dimanche 31 décembre 2023

Deux femmes punies et humiliées par les gardes.


Humiliation et nudité forcée.
Deux prisonnières attachées nues aux barreaux de leur cellule.

Les punitions dégradantes imposées aux prisonnières.


Suite aux révélations sur les tortures et mauvais traitements infligés aux prisonniers irakiens par les forces américaines en 2004 dans le centre de détention d'Abou Ghraib, plusieurs photos ont été diffusées dont ces deux femmes prisonnières menottées nues aux barreaux de leur cellule.

Les deux femmes sont âgées d'environ 40 ans et détenues par les forces américaines pour leurs liens avec l'ancien régime, l'une, Hind, 41 ans, professeur dans un lycée et cousine d'un ancien ministre et Hoda 44 ans, scientifique et propriétaire d'une entreprise soupçonnée de financer l'insurrection.

Ces deux femmes sont donc considérées comme des "détenues sensibles" et soumises à différentes techniques et punitions visant à faire pression physiquement et psychologiquement sur elles pour les rendre coopératives et docile.

Les deux prisonnières sont en cellule disciplinaire et vivent dans des conditions difficiles.

Tout d'abord, en isolement, elles sont gardées complètement nues et soumises à des fouilles des cavités plusieurs fois par jours (vérification de l'anus, du vagin, de la bouche, du nombril, entre les orteils , sous les aisselles etc.). Les psychologue et interrogateurs ont spécifiquement recommander d'utiliser la nudité forcée car c'est un moyen simple et efficace pour briser et humilier les femmes. Elles sont très pudiques, de par leur religion et leur culture qui enseigne aux femme la pudeur, la modestie et de cacher son corps.

Les surveillants ont pour ordre et consignes d'utiliser les tabous culturels et religieux contre les détenus pour mieux les avilir. Les deux quadragénaires portait le voile islamique et une tenue large et ample arabe lors de leur arrestation. Les deux femmes ont ensuite étaient obligées de se dévoiler et de retirer tout leurs vêtements pour une fouille très approfondie avec examen gynécologique et test de virginité.

Les américains décident que les femmes prisonnières arabes et musulmanes doivent être nue, et pieds nus, pour y être déconstruite  psychologiquement et oublier toute pudeur. Le programme d'interrogatoire renforcé prévoit d'utiliser la nudité forcée comme un élément essentiel du processus.

Hind et Hoda doivent marcher nues en dehors de leurs cellule, et parader ainsi devant les gardes mais aussi les autres détenus hommes et femmes. Les gardes rient, sifflent et se moquent des pauvres femmes honteuse d'être vues nues et font des remarques salaces sur les grosses fesses plates et molles ou les seins tombant des prisonnières qu'elles doivent exhiber.

Elles sont gardées dans de petite cellules d'isolement vide sans aucun vêtements.

Pour les punir, les gardiens attachent les prisonnières nues aux barreaux de leurs cellules en pleine journée  pendant plusieurs heures pour les exhiber totalement devant tout le monde.

Elles sont soumises à plusieurs fouilles des cavités par jours incluant le vagin, l'anus, la bouche, sous les seins et les pieds pour selon les américains leur enseigner l'humilité.
 
La nudité forcée est obligatoire devant les hommes, qui narguent les pauvres prisonnières à poil.


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samedi 30 décembre 2023

Femmes déshabillées et humiliées en prison



Nudité forcée et humiliation collective en prison.
Groupe de femme exposées nues en prison.

Humiliations collective à la prison des femmes.


Abou Ghraib, Irak, mai 2004.

Un nouveau groupe de femmes irakiennes vient d'arrivé dans la tristement célèbre prison  tenue par l'armée américaine. Elles sont nues et totalement humiliées, elles ont été arrêtées pour diverses raisons et ont des âges et des corps divers et variés (entre 25 et 54 ans). Elles pleurent toutes et baissent la tête et les yeux devant la dégradation qu'elles subissent.

L'endroit est sale, lugubre, poussiéreux, et les nouvelles prisonnières viennent d'endurer en arrivant de terribles et difficiles épreuves que les impitoyables gardiens aiment imposer. Les femmes sont toutes arabes et musulmanes et portent des vêtements larges traditionnelles et le voile et sont couvertes de la têtes aux pieds, aucune d'entre elles n'a jamais oser ne serait ce que porter un maillot de bain à la plage.

Les responsables de la prison ont mis en place une procédure stricte, les prisonnières sont déshabillées complètement, en publique et devant des hommes, leurs tenues traditionnelles et religieuses comme leurs abayas et leurs hijabs sont symboliquement détruit  et brûlés sous leurs yeux. Les prisonnières doivent oublier toute notion de pudeur, de modestie, d'intimité enseignés par leur religion car ici les Etats Unis doivent les rééduquer et reformater pour imposer la domination occidentale.

Les gardiens américains ne se contentent pas de simplement dévoiler les détenues musulmanes, ils les dépouillent de tout leurs effets personnels ( montres, bijoux, boucle d'oreille, bague, piercing, chaines, colliers etc.) et aussi de leurs vêtements et chaussures.

Les femmes doivent bien sur retirer leurs slips et culottes qui sont confisquées, celles qui portent des bas ou des chaussettes doivent bien sur se mettre pieds nus, les surveillants doivent bien fouiller les femmes et leur faire retirer leurs tampons vaginaux.

Parmi ces malheureuses, se trouve Nassira, 28 ans, arrêtée pour avoir critiquer en ligne l'occupation, elle n'a rien dit de bien méchant mais les autorités militaires ont décider qu'il valait mieux l'incarcérer préventivement. Elle suit les autres, elle ressent encore la sensation du gant en latex lubrifié qui lui a visiter l'anus et le souffle du garde américains prêt de sa chatte.

Personne à part son ex mari et un gynécologue ne l'avait vue à poil, et là les américains l'exhibent nue et pieds nus et interdisent aux prisonnières de porter des vêtements.

"Arrêtez de cacher vos seins et vos chattes avec vos mains c'est interdit " hurle l'un des surveillant en uniforme.

Les femmes défilent nues et totalement exposées comme des trophées devant tout le personnel de les autres prisonniers irakiens. Les détenues sont aussi photographiées nues pour une humiliation complète.

Nassira parade avec les autres captives de guerre, elle pleure en pensant à la terrible honte qu'elle est en train de vivre. Surtout que les gardes l'ont deja prise à partie car lors du déshabillage, la jeune femme a oublier de retirer ses chaussettes, ce qui a irriter certains gardes qui pour l'a punir lui on fouiller les cavités intimes en premier et devant tout le monde et plus longtemps que les autres.

L'inspection lui a mouiller la chatte et les gardes l'ont remarqué et en rigolent et lui promettent plusieurs fouilles des cavités par jours.


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Sévices envers les prisonnières.


samedi 28 octobre 2023

Nezha, prisonnière dans une prison américaine.

Les gardes obligent les prisonnières à se déshabiller
Femme dénudée en cellule de prison.

Zoom sur  une détenue la prison militaire américaine d'Abou Ghraib.


Lors de la seconde guerre du golfe en Irak, les Etats Unis ont pris le contrôle de la prison d'Abou Ghraib dans les environs de Baghdad et en ont fait un centre de détention et d'interrogatoire pour y détenir les "combattants illégaux" détenus pour diverses raisons : terrorisme, membre de la rebellion, personnes liées à l'ancien régime etc. 

Force est de constater que cette prison abrite des détenus de profil très différent, il y a parmi eux beaucoup de personnes n'ayant pas de réels rapport avec les fait évoqués plus haut, qui se sont retrouver incarcérer pour ds raisons parfis absurdes ou douteuses : dénonciation calomnieuse, femmes "otages" détenus pour faire pression sur les familles et inviter les hommes recherchés à se rendre, de simple opposants ou critiques de l'ordre américains ...

Plusieurs femmes y sont retenues, dont une jeune femme connue sous le nom de Nezha dont on ignore s'il s'agit d'un pseudonyme ou pas. Elle est gardée avec d'autres dans une aile de la prison spécifique dans le quartier d'isolement dans des conditions très strictes.

Les américains l'ont amener car il l'a soupçonne d'être proche d'un ancien cadre du régime et d'avoir été sa maitresse et la détenue pour faire pression sur lui. 

Le lieutenant chef de la garde se souvient d'elle. Il nous apprend  lors de son entretien devant la commission d'enquête du sénat que cette détenue fait environ 1.60m pour 45 à 50 kilos. Elle est incarcérée pour liens avec l'ancien régime.

L'admission comporte une fouille. Comme dans les prison américaines, ces inspections se font  "à nue". Les femmes comme Nezha  doivent aussi y passer. Il n'y a pas de traitement de faveur pour les femmes, ni aucune pitié. 

Les fouilles à nu sont pour les autorité américaines  un élément essentiel pour briser et soumettre les captives  dans ce pays du moyen orient ou la culture arabe et la religion musulmane enseigne la pudeur et la modestie. 

Comme les autres détenues, Nezha doit remettre tout ses vêtements, sous vêtements,  effets personnels et être minutieusement inspectée de partout en entrant dans le centre de détention. En arrivant en détention l'objectif des américains et de soumettre et montrer qui est le patron, les détenues sont dépouillées de tout tissus mais aussi de toute dignité.

La prisonnière doit retirer son voile islamique (hijab) sa longue robe arabe traditionnelle, car ici il faut oublier toute pudeur et toute identité. Les signes d'appartenance culturel et religieux sont détruit sous les regards horrifiés des prisonnières, mais ici tout est fait pour détruire l'ancienne personnalité de la détenue et en faire une nouvelle personne docile et soumise.

Les fouilles sont très intrusives et la prisonnière est obligée d'ouvrir ses fesses et de présenter son anus et son vagin, de soulever les seins, d'ouvrir la bouche, d'écarter ses doigts de pieds pour remuer les orteils.



Uniforme orange de prisonnière.
Femme en uniforme de prisonnière.

Après les fouilles, les femmes sont laissées nues et exposées pour le fun et pour permettre aux gardes et aux personnels de découvrir les nouvelles avec les "fesses à l'air". 

Ensuite c'est selon le profil et le degré de coopération, la plupart doivent rester nues, certaines ont des culottes blanches et les plus chanceuses ont le droit à un uniforme orange court et une culotte et paire de tong.

Dans cette prison tout est fait pour avilir et rabaisser le plus possible les détenues comme Nezha. Le but est de reconditionner  et de remodeler leur personnalités et pour cela les tabous culturels et religieux sont utilisés. Nezha est pudique, musulmane pratiquante, et on l'oblige a parader nue devant tout le monde sous les rires et les moqueries des américains hilare de dominer les femmes et fiers de leur interdire de porter des vêtements.

Aucune pudeur, aucune dignité, les seules récompenses sont des uniformes très court et des culottes.


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dimanche 15 octobre 2023

La nudité forcée fait partie du processus d’incarcération dans cette prison.

Les humiliations subies par les femmes en prison
Prisonnière parade nue et enchainée dans les couloirs de la prison.


Une prisonnière très humiliée par l’obligation d’être nue.


Zohra, 35 ans, une ancienne prisonnière d’Abou Ghraib , elle a été détenue 8 mois dans cette sinistre prison par les américains pour soupçons de liens avec l’ancien régime et financement de la résistance. C’est une femme irakienne respectable, bien éduquée qui est pharmacienne de profession et qui donne des cours à l’université de médecine. Elle est moderne mais reste tout de même pieuse et conservatrice comme la plupart des femmes orientales.

Elle reste encore choquée par ce qu’elle a subie en détention.

Après mon arrestation, les militaires m’ont transféré dans cette endroit la, la prison d’Abou Ghraib à côté de Baghdad, c’est un endroit où ils gardent toutes les personnes qu’ils suspectent d’avoir des liens avec la résistance.

Sur place, les américains ont mis en place un processus qu’ils appellent “le traitement” auquel aucune prisonnières ne peut se soustraire.

La première chose qu’ils font c’est de déshabiller les détenues. J’y ai pas échappée. Il faut enlever ses vêtements et leur remettre l’un après l’autre, ils les inspecte et les mettent dans une petite boîte. Bien sûr vous pouvez dire adieu à toute pudeur et dignité. Exit votre hijab, votre abaya, vos chaussures, vos boucles d’oreilles tout y passe même les chaussettes!

Le pire c’est quand ils vous prennent la culotte comme si c'était un trophée et vous laisse les fesses à l'air pour se moquer de vous alors que vous êtes complètement nue, les pieds nus sur le sol sale et froid.

J'ai eu l'interdiction de cacher mes seins et mon sexe avec me bras, les soldats doivent pouvoir lorgner sur les vagins et les nichons pour qu'ils puissent fair leurs remarques grossières sur les poils pubiens ou la forme des seins.

Pour vous mettre la honte le plus possible ils procèdent à des fouilles complètes des anatomies des prisonnières qui doivent écarter les cuisses et les fesses le plus possible pour qu'ils regardent à l'intérieur avec des lampes et y introduisent leurs doigts gantés imbibés de vaseline.

Après l'horrible inspection, si vous pensez qu'ils nous redonnent nos vêtements ou donne un uniforme orange de prisonnier, et bien vous rêvez, ils vous interdisent de porter le moindre vêtement !

Pire, avant de vous conduire en cellule, ils vous force a parader nue et enchainée devant tout le monde y compris des gens de votre quartier qui pourraient vous reconnaitre !


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vendredi 13 octobre 2023

Humiliations et sévices systématique en prison

Strip search naked in prison
S'accroupir toute nue et tousser, tirer la langue lors d'une fouille à nue en prison.

La prison ou les femmes sont gardées nues.


Suite au scandale causé par la révélation de photos et de vidéos concernant les actes de torture et de mauvais traitement subies par les prisonniers irakiens détenus par l’armée américaine dans la prison d’Abou Ghraib en 2004 pendant la seconde guerre du golfe. Une équipe de journalistes d’investigation a pu avoir un entretien avec un responsable des interrogatoires ayant travailler dans la prison pour parler des conditions de détention des femmes.


 Q : Merci de nous accorder cette entrevu, pouvez-vous nous parler un peu de la politique de la prison concernant les prisonnières nous en avons assez peu entendu parler dans la grande presse ?


R : Bien sur, comme vous le savez depuis le 11 septembre 2001, les responsables politiques ont autorisé l'armée et les service de renseignement a utiliser des méthodes agressives et coercitives pour faire parler toutes personnes suspectées de détenir des informations stratégiques concernant la sécurité nationale américaine. Les questions de sécurité passe avant toutes les autres confédérations d'ordre éthique et morales. De plus la prison d'Abou Ghraib étant située dans une zone de combat avec des attaques régulières de l'ennemi, nous avons adopter une approche ultra sécuritaire visant à obtenir l'obéissance et la docilité des détenus, un processus standard  et des règles strictes applicables à tout les prisonniers a été adopté et mise en place.


Q : Cette politique concerne t'elle aussi les femmes prisonnières ?


R : Oui elles sont toutes soumises à la même approche standard que les autres sans distinctions. Elles sont toutes susceptibles d'être dangereuse et d'avoir des choses à cacher, de plus la vie en prison peut être très stressante et faire craquer les plus fragile, ce qui nécessite de prendre toutes mesures de prévention.


Q : Pouvez vous expliquer ce fameux traitement standard ?


R : Les prisonniers sont déshabillés en arrivant sur le site, les effets personnels, papiers d'identité, argent, montres bijoux, boucles d'oreilles, et vêtements sont confisqués et placés dans des boites en cartons pour y être stocker pendant la durée de détention du captif.


Q : Les femmes sont elles aussi obligées d'enlever leurs sous vêtements ?


R : Oui bien sur, nos règles exigent la nudité complète, il faut bien vérifier que les prisonnières n'introduisent rien de dangereux ou d'illicite il faut donc qu'elles enlèvent tout,  soutient gorge et aussi  les culottes pour vérifier qu'elles ne cachent rien entre leurs fesses, dans les cavité vaginales, dans leurs bouches ou entre leurs orteils.


Q : Ce qui frappe et choque les observateurs et les médias internationaux c'est l'omniprésence de la nudité totale dans laquelle se trouvent les personnes privées de liberté par opposition aux militaires et personnels civils habillés et cela vas bien au delà des fouilles. Comment et pourquoi ces pratiques jugées dégradantes ?


R : Après multiples débats entre spécialistes de la sécurité, des interrogateurs de la police militaire et de la CIA, du ministère de la défense, de psychologues et de médecin, la décision a été prise de mettre la nudité et les fouilles intimes au coeur du processus de traitement des prisonnières. Premièrement, pour des raisons évidente de sécurité c'est plus sur de garder les prisonniers nus. La honte et l'humiliation d'être toute nue et les fouilles invasives doivent permettre de soumettre totalement les captives et de les conditionner à l'obéissance. De plus, toute nue, les prisonnières se sentent sans défense et vulnérables ce qui est plus efficace lors des interrogatoires.


Q : Beaucoup de juriste internationaux et d'observateurs jugent ces pratiques de nudité forcée illégale et dégradante,  et que ces pratiques sont totalement inappropriées au moyen orient, surtout pour des femmes de culture arabe conservatrice et musulmane.


R : Tout d'abord, nous ne disposons pas de suffisamment d'uniforme de prisonniers officiels, deuxièmement nous sommes dans un pays chaud, parfois très chaud ou le port de vêtement n'est pas nécessaire.  Et non ce n'est pas illégale, certes les détenues n'ont pas forcément l'habitude d'être exposée nues et d'avoir les fesses et les seins à l'air en public et devant les gardiens qu'ils soient hommes ou femmes, mais ça fait partie du processus de la prison et c'est bon pour elles.


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Prisonnières  sans vêtements.

vendredi 1 septembre 2023

Interview d'un gardien de prison

 

Fouille intime en prison, écarter les fesses est humiliant.
Une prisonnière nue écarte les fesses pendant la fouille.

A propos de la nudité forcée et des humiliations des prisonnières.


Extrait d'un entretien entre un des responsable américain  de la prison d'Abou Ghraib en Irak et d'une juge chargée de l'enquête suites aux révélations dans la presse concernant les sévices et tortures subis par les prisonniers, en particulier la nudité forcée.


Le juge Elizabteh Smith interroge  le colonel Peter Robertson, l'un des responsables de la prison pendant la période ou les sévices et les abus ont eu lieux.


"Suite au scandale qui a entaché la réputation des Etats Unis dans le monde, je voudrais en savoir plus sur le traitement des prisonniers et des procédures d'incarcérations en vigueur dans l'établissement."


"C'est toujours avec grand plaisir que je coopère avec la justice de mon pays."


"Ravie de le savoir, venons en aux faits, concernant les humiliations, j'ai entendu avant vous une jeune femme, une étudiante  irakienne de 27 ans, Safia qui s'est plaint lors de son séjours d'avoir été arrêtée sans aucunes raisons valables et d'avoir été gravement humilier et dégrader."


"Dans une zone de guerre votre honneur, elle était suspectée de préparer des attaques anti américaine et de représenter un danger pour notre pays, l'incarcérer était la solution."


"Safia a été menottée, les militaires lui ont mis une cagoule sur la tête et l'on peloter et tripoter en arrivant dans la partie de la prison ou vous détenez les femmes, puis vous l'avez faite se déshabiller en présence d'autre gardes hommes et femmes et sans aucun respect pour sa pudeur, puis elle a été jetée à poil en cellule, ses vêtements ayant étés détruits et sa culotte volée."


"Hum ce n'est pas tout a fait ça Madame la Juge."


"Nous avons les enregistrement vidéos et les photographies qui sont explicites."


"Oui car la procédure pour que tousse passe bien exige que nous filmions, pour justement ne pas être accuser de tortures et de mauvais traitements, Safia n'a subie aucun abus ni aucune violences physiques."


La juge masquant son agacement " Ce traitement me semble quand même déraisonnable et abusif, une femme arrêtée sans raisons et traiter de la sorte dans ce contexte mérite quelques explications."


"J'ai estimer que les femmes âgées de 21 à 40 ans dans le quartier de Baghdad ou elle a été arrêtée étaient suspecte, la police militaire m'avait demander officiellement d'arrêter toutes les jeunes femmes pas trop grosses et sexy selon les standard occidentaux qui nous tombait sous la main, j'ai donc appliquer les ordre. Celles que nous trouvions trop grosse, car ces femmes là bouffent beaucoup de sucrerie n'étaient jamais inquiétées bien sur. Là dans ce cas là, il y aurait eu une erreur."


"Hum" répond la juge, entre étonnement et consternation. "C'est une politique assez idiote mais vous n'avez fait qu'appliquer les ordre comme un bon soldat.


"Oui c'est ça madame la juge."


"Vous avez crier sur  cette pauvre fille et vous l'avez fesser pour qu'elle se déshabille et prise en photo nue et enregistrer la fouille en vidéo."


"Oui, car elle a refuser de retirer ses vêtements devant nous sous prétexte que nous sommes des hommes et qu'elle est pudique et musulmane, alors pour nous couvrir dans ces situations là nous filmons tout pour justement ne pas pouvoir être accuser de quoi que ce soit.

Par expérience je peux vous dire que la fessée est un très bon moyens de maintenir l'ordre chez les femmes. Alors je lui ai coller une fessée pour la faire obéir et lui ai dis qu'on allait la foutre à poil de force.

Elle a donc accepter de coopérer et a retirer ses vêtements en pleurnichant et baissant la tête.

Quant aux prises de photos photos  c'est la procédure d'identification officielle des détenus, et la vidéo sert à prévenir tout accusation d'abus. "


"Mais certaines photos ont été publier dans des magasines porno et sur des sites internet  du même genre ?".


"C'est faux, certaines sociétés achètent ce type de photo et de vidéo pour les organisme de formation en sécurité et rien d'autre, c'est tout à fait légal."


"En visionnant la vidéo nous pouvons voir que Safia était en larme pendant son déshabillage, et qu'elle a demander de garder sa montre, sa culotte et ses chaussettes car le sol serait sale et froid, et ça a été refuser par vous et vos collègues."


"J'ai toujours en étant guidé par conscience professionnel, la prisonnière doit se mettre toute nue, C'est 100% nue, donc pieds nus, fesses à l'air, sexe visibles et seins exposés.

La culotte, faut bien lui enlever pour lui fouiller entres les fesses et dans l'anus, et aussi pour regarder sa petite chatte lisse. Ls chaussettes ? et puis quoi encore ? Tant que je serais là les prisonnières seront pieds nus !


"Plusieurs fois, sur la vidéo, nous pouvons la voir vous  supplier de cacher ce spectacle à la vue de tous, hors vous l'avez obliger a se soumettre à une fouille en public et d'écarter les fesses".


"Oui car je dois vous rappeler que nous sommes dans une zone de guerre, et que nos moyens sont limités, il n'y a pas de rideau ni de porte. Nous devons voir si les détenues ne cachent rien dans leurs orifices intimes"


"Vous avez aussi découper et bruler ses vêtements de façon perverses en la narguant pendant qu'elle était horrifiée."


Oui car nous détruisons toutes traces de l'identité culturelle et religieuse de la prisonnière qui arrive, les vêtements traditionnels arabes et musulmans sont interdit et considérés comme des objets de contrebandes à détruire. C'est très important de remodeler l'esprit de la nouvelle en lui faisant comprendre que toutes ses convictions et ses principes seront méprisés et bafoués. Safia est arrivée emmitouflée dans une large robe couvrant tout son corps et les cheveux et le cou couvert d'un hijab (voile). Ici il n'y à pas de place pour la pudeur, la dignité ou la vie privée. Nous devons leur apprendre le mode de vie démocratique et occidental.


"Vous l'avez ensuite fait défiler lentement, totalement nue et pieds nus dans toute la prison pour que tout le monde monde puisse la voir, le staff bien sur, mais aussi les criminels et autres personnes internés."


"Oui c'est une tradition ici, les nouvelles doivent parader nue, c'est bon pour traiter leurs pudibonderie maladive et les humilier. Ca distrait aussi nos gars qui font un travail difficile et trouvent ça fun."


"On parles aussi d'un véritable trafic de culotte qui aurait été mis en place dans le complexe pénitentiaire"


"Les interrogateurs cherchent par tout les moyens à acquérir des culottes pour humilier les prisonniers masculins en leur foutant sur la tête, ils nous donnaient des sous pour qu'on leur fournisse les culottes prélevées sur les prisonnières. En détention les culottes sont interdites et considérées comme des objet dangereux de contrebande, alors autant que ces morceaux de tissus soient utile et si on peut monétiser tout ca ..."


"Certains rapports nous informe aussi qu'un système de pari avec des sommes en jeux aurait été mis en place, par rapport à la pilosité des prisonnières ?"


"Oui nos gars font des paris, quand ils voient  une nouvelle prisonnière arrivée, habillée à l'arabe c'est a dire totalement couverte de la tête aux pieds, et bien ils se demandent quelles types de sous vêtements elle peut bien porter, et bien sur comme sont les poils de sa chatte et si elle s'épile ou pas. C'est un jeux d'essayer de deviner."


Interrogatoire militaire renforcé.
Femme nue devant ses interrogateurs en prison.


Image d'une fouille au corps pendant que le gardien obligent la prisonnière nue à faire des squats et de tousser très fort pour voir si quelques choses sort de ses orifices.

samedi 19 août 2023

Choc culturel et humiliation de la prisonnière

 

Nudité forcée pour une femme prisonnière.
Prisonnière nue et enchaînée dans les couloirs.

L'humiliation et l'asservissement des femmes en prison.


Lors de la seconde guerre du golfe en Irak (2003/2011) ou les Etats Unis ont envahi  et occuper ce pays  et ouvert des prison comme la célèbre centre de détention d'Abou Ghraib a coté de Baghdad ou les prisonniers sont régulièrement humiliés et maltraités.


Les femmes capturées par les américains sont spécifiquement humiliées et dressées pour marquer la domination des conquérants et l'avilissement des vaincus. Lorsqu'une femme arrive comme Maha, fille d'un responsable de l'ancien régime recherché activement par les troupes de la coalition internationale, tout est fait pour choquer, humilier et avilir la détenue.


Les prisonnières sont en général des femmes respectables et pieuses  ayant été éduquer dans les valeurs traditionnelles de pudeur et modestie de la culture arabe et religion musulmane, elles portent comme Maha un voile (hijab) et des tenues longue et ample comme des larges robes pour dissimuler leurs corps et sont couverte de la tête aux pieds.


Bien sur que les militaires utilisent les tabous culturelle et religieux pour mieux contrôler et dominer les prisonniers, les gardes ont pour consigne de traiter les détenus "pires que des chiens" et que seuls les lois arbitraires, cruelle et sadiques des surveillants s'appliquent.


La jeune femme pudique est soumise à un déshabillage humiliant en public, la première chose qui arrive aux prisonnières est l'obligation de se mettre entièrement nue, les américains dépouillent les femmes de leurs signes religieux mais aussi de tout leurs vêtements, sous vêtements, bijoux, boucles d'oreilles effets personnels et chaussures ! 


Les fouilles à nu sont systématique et de rigueur dans la totale nudité, et les femmes doivent exposer leurs anus et leurs vagins en profondeur et de manière très dégradante. C'est difficile de ressentir la honte de cette pauvre femme obligée d'écarter les fesses pour ouvrir de façon dégradante son trou du cul et écarter les lèves de son sexe devant les occupants sans aucune pudeur.


Les femmes doivent exposer leurs corps sans aucune intimité devant tout le monde, y compris les autres détenus qui peuvent la reconnaitre !


Liens :


Francy Steel.


Nue derrière les barreaux de sa cellule de prison.




vendredi 4 août 2023

Séquestrée toute nue et ligotée façon bondage.

Kidnapping et séquestration BDSM
Bondage et séquestration d'une jeune femme dans un appartement.

Zahia retrouvée nue 3 jours après son kidnapping par une bande.


C'est une scène mémorable auquel on assister les voisins de ce petit appartement d'un quartier résidentiel d'une petite ville de province tranquille. Une jeune femme ayant été kidnappée quelques jours plus tôt à été retrouvé, les auteurs de cet acte crapuleux serait des délinquants multi récidiviste. Zahia serait soupçonnée d'avoir dénoncer un trafic de cannabis aux autorités, ce qui pour la bande justifie sa séquestration.


La jeune maghrébine a été capturée  à coté de chez elle par le groupe à quelques centaines de kilomètres de là, ses ravisseurs l'ont dépouillé de ses objets de valeurs puis forcer à se déshabiller complètement et ont bruler ses vêtements avant de la mettre à  poil dans le coffre d'une voiture, direction un coin tranquille en province.


La jeune victime a été promenée nue comme une chienne sous les insultes, moqueries et crachat des membres de la bande, et ceux en plein jours devant les passants, dont certains sont manifestement complices.


Bernard, un voisin aurait pincer fort les seins de Zahia juste par plaisir, Rosette, une retraité de 76 ans lui aurait  épiler les poils de la chatte.


C'est un passant, alerter par les bruits et gesticulations qui aurait donner l'alerte et prévenu la police qui n'a que timidement réagit et est venue que 6 heures après l'appel. 


Pendant ces 6 heures, les membres de la bandes ont humilier et maltraiter leur captive nue. Certains se sont amuser à la faire boire et manger des haricots pour l'obliger à faire pipi et faire des pets devant eux pour bien l'humilier, d'autre l'ont obliger à danser et se dandiner à poil.


Liens : 


Séquestrées par des criminels.


jeudi 3 août 2023

Etudiante kidnappée et ligotée nue lors d'un cambriolage.


Toute nue lors du cambriolage.
Home Jacking, mise nue lors d'un cambriolage.


Les cambrioleurs déshabillent et ligotent leur victime .

En cette période de vacance estival 2023, le phénomène des cambriolage "Home Jacking" est en sérieuse augmentation en France.


Une jeune étudiante habitant un petit appartement vient d'en être la victime. Mounia, 21 ans a vue s'introduire à son domicile deux malfrats armés qui l'ont braquer, et l'on forcer à se déshabiller complètement.


La jeune fille étant chez elle n'était deja pas très vêtue du fait de la chaleur, a du même  enlever sa culotte devant les malfaiteurs qui l'ont aussi volée.


Après avoir obtenu les codes de ses cartes bancaire, et pris tout les objets ayant de la valeur, et dérober tout les sous vêtements de la victime ( un véritable réseau de trafic de culotte portée est en place dans la région). La victime a été ligotée et bâillonnée toute nue, les cambrioleurs semblent avoir de très bonne compétence en bondage et ferait partie du milieu BDSM, puis placée dans son lit.


Ils ont ensuite couper tout les moyens de communication avec l'extérieur pour pouvoir s'enfuir tranquillement.





Les cambrioleurs laissent leur victime toute nue et ligotée.
Bondage et ligotage à poil lors du cambriolage (home jacking).



Liens :







mercredi 2 août 2023

Séquestrée ligotée et bâillonnée à poil. (Bondage BDSM).

Cambriolage pervers, la victime humiliée et forcée d'être toute nue.
Kidnappée et séquestrée toute nue lors du cambriolage.

Une groupe de malfaiteurs séquestre et humilie  une jeune fille.



Johanna, une étudiante en droit a été séquestrée par une bande de cambrioleurs qui font régner la terreur dans la région et ciblent les jeunes filles seules et loin de leur famille.


La jeune étudiante venait d'arriver dans un appartement d'un quartier résidentiel pour étudiants d'ou elle a été kidnappée, et elle a été retrouvée toute nue et bâillonnée en train de tenter de s'enfuir d'un bâtiment chic et bourgeois.


Le mode opératoire est toujours le même, Johanna est nouvelle, elle ne connait rien dans la région et n'a pas beaucoup de connaissance, donc sa disparition sera signaler que très tardivement. Une fois ciblée, les ravisseur s'introduisent chez la jeune fille au petit matin pendant que le soleil se lève pour surprendre la victime dans son sommeil. 


Il n'y pas de traces d'extraction car les membres du gang ont le double des clés fournie par le gardiens d'immeuble corrompu.

Johanna s'est ensuite faite ceinturer par ses ravisseurs qui lui ont arracher tout ses vêtements, elle ne portait qu'une nuisette et petite culotte car elle dormait. Puis elle est amener à poil dans un petit fourgon direction le quartier riche de la ville.

Une fois dans l'appartement, la victime est remise à des bourgeois pervers qui force la soumise à diverses pratiques humiliantes : danser nue, être tenue en laisse, faire pipi devant tout le monde, se faire chatouiller, prendre des claques, des fessées, se faire pincer les seins, avoir des relations lesbiennes avec une autre captives etc.


Les autorité sont soupçonnées de complicité, en effet plusieurs responsables de l'université seraient impliqué dans l'exploitation des étudiantes et le trafic de femmes, ce qui pour beaucoup expliquerait l'absence de réaction de la police qui serait corrompue et dont elle tirerait des bénéfices.

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dimanche 30 juillet 2023

Le traitement et la procédure d'incarcération des femmes en prison.

La nudité forcée fait partie du processus.
Une prisonnière nue fouillée par sa gardienne en uniforme.

Note officielle du département d'Etat à la défense concernant les procédures à appliquer aux femmes détenues dans les prisons américaines en Irak (Abou Ghraib).

Règles et consignes applicables aux détenues de sexe féminin arrêtées et emprisonnées dans la prison d'Abou Ghraib et les autres centres de détention des forces américaine en Irak en 2004.

Objectif du règlement : Assurer la sécurité  et protection du personnel militaire et civil américain et des prisonnières dans les prisons et centre de détention, et prévenir tous abus es suite au scandale révélé dans la presse suite aux sévices imposées aux prisonniers irakiens.

1 - Toutes les femmes âgées de 18 ans jusqu'à 65 ans arrêtée par l'armée américaine ou ses auxiliaire sont concernées. Y sont inclus les irakiennes,  étrangères, et les américaines. 

2 - Sous réserve de leur état de santé satisfaisant, toutes les détenues seront soumises aux règles suivantes pour assurer leur bien être et sécurité. Les blessées, malades etc. sont exclue du champ d'application de cette note.

3 - Les forces armées ont le droit d'utiliser la force et la contrainte physique pour faire respecter les règles après avertissement et sommation. Les consignes doivent être données en anglais et en arabe, et si possible mais sans obligation dans la langue de la prisonnière si elle ne maitrise aucune des deux langues citées.

4 - Lors de toute arrestation, le prisonnière doit toujours être menottée aux poignet et aux chevilles.Une cagoule aussi doit être placée sur la tête de la captive. Un bâillon bouche peut aussi être utilisé si c'est estimé nécessaire.

5 - La détenue doit être fouillée par palpation dans un premier temps avant d'être transportée sur son lieu de détention.

6 - Sur place, la détenue doit être prise en charge administrativement, son identité vérifiée, ses empreintes digitales doivent être relevées ainsi que de sa salive et un cheveux. Des photos de son visage de face et de profil doivent être réalisées pour compléter le dossier. Les photographies doivent être prise tête nue, tout couvre chef même religieux doit être enlevés.

7 - La prisonnière doit ensuite être conduite dans la salle d'examen/fouille. De préférence plusieurs gardiens doivent être présent, les surveillants doivent être des hommes et des femmes. Pour limiter tout risque d'abus par une gardienne lesbienne, un surveillant homme doit assister à la fouille. De plus selon la jurisprudence américaine, interdire l'accès des gardes de sexe masculin aux salles de fouilles constitue une atteinte au droit du travail et de la discrimination sexiste. Si possible la présence d'un médecin est souhaité.

8 - Les portes de la salle de fouille doivent toujours restées ouverte par transparence et pour prévenir d'éventuelle abus.

9 - La prisonnière doit remettre tout ses objets et effets personnels montres, bijoux, boucles d'oreilles, épingles à cheveux, bagues, alliances, colliers, argent liquide etc. qui sont inventoriés et scellés.

10 - La détenue doit se déshabiller et enlever tous ses vêtements. L'ordre lui sera donner deux fois, avant l'utilisation de la force. En cas de résistance les gardiens doivent de préférence découper les vêtements de la prisonnière.

11 - Une fois entièrement nue, les gardes ne doivent veiller à ne  surtout jamais laisser le moindre vêtements à la prisonnières, pas même ses chaussures, ses bas ou chaussettes.

12 - Une fouille et inspection minutieuse doit être pratiquée, les gardes doivent vérifier toutes les zones de la peau et toutes les cavités : voies nasales, oreilles, bouche, sous les seins, l'anus, le vagin, la vulve, sous les aisselles, entre les doigts de pieds ...

13 - Dans la mesure du possible et si un médecin est disponible, la détenue doit être brièvement examinée pour savoir si son état de santé est compatible avec sa détention. Un test de virginité sera également pratiqué pour prévenir toute potentiel accusation de viols ou d'abus. La taille et le poids de la détenues seront ajouter à son dossier, ainsi que son statut sexuelle (vierge ou pas), et l'état de sa vulve et de son anus.

14 - Si la vulve est trop poilue, elle sera rasée pour des raisons d'hygiène et de sécurité, ainsi que pour promouvoir les valeurs de la  civilisation occidentale et démocratique.


15- Le Mugshot :  La prisonnière doit être photographiée nue, de face, de profil, par derrière en prise large. Tout tatouage, marques spécifique ou cicatrices doit aussi être répertorié en image et ajouter au dossier.

16 - La détenue doit être escortée nue jusque dans sa cellule. La cellule doit être vide dans un premier temps sans aucun confort.

17 - Les objets de conforts : Matelas, trousse de toilette, bonne nourriture, livres, permis de sortie etc.) peuvent être donner à la prisonnière qu'en échange de sa pleine coopération dans la vie quotidienne et pendant les interrogatoires. Ils ne sont pas un droit, mais une récompense.

18 - L'habillement, les vêtements : S'habiller n'est pas un droit, la procédure standard prévoit que les prisonnières doivent être nue en permanence en détention. Cependant, en cas de coopération, et sur demande officiel d'un interrogateur ou d'un responsable, une détenue peut recevoir des vêtements en récompense de sa collaboration.

19 - Les vêtements sont remis sous condition, et l'autorisation de s'habiller et révocable à tout instant sans justification. 

20 - Seul les tenues de prisonnières officielles peuvent être remises aux détenues : Une robe courte orange qui descend au niveau des fesses, une petite culotte et une paire de tongs en plastique. L'uniforme doit être entretenu et maintenu propre. 

Une femme prisonnière contrainte de porter l'uniforme orange (Jumsuit).
Une femme prisonnière en uniforme orange comme a Guantanao Bay


21 - Les soutien gorge, chaussettes sont strictement interdit et considéré comme de la contrebande. 


22 - Hygiène : Les douches sont obligatoires et  femmes autorisées à porter un uniforme doivent se mettre nue avant de prendre une douche collective avec les autres détenues. Les détenues doivent rester propres. les vulves doivent être rasée ou modérément poilues.


23 - Les femmes doivent être correctement nourries, recevoir des portions équilibrés, et en conformité avec leurs exigence diététique (sans gluten,, prévention du diabète) et religieuses (viande halal). 


24 - Les activités religieuses sont autorisés dans la mesure du règlement. Une littérature religieuse est accessible. Le droit à prier est reconnu, les gardes ne doivent pas déranger les détenues pendant leur recueillement.


25 - Les vêtements religieux et traditionnels sont strictement interdit dans l'aile réservée aux femmes. Aucune distinction entre les femmes ne doit être permises sur des bases ethniques ou religieuses ou du statut social. Les seules distinctions vestimentaires doivent être basée sur l'obéissance et la coopération. Ainsi donc les voiles (hijab), longue robe, croix etc. sont strictement prohibés. Les prières doivent donc se faire nue.

26 - Egalité religieuse, sociale et culturelle : Les prisonnières n'ont pas a se soucier de leur apparence, elles ont toutes deux seins, des fesses un anus, un vagin, des cheveux et des pieds et que tout ça doit être montrés. Elles vivent nues et doivent circuler ainsi dans la section qui leur est réservée. Toute manifestation de pudeur est interdite.



27 - Les fouilles des cavités doivent être très régulièrement pratiquées. Plusieurs fois par jours avec l'introduction d'un doigt ganté et lubrifié dans l'anus et le vagin. Les fesses des prisonnières doivent être bien écartées si une table ou un mur est disponible la détenue doit se pencher pour l'examen rectal. En l'absence de meuble la captive doit bien écarter les jambes et toucher ses orteils.

La nudité et les fouilles des cavités anales et vaginales sont au coeur de la politique de sécurité de la prison.
Fouille rectale et vaginale d'une prisonnière nue par sa gardienne.

28 - Les gardiens dans l'optique de prévenir tout abus sexuels potentiels doivent prêter attentions aux vulves, vagin et anus des détenues et procéder en plus des fouilles a des examens en vue de détecter toutes traces de violences sexuelles, de contusions ou d'autre et d'en faire un rapport.

29 - Les visites du Comité International de la Croix/Croissant Rouge, des responsable juridique, d'avocats et des enquêteurs du département d'Etat : Les détenues doivent êtres escortées bâillonnées et enchainées, et porter une tenue de prisonnière officielle lors des entretiens. Cette tenue doit être retirer dès le retour en cellule pour les détenues qui n'ont pas le droit de se vêtir.

30 - Les visites de proches ne sont pas un droit, et dépendent du degré de coopération de la prisonnière. Des vêtements peuvent être fournie exclusivement à cette effet, y compris des vêtements à caractère religieux comme des abayas et foulards si la visite est hors de la section. Ceci dit aucun soutien gorge ne doit être remis à la détenue, ni même des chaussures fermées ou des chaussettes. Et les vêtements doivent être directement retirer en retournant en cellule.

31 - Le suivi médical : Chaque détenue est soumise mensuellement à un examen médical. L'infirmerie étant de l'autre côté du complexe pénitentiaire. Les détenues se voient remettre un uniforme pour s'y rendre. Ceci dit, la visite médicale se déroulant toujours nue, l'uniforme et les tongs doivent être retirer en entrant dans le centre de santé.

32 - La visite médicale comporte : un examen clinique, une prise de mensurations, un bref entretien sur l'état psychologique, un examen gynécologique. Le médecin doit être un homme.

33 - Une semaine avant la date de libération, les prisonnières sortent de la section spéciale et doivent se rendre dans des tentes pour terminer leur séjour. Leurs vêtements s'ils n'ont pas été détruit leur sont remis à ce moment là. Lorsque les habits ont été détruits, les autorités américaines achètent des vêtements arabes basiques et un voile sur le marché locale à remettre aux prisonnières. 


Fin.



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Séquestré et humilié à poil dans les caves de la cité

Dressage et humiliations par des racailles de cité.
Jeune mec à poil séquestré par des racailles dans une cave de cité.

 Jeune homme nu entre les mains des racailles dans les caves de la cité.



Mathias a été kidnappé et séquestré pendant 48 heures par les jeunes d'une cité de banlieue parisienne suite à une embrouille liées au trafic de cannabis et stupéfiants.

Il a été retrouvé tout nu dans une cité, ligoté , enchainé et bâillonné.

Alors qu'il rentrait chez lui comme d'habitude après sa journée de travail, Mathias a été victime d'un véritable piège par une bande criminelle très bien organisée. Le jeune homme a été ceinturer, attaché et jeté de force dans un fourgon avec un sac sur la tête, direction une tristement célèbre cité d'Ile de France.

Sur place, son calvaire commence, Mathias est forcer de se déshabiller complètement par les membres de l bande qui hurle "A poil" et lui donne des baffes et le menace. Le jeune doit même ôter son slip et ses chaussettes. Pieds nus, la bite, les couilles et les fesses à l'air, son égo en prend un coup. 

Les mecs l'oblige a sautiller à poil et se marre en regardant sa bite monter et descendre, ou ils lui font écarter les fesses le plus largement possible en lui taillant l'anus.

Forcer de marcher comme un chien à quatre pattes dans la cité jusque a une sale et lugubre cave située en sous sol sous les insultes et les jets de détritus, de légume, il est ensuite enchainé et ligoté, bâillonné.


Les jeunes racailles s'amusent à l'asperger d'eau froide, de lui pisser dessus, de le faire ramper nu comme un ver de terre dans la pisse mélanger à la bière.


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dimanche 23 juillet 2023

Des gardiens humilient une femme en prison.

Une femme mise à poil et dressée par les gardiens de prison.
Une femme est constamment humiliée et dégradée en prison.

Une femme se fait humilier et déshabiller par les gardiens.


 

Dans la prison irakienne d'Abou Ghraib sous le contrôle de l'armée américaine en 2004, les gardiens ont reçu carte blanche de la part de leurs supérieurs pour humilier et maltraiter les détenus dans le but de des rendre coopératifs et de les ramollir pour les interrogatoires. Et pour cela presque tout les moyens sont bons. Beaucoup d'images, de témoignages et de vidéos circulent sur les prisonniers hommes, mais les femmes détenues ne sont pas épargnées par les outrages.


Sara,  avant de se retrouver à poil à écarter les fesses sous les rires des américains n'a jamais imaginer que les américains pratiquaient la torture ni prêter attention aux rumeurs de mauvais traitements. Elle, qui a 27 ans et qui est de formation ingénieur en génie électronique, issue d'une famille conservatrice et bourgeoise, avec un père médecin et d'une mère professeur,  pas forcément hostile aux Etats Unis, s'est faite arrêtée sur de vague soupçons de liens avec l'ancien régime et ensuite incarcérée dans la sinistre prison.


Elle est  une fervente croyante musulmane, très religieuse, porte un grand voile et une robe traditionnel qui lui couvre le corps de la tête aux pieds. Les gardiens sur recommandation des responsables de la CIA et du renseignement militaire ont pour consigne d'utiliser la nudité pour humilier et avilir les prisonniers en utilisant  toutes les craintes, phobies et tabous culturels et religieux. 


Les gardes lui ont pris sa montre, ses bijoux, ses boucles d'oreilles et tous ses effets personnelles puis l'ont forcer à se mettre toute nue devant tout le monde. La jeune femme est très pudique, les gardiens le savent et l'utilise pour mieux l'humilier.


Dans les couloirs de la prison, elle est forcée de  rester debout les mains sur la tête et de s'exposer et de tout montrer, ses fesses sont à l'air visible par tous, sans culotte pour cacher sa chatte et son anus.


Comme pour les autres détenues, cette exhibition forcée et publique est un choc, les américains lui interdise toute intimité toute dignité, ici aucun respect pour ses convictions religieuses et sa pudeur, c'est à poil qu'il faut être !


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Humiliations sexuelles et tortures nues.


vendredi 21 juillet 2023

Le traitement et les interrogatoires des prisonnières.

La procédure humiliante imposée aux femmes dans cette prison.
Une prisonnière nue et enchainée.


L'unité ou sont détenues les femmes prisonnières d'Abou Ghraib en Irak.


Les femmes arrêtées par les troupes d'occupation et qui considérées comme étant des détenues de haute valeur ou "De sécurité" dans la terminologie officielle américain sont en général transportées dans l'unité de la prison d'Abou Ghraib prés de Baghdad. Ces femmes peuvent être des scientifiques, des professeurs, des anciennes responsables du parti au pouvoir ou de l'ancien régime, des femmes suspectées de financer ou soutenir la rébellion, ou simplement les filles, épouses, cousines etc. d'un homme activement recherché par la coalition et elles servent de moyen de pression et  sont utilisées pour faire du chantage sur les rebelles et les inciter a se rendre.

Les méthodes  les plus répandues et utilisées par les américains en vue des interrogatoires renforcés des détenues (Enhanced Interrogation) pour extraire des informations sont énumérées ci dessous : 

- Nudité : Les femmes sont traitées comme les hommes et sont interrogées et gardées entièrement nues.  Les responsables des interrogatoire estiment qu'il faut utiliser les tabous culturels et religieux ne pas faire d'exception pour les femmes. La grande majorité des prisonnières sont  musulmanes conservatrice avec des habitudes traditionaliste et portent le voile (hijab) et des robes larges et amples en signe de respect pour leur culture qui demande aux femmes d'être pudiques et modestes. La plupart sont très choquées lorsqu'elles doivent se mettent nue et ont l'interdiction de porter des vêtements.

- Confinement et pression mentale : Elles sont souvent entravée et retenues dans de petites cellules vides et  sombres, sans  le moindre confort, sans literie, et bien sur sans vêtements. Il est à noter que pour inviter les prisonnières à coopérer pleinement, , les interrogateurs proposent d'accorder du confort aux prisonnières : comme être autorisée a s'habiller, dormir sur matelas,  avoir meilleur nourriture, accéder à la lecture, obtenir le droit de sortir plus souvent, de cellule, faire diverses activités, ne plus avoir de chaines ou de menottes etc., En échange d'une coopération , c'est a dire avant tout donner des informations et obéir docilement. Ce chantage est au coeur du processus de coercition physique et psychologique.

- Fouille : De plus les fouilles et inspections corporels sont très fréquentes, et les hommes peuvent fouiller les femmes au mépris des conventions de Genève. Les femmes sont soumises a des fouilles vaginale et rectale très strictes et très souvent selon le degré de vigilance décidé par la direction. L'une des prisonnière s'est plainte au CICR de subir plus de 6 inspections de ses  cavités intimes par jours par un gardien homme, qui lui insère ses doigts dans les fesses à chaque fois.

- Humiliations : Obligation de marcher nue en dehors des cellules, pour se rendre aux interrogatoires, aux douches, aux visites médicales, dans la cours de promenade. Certaines même disent être forcées de travailler nue. Ces exhibitions se déroulent devant les gardiens mais aussi devant les autres prisonniers, avec par exemple le témoignage d'une ancienne détenue qui nous informe que les femmes doivent à tours de rôle distribuer les repas dans le secteur des hommes, totalement nues et pieds nus.

Debout et nue en attente de l'interrogatoire.
Photo d'une prisonnière nue devant un garde.



- Prise de photos et de vidéos : Les prisonnières sont photographiées nues dans des positions obscènes avec souvent des graffitis insultants et a connotation sexuel sur le corps. Les gardiens menacent régulièrement les femmes d'envoyer les images compromettantes à leurs familles, ce chantage met une grande pression sur les prisonnières. Les photographies sont aussi diffusés et échanger régulièrement entre gardiens, elles auraient une valeur marchande. 

Chantage: les prisonnières prisent nues en photo dans les postures dégradantes et menace de diffusion des photos à leurs familles.
Une prisonnière photographiées nue dans une position obscène.



Stress position : Elles sont régulièrement obligées de rester dans des positions difficile, pendant plusieurs heures. Comme par exemple rester les mains sur la tête, ou accroupi sur de longue période.


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dimanche 16 juillet 2023

La visite médicale de Lamia

 

Médecine préventive et nudité lors de l'examen.
Pas de place pour la pudeur lors de la visite médicale.

Témoignage de visite médicale en centre universitaire.


Bonjour, je me prénomme Léo, et l'histoire que je vais vous raconter date de  septembre o octobre 2009 je ne sais plus exactement mais c'était en début d'année, durant la période de rentrer  en master d'économie dans une grande université parisienne. J'avais 21 ans,  nous avions été sélectionnés sur dossier et les débouchés et opportunités après ce diplôme sont très intéressants.


Nous étions tous convoquer au centre médicale du  principal campus universitaire en début d'année, le problème c'est que c'est loin de notre Fac, alors j'ai raté la première visite. Il y avait une autre étudiante dans le même cas que moi, Lamia, 21 ans aussi. Je ne l'a connaissait pas encore, elle n'avait pas de voiture donc comme je venais d'avoir mon permis, je lui ai proposer de l'amener , et elle a accepter.


Lamia est d'origine arabe et espagnole, elle est musulmane pratiquante et porte le voile hijab depuis l'âge de 17 ans. C'est une fille élancée, intelligente et souriante très sympa. Elle était  plutôt longiligne, bien vêtue avec un joli voile rouge et une belle robe traditionnelle.


Une fois arrivé, nous avions été accueillis par une infirmière d'une quarantaine d'année, blonde, assez grande, elle s'appelait Thérèse Maier. Dans la salle d'attente, elle nous avait donner des fichiers à remplir , les habituels questionnaires médicaux puis demander d'attendre.


Ensuite l'infirmière nous avait dirigé vers deux cabine cote à cote pour nous déshabiller. Lamia et moi ne nous prenions pas trop la tête. Elle m'avait dit "Tu pense que c'est comme au lycée ou lors de la visite médicale de 1 er année de licence ?" je lui avais répondu "Oui, je sais pas pour toi, mais moi je retirer juste ma veste et mes chaussures." Lamia m'avait répondu "Ok je vais faire pareil, puis en rigolant et disait "Ils vont pas nous faire attendre à poil quand même !".


Je dois l'admettre que ma bite commençait à durcir.


Ensuite l'infirmière est entrée dans la cabine de Lamia pour lui demander de la suivre, "Nous allons commencer l'examen, je vais d'abord vous mesurer et vous peser ..."


Ensuite j'ai pas bien pu entendre ce qui s'était dit, mais Lamia n'avait pas l'air contente du tout en disant "Je suis déjà suivi pour ça Madame", et la dame en uniforme de lui répondre "C'est un examen de routine demandé par le ministère de l'éducation supérieur".


Après je n'arrivais plus a distinguer leur discussion, mais ça prenait du temps, j'avais l'impression d'être oublié.


Soudain, après une ou deux minutes qui m'avaient parues bien plus longue,  les deux femmes parlaient plus fort "Jeune fille, tout le monde doit se déshabiller pour la visite médicale, ca ne dure pas très longtemps et ensuite tu te rhabille comme tout le monde."


En me baissant, je pouvais voir en partie la scène, c'était impossible de résister à ce spectacle érotique incroyable.

Lamia cédait, après tout c'est juste une visite médicale se disait elle et l'infirmière lui paraissait sexy avec son côté femme mature autoritaire. Après quelques hésitations, elle se mit en sous vêtements et oublia d'enlever son hijab. 


Elle se tenait fière et provocante avec son voile, ses sous vêtements et ses chaussettes blanches devant l'infirmière un uniforme.


L'infirmière n'était pas du tout satisfaite et s'exclamait "Enlève le reste et monte sur la balance".


Lamia rechignait encore en disant "Mais ça ne pèse quasiment rien, j'ai juste un peu de tissu sur moi lol" Elle lâchait un rire nerveux liés a sa gêne mais aussi un peu d'excitation.


L'infirmière pour répondre lui laissait voir le formulaire du protocole de la visite médicale ou il était effectivement écrit que la prise de la mesure du poids des élèves doit se dérouler nu. 


Lamia retira donc son soutien gorge en découvrant ses petits seins très sexy que n'importe quel homme ou lesbiennes aurait envie de croquer et de lécher. L'infirmière avait pris son soutien gorge et l'avait examiné soigneusement avec un petit sourire avant de le poser délicatement sur le bureau. Lamia avait les seins qui commençait a pointé. 

Puis en avait enlever ses chaussettes, ses pieds étaient magnifique, l'air très doux, bien entretenus.


"Tu sera plus à l'aise pieds nus, et c'est plus propre et élégant pour une jeune fille comme toi" commentait l'infirmière.


"Allez hop ma belle enlève ton beau petit foulard et ta petite culotte et nous commencerons la visite".


Lamia avait l'air assez soumise et enlevait son voile avec douceur puis elle avait fait baisser sa culotte qui lui tombait sur les chevilles. Elle était vraiment toute nue. Elle avait l'air à l'aise et souriait.


Il faut se mettre toute nue pour la visite médicale.
Une vraie visite médicale se déroule toujours toute nue.

L'infirmière commençait par l'interroger, Lamia était célibataire, elle faisait  du sport régulièrement,  ne fumait pas et ne buvait jamais, elle avait fait l'amour pour la première fois à 17 ans avec un garçon de son lycée.


Lamia se baladait à poil dans le cabinet médicale, sans aucune gêne, puis elle était monté sur la balance : 50 kilos, puis sous la toise :1,62m.


L"infirmière lui avait pris aussi sa tension, puis écouter le coeur et les poumons avec le stéthoscope.


"C'est très important de vérifier les seins, même à ton age" et Lamia se faisait malaxer les seins, elle avait un peu gémit.


Ma bite allait explosé, je me relevais pour me branler un peu car j'étais prêt a sauter sur les deux femmes avec la queue en feu.


J'avais entendu thermomètre et anus, une phrase du genre "Par soucis de précision, la température des étudiantes est prise par voie rectale"


Waahh je m'allongeait sur le sol pour ne rien perdre du spectacle et me branler à fond.


L"anus examiné pendant la visite médicale.
Pas de place pour la pudeur à la visite médicale.


Lamia docile et soumise ouvrait ses fesses et les écartait devant la professionnelle de santé, elle m'avait avouer quelques semaine après avoir des penchant lesbiennes et appréciait d'être esclave de femmes plus âgées et autoritaire, mais avec les filles de son âge, elle était très dominatrice et féroce.


L'infirmière Thérèse s'amusait avec l'anus de Lamia ...

Elle était en train de lui titiller le trou des fesses et de faire des bisous dessus.


Ensuite j'avais gicler et souiller la cabine de mon sperme.


En essayant de nettoyer et d'effacer les traces, j'entendais Lamia et Thérèse venir en ma direction en discutant tranquillement et amicalement. Lamia était encore nue et pieds nus et avait oublier toute traces de pudeur.


De retour dans sa cabine, elle m'appelait pour me dire que c'était mon tour et que tout s'était bien passé.


Si je pouvais avoir un super pouvoir ce serait d'être invisible pour regarder les visites médicales des filles.


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Visite médicale lesbienne.


Visite médicale du travail.


Examen de santé à l'IUT.



samedi 15 juillet 2023

Un entraineur pervers et voyeur regarde les filles nues sous la douche.

Filles nues devant l'entraineur voyeur et sans pudeur.
Les filles toutes nues sous la douche devant l'entraineur.


 Les filles de L'équipe de foot nues sous la douche devant le coach pervers.


Les filles les plus pudiques se plaignent des intrusions du coach quand elles sont toutes nues en train de prendre leurs douche.

Surtout que le coach se moque des filles qui veulent garder leurs culottes pour la douche, si bien que toutes les filles acceptent de se doucher collectivement les fesses et le minou à l'air libre.


Certaines ne sont pas contente mais elles n'ont pas le choix et doivent se soumettre à la pression du groupe.


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vendredi 14 juillet 2023

Bronzer nue sur son balcon est un délit.

L'été est la saison de la nudité.
Fière d'être tout nue en été.

Elle bronze et se prélasse nue sur son balcon pendant l'apéro.


Liliane en cette été caniculaire aime se mettre nue et prendre l'apéro à poil sur son balcon ou dans son jardin.

Sauf que son voisin, Bernard, 54 ans, catholique a porter plainte et l'a dénoncer à la police. En effet la loi interdirait de se mettre nu a la vue des autres.

Ce militant catholique et moralisateur a donc appeler la police pour dénoncer sa voisine pour exhibition sexuelle et outrages aux bonnes moeurs.

Lorsque la police est arrivée, elle a constatée que Liliane était à poil et les forces de l'ordre on pris l'apéro avec elle, mais la jeune femme n'a pas été inquiétée, c'est le pauvre Bernard qui s'est pris une amende salée, et devra comparaitre devant un tribunal pour voyeurisme et perversion. 


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