samedi 25 février 2023

Deux femmes pudiques retrouvées nues en cellule de prison.

 

De la nudité forcée en prison de haute sécurité.
Deux femmes enfermées nues en cellule.

Deux jeunes femmes humiliées nues pendant leur détention.



Témoignage d'un juriste membre d'une organisation internationale de défense des droits de l'homme chargé d'enquêter sur l'arrestation de deux jeunes filles arrêtées par erreur sans aucune justifications par les troupes US lors d'une opération menée sur un campus universitaire. Cet observateur a pu retrouver et visiter les deux femmes gardées dans la prison d'Abou Ghraib en 2004 pendant la seconde guerre du golfe, cette prison est célèbre pour les abus et les sévices institués par les gardiens contre les prisonniers, en particulier les humiliations à caractères sexuels autour de la nudité forcée.


"J'ai été mandaté par une ONG et les familles des deux jeunes femmes retenues arbitrairement par les force de la coalition internationale en 2004 en Irak, Linda 30 ans est responsable administratif et pédagogique dans l'université et Sara 26 ans , étudiante en doctorat.

Nous avons pus grâce a des connaissances au sein de l'administration de l'occupant retrouver la traces des deux filles, elles étaient détenues dans l'aile des "prisonniers de haute valeurs" de la prison d'Abou Ghraib.

C'est deux femmes pudiques, issue de milieux assez bourgeois et aisés, assez pieuses, elle portent toutes les deux le voile et une abaya même si elles sont relativement moderne et bien éduquées elles restent assez conservatrice et modeste car ayant grandie dans les valeurs arabes et musulmanes.


Lorsque j'ai pu atteindre leur cellule  escorté par un surveillant, j'ai constaté que les deux prisonnières étaient complètement nues et totalement  humiliées par cette situation, elles avaient la tête baissée  tentaient de cacher leurs seins et leurs parties intimes par pudeur et étaient très embarrassées elles étaient aussi toutes rouges.

Le garde se moque d'elles en leur disant que tout le monde a vue leurs nichons, chattes et fesses lors des parades et des fouilles ou les prisonnières sont régulièrement exposées nues  devant tout le monde pour divertir les américains.


Le responsables des surveillant m'a ensuite expliquer que la nudité et les humiliantes fouilles à nu font parti du processus standard de la prison pour assurer la sécurité et rendre les détenus dociles, soumis,  obéissants, et plus coopératifs lors des interrogatoires.


Linda et Sara lors de leur accueil ont été forcées de retirer leurs effets personnels, montres, bijoux, et aussi leurs vêtements, tout, y compris les sous vêtements, les chaussures et les chaussettes.



Sara raconte même avoir du enlever son tampon hygiénique en face d'un gardien qui faisait claquer un gant en caoutchouc lubrifié en souriant de manière lubrique et vicieuse  avant l'inspection des anus et des vagins des prisonnières.


Les deux jeunes femmes se plaignent d’être gardées sans vêtements. Linda honteuse en train de tenter de dissimuler sa poitrine avec ses bras me dit que les américains l’oblige à rester toute nue et pieds nus en permanence depuis son arrivé.

"S'il vous plait dites leurs de nous rendre nos vêtements, ils nous interdisent d'en porter et ne respectent pas notre pudeur, c'est trop la honte d'être retenue dans cette situation, ils nous oblige à servir le repas des prisonniers hommes à poil, ainsi qu'a faire des danses et du sport devant eux, ils ne nous laisse même pas porter des chaussures, nos pieds sont sales et plein de poussière et parfois le sol est froid."

Sara ajoute que les gardiens "Nous interdisent même de cacher nos seins et nos fesses, ils m'ont punie d'une fessée une fois pour avoir mis mes bras devant ma chatte devant un garde qui voulait voir entre mes cuisses."



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