vendredi 26 novembre 2021

Dans le couloir des femmes prisonnières.

 

Des femmes gardées totalement nues en cellule sans aucun respect pour leur pudeur ni dignité.
Les prisonnières sont gardées nues et sans aucun respect pour leur intimité.

Prisonnières nues et humiliées en captivité.


Dans la prison d'Abou Ghraib près de Baghdad tenue par l'armée américaine en Irak au moyen orient, dans l'aile de la partie dure du site pénitentiaire ou sont retenus les détenus de haute sécurité (membre de l'ancien régime, haut fonctionnaire, rebelles, terroristes, anciens militaires) ainsi que les femmes arrêtées et retenues par la coalition internationale. Voir des prisonniers gardés sans vêtements est une pratique courante et routinière qu'impose les gardiens américains conseillés par la police militaire et le ministère de la défense qui autorise et encourage les techniques d'interrogatoire musclés et la nudité forcée. 

Les hauts gradés ont entre autre donner pour consigne à leurs staff pénitentiaire de traiter les captifs "pire que des chiens".


Lorsqu'une femme arrive dans la prison, même si elles sont minoritaires, la procédure standard qu'on pratique sur les hommes leur est aussi imposée.


La prisonnière lorsqu'elle arrive dans le centre de détention doit  retirer tout ses vêtements, bijoux, effets personnel, chaussures, papiers, argent  etc. et se mettre complètement nue pour une fouille et une inspection de la tête aux pieds et des orifices intimes (les anus anus et les vagin sont minutieusement vérifiés ) avant d'être conduite dans une cellule ouverte et spartiate.


Yasmine, une femme de 28 ans, qui possède plusieurs petite commerce a été arrêtée et a passer plusieurs mois dans la prison affirme qu'aucune humiliation, aucune vexation ne lui a été épargner.


Elle témoigne que les gardes pour punir et le plus souvent par plaisir, pour le fun, ou pour se distrairent considérant les femmes comme des objets de divertissements.


Elle a été gardée nue avec d'autre prisonnières et totalement humiliée et dégradée par l'obligation de rester à poil en permanence et à la vue de tous en public sans rien pouvoir cacher avec l'interdiction stricte de tenter de dissimuler leurs seins, fesses, sexe sous peine de punition (privation ne nourriture, cachot, falaka etc.).


Les gardiens et gardiennes américaines qui ont pour habitude de voir des femmes arabes et musulmanes couverte et souvent intégralement voilées les détiennent totalement nues et pieds nus et les exhibe pour les soumettre et les remettre à leur place et les préparer à parler lors des interrogatoires.


Yasmine affirme n'avoir pas eu le droit ni la possibilité de se vêtir pendant quasiment toute sa période de détention comme la majorité des autres captives.




Liens : 



Humiliation d'une prisonnière chrétienne en régime communiste.



De la nudité en prison.



Forcée d'être à poil et sévices.


mardi 23 novembre 2021

Des prisonniers gardés nus en permanence.

 

Nudité totale obligatoire en cellule de prison.
Femme nue et enchainée dans sa cellule de prison.

Prisonnière nue et enchainée dans sa cellule.


La nudité et les humiliations sexuelles sont des techniques d'interrogatoire et de contrôle des prisonniers utilisées par l'armée américaine et les services de renseignements.


En Irak, à la prison d'Abou Ghraib, en 2003/2004 sous la responsabilité des forces armées US dépouiller les détenus et les garder sans vêtements est une pratique omniprésente et généralisée.


Les procédures de conditionnement des prisonniers visent à créer un sentiment de stress et d'inconfort constant, associé a de la peur et de la vulnérabilité et une sensation d'impuissance et de contrôle totale des gardiens sur les captifs.


De plus, les humiliations liés a des tabous culturelles et religieux augmentent le sentiment de dégradation de la personne privée de liberté et permettent de rabaisser fortement l'égo.



Pour les gardiens imposer la nudité totale aux personnes enfermées  et les garder enchainée est normal et habituel.


Linda, 31 ans, une femme fonctionnaire de l'ancien régime renversé par la coalition internationale a passer plusieurs mois en détention pour ses liens avec l'ancien régime. Elle a été déshabillée et interdite de porter des vêtements en cellule et dans la prison. Ce traitement est très outrageant pour elle, qui a été élevée et a grandie dans une culture religieuse et très pudique que de devoir se présenter nue devant le staff pénitencier, les autres prisonniers et rester à poil en cellule.


Lorsque des membres d'ONG ont enquêter et on découvert que Linda était gardée nue et pieds nus et enchaînée en permanence, les responsables américains justifient l'absence de vêtement de la prisonnière par le fait qu'il fasse chaud et que s'habiller ne soit pas nécessaire, par le fait d'avoir reçu l'ordre de mettre nu les détenus de haute valeurs gardés dans cette prison et de les détenir totalement à poil pour les ramollir car ça fait partie du processus.




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lundi 22 novembre 2021

Une éducatrice en Foyer pour jeunes filles en difficulté éduque, impose la discipline et punie une jeune fille.

 

Déshabillage d'une salope en hijab
Enlève ta culotte !

L'éducation et la soumission d'une jeune fille en centre éducatif fermé.



Mounia, 21 ans est une jeune fille arabe et musulmane en hijab de banlieue, qui a un parcours familiale difficile et qui rencontre de graves soucis pour s'intégrer à la société. Suite a un accord entre ses parents et le juge, la jeune fille est placée dans un foyer pour jeune fille et doit suivre une formation.


Lors du premiers jours, elle est soumise par l'éducatrice à une inspection pour contrôler et vérifier son hygiène et sa propreté, chose essentiel dans l'éducation d'une femme.


L'éducatrice veut s'assurer que les nouvelles pensionnaires soient propre de façon intime. Elle est très stricte et à cheval sur cette question et veut en savoir plus sur la propreté de Mounia.


La jeune fille est invitée a se déshabiller , elle enlève sa robe arabe pour se retrouver dans des sous vêtements très sexy que l'éducatrice trouve indécent et trop provocant, la politique du foyer. Ici les sous vêtements des jeunes filles doivent etre sobre et discret et ceux de la jeune fille sont trop sexy et affriolants , ils doivent donc être confisqués.

La jeune fille doit enlever aussi ses baskets et ses chaussettes pour un contrôle de ses pieds, l'inspectrice examine les orteils et les plantes de la fille.



Ses pieds sont très sexy et bien vernis de façon flashy, Mounia porte certes le hijab mais elle a une sexualité débridée et aime que des garçons  fétichiste ou même des filles lui sucent les doigts de pieds ou lui massent. Elle est très propre et a une bonne hygiène  corporelle.


Elle est aussi tatouée et a pas mal de piercings sur le corps comme le constate son éducatrice.



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jeudi 18 novembre 2021

ENF Embarassed Naked Female : Tout nue en pleine ville après un bizutage !

 

Nudité et exhibition, pendant les journée d'intégration étudiante.
Toute nue en public au bizutage.


Une jeune fille noire à poil pendant le bizutage.


Lors du bizutage, les anciens, élèves avec la complicité des dirigeant font respecter les traditions locales. Laura, une étudiante en première année a été forcer de déambuler entièrement nue dans le centre ville d'une cité universitaire.


Une journée d'intégration est organisée le second samedi après la rentrée, Laura est une fille réservée, assez pudique qui n'aime pas trop faire la fête ni même les attroupements public. Mais pour réussir, elle doit faire du réseau et développer des relations avec les autres.


Elle est donc de facto oblige de se rendre à la journée d'intégration organisée par le bureau des étudiants (BDE).


Sur place, Laura est prise en charge par les anciennes, elle est rapidement contrainte de se déshabiller complètement et devant tout le monde avec les autres nouvelles "bizutes". 


Les filles sont totalement nues et pieds nus et exposées en public comme si elles n'étaient que du bétail ou des esclaves sur un marché.


Les étudiantes les plus pudiques sont promener et balader dans le plus simple appareil sur le campus et dans le centre ville dans le but de les décoincées et la jeune fille noire est soumise à cette marche de la honte ...



Liens : 


Bizutage de rentrée.


Blog à voir sur sur le bizutage.



 

lundi 8 novembre 2021

Une prisonnière dénudée et humiliée

 

La mise à nu d'une prisonnière.
Nudité imposée lors de l'arrestation.

Une femme victime de sévices et mauvais traitements en prison.


Après les attentats du 11 septembre 2001 contre le pentagone et les tours jumelles, les dirigeants américains ont autorisé l'armée et les services de sécurité a utiliser des techniques d'interrogatoire musclés et de contourner les conventions de Genève et employer des méthodes interdites par le droit international comme les mises à nus et les expositions de personnes privées de liberté et des prises de photos de prisonniers à poil.


Les USA ont dans le cadre de la guerre contre l'Irak de 2002 à 2011 arrêtées beaucoup de personnes dont certaines femmes qui ont été soumises à des traitements portant atteinte à leur dignité.



Une détenue connue sous le pseudonyme de Damia témoignage  de son expérience humiliante durant  son passage dans la prison militaire d'Abou Ghraib sous contrôle américain près de Baghdad. Elle avait été arrêtée pour soupçon de soutient à la rébellion et été incarcérée pendant 2 mois.



Lors de son arrivée la prisonnière est emmenée dans une pièce pour une fouille corporelle et elle doit enlever tous ses vêtements devant des agents de la police militaire masculins. Il faut noter que la porte reste ouverte et que tout le monde peut voir les prisonniers nus lors des fouilles.


Les inspections sont complètes de la têtes aux pieds et Damia s'est déshabiller devant une gardienne et un agent de la police militaire.


En plus de lui enlever tout ses vêtements la prisonnière doit s'accroupir nue et tousser en écartant le vagin et les fesses.

Les militaires ont ensuite obligée la captive à marcher toute nue jusque dans sa cellule.




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mercredi 3 novembre 2021

Femme terroriste arrêtée à poil par la police.

 

Nudité, menottes et chaines pour une femme suspecte.
Mise à poil et menotté pendant l'arrestation.

Une Femme nue et dressée par la police lors de son arrestation.


Aux Etats Unis depuis plusieurs année nous assistons à une recrudescence de la violence, des incivilitées et du terrorisme qui ont contraint les polices des différents Etats à durcir leurs mesures et à employer des méthodes de plus en plus dures et dissuasives.


Léna, une étudiante libanaise en économie résident aux USA a été arrêtée et humiliée sous de fausses accusations de terrorisme suite a de la dénonciation calomnieuse de la part d'un voisin. La police fédérale à immédiatement réagi et envoyer une équipe d'intervention appréhender la jeune femme à son domicile, un appartement d'un quartier assez aisé.


Une fois la perquisition commencer, Léna a du se déshabiller complètement pour une fouille à nu devant des policiers hommes, cette procédure est validée et justifiée par la justice pour des raison de sécurité aux Etats Unis des gardiens et des policiers hommes peuvent fouiller des femmes et inversement des femmes peuvent fouiller les hommes.


L'étudiante a du retirer tout ses vêtements, y compris sa culotte et ses socquettes qui sont interdites en détention dans la loi de cette Etat. En effet les sous vêtements et les chaussettes peuvent servir à dissimuler des objets de contrebandes ou etre utiliser comme des armes, la police doit les confisquer à tout suspect.


Intégralement nue et menottée aux poignets et aux chevilles, forcer de marcher pieds nus dans l'immeuble et dans la rue, la jeune femme a été emmener au commissariat centrale pour des vérification d'identité et détenue plusieurs jours le temps de l'enquête.


La suspecte a été retenue sans avoir le droit de porter le moindre vêtements et exposées à poil à la vue de tous.



Liens :



Garde à vue musclée.


Humiliation et nudité au poste de police.



La vie est difficile pour une femme dans un camp de prisonnier.

 

Punir et sanctionner de façon cruelle les prisonnière nues.
Une prisonnière nue en position de stress en guise de punition pour manquement à la discipline.

Une femme témoigne des humiliations et mauvais traitements en prison.


Suite au attentats du 11 septembre 2001 qui ont frappés les Etats Unis d'Amérique, le pays s'est lancé dans une vaste campagne de guerre au quatre coin du monde sous prétexte de lutter contre le terrorisme et s'est doté d'outil législatif pour contourner les conventions de Genève en autorisant des techniques d'interrogatoire musclés et renforcés et des période de détention sans procès et sans accès à des avocats à toutes personnes soupçonnées de menacer la sécurité nationale américaine.


Les forces américaines assistées par la CIA et la police militaire ont ouvert des prisons et des camps de détention partout dans le monde pour y garder les prisonniers de guerre.


En Irak, plusieurs lieux de captivité ont été mis sous contrôle US comme la célèbre prison d'Abou Ghraib ou créer  suite à l'invasion du pays en 2003.


Une jeune femme surnommée Lina a passer plusieurs mois en détention au secret entre les mains des geôliers de la célèbre prison. Elle a 24 ans et s'est la nièce d'une responsables de l'ancien régime recherché par la coalition.


La prisonnière est enregistrée sous le numéro de matricule 4012736, elle est encore choquée de ce qu'elle a subie plusieurs mois après.


"Des soldats américains m'ont arrêtée sur mon lieu de travail suite à une  dénonciation de personne jalouses et corrompues qui m'ont faussement accuser de faire partie de la rébellion simplement parce que des membres de ma famille sont recherchés par ces derniers. 


Au début tout se passait très bien, ils m'ont amener dans des bureaux en m'appelant "madame", ils m'ont même offert du café au lait et des sucreries de chez eux. Tout est parti en vrille lorsqu'ils ont reçue un appel pour leur dire de me transférée dans le centre de détention d'Abou Ghraib près de Baghdad.


La bas l'enfer à commencer très vite, dès que je suis arrivée dans l'aile de la prison ou sont retenus les femmes les gardes m'ont demander de déposer mes papiers d'identité et mes effets personnels (montre, bijoux, argent liquide, carte de crédit etc.) me déshabiller, d'enlever tout mes vêtements , y compris les sous vêtements (culotte et soutien gorge), les chaussures et les bas.


Les américains forcent les femmes à se mettre nues pour la fouille et des gardes hommes participent  et je n’y ais pas échapper j’ai été contrainte de me déshabiller devant des gardiens hommes.


Les gardiens examinent tout sans exception, ils regardent dans les fesses des prisonniers avec des lampes  torches et ils forcent les prisonnières à écarter les lèvres de leurs vagins devant eux pour s’assurer qu’elles ne dissimulent rien dans leurs cavités intimes. C'est terriblement humiliant.



Mais ce n’est rien comparé aux outrages qu’ils m’ont ensuite imposés.



Tout est fait pour nous humilier et nous mettre la honte. Pour m'avilir et me dégradée j'ai du sortir entièrement nue et marcher  dans les couloir de la prison  jusque à ma cellule avec l'interdiction de couvrir mes organes génitaux. Les américains appellent ça la marche de la honte :"walking shame". Qu'ils imposent ça aux femmes pieuses, respectables et pudiques.


J'ai jamais porter de bikini sur une plage en publique , ni même montrer mon corps et la c'est une exhibition à poil qu'ils imposent !


Les américains interdisent de porter le moindre vêtement aux prisonniers dans cette prison, c'est leur politique. J'ai passer plusieurs mois nue et pieds nus sans pouvoir me couvrir c'était très difficile au début d'être sans vêtements.


La vie quotidienne est très routinière, je devais faire les corvées, le ménage à poil  dans les chambres des soldats de 6 heures à 8 heures du matin. En cas de travail mal fait je recevais une sanction ou punition comme une fessée, la privation de nourriture,  et le fait d'être exposée nue et attachée dans des positions stressantes, inconfortables et humiliantes pendant des heures.




Liens :



Des femmes kidnappées et dressées.



Nudité imposée en prison.