dimanche 2 août 2020

Fouille à nu en garde à vue

Déshabillage intégrale lors de la fouille en Garde a vue
"J'ai dit à poil, la culotte aussi !"

Femme soumise déshabillée en garde à vue dans un commissariat français


En France, dans les commissariats de police, lorsqu'une personne est en garde à vue, les flics pratiquent systématique la fouille de sécurité qui oblige les personnes privées de liberté à se déshabiller complètement pour s'assurer qu'elles ne cachent rien de dangereux ni aucun objets de contrebande ou nécessaire à l'enquête.

Marie, professeure de français au lycée est placée en GAV dans un centre de police pour avoir manifester dans la rue pour défendre l'école publique, manifestation illégale selon le gouvernent qui à lancer la police pour disperser brutalement les gens et arrêter les cadres pour briser le mouvement.

Marie est arrêtée et placée dans un camion de CRS avant d'être transférée dans l'un des postes de police de la région parisienne.

Sur place, avant sa mise en cellule pour 24 heures, elle est placée dans une petite salle ou une fonctionnaire du ministère de l'intérieur lui donne l'ordre de se déshabiller complètement pour la fouille de sécurité (strip search).

C'est très humiliant de devoir se mettre totalement nue devant la police pour une inspection complète de la têtes aux pieds et de devoir même retirer sa culotte et devoir tousser pour s'assurer que rien n'est cacher dans l'anus ou le vagin ...





Fille humiliée nue en prison


Nue et humiliée en prison
Humiliation et nudité forcée en prison.

Une prisonnière nue victime de la cruauté des gardiens


Une jeune fille détenue, Sarah  est victime de traitements dégradants et humiliants en détention. Elle est incarcérée du fait qu’elle est la fille d’un ministre de l’ancien régime en fuite. Elle a 29 ans et est une fille respectée et reconnue par les siens.

De part son statut de prisonnières importantes, elle a séjourné dans une prison militaire les plus dures et les plus terrible tenue pas les États Unis.

Lorsque elle est arrivée en cellule, Sarah est vite devenue la victime des gardes tout puissants. Dans ce type de centre de détention, les gardes ont pour consignes de la part des autorités militaires d’être très cruels et méchants avec les prisonniers, de les traiter pire que des chiens pour exercer sur eux  des pressions physiques et psychologiques en vue de les ramollir en vue des interrogatoires, d’extraire des aveux et d’obtenir des informations.

Ces « techniques » et contraintes peuvent paraître inhumaines et dégradantes sont imposées aux prisonniers. Plusieurs ont été utilisées sur la prisonnière Sarah.

Pressions, brimades, menaces, humiliations sexuelles.


Sarah est gardée dans une petite cellule vide composée exclusivement d’une toilette et d’un ban en pierre pour dormir. Elle peut être battue, fouettée ou passer à tabac si elle ose regarder un gardien ou une gardienne dans les yeux. Les prisonniers n’ont pas le droit de parler sans autorisation ni de croiser le regards des surveillants.

Sarah est souvent obligée de se mettre nue et de rester sans vêtements. Elle est très pudique et les gardes le savent.

La nudité forcée est simple et très efficace en tant que technique d'interrogatoire car elle ne coute rien, n'est pas dangereuse et ne laisse aucunes traces, alors la police militaire utilise massivement cette "technique" et l'a trouvent extrêmement efficace. Car être  à poil en permanence et exposé au regard des gardes et des autres détenus (c'est encore pire pour une femme d'être exposée et de savoir qu'elle est vue sans possibilité de se cacher par les autres prisonniers hommes ...).

Cette jeune femme est prise en photo nue par les gardiens qui menacent de les montrer à sa famille et de les diffuser sur internet, parfois dans des positions perverses et dégradantes ou ses fesses sont écartées et son anus est ouvert est visible par tous, photographié. Les soudards aiment faire des blagues et des remarques salaces sur ses parties intimes.