dimanche 4 avril 2021

Garde à vue, nudité, humiliation, interrogatoire musclé

Nudité totale en détention.
Prisonnière nue entre les mains de sa gardienne en uniforme.

Reportage exceptionnel dans l’un des commissariats de la BAC féminine. 


Vous le savez tous, depuis quelques mois, suite à différents événements, face à la hausse de l’insécurité et du terrorisme, le gouvernement a dû revoir profondément sa politique sécuritaire. Les pouvoirs de la police et des services de défenses ont étés considérablement renforcés. La politique gouvernementale est claire : la sécurité passe maintenant bien avant les libertés, et l’efficacité policière et la culture du résultat nécessite de revoir fondamentalement la notion de droit de l’homme, qui est exclue maintenant des procédures sécuritaires au profil de méthodes jugés plus efficace. Sans sombrer dans la barbarie, le gouvernement à élaborer un système de répression de la population et de la jeunesse alliant droit de l’homme. La notion de torture est redéfinie, et bien que la torture soit toujours interdite, ses limites ont été redessinées. 

Interrogatoire renforcés et difficiles.



La définition juridique de la tortue adoptée par le gouvernement est la suivante : « La torture consiste à infliger volontairement à une personne des douleurs durables laissant des séquelles physiques. ». Cette nouvelle définition qui remplace l’ancienne, à l’avantage de donner aux autorités un éventail plus large de sanctions, mesures coercitives et de méthodes pour faire parler les individus suspectés de crimes, délits, atteintes à l’ordre public, à la paix publique, à la sureté de l’Etat et des Institutions, ou toute personnes potentiellement menaçantes pour le bien public dont l’Etat est le garant.

Nudité forcée et humiliation en Garde à vue
Femme exposée et attachée nue (humiliation publique et sexuelle).



Ces réformes juridiques donnent donc à l’Etat plus de moyens pour assurer la sécurité collective, et donne les mains libres à la police pour travailler librement et sereinement. Le gouvernement a bien aussi décidé de sortir définitivement de la Convention Européenne des Droits de l’Homme, et de ne plus la respecter, pour ne plus être ennuyé par sa Cours qui selon le gouvernement, porte atteinte à la souveraineté de l’Etat.


La plupart des commissariats ont donc revu leurs méthodes suite aux réformes gouvernementales. Le gouvernement ayant décidé de renouveler les effectifs et de faire appel à de personnelles ici du monde BDSM (Bondage, Domination et Sado masochisme), dont le savoir-faire est reconnue pour alliée « torture » et sécurité (il est hors de question pour le gouvernement que des gens meurt ou soit mutiler suite à des interrogatoire musclés) , le ministère de l’intérieur à donc naturellement fait appel à des équipes de dominatrices et de dominateurs sadomasochistes pour aider les suspect à parler sans risque pour leur vie et santé.
Nous allons ici nous immerger dans un commissariat dirigé par un groupe de femme. Une BAC (brigade anti-criminalité) féminine. La commissaire principale, Miléna est une dominatrice lesbienne blonde de 30 ans, recrutée pour son savoir-faire pervers et sadique. Elle est assistée de son adjointe Wafa, une autre dominatrice brune arabe sans pitié. Les deux femmes dirigent un commissariat, et nous ont fait le privilège, à nous, de nous ouvrir leur porte pendant 48 heures pour que nous puissions les voir travailler. Elles sont accompagnées d’une équipe de policiers, hommes et femmes. La mixité est importante selon la patronne, elle permet de mieux humilier les suspects. « Les hommes n’ont en générale que le rôle de brutes, de gros bras, et leurs organes phallique peut être utilisé lors des interrogatoires. Après rien ne nous empêche de faire appel à des hommes spécialistes », nous explique Wafa.

La loi prévoit bien que toute allégation de torture à l’égard des forces de sécurité est un crime contre l’Etat et une injure à la police, et que c’est passible de poursuite. Nous avons le droit de parler de « torture » à condition d’y mettre des parenthèses, car il est inconcevable que dans un Etat démocratique, que la police républicaine puisse torturer des gens alors qu’elle protège les libertés publiques, et que la première des libertés et la sécurité. Et que toute atteinte même symbolique portée à la police est considéré comme une incitation à la violence et au terrorisme.


Après ce bref appendice, nous allons nous présenter notre reportage exclusif en immersion dans un centre de police qui arrête et fait parler des suspects hommes et femmes accusés de toutes sortes de crimes et délits.


Une nuit en Garde à vue pour des manifestantes.

La police anti-émeute, les CSR ont à a des manifestants et manifestantes, les manifestants sont triés selon leur sexe, les garçons avec les garçons et les filles avec les filles, et chaque groupe et mis dans un fourgon de police. Par chance, un groupe de fille est arrivé dans la nuit vers 22 h dans notre commissariat.
Les filles arrêtées on violer la loi en manifestant sans autorisation, elles ne risquent rien, hormis une éventuelle amende de quelques centaines d'Euros, bien maigre sanction pour nos policiers, qui trouve ça trop léger, ces femmes on porter selon eux atteinte à l'autorité de l'Etat et doivent être sanctionnées. La police décide donc de profiter de le temps que leur laisse la garde à vue, et de leurs nouveaux droits pour punir et humilier ces femmes opposantes à la politique gouvernementale, car ici les travailler pour leurs sous tirés des informations n’a pas grande importance, mais ces filles peuvent servir d’amusements pour nos enquêteurs. La durée de Garde à vue pour ce genre d’affaire est de 24 heures, qui peuvent être mise à profil bien sûr pour leur passer l’envie d’exprimer des opinions illégitimes (NDLR : le Comité de Protection de la Liberté de la Presse nous oblige à écrire la dernière phrase.).

Les manifestantes arrivent par la porte de derrière, on les laisse une dizaine de minutes dans une pièce en attendant de savoir ce qu’on va leur faire. Miléna est occupée à travailler au corps une journaliste suspectée d’outrage au président. C’est donc Wafa qui supervise brièvement la garde à vue de ces filles et elle vient les chercher, escorté de deux armoires à glace, deux flics à l’air cruels et violent. Wafa leur annonce leur mise en garde à vue pour comme nous l’avons dit, manifestations illégales et pour « avoir des idées de merde à tendance gauchistes ou droit de l’hommiste ». Wafa les qualifie de « groupes de putes » à qui il faut apprendre le respect. Elle leur explique leurs droits « Vous êtes toutes placées en Garde à vue, vous êtes sous notre responsabilité, et vous n’avez pas beaucoup de droit à part nous obéir et ne pas nous faire chier car nous sommes occupé ».

«Vous êtes 5, âgées de 19 à 26 ans, la plupart de vous êtes des étudiantes en histoire ou en Art, nous avons Mélanie 19 ans, Anissa 26 ans (la plus vieille et elle ont le corps tatoué.), Charlène 20 ans, Jessica et Marie toutes les deux 22 an. On va s’amuser avec vous cette nuit ». Leur dit la policière rebeu qui passe auprès de chacune d’elles et les impressionne.

« Bien vérification d’identité faire, bande de petites prétentieuse d’intellectuelles, faisons connaissance, déshabillez-vous et posez vos vêtements dans les paniers ». Ordonne l’agent.

Les filles stupéfaites hésitent, Jessica ouvre sa bouche, et se prend dans l’instant suivant une baffe de la patronne adjointe.


Humiliation et asservissement sexuelle BDSM en prison
Homosexualité forcée pour les prisonnières nues.



Nudité forcée, humiliations et sévices.


« A poils tout de suite » dit fermement W afa. Les filles retirent leurs manteaux, veste ou pull pour celles qui en ont.

« Plus vite, que ça, à Poil » hurle les flics, une fois en sous-vêtement Jessica et Mélanie arrête et se mettent à pleurer. Elles se prennent une rafale de claques.

« A poils es filles, je vous ais ordonner de vous déshabiller, ça veut dire vous enlevez tout ». Leur dit froidement Wafa.

Une fois les cinq filles totalement nues devant Wafa et les policiers hommes. Wafa, nous, à affirmer en privé préférait que le déshabillage et fouille à nu se déroule en présence d’hommes et de femme pour accroître la gêne et l’humiliation des pudiques.

Les filles sont escortées toute nues dans une autre partie du commissariat, elles marchent pieds nus sur le sol glacé et sont placées en salle de fouille, elles s’inquiètent, car elles sont déjà toutes nues.

Wafa leur ordonne l’une après l’autre de passer au milieu de la pièce, et de s’exhiber. Les filles doivent l’une après l’autre ouvrir la bouche, défaire leurs cheveux, soulever leurs poitrines et faire bouger leurs seins, montrer leurs plantes de pieds. Et surtout, écarter grand les fesses pendant que Wafa leur pointe une lampe en direction du trou du cul et regarde en n’hésitant pas à y mettre ses doigts gantés et le faire lécher aux filles qui trouvent ça dégoutant et vomissent pour certaines. Les filles sont aussi contraintes de se regarder nues mutuellement, par faire connaissance, Wafa entendait par là les forcer à se regarder mutuellement le entrailles de leur cul et chattes sous les rires des autres flics.

Une fois les anus passés en revue. Wafa les laisse mijoter et ferme la salle. Les filles pleurent et s’angoissent, elles entendent des bruits de chiens, des aboiements.

Puis les flics reviennent avec un gros chien noir. « Il va s’assurer que vous n’ayez pas de drogue ». Les filles doivent se mettre debout les mains sur la tête et écarter les jambes pendant qu’un flic dirige le chien vers le vagin de chacune d’entre elles. Le chien renifle les chattes et les lèche.

Wafa ordonne à ses sbires de saisir Jessica, et de lui écarter les chevilles pour rendre sa chatte accessible aux chiens, un autre flic passe une sorte de crème sur les organes de la prisonnière, et le chien lui lèche longuement la chatte. Elle sent le museau du chien sur son clitoris, et la langue du clébard qui lui rentre entre les lèvres. Elle ne peut s’empêcher de gémir au contact de la langue rugueuse du chien. Jessica est pleine de plaisir, mais de honte aussi.

Les autres filles sont effrayées, mais aussi émoustillées devant cette scène. Wafa passe à nouveau en revue les organes génitaux des filles. Anissa est celle qui mouille le plus, Wafa lui fait remarquer qu’elle mouille comme une chienne elle aussi. Et que Jessica est une chienne en chaleur, et qu’elle doit lécher la chatte d’Anissa.

« À genoux chienne de Jessica, léche ta copine » ordonne la dominatrice, après avoir mis un coup de cravache à la chienne.

Jessica est en train de nettoyer les parties intimes d’Anissa. 

Wafa observe les chattes et les culs des trois autres filles. « Anissa, rends service à Marie, mais lèche lui bien le cul, je crois qu’elle a pété la sale truie ».

Marie doit se pencher en avant et écarter les fesses, et Anissa s’agenouiller. Face à l’hésitation, Wafa colle le visage d’Anissa entre les fesses de Marie pour la forcer à y passer la langue.

Les filles sont ensuite remises debout et alignées. Et le chien leur repasse une autre fois autour du cul « Pour le plaisir » dit Wafa.

La fouille terminée. Wafa s’en va, elle a d’autres personnes à faire parler, ces filles-là n’ont aucun intérêt niveau renseignement nous dit-elle. Il faut juste les humilier et les rendent soumis, et se détendre avec elle.

« Je vous laisse entre les mains des gardiens de la paix. ». Dit elle en partant.


Interrogatorie musclé nue pour femme prisonnière.
Prisonnière nue en attente d'interrogatoire.



Cruauté gratuite.


Les policiers mâles les font bouger, elles sont promenées à poil bien sûr, puis on leur prend leurs empreintes, et en photo. Les photos sont prises nues, on les photographie de face, de poil, mais on prend aussi en photo leurs seins, fesses, anus, vagin et pieds, ainsi que toute nue de plein pied. C’est la nouvelle procédure. Les flics les amènent en salle de détente, ou ils forcent les filles à sautiller toutes nues devant eux et s’amusent de leurs seins qui bougent.



Les jeunes prisonnières sont ensuite placées dans une petite cellule froides et puante ou elles reste nues et serrées comme des sardines.



On viendra ensuite les chercher une à une pour les interroger et les faire signer des papiers d’aveux. Chose facile à obtenir.



Liens : 



Sévices à la prison des femmes.



Contention et restriction en prison.








3 commentaires:

  1. Le site de dark Gemini https://www.dark-gemini.com/

    Un site d’histoires et de récits bdsm très variés dont certaines peuvent être très hard.

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  2. Autre histoire à lire https://bdsm-female-prison.blogspot.com/2020/10/les-humiliantes-fouilles-nue.html?m=0

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  3. Histoire bdsm récente en rapport avec celle ci :


    https://bdsm-female-prison.blogspot.com/2021/04/des-prisonnieres-humiliees-et-abusee.html?m=1

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