur son lieu de détention.

6 - Sur place, la détenue doit être prise en charge administrativement, son identité vérifiée, ses empreintes digitales doivent être relevées ainsi que de sa salive et un cheveux. Des photos de son visage de face et de profil doivent être réalisées pour compléter le dossier. Les photographies doivent être prise tête nue, tout couvre chef même religieux doit être enlevés.

7 - La prisonnière doit ensuite être conduite dans la salle d'examen/fouille. De préférence plusieurs gardiens doivent être présent, les surveillants doivent être des hommes et des femmes. Pour limiter tout risque d'abus par une gardienne lesbienne, un surveillant homme doit assister à la fouille. De plus selon la jurisprudence américaine, interdire l'accès des gardes de sexe masculin aux salles de fouilles constitue une atteinte au droit du travail et de la discrimination sexiste. Si possible la présence d'un médecin est souhaité.

8 - Les portes de la salle de fouille doivent toujours restées ouverte par transparence et pour prévenir d'éventuelle abus.

9 - La prisonnière doit remettre tout ses objets et effets personnels montres, bijoux, boucles d'oreilles, épingles à cheveux, bagues, alliances, colliers, argent liquide etc. qui sont inventoriés et scellés.

10 - La détenue doit se déshabiller et enlever tous ses vêtements. L'ordre lui sera donner deux fois, avant l'utilisation de la force. En cas de résistance les gardiens doivent de préférence découper les vêtements de la prisonnière.

11 - Une fois entièrement nue, les gardes ne doivent veiller à ne  surtout jamais laisser le moindre vêtements à la prisonnières, pas même ses chaussures, ses bas ou chaussettes.

12 - Une fouille et inspection minutieuse doit être pratiquée, les gardes doivent vérifier toutes les zones de la peau et toutes les cavités : voies nasales, oreilles, bouche, sous les seins, l'anus, le vagin, la vulve, sous les aisselles, entre les doigts de pieds ...

13 - Dans la mesure du possible et si un médecin est disponible, la détenue doit être brièvement examinée pour savoir si son état de santé est compatible avec sa détention. Un test de virginité sera également pratiqué pour prévenir toute potentiel accusation de viols ou d'abus. La taille et le poids de la détenues seront ajouter à son dossier, ainsi que son statut sexuelle (vierge ou pas), et l'état de sa vulve et de son anus.

14 - Si la vulve est trop poilue, elle sera rasée pour des raisons d'hygiène et de sécurité, ainsi que pour promouvoir les valeurs de la  civilisation occidentale et démocratique.


15- Le Mugshot :  La prisonnière doit être photographiée nue, de face, de profil, par derrière en prise large. Tout tatouage, marques spécifique ou cicatrices doit aussi être répertorié en image et ajouter au dossier.

16 - La détenue doit être escortée nue jusque dans sa cellule. La cellule doit être vide dans un premier temps sans aucun confort.

17 - Les objets de conforts : Matelas, trousse de toilette, bonne nourriture, livres, permis de sortie etc.) peuvent être donner à la prisonnière qu'en échange de sa pleine coopération dans la vie quotidienne et pendant les interrogatoires. Ils ne sont pas un droit, mais une récompense.

18 - L'habillement, les vêtements : S'habiller n'est pas un droit, la procédure standard prévoit que les prisonnières doivent être nue en permanence en détention. Cependant, en cas de coopération, et sur demande officiel d'un interrogateur ou d'un responsable, une détenue peut recevoir des vêtements en récompense de sa collaboration.

19 - Les vêtements sont remis sous condition, et l'autorisation de s'habiller et révocable à tout instant sans justification. 

20 - Seul les tenues de prisonnières officielles peuvent être remises aux détenues : Une robe courte orange qui descend au niveau des fesses, une petite culotte et une paire de tongs en plastique. L'uniforme doit être entretenu et maintenu propre. 

Une femme prisonnière contrainte de porter l'uniforme orange (Jumsuit).
Une femme prisonnière en uniforme orange comme a Guantanao Bay


21 - Les soutien gorge, chaussettes sont strictement interdit et considéré comme de la contrebande. 


22 - Hygiène : Les douches sont obligatoires et  femmes autorisées à porter un uniforme doivent se mettre nue avant de prendre une douche collective avec les autres détenues. Les détenues doivent rester propres. les vulves doivent être rasée ou modérément poilues.


23 - Les femmes doivent être correctement nourries, recevoir des portions équilibrés, et en conformité avec leurs exigence diététique (sans gluten,, prévention du diabète) et religieuses (viande halal). 


24 - Les activités religieuses sont autorisés dans la mesure du règlement. Une littérature religieuse est accessible. Le droit à prier est reconnu, les gardes ne doivent pas déranger les détenues pendant leur recueillement.


25 - Les vêtements religieux et traditionnels sont strictement interdit dans l'aile réservée aux femmes. Aucune distinction entre les femmes ne doit être permises sur des bases ethniques ou religieuses ou du statut social. Les seules distinctions vestimentaires doivent être basée sur l'obéissance et la coopération. Ainsi donc les voiles (hijab), longue robe, croix etc. sont strictement prohibés. Les prières doivent donc se faire nue.

26 - Egalité religieuse, sociale et culturelle : Les prisonnières n'ont pas a se soucier de leur apparence, elles ont toutes deux seins, des fesses un anus, un vagin, des cheveux et des pieds et que tout ça doit être montrés. Elles vivent nues et doivent circuler ainsi dans la section qui leur est réservée. Toute manifestation de pudeur est interdite.



27 - Les fouilles des cavités doivent être très régulièrement pratiquées. Plusieurs fois par jours avec l'introduction d'un doigt ganté et lubrifié dans l'anus et le vagin. Les fesses des prisonnières doivent être bien écartées si une table ou un mur est disponible la détenue doit se pencher pour l'examen rectal. En l'absence de meuble la captive doit bien écarter les jambes et toucher ses orteils.

La nudité et les fouilles des cavités anales et vaginales sont au coeur de la politique de sécurité de la prison.
Fouille rectale et vaginale d'une prisonnière nue par sa gardienne.

28 - Les gardiens dans l'optique de prévenir tout abus sexuels potentiels doivent prêter attentions aux vulves, vagin et anus des détenues et procéder en plus des fouilles a des examens en vue de détecter toutes traces de violences sexuelles, de contusions ou d'autre et d'en faire un rapport.

29 - Les visites du Comité International de la Croix/Croissant Rouge, des responsable juridique, d'avocats et des enquêteurs du département d'Etat : Les détenues doivent êtres escortées bâillonnées et enchainées, et porter une tenue de prisonnière officielle lors des entretiens. Cette tenue doit être retirer dès le retour en cellule pour les détenues qui n'ont pas le droit de se vêtir.

30 - Les visites de proches ne sont pas un droit, et dépendent du degré de coopération de la prisonnière. Des vêtements peuvent être fournie exclusivement à cette effet, y compris des vêtements à caractère religieux comme des abayas et foulards si la visite est hors de la section. Ceci dit aucun soutien gorge ne doit être remis à la détenue, ni même des chaussures fermées ou des chaussettes. Et les vêtements doivent être directement retirer en retournant en cellule.

31 - Le suivi médical : Chaque détenue est soumise mensuellement à un examen médical. L'infirmerie étant de l'autre côté du complexe pénitentiaire. Les détenues se voient remettre un uniforme pour s'y rendre. Ceci dit, la visite médicale se déroulant toujours nue, l'uniforme et les tongs doivent être retirer en entrant dans le centre de santé.

32 - La visite médicale comporte : un examen clinique, une prise de mensurations, un bref entretien sur l'état psychologique, un examen gynécologique. Le médecin doit être un homme.

33 - Une semaine avant la date de libération, les prisonnières sortent de la section spéciale et doivent se rendre dans des tentes pour terminer leur séjour. Leurs vêtements s'ils n'ont pas été détruit leur sont remis à ce moment là. Lorsque les habits ont été détruits, les autorités américaines achètent des vêtements arabes basiques et un voile sur le marché locale à remettre aux prisonnières. 


Fin.



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jeudi 29 juin 2023

Punir et humilier une prisonnière jugée arrogante.

 
Nudité forcée en prison
Humiliation pour une femme prisonnière exposée à poil.


Une femme apprend l’humilité en prison.


Cet incident se déroule en mars 2004 pendant la guerre en Irak dans la tristement célèbre prison d’Abou Ghraib connue pour les abus et les tortures pratiquées par les gardes américains sur les prisonniers irakiens.


Une femme irakienne de 29 ans, Léna, une juriste  très hostile aux États Unis ayant protesté et dénoncé l’invasion américaine a été arrêtée sur décision de plusieurs personnes responsables de l’armée et de l’administration intérimaire américaine qui gère provisoirement le pays  qui estiment qu’il faille la faire taire un certain temps et lui rabatte son caquais. 

La décision prise consiste a utilisé la loi dite du patriotAct qui permet aux États Unis d’arrêter toutes personnes susceptibles de menacer le sécurité nationale pour une durée indéterminée en envoyant la jeune femme dans une prison spéciale et secrètes sans appliquer les conventions de Genève.


Léna est rapidement devenu la bête noire des américains par ses actions de défense des droits civiques et politiques et sa dénonciation du pillage du pays par les grandes entreprises américaine suite à la guerre en particulier le trafic d'couvre d'art et d'objets anciens et la corruption pour obtenir des contrats pétroliers à prix avantageux. Cet activisme a irriter plusieurs personnes importantes bien décidées à la faire taire et lui faire payer. Monter des accusations bidon de soutient à la résistance  est très simple et notre pauvre militante s'est vite retrouvée prise dans l'enfer des prisons militaires US ...

La jeune femme a été placée sur la liste des personne recherchée par la coalition internationale comme représentant une menace pour la sécurité nationale et arrêtée lors d'un contrôle  à un des nombreux check point de la capitale, Baghdad.

Léna a ensuite été envoyée a Abou Ghraib pour y être "traitée", c'est à dire dresser et humilier par des gardes pervers et sadiques.

C'est une jeune femme fière, éduquée, ayant séjourné plusieurs fois aux Etats Unis pour y étudier l'économie et le droit, elle a des amis dans ce pays et parle parfaitement l'anglais. C'est aussi une femme de bonne famille et de culture assez conservatrice, éduquée dans le respect des tradition musulmanes et arabes qui demandent aux femmes d'être pudiques et réservée tout en étant assez ouverte sur le monde.

La première chose que font les gardes c'est d'obliger la détenue à se mettre nue, de retirer tout ses vêtements devant des femmes et des hommes sans aucune pudeur ni intimité. Il faut mettre à poil cette salope  hurle l'un des militaires. Ça l'a rendra moins arrogante estime une gardienne en rigolant en voyant  l'embarras et la honte que ressent la prisonnière qui tente de contenir une forte envie de pleurer.

Oui les rumeurs qu'elle entendait sur les humiliations subies par les prisonniers n'étaient pas que des ragots et sont bien réelles. Et oui elle allait y passer, elle aussi, difficile d'imaginer le sentiment d'avilissement et de honte qu'une pieuse femme peut ressentir face à la nudité totale obligatoire.

Si cette jeune femme est incarcérée dans ce sinistre endroit ce n'est pas sans raisons,  bien sur  que que les gardes obligent les femmes comme elle à se foutre à poil sans aucune pitié ni respect pour leur statut, du point de vue des gardes américains la jeune prisonnière représente une menace et est une ennemie des Etats Unis, et par conséquent elle doit être durement punie et humiliée et privée de tout droit !



Fière et digne dans son élégante tenue traditionnelle musulmane (robe large arabe abaya, foulard belle chemise etc. ) elle doit retirer ses vêtements pièces par pièces, tout y passe, y compris la culotte, les chaussettes, les surveillants se moquent d'elle car elle est toute nue devant tout le monde et qu'elle fait moins l'arrogante comme ça.


L'une des gardiennes vicieuses dit en souriant "Et Si i nous la faisions faire le tours de la prison  à poil et l'exhibions devant tout le monde, beaucoup de gens aimeraient voir ce que ça donne une femme voilée toute nue ?"

La prisonnière a du faire une longue marche en étant totalement exposée, le pire c'est que personne n'est étonné ni surpris de voir une prisonnière irakienne nue en train de parader  et subir des insultes et moqueries. Léna connaissait les USA ou elle avait été plusieurs fois en voyage ou elle avait quelques amis et ne comprenait pas pourquoi elle était traité pire qu'une bête.
 
Personne ne manifeste la moindre compassion  ni le moindre respect pour elle. La plupart des prisonniers hommes et femmes sont sans vêtements.

Les gardiens font durer l'exhibition en laissant les nouvelles à poil pendant très longtemps dans les couloirs pour que tout le monde puisse voir la "marchandise". 

Se retrouver les fesses à l'air, les seins à l'air, le minou visible est le lot commun des femmes qui passent dans cette terrible prison ou les humiliations sexuelles, les mauvais traitements et la déshumanisation sont systématique.


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samedi 17 juin 2023

Une gardienne sadique de prison témoigne.

 

Prisonnière nue et dressée par sa gardienne en uniforme.
Une prisonnière nue contrainte de faire du sport par les gardiens.


Cruauté, sadisme, perversion en prison.


L'une des gardiennes de la tristement célèbre prison militaire américaine en Irak durant la seconde guerre du golfe (2003/2011) témoigne devant des enquêteurs officiels  et lève le voile sur le sors réservé à certaines femmes incarcérées dans ce sinistre endroit et sur la question des tortures et des humiliations imposées aux prisonniers sur l'ordre implicite des plus haut dirigeants, du renseignement militaires et de la CIA qui ont intentionnel recruter des gardiens de prisons tordues et pervers et leur ont donner carte blanche pour humilier et maltraiter les captifs.



- Dans un premier temps, pouvez vous vous présentez et nous dire brièvement votre parcours jusque à devenir surveillante générale de la section des femmes du pénitencier militaire de l'armée américaine dans la prison d'Abou Ghraib dans la banlieue de Baghdad ?

Je m'appelle Claire Simpson, et avant d'obtenir ce contrat comme responsables dans cette prison j'ai exercer différente activité dans la police, comme adjointe de sécurité dans un supermarché, et deux ans comme surveillante dans une prison avant d'être licencier pour avoir eu des problèmes avec la justice.



- Votre dossier montre des états de service pas forcément très exemplaire, violence contre des civils, humiliation de détenues, corruption et pots de vins. Votre recrutement dans une prison militaire américaine peut en effet interrogé , pourvoyez vous vous exprimer sur ceci avant d'entrer dans le vif du sujet ?

Les responsables militaires m'ont tout de suite contacter après leur avoir envoyer mon CV, ils m'ont dit que depuis le 11 septembre 2001 les choses avaient changées et que ce que j'ai fais aux USA pouvait etre une très bonne chose à l'étranger et que ça protégera le pays, l'engagement pour beaucoup a été présenter de cette manière.



- Vous voulez dire que c'était une sorte de "rédemption" pour vous et vos collègues ?

Non, mais que le fait de faire ce que nous avons fait était une manière de servir et protéger notre pays pour le rendre plus sur. De traiter les prisonniers de façon durs, de maintenir une discipline de fer, faire régner l'ordre. C'est pour cela que j'ai été recrutée plus pour certaines de mes activités extra professionnelles.


- Pouvez vous précisez ? quelles activités, nous avons du mal à nous suivre.

J'ai eu effectivement des petits problèmes avec la justice pour avoir utiliser mes fonctions de gardiennes de prison pour obtenir des avantages sexuelles de certaines prisonnières et reçu des fonds. Mais pour l'armée c'était un atout d'être une maitresse chanteuse capable d'exploiter des détenues pour assouvir mes envies et m'enrichir, ils m'ont prise directement en me disant de servir la patrie.


- Vous voulez dire qu'ils vous ont recruter pour torturer et maltraiter les détenus irakiens ?

Torturer, non bien sur que non, mais nous devions les conditionner à obéir pour les rendre plus docile et coopératif, c'était les ordres et les consignes qui m'ont  été données lorsque j'ai mis les pieds dans cette prison. 

- Pour le public et l'opinion mondiale c'est effectivement de la torture.

Je n'irais pas jusque là, nous n'avions pas le droit de tuer les prisonniers, ni de les mutiler ou leur faire physiquement mal, là effectivement cela aurait été de la torture, mais nos supérieurs nous ont donner un processus à mettre en place et un comportement spécifique avec la prisonniers pour les faire parler sans avoir recours à de la torture.


- Quel rôle vous ont donner vos supérieurs ? Etait ce des consignes écrites ou orales ?

Notre but était de faire respecter l'ordre et la sécurité du personnel américain, des prisonniers et de faire fonctionner la prison de façon normale et organisée. Et de lutter contre le terrorisme et protéger notre pays des attentats en aidant les services de renseignements à obtenir des informations pouvant sauver des vies.

- Concrètement quel été votre rôle  en tant que responsable des gardiens dans la section ou sont retenues des femmes prisonnières ?

J'étais la responsable du maintient de l'ordre et de la sécurité, et de la bonne coopération des détenus avec les interrogateurs. C'était un travail difficile en coopération avec les policiers militaires qui nous donner les consignes et avec qui nous déterminions les processus de traitement des prisonniers.



- Sur une photo nous pouvons vous voir avec une cravache en train de faire sautiller une prisonnière nue dans les couloirs de la prison, comment justifiez vous ce type d'acte choquants ? Elle a été identifiée comme étant Amal E. 27 ans la soeur d'un responsable en fuite recherché activement par la coalition.
Comment pouvez vous justifier de telles pratiques ?

Les membres du renseignement nous demande de traiter les prisonniers comme pire que des chiens et de leur rendre la vie difficile et désagréable pour les rendre docile pendant les interrogatoires et sauver des vies.


Humiliante fouille nue en public dans la prison.
Fouille à nue et squat pour vérifier les orifices en prison.


- Oui mais pourquoi était elle nue ? qu'avez vous fait de ses vêtements ce jours là ?

Lorsque Amal est arrivée elle a été soumise au processus appliqué aux  "détenus de sécurité" c'est à dire aux personnes soupçonnées de liens avec l'ancien régime, la rébellion, ou de menacer la coalition ou les intérêts américains. Lors de son arrivé nous avions discuter avec les responsables des interrogatoires pour décider que selon son statut, elle devait être gardé nue en permanence et sans aucun confort (literie, dignité) sauf si elle parle et donne des informations importantes.

Lorsqu'elle est arrivée nous l'avons forcer a se déshabiller pour la fouille "strip search" obligatoire, nous lui avons pris ses effets personnels, papiers, bijoux, retirer son voile (hijab), ses vêtements, et ses chaussures comme nous faisons dans tout prison pour s'assurer qu'aucun détenus ne fasse entrer de contrebande, d'armes ou de produits dangereux.



- Mais ces fouilles selon plusieurs témoignages ont lieu en public devant des hommes, et elles se déroulent complètement nue pour les femmes comme pour les hommes. N'est ce pas dégradant ?

Ecoutez, la prison se trouve dans une zone de guerre, avec des personnes potentiellement dangereuses, avec peu de moyens donc nous le pouvons pas exercer notre métier dans les meilleurs conditions, ne pas oubliez le contexte avant de nous blâmer. Et puis ce n'est pas non plus très grave de mettre à poil des gens, il n'y a pas mort d'homme et c'est un pays chaud ...


Quand cette prisonnière là, Amal est arrivée, bien sur qu'on l'a bien inspectée et qu'on à bien regarder avec une lampe torche dans son cul, dans sa chatte, dans sa bouche, dans ses oreilles, sous sa langue, entre ses orteils et elle était clean.



- Ce genre de traitement sont dégradants et s'apparente à des mauvais traitements, et ça ne s'arrête pas là, dans la prison d'Abou Ghraib une bonne partie des détenus étaient nus en permanence comme Amal, c'est très dégradant et vexatoire d'imposer la nudité à des personnes de cultures pudiques et conservatrices, est ce une politique assumée par la police militaire ?


Oui bien sur, en dehors des fouilles qui exigent d'être à poil nous avions garder sans vêtements une bonne partie des prisonniers. Amal aussi comme je vous l'ai dis plus tôt la nudité complète et permanente lui à été imposée et je l'ai mise en oeuvre.

Après je ne vois pas le problème de garder Amal nue, c'est une prison dois je vous rappeler.  Nous ne lui avons rien fait de mal. 
Les supérieurs nous avait demander de bien insister sur le retrait des vêtements et de jouer sur les peurs et les tabous culturels et religieux des personnes emprisonnées.



- Vous voulez dire que la nudité était une méthode à part entière et une pratique ordonnée et admise par la hiérarchie ?


Oui, bien sur. D'une part nous sommes la pour dominer et montrer  la supériorité des américains sur leurs ennemis et imposer nos règles que ça plaise ou non. Amal était nue ? oui et je ne vois pas le mal, L'humiliation doit faire partie de la punition et c'est très efficace pour faire parler les suspects lors des interrogatoires.


Oui bon elle a pleurer et n'était pas contente d'être dénudée, mais la nudité est dans ce type de situation est pleinement justifiée. 


Les irakiennes comme elle, moi je les met  à poil, Amal je l'avais dressée et soumise et je lui avais appris l'humilité. Je lui avais fait enlever tout ses vêtements et son voile en bafouant ses sentiments religieux et culturelles, j'ai fait en sorte que sa chatte et son anus soient exposés le plus possible dans des positions indécentes  pour le divertissement du staff. 

Les agents du renseignement m'avaient plusieurs fois demander de "dresser" les femmes comme elle, pour en faire des exemples. Voila ici c'est les règles américaines, pas d'accoutrement exotique, les femmes ultra couverte on n'accepte pas , nous les découvrons, avec les collègues nous sous amusions bien à les rabaisser et les vexer et les faire se promener toutes nues alors que 5 minutes avants elles étaient toutes habillées avec l'interdiction de porter des vêtements !




J'ai aussi obliger Amal a se présenter nue devant d'autre prisonniers a écarter ses fesses pour bien qu'on puisse voir l'intérieur de son cul. J'ai fait ça pour son bien et lui permettre de révéler la vrai salope lesbienne soumise qui est en elle.


D'autre fois pour la punir je l'obligeait a rester sur un pieds en équilibre et les mains sur la tête et gare à elle sur elle pose l'autre pieds !


J'aime aussi lui faire lécher mes bottes, faire d'elle une vraie chienne

Humiliation et léchage de botte en prison.
Humiliation : une femme nue lèche les bottes de sa gardiennes de prison.



J'aime bien aussi l'obliger à s'auto lécher ses plantes de pieds sales et ses orteils devant tout le monde en rigolant lui faire perdre toute dignité !



- Mais c'est horrible ceux sont des mauvais traitements et limite de la torture que de faire ça !


C'est pour son bien et pour le notre, nous lions l'utile à l'agréable. J'aime  dresser et  punir les prisonnières pour un oui ou pour un non.



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jeudi 23 février 2023

Exercice sportifs nue et humiliation de la prisonnière.

 

Sport et exercice à poil en prison pour humilier.
Prisonnière forcer de faire des exercices physiques nue jusque à l'épuisement .

Des femmes forcées de faire des exercices physique nue en prison.


Nous sommes une fin d'après midi  d'avril 2004 dans  une aile de la prison militaire d'Abou Ghraib en Irak près de la capitale Baghdad. Deux gardes américains, un homme et une femme discutent assis dans les escaliers en surveillant du coin de l'oeil une prisonnière qui doit monter et descendre les escaliers en courant complètement nue. 

Le bruit de ses pieds nus sur le sol marque sa nudité. La prisonnière doit avoir 30 ans, peut être un peu moins. Il est difficile d'imaginer en la voyant dans cette situation , qu'avant d'être entre les mains des américains, cette jeune femme était une respectable professeur dans un lycée chic de la capitale, qu'elle portait le voile et une tenue traditionnelle arabe et qu'elle n'aurait jamais oser ne serait ce que porter un maillot de bain une pièce à la plage.


Suite aux attentats du 11 septembre 2001 et à l'opération d'invasion de l'Irak décidée l'administration américaine du président Bush a décider de mener une politique très dure et bien plus stricte envers les personnes arrêtées dans le cadre de la lutte contre le terrorisme. En Irak la police militaire et la CIA donnent pour consignes aux gardiens du complexe pénitentiaire d'Abou Ghraib pour ramollir les détenus et les rendre coopératifs et soumis.


Les gardiens en regardant la scène disent : "Nous sommes sans pitié avec ces femmes, nous les soumettons à une routine et une discipline pour des corriger et les dresser. De le faire obéir et comprendre qui est la patron. Ah ça, pour leur en faire baver, les gardes rivalisent toujours de méchanceté et de cruauté avec ces pauvres prisonnières terrorisées.


Il y a beaucoup d'exercices physique et sportifs, de corvées , de lavage de cerveau, de mesures de dépersonnalisation. Bien sur, l'humiliation est au coeur du processus de traitement, les femmes sont souvent nues. Elles arrivent en générale complètement voilées et couvertes de la tête aux pieds et elles se retrouvent à poil exhibées totalement , ils savent que la nudité est particulièrement honteuse et bafoue particulièrement la dignité de ces femmes arabes et musulmanes alors ils font tout pour les embarrasser au maximum.


Leurs vêtements en arrivant sont en général confisqués et souvent détruit et bruler car les soldats considèrent que ceux sont des signes d'aliénation culturels et religieuses à détruire. Elles reçoivent des uniformes très simples, sans sous vêtements et sont gardées pieds nus.


Elles sont mises toutes nues pour un oui ou pour un non n'importe quels moments.



Toute nue pour être dresser par la gardienne sadique.
Femme humiliée nue et maltraitée par une gardienne en prison.


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Humiliations et tortures des prisonnières.

mardi 14 février 2023

Nudité, fouille gynécologique pour une prisonnière de haute sécurité.

 

Inspection humiliante en prison.
Fouille gynécologique et examen d'une prisonnière nue.


Visite d'une femme détenue de sécurité dans un centre de détention militaire.


Le régime dans l'aile féminine de détention spéciale est très stricte voir inhumain et peu respectueux des convention de Genève. Suite aux révélations sur les actes de tortures et d'humiliations sexuelles imposées, une commission du ministère de la défense est chargé d'enquêter et de surveiller les prisonniers de sécurité arrêtés dans le cadre de la guerre contre le terrorisme et en particulier ceux capturés pendant la guerre en Irak de 2003/2011. 


Les personnes soupçonnées de liens avec l'ancien régime, les rebelles, ou des organisations terroristes hostiles aux Etats Unis sont placés sous le statut de détenus de sécurité ou de haute valeur et garder dans des conditions strictes et difficiles. Un observateur chargé de contrôler et de prévenir les abus a eu accès a plusieurs femmes prisonnières dont Anissa G une jeune femme proche de l'ancien gouvernement arrêtée sur un campus universitaire et suspectée de soutient logistique à l'insurrection et de posséder des informations essentielles et stratégiques pouvant intéressées le renseignement militaires et permettre la capture de hauts responsables avec qui elle entretien peut être des liens.

Après les révélations sur les sévices, l'armée a mis en place un système d'inspection régulier des prisonnières pour s'assurer de l'absence de violences physiques et sexuelles.


Les femmes qui  ont un statut  de "détenue de haute valeur" doivent chaque semaine subir une inspection ou la prisonnière est amenée dans une salle spéciale pour un bref entretien avec un inspecteur du département d'état et des témoins souvent des membres de la croix rouge ou d'organisation de défense des droits de l'homme.


L'inspecteur s'est tout d'abord interrogé sur le fait que la prisonnière entre la première fois intégralement nue escortée par deux soldats en uniforme US. La première question que s'est poser le fonctionnaire est pourquoi est ce qu'Anissa est amenée nue ici ? l'un des témoins a poser les interrogations suivantes : Pourquoi est elle sans aucun vêtements ni chaussures ? pourquoi n'a t'elle pas d'uniforme ni même de robe ?

Avant tout chose la prisonnière est examinée de la tête aux pieds, pour que l'inspecteur puisse voir si son corps porte des marques, des contusions, des blessures, il faut vraiment regarder partout même entre ses orteils, un contrôle est aussi effectué au niveau anal et gynécologique ou un vrai examen est effectué incluant un toucher rectal et vaginal avec  l'usage d'un spéculum pour chercher des signes d'abus sexuels.

La jeune détenue doit ouvrir et écarter ses cuisse pour le test, et ses fesses aussi sont écartées et son anus sondé en pleine lumière.


Ces mesures sont jugées nécessaires par l'armée pour prévenir toute accusation d'abus sexuels sur les femmes en détention même si c'est ressentie comme très intrusif et humiliant pour les femmes.


Elle explique ensuite pendant l'entretien qu'en arrivant, les gardiens américains l'ont dépouiller de tout ses vêtements, sa montre, ses boucles d'oreilles, ses bijoux, ses chaussures et de tout ce qu'elle avait sur elle.


Elle est gardée sans vêtements comme les autre femmes, enfermée la plupart du temps dans une petite cellule vide avec une petite arrivée d'eau, des toilettes turques sans fenêtre. Le port de vêtements n'est pas un droit mais une récompense selon l'interprétation américaine des conventions internationales, et seuls les prisonniers jugés coopératifs peuvent se voir fournir des uniforme de prisonniers.


Les américains rasent aussi les sexes des prisonnières, officiellement pour des raisons d'hygiène et de sécurité et pour les avoir le plus nue possible.



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Nue en cellule.

vendredi 1 avril 2022

Nudité pendant la visite médicale de prévention étudiante.

 

Etudiante nue lors de l'examen par le docteur.

La traditionnelle visite médicale dans l'enseignement supérieur (Fac, IUT, école d'ingénieur etc.)



Après le bac, lorsqu'un étudiante choisie de s'inscrire dans l'enseignement supérieur pour y poursuivre ses études, que ce soit à  dans des établissements universitaires comme à la fac, à l'IUT, dans une école de commerce, d'ingénieurs ou autre. Il y a une visite médicale  de prévention obligatoire durant la première année.


Héléna, 21 ans, inscrite dans l'IUT pour faire des études d'administration des entreprises, elle prépare un DUT GEA. Elle a reçu sa convocation pour passer la visite médicale à l'infirmerie du campus.


La jeune fille se rend à l'heure indiquée et est accueillie par une infirmière qui procède a quelques vérifications administratives et qui pose ensuite plein de question relatives à l'état de santé, à l'adaptation à la vie universitaire, à l'hygiène de vie, la pratique sportive etc. 

L'infirmière pratique aussi un test de vision et d'audition et Héléna voit très bien et n'a aucun problème d'oreille.

Ensuite elle doit se rendre sur indication de l'infirmière dans une cabine pour se déshabiller en attendant d'être reçu par le médecin.


Il faut se déshabiller complètement, enlever tout les ordres sont très strictes et la soignante à l'air autoritaire et il ne vaut mieux pas la contredire et ne pas faire la prude et mettre sa pudeur de coté sous peine de risquer de se faire gronder et de recevoir une fessée.


Liens  : 


Histoire de visite médicale érotique.


Visite médicale du travail.



samedi 19 février 2022

Prison, confinement solitaire et conventions de Genève.

 

Naked female prisoner in cell.
Une prisonnière nue attend l'inspection corporelle.

Le sort des femmes prisonnières de haute sécurité.


On en sait désormais plus sur le traitement subi par les femmes prisonnières irakiennes dans la prison d'Abou Ghraib.


Un rapport d'une ONG (Organisation non gouvernementale) sur l'une des détenues, Nadia, 33 ans, incarcérée plusieurs mois dans ce centre  pour ses liens avec des membres importants de l'ancien régime renversé par la coalition menée par les Etats Unis vient de paraitre.


Prisonnière sous le statut de "détenu de haute sécurité" ou de "haute valeur", elle est soumise à des règles de détention très strictes et parfois jugées inhumaines et dégradantes. Ce type de prisonnier est retenue dans la partie dure du site, à l'isolement sans aucun contact avec le monde extérieur.


La prisonnière Nadia est gardée nue et enchainée dans une toute petite cellule vide ne comportant qu'une banquette pour dormir,  un seau d'eau pour faire ses besoins et qui est changer une fois tout les trois jours, et un petit robinet pour l'accès à l'eau. Nourrie une fois par jours avec du riz, du poulet et parfois une banane ou un oeuf.


Comme beaucoup de prisonniers hommes, la jeune femme lors de sont arrivé a été obligée de se déshabiller et de rester sans aucun vêtements en confinement solitaire. Si les autorités reconnaissent que les fouilles sont systématique et obligatoire et qu'elles imposent la mise à nue totale des prisonnières pour des raisons de sécurité, la pratique de garder nu les détenus en confinement solitaire serait d'éviter tout suicide, toutes tentatives de dissimuler des armes, objets dangereux ou illicite et serait un excellent moyen de garantir l'ordre et la sécurité dans le pénitencier. C'est officieusement une technique utilisée et approuvée  par les plus haute autorités militaires, politiques et du renseignement  pour humilier et mettre la pression sur les prisonniers pour les rendre coopératifs et les faire parler lors des interrogatoires dit "renforcés".


Pour Nadia, ses affaires, ses vêtements  et ses chaussures lui ont été confisqués en arrivant. Son statut de femme arabe respectable et pieuse musulmane en a pris un coup lorsque les gardes américains lui ont imposer un strip tease intégral.


Se voir imposer la nudité est un puissant moyen d'intimidation, et d'humiliation psychologique. Et dans le cas d'une femme culturellement conservatrice comme Nadia c'est encore plus dégradants, c'est une humiliation totale et inimaginable que les gardiens lui ont fait ressentir.


Nadia est contrainte d'enlever tous ses vêtements sous le prétexte de vérifier que la prisonnière n'a rien cacher d'illégal ou de dangereux dans son corps pour elle, pour les gardiens et autres prisonniers. Les autorités US insistent sur la nécessité d'assurer la sécurité. Aucune exception n'est admise la nudité totale est de rigueur. Elle doit défaire son voile (hijab), sa robe traditionnel, ses sous vêtements sexy en dentelle, ses chaussures etc. Le tout devant des hommes et des femmes pour accroitre la honte ressentie.


Une fouille et un examen de l'anus et du vagin de chaque prisonnières est aussi pratiquée. Nadia qui est arrivée habillée de façon pudique et conservatrice s'est retrouvée 5 minutes après à poil et contrainte d'écarter ses fesses devant des gardes, quelle déchéance !


La détenue n'a pas le droit de porter des vêtements, ses vêtements civils sont mis sous scellé et confisqués et aucun uniformes ne lui a été remis. Nadia est obliger de vivre nue et pieds nus comme la plupart des autres détenus.


Jamais elle n'aurait imaginer subir ça un jours, être totalement exposée, de plus la nudité forcée fait ressentit une très forte vulnérabilité que les interrogateurs de la police militaire utilise pour ramollir les prisonniers en vue des interrogatoires.


L'armée américaine pour parer a tout accusation de viols ou d'agression sexuelle impose aux femmes des inspections et des contrôle médicaux hebdomadaires.

Prisonnière nue attachée et ligotée par un docteur.
Attachée nue sur une table d'auscultation médicale.

Nadia comme les autres femmes prisonnières est régulièrement amenée, nue bien sur, dans une petite salle avec des objets médicaux pour subir une inspection corporelle. La femme est attachée et cinglée toute nue sur une table d'auscultation, pour se faire examiner le corps, le docteur et l'inspecteur cherche toute traces de violence, marques, traces, contusions, blessures, chaque centimètre de peaux de la détenue est controlé, même entre ses orteils.


Liens : 


Deux femmes nues en captivité.


Témoignage d'une femme en prison.