jeudi 29 juin 2023

Punir et humilier une prisonnière jugée arrogante.

 
Nudité forcée en prison
Humiliation pour une femme prisonnière exposée à poil.


Une femme apprend l’humilité en prison.


Cet incident se déroule en mars 2004 pendant la guerre en Irak dans la tristement célèbre prison d’Abou Ghraib connue pour les abus et les tortures pratiquées par les gardes américains sur les prisonniers irakiens.


Une femme irakienne de 29 ans, Léna, une juriste  très hostile aux États Unis ayant protesté et dénoncé l’invasion américaine a été arrêtée sur décision de plusieurs personnes responsables de l’armée et de l’administration intérimaire américaine qui gère provisoirement le pays  qui estiment qu’il faille la faire taire un certain temps et lui rabatte son caquais. 

La décision prise consiste a utilisé la loi dite du patriotAct qui permet aux États Unis d’arrêter toutes personnes susceptibles de menacer le sécurité nationale pour une durée indéterminée en envoyant la jeune femme dans une prison spéciale et secrètes sans appliquer les conventions de Genève.


Léna est rapidement devenu la bête noire des américains par ses actions de défense des droits civiques et politiques et sa dénonciation du pillage du pays par les grandes entreprises américaine suite à la guerre en particulier le trafic d'couvre d'art et d'objets anciens et la corruption pour obtenir des contrats pétroliers à prix avantageux. Cet activisme a irriter plusieurs personnes importantes bien décidées à la faire taire et lui faire payer. Monter des accusations bidon de soutient à la résistance  est très simple et notre pauvre militante s'est vite retrouvée prise dans l'enfer des prisons militaires US ...

La jeune femme a été placée sur la liste des personne recherchée par la coalition internationale comme représentant une menace pour la sécurité nationale et arrêtée lors d'un contrôle  à un des nombreux check point de la capitale, Baghdad.

Léna a ensuite été envoyée a Abou Ghraib pour y être "traitée", c'est à dire dresser et humilier par des gardes pervers et sadiques.

C'est une jeune femme fière, éduquée, ayant séjourné plusieurs fois aux Etats Unis pour y étudier l'économie et le droit, elle a des amis dans ce pays et parle parfaitement l'anglais. C'est aussi une femme de bonne famille et de culture assez conservatrice, éduquée dans le respect des tradition musulmanes et arabes qui demandent aux femmes d'être pudiques et réservée tout en étant assez ouverte sur le monde.

La première chose que font les gardes c'est d'obliger la détenue à se mettre nue, de retirer tout ses vêtements devant des femmes et des hommes sans aucune pudeur ni intimité. Il faut mettre à poil cette salope  hurle l'un des militaires. Ça l'a rendra moins arrogante estime une gardienne en rigolant en voyant  l'embarras et la honte que ressent la prisonnière qui tente de contenir une forte envie de pleurer.

Oui les rumeurs qu'elle entendait sur les humiliations subies par les prisonniers n'étaient pas que des ragots et sont bien réelles. Et oui elle allait y passer, elle aussi, difficile d'imaginer le sentiment d'avilissement et de honte qu'une pieuse femme peut ressentir face à la nudité totale obligatoire.

Si cette jeune femme est incarcérée dans ce sinistre endroit ce n'est pas sans raisons,  bien sur  que que les gardes obligent les femmes comme elle à se foutre à poil sans aucune pitié ni respect pour leur statut, du point de vue des gardes américains la jeune prisonnière représente une menace et est une ennemie des Etats Unis, et par conséquent elle doit être durement punie et humiliée et privée de tout droit !



Fière et digne dans son élégante tenue traditionnelle musulmane (robe large arabe abaya, foulard belle chemise etc. ) elle doit retirer ses vêtements pièces par pièces, tout y passe, y compris la culotte, les chaussettes, les surveillants se moquent d'elle car elle est toute nue devant tout le monde et qu'elle fait moins l'arrogante comme ça.


L'une des gardiennes vicieuses dit en souriant "Et Si i nous la faisions faire le tours de la prison  à poil et l'exhibions devant tout le monde, beaucoup de gens aimeraient voir ce que ça donne une femme voilée toute nue ?"

La prisonnière a du faire une longue marche en étant totalement exposée, le pire c'est que personne n'est étonné ni surpris de voir une prisonnière irakienne nue en train de parader  et subir des insultes et moqueries. Léna connaissait les USA ou elle avait été plusieurs fois en voyage ou elle avait quelques amis et ne comprenait pas pourquoi elle était traité pire qu'une bête.
 
Personne ne manifeste la moindre compassion  ni le moindre respect pour elle. La plupart des prisonniers hommes et femmes sont sans vêtements.

Les gardiens font durer l'exhibition en laissant les nouvelles à poil pendant très longtemps dans les couloirs pour que tout le monde puisse voir la "marchandise". 

Se retrouver les fesses à l'air, les seins à l'air, le minou visible est le lot commun des femmes qui passent dans cette terrible prison ou les humiliations sexuelles, les mauvais traitements et la déshumanisation sont systématique.


Liens : 



mardi 27 juin 2023

Le traitement dégradant imposé aux femmes dans la prison.

 

Nudité forcée et honte pour les femmes.
Prisonnière nue attachée aux barreaux de sa cellule.

Des femmes humiliées nues et maltraitées par les gardiens de la prison.


Lors de la seconde guerre du golfe de 2003 à 2011 ou les Etats Unis ont occupé l'Irak, les responsables militaires américains ont autorisé la torture et les mauvais traitements systématiques dans les centre de détention sous leur autorité pour tenter d'obtenir des informations stratégiques.

Toute les personnes arrêtées pour des infractions présumées à la sécurité nationale US p et susceptibles de représenter un intérêt en terme de renseignement sont systématiquement l'objet de mauvais traitements allant d'insultes à des contraintes physiques et psychologiques importantes pouvant être assimilable à de la torture.

Les officiers de la police militaire ont mis au point tout un processus visant à rendre les prisonniers coopératifs et dociles en vue des interrogatoires. Ces procédures implique des techniques de mauvais traitements basées sur les traitements inhumains et dégradants et des humiliations souvent à caractère sexuelles et des punitions sévères afin d'obtenir des aveux.


Dans la prison d'Abou Ghraib, dans un premier temps et ce qui est le plus frappant et spectaculaire c'est que les détenus sont dans 90% des cas gardés totalement nus et sans aucun confort dans leurs cellules de confinement solitaire,  les rares à porter un uniformes sont ceux qui se sont montré coopératifs et ont donner des informations aux interrogateurs.


Les quelques femmes prisonnières n'échappent pas à cette infâme procédure. Lors de l'arrivée d'une prisonnière , les gardiens ont pour consigne de la soumettre à une pression maximale. La plupart sont très conservatrice et pudique de par leurs valeurs culturelles et leurs croyances religieuses et portent des tenues traditionnelles couvrants entièrement le corps de la tête aux pieds.


Les américains utilisent les tabous culturels et religieux comme des moyens de coercition psychologiques, certes déshabiller des prisonniers dans le cadre de fouille de sécurité dans certaines situations peut être acceptable si c'est justifier et réaliser dans un contexte respectant la pudeur et la dignité des personnes privées de liberté. Mais les gardiens ont pour consigne de mettre nus les détenus de la façon la plus humiliante qu'il soit, en public, sans rien pour cacher pas même une serviette ou un paravent.


Les femmes irakiennes qui arrivent voilées de la têtes aux pieds n'échappent pas à ce traitement, les gardes commencent par les humilier à fond en les forçant à enlever leurs vêtements en public, devant des hommes sous des menaces de coups, d'insultes, rires,  moqueries et commentaire dégradants sur leurs corps, la taille et la formes de leurs  seins, leurs sexes lisses ou poilus etc.


La technique de la nudité forcée fait partie du processus de traitement des détenus est appliquée de façon systématique et avec zèle par les gardiens sur ordre de leurs supérieurs, les prisonnières se retrouvent donc complètement nues, sans rien pour couvrir leurs parties les plus intimes. Cette politique vise à forcer les suspects à collaborer et a divulguer des informations en échange de produits hygiéniques, de literie, de la possibilité de s'habiller, la possibilité  de manger une nourriture plus variée etc.


Porter des vêtements n'est pas un droit mais une faveur accordée aux plus coopératifs. Ceci dit les uniformes ne sont délivré qu’aux hommes et rien n’est prévue pour les femmes. Ce qui fait que les américains préfèrent les laisser sans vêtements meme en  cas de coopération…


Un autre traitement en plus de la nudité imposée dénoncée est le fait que les prisonnières sont obligées de marcher et parader nue et pieds nus dans les couloirs et les locaux du centre de détention pour aller dans la salle des douches, aux interrogatoires ou pour les promenades.


Honte et dressage des prisonnières misent à poil.
Humiliation sexuelle des prisonnières exhibées à poil.

Liens :


Camp de prison BDSM.


Le dressage.


samedi 17 juin 2023

Une gardienne sadique de prison témoigne.

 

Prisonnière nue et dressée par sa gardienne en uniforme.
Une prisonnière nue contrainte de faire du sport par les gardiens.


Cruauté, sadisme, perversion en prison.


L'une des gardiennes de la tristement célèbre prison militaire américaine en Irak durant la seconde guerre du golfe (2003/2011) témoigne devant des enquêteurs officiels  et lève le voile sur le sors réservé à certaines femmes incarcérées dans ce sinistre endroit et sur la question des tortures et des humiliations imposées aux prisonniers sur l'ordre implicite des plus haut dirigeants, du renseignement militaires et de la CIA qui ont intentionnel recruter des gardiens de prisons tordues et pervers et leur ont donner carte blanche pour humilier et maltraiter les captifs.



- Dans un premier temps, pouvez vous vous présentez et nous dire brièvement votre parcours jusque à devenir surveillante générale de la section des femmes du pénitencier militaire de l'armée américaine dans la prison d'Abou Ghraib dans la banlieue de Baghdad ?

Je m'appelle Claire Simpson, et avant d'obtenir ce contrat comme responsables dans cette prison j'ai exercer différente activité dans la police, comme adjointe de sécurité dans un supermarché, et deux ans comme surveillante dans une prison avant d'être licencier pour avoir eu des problèmes avec la justice.



- Votre dossier montre des états de service pas forcément très exemplaire, violence contre des civils, humiliation de détenues, corruption et pots de vins. Votre recrutement dans une prison militaire américaine peut en effet interrogé , pourvoyez vous vous exprimer sur ceci avant d'entrer dans le vif du sujet ?

Les responsables militaires m'ont tout de suite contacter après leur avoir envoyer mon CV, ils m'ont dit que depuis le 11 septembre 2001 les choses avaient changées et que ce que j'ai fais aux USA pouvait etre une très bonne chose à l'étranger et que ça protégera le pays, l'engagement pour beaucoup a été présenter de cette manière.



- Vous voulez dire que c'était une sorte de "rédemption" pour vous et vos collègues ?

Non, mais que le fait de faire ce que nous avons fait était une manière de servir et protéger notre pays pour le rendre plus sur. De traiter les prisonniers de façon durs, de maintenir une discipline de fer, faire régner l'ordre. C'est pour cela que j'ai été recrutée plus pour certaines de mes activités extra professionnelles.


- Pouvez vous précisez ? quelles activités, nous avons du mal à nous suivre.

J'ai eu effectivement des petits problèmes avec la justice pour avoir utiliser mes fonctions de gardiennes de prison pour obtenir des avantages sexuelles de certaines prisonnières et reçu des fonds. Mais pour l'armée c'était un atout d'être une maitresse chanteuse capable d'exploiter des détenues pour assouvir mes envies et m'enrichir, ils m'ont prise directement en me disant de servir la patrie.


- Vous voulez dire qu'ils vous ont recruter pour torturer et maltraiter les détenus irakiens ?

Torturer, non bien sur que non, mais nous devions les conditionner à obéir pour les rendre plus docile et coopératif, c'était les ordres et les consignes qui m'ont  été données lorsque j'ai mis les pieds dans cette prison. 

- Pour le public et l'opinion mondiale c'est effectivement de la torture.

Je n'irais pas jusque là, nous n'avions pas le droit de tuer les prisonniers, ni de les mutiler ou leur faire physiquement mal, là effectivement cela aurait été de la torture, mais nos supérieurs nous ont donner un processus à mettre en place et un comportement spécifique avec la prisonniers pour les faire parler sans avoir recours à de la torture.


- Quel rôle vous ont donner vos supérieurs ? Etait ce des consignes écrites ou orales ?

Notre but était de faire respecter l'ordre et la sécurité du personnel américain, des prisonniers et de faire fonctionner la prison de façon normale et organisée. Et de lutter contre le terrorisme et protéger notre pays des attentats en aidant les services de renseignements à obtenir des informations pouvant sauver des vies.

- Concrètement quel été votre rôle  en tant que responsable des gardiens dans la section ou sont retenues des femmes prisonnières ?

J'étais la responsable du maintient de l'ordre et de la sécurité, et de la bonne coopération des détenus avec les interrogateurs. C'était un travail difficile en coopération avec les policiers militaires qui nous donner les consignes et avec qui nous déterminions les processus de traitement des prisonniers.



- Sur une photo nous pouvons vous voir avec une cravache en train de faire sautiller une prisonnière nue dans les couloirs de la prison, comment justifiez vous ce type d'acte choquants ? Elle a été identifiée comme étant Amal E. 27 ans la soeur d'un responsable en fuite recherché activement par la coalition.
Comment pouvez vous justifier de telles pratiques ?

Les membres du renseignement nous demande de traiter les prisonniers comme pire que des chiens et de leur rendre la vie difficile et désagréable pour les rendre docile pendant les interrogatoires et sauver des vies.


Humiliante fouille nue en public dans la prison.
Fouille à nue et squat pour vérifier les orifices en prison.


- Oui mais pourquoi était elle nue ? qu'avez vous fait de ses vêtements ce jours là ?

Lorsque Amal est arrivée elle a été soumise au processus appliqué aux  "détenus de sécurité" c'est à dire aux personnes soupçonnées de liens avec l'ancien régime, la rébellion, ou de menacer la coalition ou les intérêts américains. Lors de son arrivé nous avions discuter avec les responsables des interrogatoires pour décider que selon son statut, elle devait être gardé nue en permanence et sans aucun confort (literie, dignité) sauf si elle parle et donne des informations importantes.

Lorsqu'elle est arrivée nous l'avons forcer a se déshabiller pour la fouille "strip search" obligatoire, nous lui avons pris ses effets personnels, papiers, bijoux, retirer son voile (hijab), ses vêtements, et ses chaussures comme nous faisons dans tout prison pour s'assurer qu'aucun détenus ne fasse entrer de contrebande, d'armes ou de produits dangereux.



- Mais ces fouilles selon plusieurs témoignages ont lieu en public devant des hommes, et elles se déroulent complètement nue pour les femmes comme pour les hommes. N'est ce pas dégradant ?

Ecoutez, la prison se trouve dans une zone de guerre, avec des personnes potentiellement dangereuses, avec peu de moyens donc nous le pouvons pas exercer notre métier dans les meilleurs conditions, ne pas oubliez le contexte avant de nous blâmer. Et puis ce n'est pas non plus très grave de mettre à poil des gens, il n'y a pas mort d'homme et c'est un pays chaud ...


Quand cette prisonnière là, Amal est arrivée, bien sur qu'on l'a bien inspectée et qu'on à bien regarder avec une lampe torche dans son cul, dans sa chatte, dans sa bouche, dans ses oreilles, sous sa langue, entre ses orteils et elle était clean.



- Ce genre de traitement sont dégradants et s'apparente à des mauvais traitements, et ça ne s'arrête pas là, dans la prison d'Abou Ghraib une bonne partie des détenus étaient nus en permanence comme Amal, c'est très dégradant et vexatoire d'imposer la nudité à des personnes de cultures pudiques et conservatrices, est ce une politique assumée par la police militaire ?


Oui bien sur, en dehors des fouilles qui exigent d'être à poil nous avions garder sans vêtements une bonne partie des prisonniers. Amal aussi comme je vous l'ai dis plus tôt la nudité complète et permanente lui à été imposée et je l'ai mise en oeuvre.

Après je ne vois pas le problème de garder Amal nue, c'est une prison dois je vous rappeler.  Nous ne lui avons rien fait de mal. 
Les supérieurs nous avait demander de bien insister sur le retrait des vêtements et de jouer sur les peurs et les tabous culturels et religieux des personnes emprisonnées.



- Vous voulez dire que la nudité était une méthode à part entière et une pratique ordonnée et admise par la hiérarchie ?


Oui, bien sur. D'une part nous sommes la pour dominer et montrer  la supériorité des américains sur leurs ennemis et imposer nos règles que ça plaise ou non. Amal était nue ? oui et je ne vois pas le mal, L'humiliation doit faire partie de la punition et c'est très efficace pour faire parler les suspects lors des interrogatoires.


Oui bon elle a pleurer et n'était pas contente d'être dénudée, mais la nudité est dans ce type de situation est pleinement justifiée. 


Les irakiennes comme elle, moi je les met  à poil, Amal je l'avais dressée et soumise et je lui avais appris l'humilité. Je lui avais fait enlever tout ses vêtements et son voile en bafouant ses sentiments religieux et culturelles, j'ai fait en sorte que sa chatte et son anus soient exposés le plus possible dans des positions indécentes  pour le divertissement du staff. 

Les agents du renseignement m'avaient plusieurs fois demander de "dresser" les femmes comme elle, pour en faire des exemples. Voila ici c'est les règles américaines, pas d'accoutrement exotique, les femmes ultra couverte on n'accepte pas , nous les découvrons, avec les collègues nous sous amusions bien à les rabaisser et les vexer et les faire se promener toutes nues alors que 5 minutes avants elles étaient toutes habillées avec l'interdiction de porter des vêtements !




J'ai aussi obliger Amal a se présenter nue devant d'autre prisonniers a écarter ses fesses pour bien qu'on puisse voir l'intérieur de son cul. J'ai fait ça pour son bien et lui permettre de révéler la vrai salope lesbienne soumise qui est en elle.


D'autre fois pour la punir je l'obligeait a rester sur un pieds en équilibre et les mains sur la tête et gare à elle sur elle pose l'autre pieds !


J'aime aussi lui faire lécher mes bottes, faire d'elle une vraie chienne

Humiliation et léchage de botte en prison.
Humiliation : une femme nue lèche les bottes de sa gardiennes de prison.



J'aime bien aussi l'obliger à s'auto lécher ses plantes de pieds sales et ses orteils devant tout le monde en rigolant lui faire perdre toute dignité !



- Mais c'est horrible ceux sont des mauvais traitements et limite de la torture que de faire ça !


C'est pour son bien et pour le notre, nous lions l'utile à l'agréable. J'aime  dresser et  punir les prisonnières pour un oui ou pour un non.



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