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lundi 14 avril 2025

Discours pour les punitions autorité et fessées.

Fessée et punie toute nue
L'humiliation après la fessée (spanked naked)

Discours d'une éducatrice sur l'importance des châtiments corporels et des humiliations.


 

Le monde part en vrille, les gamines d’aujourd’hui se prennent pour des reines, crachant sur l’ordre et l’autorité comme si c’était une mode. Moi, je dirige un pensionnat où on ne cajole pas ces petites pestes. On les mate. On les plie. Et, oh, comme j’adore ça.

Chez moi, la discipline, c’est pas un mot gentil. C’est une religion, et je suis la grande prêtresse. Quand une de ces chipies – arrogante, insolente, ou juste trop sûre d’elle – ose défier mes règles, je la brise. Pas avec des mots doux ou des câlins. Non. Je la mets à poil, pieds nus, devant tout le monde. Complètement nue, sans rien pour cacher ses fesses, sa chatte ou ses seins. Vous savez pourquoi ? Parce que la honte, c’est la meilleur technique quand c'est associer à de la douleur physique. Les voir rougir, trembler, essayer de cacher leurs fesses rouges… Ça me fait sourire. Ça me donne envie d’aller plus loin.

Et on va plus loin, croyez-moi. Une bonne fessée, c’est ma signature. Pas une petite tape gentille, non. Une vraie, sur des fesses nues, bien exposées, où chaque claque résonne. Je les fais danser sous ma main, ces rebelles, jusqu’à ce qu’elles pleurent, jusqu’à ce que leurs fesses soient toute rouge. Et tout le monde regarde. Les autres filles, les yeux écarquillés, savent que leur tour viendra si elles osent me défier. C’est un spectacle, et je suis la reine de la scène.

Mais le clou, c’est l’exhibition. Après la fessée, je les plante au coin, nues, mains sur la tête, pendant deux heures. Deux. Longues. Heures. Elles sentent chaque regard, chaque murmure. Leur peau frémit, leur ego s’effrite. C’est cru, c’est brutal, et c’est tellement bon. L’humiliation publique, c’est mon art. Ça les remet à leur place, ça leur apprend qu’ici, c’est moi qui tiens la laisse.

Et ne venez pas me parler de morale ou de droits. Ces gamines, je les sauve. Je les mate et les rend moins tordues, leurs petites rebellions pathétiques je les écrase. Quatre-vingt-dix pour cent de mes filles décrochent leur diplôme, et elles me remercient après. Pourquoi ? Parce qu’au fond, elles adorent ça. Elles adorent être dominées, être forcées à obéir. Elles jouent les dures, mais je vois leurs yeux briller quand je lève la main. Elles être contrôlées, punies, soumises.

Alors, vous, les bureaucrates, les psy à deux balles, arrêtez de pleurnicher sur la modernité. La modernité, c’est de la merde Moi, je ramène l’ordre, et je le fais avec style. Venez voir mon pensionnat. Venez voir ces filles trembler sous mon regard, supplier en silence, et finalement plier. C’est beau, c’est pervers, c’est efficace.

 

Lien : 

Fessée par une éducatrice. 

dimanche 6 juin 2021

Maison de correction pour jeunes filles.

 

Discipline stricte dans le foyer pour jeunes filles les inspections corporels nues.
Les filles se déshabillent dans le dortoir pour l'inspection du soir.

Des filles humiliées par les éducateurs du foyer pour jeunes femmes.


Un nouveau scandale en vue pour l'ASE ? dans un foyer pour jeune femme qui accueillent des jeunes filles   de 18 à 21 ans en contrat jeunes majeurs en difficultés d'insertion sociale ou avec des problèmes éducatifs, il s'est passé des choses qui ont été révélé dans la presse locale.


Les éducatrices y sont très strictes et avaient pour habitudes d'imposer des traitements dégradants et humiliants aux pensionnaires. En général elles passaient le soir avant le couché dans la chambre des filles pour des inspections justifiées pour des raisons d'éducation (s'assurer de la bonne hygiène des jeunes filles) et de sécurité.

Après  être allée aux toilettes et avoir pris la douche obligatoire, les filles doivent aller dans leurs chambres et elles doivent se déshabiller devant les éducatrices, elles enlèvent la totalité de leurs vêtements.

C'est très difficile pour certaines filles pudiques et réservées de se mettre à poil les unes devant les autres sous le regard inquisiteur des surveillantes.

Les filles sont alignées nues les mains sur la tête et les jambes écartées pour qu'on contrôle leurs vagins et leurs anus.

Pour dormir seulement une nuisette est autorisée, la culotte interdite.


Liens : 






mardi 12 janvier 2021

Une éducatrice dresse une fille radicalisée façon BDSM

Exhibition humiliation et BDSM éducatif pour une jeune soumise
Fille voilée à poil et la chatte totalement exposée sans pudeur.

Plan de dé-radicalisation BDSM des jeunes filles



Nadia, 23 ans est connue depuis plusieurs années pour son extrémisme religieux et ses propos incitant à la haine inter communautaire, à l'antisémitisme et à l'intégrisme.

Cette jeune femme musulmane adepte du voile intégrale est suivie dans le cadre d'un projet de dé-radicalisation suite aux multiples plaintes contre elle à cause de ses propos relavant de l'incitation  la violence et à la haine.

Sur ordre de ses parents et des services sociaux avec l'aval du procureur, Nadia est forcée d'accepter de participer à une expérience unique en France, un tout nouveau projet de réhabilitation destinée aux jeunes filles soupçonnées de radicalité.

Elle est placée dans un foyer pensionnat et est suivie par une éducatrice très strictes et sévère qui passe tout les jours pour l'éduquer par des châtiments corporels, des punitions et des fessées en tout genre.

L'éducatrice a plus de 35 ans, brune, d'origine grecque, à l'air sévère et qui aime porter du cuir, elle à parfaitement l'image du dominatrice SM. Nadia est elle habillée de façon plus traditionnel robe arabe très couvrante et hijab (voile, foulard qui couvre les cheveux et le cou).


L'éducatrice prend la parole :

"Nadia, tes parents et le procureur de la République qui représente la société française m'ont chargé de m'occuper de toi pour les semaines à venir.

A partir de maintenant tu me dois obéissance et soumission totale et tu devra te soumettre à tous un tas d'exigence, de rituels journaliers, a une discipline stricte et chaque acte de désobéissance ou de rebellions sera punie. Tu apprendra aussi les bonnes manières.


Premièrement tu n'a pas le droit de parler sans en demander l'autorisation, tu dois baisser les yeux et la tête devant moi et tout les éducateurs. Maintenant du dois te déshabiller, fous toi à poil et vite !"


Nadia pleurniche un peu mais elle s'exécute et sait qu'elle n'a pas le choix que d'obéir à cette éducatrice dominante qui lui fait plus que de l'effet. Elle enlève tout ses vêtements et mouille un peu, elle retire même sa culotte et ses chaussettes pour être pieds nus et la chatte à l'air devant sa maitresse. Elle a par contre le droit de garder son hijab sur la tête et se retrouve ainsi nue et la tête couverte ...


"La nudité fait partie de la punition, tu sera gardée toute nue et tu à l'interdiction de manifester la moindre gêne ou pudeur c'est compris ?" Nadia doit prendre d'horrible posture impudiques et honteuse l'obligeant à exposer sa chatte ouverte et mouillée et son anus visité par plusieurs garçons avant de venir ici ...


La dominatrice BDSM continue "Bien sur, ton voile te sera bientôt retirer, profite bien car tu passera ton stage de ré éducation tête nue aussi même si je tolère encore quelques heures ton couvre chef ..."


"Voyons ce que je vais te faire, si je jouais avec tes petits pieds vernis et sexy ?" L'éducatrice fouette les plantes des pieds de Nadia avant de lui mordiller un à un ses petits orteils tout mignon et de lui sucer les pieds. La dominatrice passe sa langue entre les pieds de sa soumise.

Puis elle lui chatouille les pieds et Nadia rigole et se débat mais sa maitresse est sans pitié.


Ensuite c'est au tour de Nadia de lécher sa dominatrice, elle doit d'abord lui lécher les pieds, puis elle est obligée de lui lécher le minou, ensuite la pauvre jeunes fille musulmane est soumise à un tripotage en règle de son sexe, ds attouchements agressifs qui la font jouir et beaucoup mouiller. Nadia se fait aussi pincer fortement les tétons et le clitoris.


Après cette échauffement la dominatrice dit :


"Maintenant marche à quatre pattes comme une chienne que je te mette une laisse et te fasse faire le tour de la propriété ..."


Liens :


Dans l'enfer du pensionnat de jeunes filles.