dimanche 31 décembre 2023

Deux femmes punies et humiliées par les gardes.


Humiliation et nudité forcée.
Deux prisonnières attachées nues aux barreaux de leur cellule.

Les punitions dégradantes imposées aux prisonnières.


Suite aux révélations sur les tortures et mauvais traitements infligés aux prisonniers irakiens par les forces américaines en 2004 dans le centre de détention d'Abou Ghraib, plusieurs photos ont été diffusées dont ces deux femmes prisonnières menottées nues aux barreaux de leur cellule.

Les deux femmes sont âgées d'environ 40 ans et détenues par les forces américaines pour leurs liens avec l'ancien régime, l'une, Hind, 41 ans, professeur dans un lycée et cousine d'un ancien ministre et Hoda 44 ans, scientifique et propriétaire d'une entreprise soupçonnée de financer l'insurrection.

Ces deux femmes sont donc considérées comme des "détenues sensibles" et soumises à différentes techniques et punitions visant à faire pression physiquement et psychologiquement sur elles pour les rendre coopératives et docile.

Les deux prisonnières sont en cellule disciplinaire et vivent dans des conditions difficiles.

Tout d'abord, en isolement, elles sont gardées complètement nues et soumises à des fouilles des cavités plusieurs fois par jours (vérification de l'anus, du vagin, de la bouche, du nombril, entre les orteils , sous les aisselles etc.). Les psychologue et interrogateurs ont spécifiquement recommander d'utiliser la nudité forcée car c'est un moyen simple et efficace pour briser et humilier les femmes. Elles sont très pudiques, de par leur religion et leur culture qui enseigne aux femme la pudeur, la modestie et de cacher son corps.

Les surveillants ont pour ordre et consignes d'utiliser les tabous culturels et religieux contre les détenus pour mieux les avilir. Les deux quadragénaires portait le voile islamique et une tenue large et ample arabe lors de leur arrestation. Les deux femmes ont ensuite étaient obligées de se dévoiler et de retirer tout leurs vêtements pour une fouille très approfondie avec examen gynécologique et test de virginité.

Les américains décident que les femmes prisonnières arabes et musulmanes doivent être nue, et pieds nus, pour y être déconstruite  psychologiquement et oublier toute pudeur. Le programme d'interrogatoire renforcé prévoit d'utiliser la nudité forcée comme un élément essentiel du processus.

Hind et Hoda doivent marcher nues en dehors de leurs cellule, et parader ainsi devant les gardes mais aussi les autres détenus hommes et femmes. Les gardes rient, sifflent et se moquent des pauvres femmes honteuse d'être vues nues et font des remarques salaces sur les grosses fesses plates et molles ou les seins tombant des prisonnières qu'elles doivent exhiber.

Elles sont gardées dans de petite cellules d'isolement vide sans aucun vêtements.

Pour les punir, les gardiens attachent les prisonnières nues aux barreaux de leurs cellules en pleine journée  pendant plusieurs heures pour les exhiber totalement devant tout le monde.

Elles sont soumises à plusieurs fouilles des cavités par jours incluant le vagin, l'anus, la bouche, sous les seins et les pieds pour selon les américains leur enseigner l'humilité.
 
La nudité forcée est obligatoire devant les hommes, qui narguent les pauvres prisonnières à poil.


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4 commentaires:

  1. Ce qui a peut-être existé, c'est au moment de l'arrestation de la femme, et qu'elle est conduite à la salle de fouille, on amène aussi son mari. Et là devant lui, sa femme est déshabillée. Tout lui est enlevé, soutien-gorge et slip aussi, et même pieds nus. Ensuite, pour bien humilier aussi le mari, on procède à la fouille en introduisant un doigt ganté dans son vagin et son anus. Après elle est promenée toute nue dans toute la prison, puis ramenée en cellule. Le mari est obligé de sortir tellement qu'il est dans un état de stress permanent.
    Milky 2

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  2. Pour les rétives, la badine tombe souvent sur les fesses mais aussi sur les mamelles, pour ça, on maintient la femelle à genoux bras tirés au dos pour que les mamelles prennent un maximum

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  3. Pour les femmes infidèles ou coupables d' adultère, elle sera enfermée définitivement dans un petit cachot sur une litière sans sanitaire et soumise à l'abattage gratuit. Enchainée par un pied elle sera nourrie à meme le sol avec les restes des collectivités, écoles, hopitaux, etc. Elle fera ses besoins au sol et croupira dans ses excrèments, un nettoyage au jet froid par semaine . Gardiens et gardiennes pourront à loisir la tabasser au nerf de boeuf pour assumer son role de truie. Devenues inutilisables, elles seront plantées sur un pieu pour un empalement lent pouvant durer plusieurs jours et nuits

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