mardi 17 septembre 2024

Deux femmes humiliées et misent nues en prison.

 

Toute nue et pieds nus, les gardes ne blague pas avec les prisonnières.
Deux femme se déshabillent en prison.

Les prisonnières et la nudité forcée.



Durant l'été 2003, Le scandale du traitement des prisonniers dans la prison militaire américaine en Iraq à Abou Ghraib a ébranlé les Etats Unis et jeté l'opprobre sur les pratiques de l'armée américaine et de la CIA (Service de renseignement américain).

La presse internationale a révélé des photos et des vidéos prises par les soldats américains, des gardiens et des policiers militaires en train d'imposer des sévices, tortures, et humiliations envers les prisonniers irakiens.

Mais ce qui différencie cette prison des autres sinistres centre de détention et d'interrogatoire dans le monde, ce que là bas, d'après tout les témoignages, interview d'ancien captifs,  dans les compte rendu d'enquête, c'est que la nudité était imposée de façon quasi systématique aux détenus pour les humilier, les rendre coopératifs et les préparer aux interrogatoires et que cette pratique a été généralisé à l'échelle de toute la prison.

De plus l'immense majorité des photos et des vidéos révélées, les prisonniers sont nus.

La nudité comme technique d'interrogatoire et d'asservissement a toujours existé durant les guerres, mais jamais au point d'être généralisée et d'être devenue omniprésente. Si naturelle que tous les gardiens considèrent que de garder à poil les prisonniers est tout à fait normal et légitime et ne constitue pas un abus.

Le cas de Madame Abir J, et de sa fille Naima est édifiant. La mère et la fille ont été arrêtée pour liens avec la résistance et pour avoir exercer un role dans l'ancien régime, Abir était responsable d'un service financier du ministère de l'économie, et sa fille stagiaire dans la haute fonction publique, bien qu'elle ne soit pas la cible, les américains ont capturer aussi la fille, ne serait ce que pour faire pression sur sa mère.

Durant les premières semaine de détention, les deux femmes ont été relativement bien traitée et préservées des outrages et respectées même si les conditions de détention sont difficiles (petite cellule d'isolement, peu d'activité)  et sans confort, l'alimentation est correcte mais réduite au minimum.

Leur intimité était globalement respectée, lors des fouilles, seuls les gardiennes pouvaient être présente, c'était interdit au gardiens hommes. Ces fouilles n'étaient pas à nue, dans 80% des cas c'était simplement des palpations, et pour la fouille d'accueil une simple mise en sous vêtements, avec le droit de garder les chaussettes sous prétexte que le sol est sale et froid. De plus elles avaient le droit de conserver leurs vêtements civils, ainsi que leurs voile (hijab).

Dès juillet 2003, les gardes ont pris l'habitude de déshabiller les prisonniers jugés dangereux et important sur ordre de la police militaire et de la CIA. Puis la pratique s'est généralisée petit à petit en quelques semaines, si bien qu'en octobre et novembre 2003 la pratique était généralisée.

Pour un prétexte ou pour un autre, les hommes et les femmes détenus ont été déshabillés, et nos deux prisonnières ici n'ont bien sur pas échappées à la nudité forcée.

Abir est élégante , elle a la quarantaine, mais fait plus jeune.
La maman est vêtue d'une longue tunique noir brodée et élégante, avec un foulard blanc enroulé autour  de sa tête et drapé sur le haut de sa poitrine, elle porte un saroual beige et  est pieds nus une paire de sandales couleurs or. Sa fille Naima, 19 ans est habillée en jean, basket, chaussettes, et porte un large T Shirt et a un foulard   noir sur la tête. 

Les deux détenus entretiennent leurs apparences en prison et prennent soin de leurs affaires comme de leurs cellules qui sont parfaitement propre.

Des gardes sont allés sortir les deux femmes de leur cellule, et ont exiger qu'elles retirent tout leurs vêtements. Abir répond "Vous ne pouvez pas nous demander ça, je suis un maman  musulmane mariée et avec ma fille, on veut pas être toutes nues devant vous !". 

Les militaires expliquent aux captives que quoi qu'il arrive, leurs vêtements seront retirés, de gré ou de force et qu'elles finiront nues. Qu'il vaut mieux coopérer et obéir pour que tous ce passe bien.


Le surveillant dépose une sorte de sot, de bac dans laquelle les deux femmes doivent déposer leurs vêtements comme l'ordonne le surveillant..

Il commence par leur faire retirer leurs hijabs,c'est désormais totalement interdit sur décision du général Miller, et de lâcher leurs cheveux. Puis d'enlever leurs chaussures et chaussettes pour se présenter pieds nus. 

Elles sont des jolis pieds, soignés et bien entretenus qui paraissent doux. Ensuite le reste des vêtement y passe, les ordres sont les ordres, les deux femmes doivent bien sur aussi enlever leurs culottes.
 
"Vos vêtements et vos chaussures vous sont confisqués jusque à nouvel ordre, probablement jusque à votre sortie".

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