jeudi 27 mai 2021

Ridiculiser et humilier une prisonnière.

 

Prisonnière nue dégradée sous la douche
Femme nue humiliée en prison.

Une femme nue contrainte de faire des exercices physiques dégradants en prison.


Si le président des Etats Unis  et son secrétaire d'état à la défense démentent avoir donner le moindre ordre de maltraiter les personnes privées de liberté entre les mains des forces militaires, les responsables d'une des prisons gérée l'armée ou sont détenus des prisonniers de "haute valeur" (c'est à dire des captifs politiques, opposants, rebelles, et toute personnes proches de l'insurrection) donnent pour consignes aux gardiens de traiter les prisonniers et les prisonnières comme des chiens, et de les humilier, dégrader, et de les ridiculiser. 


Le but de tout ça serait de "ramollir" les suspects qui sont souvent gardés en dehors de tout cadre légal et dans l'arbitraire le plus total.


L'une des pratiques les plus courantes et qui a choquée les visiteurs du camp de prisonnier est la nudité forcé et les humiliations sexuelles. Plusieurs inspecteurs de la croix rouge,  militant d'ONG de défense des droits de l'homme et d'avocats ayant visiter les lieux dénonce le fait de garder les personnes privées de liberté sans aucun vêtements. Si les autorités reconnaissent à demi mot que certains détenus sont nus, elle le justifie pour des raisons de sécurité , certains seraient en effets en confinement solitaire, ce qui justifie l'absence d'habillement. D'autre disent aussi qu'il n'y à pas assez d'uniforme de prisonnier à fournir et donc que forcément certains sont gardés nus (sans préciser ce que sont devenus les vêtements civils des prisonniers pendant leurs arrestations ...).


D'autre sources parlent officieusement de techniques d'humiliations visant à obtenir la parfaite coopération des suspects et de les rendre vulnérables et à la merci de leurs geôliers. 


Si l'immense majorité des internés sont des hommes, quelques femmes sont retenues sur le site. L'une d'entre elle connue sous le pseudonyme de Lina, une femme d'affaires de 30 ans et proche de l'ancien régime. Son avocat affirme lors d'un contrôle inopiné dans la prison avoir découvert que sa cliente était dénudées dans sa cellule et qu'elle a subie plusieurs humiliations en rapport avec sa nudité de le part des gardes.


Les surveillants l'ont entre autre souvent forcée à s'exhiber nue et à marcher ainsi devant le staff de la prison mais aussi devant les autres prisonniers pour l'humilier. Elle a été placée à poil devant la cellule de prisonniers masculins de son quartier et a été soumise à une fouille des cavités corporels en public et contrainte de prendre des poses infamantes à connotation sexuelles devant eux (qui étaient de leurs coté contraint de se masturber devant son corps nu).


Les gardes lui ont aussi imposer des exercices sportifs dans le but de la fatiguer, la jeune femme a été aussi contrainte de courir nue les mains sur la têtes dans les douches sous les cris de "Plus vite sale pute", et d'autres insultes et moqueries.


Si les autorités reconnaissent que la prisonnière était nue, il le justifie par le fait qu'elle représente selon eux un risque pour elle même du fait qu'elle aurait demander des médicaments anti dépression, et que la nudité n'est pas "si grave".



Liens :


Sévices au camp militaire.



Nue en confinement solitaire.

 

Prisonnière nue dans sa cellule de confinement solitaire.
Femme nue dans sa cellule de confinement solitaire.

Les conditions de détention des femmes.


Nora, une jeune femme âgée d'environs 25 ans à passer environs deux mois en confinement solitaire dans une prison militaire américaine. Elle parle de la dureté et de l'inhumanité de ses conditions de détentions qui visent selon elles à briser les captifs pour les faire parler et les rendre plus coopératif. Si elle n'a pas été physiquement torturée, elle a subie des pressions psychologiques intenses et de multiples humiliations pendant sa période de privation de liberté.


Les services de renseignement militaires l'ont capturés et l'ont considérées comme une détenue de haute valeurs du fait de sa position importante dans l'ancien régime, elle est la fille d'un scientifique important très recherché.


"Les miliaires après m'avoir arrêtée m'on transférée dans une prison près de la capitale dans laquelle j'ai passé deux mois environs.


Comme les quelques autres femmes, j'étais enfermée dans ma cellule 23 heures sur 24 et 7 jours sur 7. J'avais théoriquement droit à une douche tous les trois jours, et a une heure de sortie par jours qui n'était pas toujours respecté. 


L'isolement est très dur, et très cruel, il n'y a absolument rien à faire, j'étais enfermée dans une petite seule avec des barreaux et un simple matelas , un robinet pour avoir accès à l'eau et des toilettes à la turque. Hormis quelques livres et un journal par semaine  à lire nous n'avons rien.


Nous n'avons pas le droit de porter des vêtements en cellule, ils nous interdisent de nous habiller. Des les premiers instant ou nous arrivons, nous devons nous déshabiller soit disant pour la fouille de sécurité et ensuite ils nous laisse toute nue sans nous rendre nos affaires ni même nous donner d'uniforme !


J'ai passé deux mois intégralement nue sans pouvoir cacher mon intimité. Les gardes nous fouilles de façon humiliante plusieurs fois par jours : A poil ils nous font lever les pieds, écarter les orteils, puis nous accroupir et tousser pour s'assurer que nous ne cachons rien dans nos parties intimes, puis nous devons sautiller et soulever nos seins, et ouvrir la bouche en tirant la langue.


Ils nous traitent comme des animaux, l'isolement est très oppressif. C'est une expérience très difficile.



Liens :


Briser l'égo de la détenue.


Nue pour l'interrogatoire.





mercredi 26 mai 2021

L'arrestation et l'interrogatoire d'une femme.



Toute nue, une détenue forcée de parader à poil.
Femme prisonnière escortée nue par un garde.

Une prisonnière soumise à des méthodes d'interrogatoires renforcés.


Une femme prisonnière se souvient de la honte et de l'humiliation qu'elle a ressentie lors de son passage en prison dans la partie d'une prison réservée aux "détenus de haute valeurs". C'est une détenue âgée d'environs 35 à 40 ans, c'est une cadre de la grande banque nationale qui a été arrêtée par l'armée américaine lors d'une opération de ratissage dans son quartier. La prisonnière étant une personnalité importante liées au ministre des finances en fuite, le service de renseignement US a décider de transférer cette prisonnière à Abou Ghraeb, une prison sous contrôle militaire des Etats Unis dont une aile est dédiée  pour les prisonniers importants (insurgés, ancien responsable du régime déchu, terroristes etc.).


Zahia est économiste de formation, elle est assez mure, maigre à la peau blanche et brune. Elle possède un doctorat en science économique et financière, ce qui lui a permis d'obtenir un poste important dans son pays malgré qu'elle soit une femme. C'est une femme respectée qui donne aussi des cours à l'université aux étudiants en plus de ses responsabilités. Elle porte en général des tenues strictes er porte un châle sur les cheveux par respect des traditions. 

Si son arrestation s'est déroulée sans incidents et dans de bonne conditions, son arrivée  et son séjour dans la sinistre prison lui reste comme une très mauvaise et traumatisante expérience.


Zahia est transférée par hélicoptère, puis amenée dans les locaux en dur du site du camp de prisonnier. Elle remplit d'abord divers documents administratifs avant d'être conduire dans la pièce d'admission de l'aile de la prison destinés aux détenus sensibles.


Quatre femmes en treillis militaire et portant des bottes rangers, toutes sont très athlétique et très costaud et beaucoup plus grande que Zahia qui n'a aucune chance de pouvoir leur résister physiquement car elles sont toutes bien trop fortes et puissantes pour elle.


Zahia reçoit l'ordre de se déshabiller complètement pour la fouille et la confiscation  vêtements civils et des effets personnels. 


Elle proteste mais elle se prend rapidement un strict  rappel à l'ordre qui lui explique que "Ici les prisonniers doivent suivre nos règles, les hommes et les femmes doivent retirer leurs vêtements sans exception avant de pénétrer dans le lieue de détention. La nudité est habituelle."


"Vous ne pouvez pas faire ça" crie Zahia en anglais.


Les gardiennes rigolent et répondent "Si nous le pouvons et nous le ferons".


"S'il vous plait je vous en supplie ne faite pas ça." reprendre la détenue.


"Pas d'inquiétude c'est la procédure ici ça ne prend pas beaucoup de temps." répondent les militaires, même si pour la prisonnière ça parait une éternité.


Zahia doit retirer son foulard qu'elle porte  sur les cheveux plus par tradition que par conviction. Elle retire ensuite ses chaussures.


La captive demandent ensuite si elle peut être fouiller par dessus ses vêtements, les américains disent "Non, il faut se dévêtir totalement" .


Zahia retire sa jupe et ses collants qui sont placés sous scellés par les gardiens. La prisonnière comprend qu'elle ne pourra bientôt plus rien cacher. C'est ensuite au tours de son chemisier d'être aux mains de ses geôliers.


Zahia panique car elle n'a plus que sa culotte et son soutien gorge. Elle pleure et demande qu'on lui laisse ses sous vêtements, et elle demande "pourquoi devoir se mettre nue ?"


Les gardes répondent que c'est "la procédure habituelle pour les détenus, pour des raisons de sécurité et de discipline et parce que ceux sont les ordres."


Zahia est mortifiée et retire le reste de ses vêtements pour être intégralement nue. Le sentiment de honte est palpable et elle se sent déshonorée et dégradée. Elle est complètement exposée, ses seins, fesses, et sa chatte sont visibles, sa nudité n'est pas seulement physique, elle est aussi émotionnel et elle se sent dépourvue de toute protection.

Une gardienne prend une lampe et enfile des gants en caoutchouc pour d'abord palper la tête et la chevelure de Zahia, lui vérifier ses oreilles, son nez, sa bouche, et même sa dentition et sous la langue. La surveillante pénitentiaire vérifie même le fond de sa gorge. Elle vérifie aussi sous ses seins et ses aisselles on l'a forçant à sautiller toute nue. Ses seins étant petits l'opération se passe vite. 

L'humiliation ne s'arrête pas là, Zahia doit écarter les jambes pour qu'une gardienne vienne fouiller son intimité.  La surveillante introduit ses doigt dans le vagin de la détenue tout en lui titillant le clitoris pour provoquer de la gêne et de l'excitation forcée. Puis c'est au tour de l'anus d'être vérifié, on lui écrase fortement les fesses et un doigt lui rentre dans le trou du cul.


La prisonnière est très humiliée, pour finir les surveillantes luis inspectent aussi le nombril, les orteils et les plantes des pieds. Elles l'ont fouiller de vraiment partout. 


Après la fouille, la femme est enchainée aux chevilles et menottés comme dans toutes les prisons de haute sécurité US.


Zahia est entrainée hors de cette salle sous escorte tout en se sentant très humiliée tant par l'inspection qu'elle vient de subir que par le fait d'être promener nue dans les couloirs.


Personne n'a l'air de trouver étrange la nudité de la prisonnière ici. Les gardiens et gardiennes l'ignorent pour la majorité d'entre eux tellement voir des captifs à poil est fréquent ici car seul les prisonniers se montrant coopératifs et ayant donner des informations sont autorisés à porter des vêtements. Le chemin vers la salle d'interrogatoire est très long pour la prisonnière pudique qui est visible par tout le monde, les prisonniers hommes peuvent la voir ainsi, quelle honte pour elle.


La salle de travail (des interrogatoires) est très crainte, Zahia étant une femme importante et à protéger, elle ne peut pas subir de violences, ni aucunes tortures physiques ou coups, mais par contre les agents de la CIA lui impose une technique spéciale visant à forcer la détenue à avoir de multiples orgasmes jusque à ce qu'elle parle.


La détenue est allongée nue sur une table les jambes écartées  le corps exposé a ses geôliers.  Des interrogateurs hommes et femmes pour la première fois ont fait découvrir à la prisonnière qu'elle peut jouir plusieurs fois de suite par des coups de langues féminines répétées sur la chatte, des godes et des doigts dans la chatte et l'anus, des pinces aux seins.

Après chaque orgasme, la détenue est invitée à parler et à tout avouer avant qu'on en déclenche un second.


Nudité et honte pour les femmes prisonnières.
Prisonnière nue et enchainée sous la garde d'un surveillant.

 

Etudiante féministe arrêtée et humiliée

 

Clara, étudiante défendant le droit des femmes, se fait mettre à poil et humiliée en garde à vue prison.
Féministe humiliée et interrogée nue.


La répression des  mouvements féministes fait rage.


Clara, 23 ans vient d'être arrêtée par la police sur le campus de son université car elle a été prise en flagrant délit de diffusion de tracts féministes. Depuis que ce pays d'Amérique Latine a connu son dernier coup d'état militaire, le nouveau régime qui se veut très conservateur, traditionaliste, pro catholique, autoritaire et partisan du patriarcat et de la restauration de l'autorité masculine impose une forte répression contre les mouvements de défenses du droit des femmes.


L'une des premières mesures prise par le régime a été de supprimer le droit à l'avortement, interdire aux femmes de travailler, conduire, travailler, ou d'ouvrir un compte en banque sans l'accord de leurs tuteurs (pères, mari), et de limiter la circulation des femmes.


Clara comme beaucoup de jeunes filles de son époque a été fortement choquée, elle qui a grandit dans un une société démocratique et dans laquelle les femmes ont a peu près les mêmes droits que les hommes, ce retour en arrière est inacceptable.


Avec d'autres étudiants, elle a décider d'organiser des manifestations contre le sexisme, manque de chance pour elle, plusieurs indicateurs de la police l'ont identifiés et un escadrons de la police politique est venue très rapidement la cueillir pour l'arrêter de la placer en détention dans les locaux du ministère de l'intérieur. Les sous sol de ce bâtiment comporte une série de cellule et de salles d'interrogatoires pour "traiter" les détenus politiques.


Clara est mise nue des le début, complètement à poil, pour une fouille très stricte et intimes réalisé par des hommes. Les filles sont en général très embarrassées, Clara se sent rabaissée et à la merci de ses geôliers. 


Les agents du ministère l'ont ensuite forcer de marcher en tenue d'Eve jusque à la salle d'interrogatoire en passant devant les autres étudiants incarcérés et certains de ses professeurs. 


Dans la salle d'interrogatoire, la prisonnière nue est victime de technique de bondage perverses, elle est suspendue nue a des barres pendant que certains gardes lui donnent des coups de fouets, ou lui font des attouchements sur les seins et les fesses.


Elle est ensuite pour bien l'humilier exposée nue  dans une position très dégradante devant les autres étudiants de son amphi. Les policiers n'hésitent pas à la traiter de salope qui monte sa chatte et ses seins à tout le monde comme une pute. Comment une femme bien, une fille respectable et respectée par ses camarades peut elle être rabaissée ainsi ?


Liens :


Garde à vue et interrogatoire musclé.



Centre éducatif fermée pour jeunes filles.


Fille soumise à une fouille à nue en pensionnat pour jeune femme.
Toute nue les fesses rougies avant la fouille.


De la discipline dans les centre éducatifs fermés pour femmes.

Le ministère de l'intérieur et le ministère de la justice ont décider d'ouvrir des centres éducatifs fermés (maison de correction) pour les jeunes femmes délinquantes et radicalisées dans leur but de refaire leur éducation et de leur apprendre les règles d'ordre et disciplines de la société. Le foyer qui accueille les jeunes filles à un règlement intérieur très stricte.


1/ Tenue vestimentaire.

Les pensionnaires sont habillées par l'établissement,  aucun vêtements civils extérieurs ou objets personnels n'est autorisé. Tout signe d'appartenance communautaire ou religieux est également prohibé. Le foyer fournit les tenues réglementaires.

Deux uniformes jaunes de prisonniers.


Un manteau gris pour l'extérieur.


Des sous vêtements roses.


Une chemise de nuit obligatoire le soir.


Un peignoir.


Une paire de tong.


Une paire de chaussure de sport.


Des produits d'hygiènes sont à disposition.


2/ Horaires.

Le petite déjeuné est pris a 07h00.


la douche à 07H30.


Le levé du drapeau  et l'hymne nationale dans la court à lieu et 08h00


De 09h00 à 13h les pensionnaires suivent leur formation professionnelle ou leurs cours.


Déjeuner de 12h à 15h au self.


3/ Dortoir.

Le dortoir est collectif et toutes les filles doivent être couchée à partir de 22h00 extinction des feux. 


le réveil se fait à 06h00.


4/ Discipline et sécurité.


Pour des raisons de sécurité les éducateurs et surveillants ont le droit de procéder à des fouilles et de faire se déshabiller les pensionnaires pour des inspections complète comprenant l'anus, la bouche et le vagin.

Le foyer applique des châtiments corporels et humiliants en guise de sanction pour les jeunes filles.

Les fessées ont lieu en public, des filles peuvent être exposée entièrement nue devant le public, des coups de badines, de cravache, de martinet sont aussi possible.


Liens :


Punie par l'éducatrice.


Vidéo d'une femme fessée nue.






lundi 24 mai 2021

Visite médicale annuelle du pensionnat

 

Nudité et pudeur à la visite médicale
Jeune fille toute nue pour la visite médicale

Une jeune fille soumise à la visite médicale du foyer pour jeunes filles.


Lorsqu'une jeune femme âgée entre 18 et 26 ans  arrive dans le foyer pour jeunes mineurs de l'ASE tenue par une association très traditionaliste ayant pour mission d'assurer la promotion sociale par l'éducation, elle doit passer une visite médicale une fois par ans.


Dans ce lieue de vie les règles sont strictes et les filles soumises à une discipline très strictes. Les jeunes filles comme Sarah, une fille de 22 ans, placée dans cette institution pour des problèmes familiaux, ses parents étant en conflit, et ne pouvant pas assurer la poursuite de ses études.


Lors de cette fameuse journée de visite médicale, les filles sont appelées en petit groupe, les anciennes sont expérimentées et moins pudiques que les nouvelles souvent gênées et honteuse la première fois.


Les filles ont rendez vous le matin à l'infirmerie, ou après avoir remplie un questionnaire médicales et un dossier administratifs, elles doivent aller dans un petit vestiaire avec l'ordre de se déshabiller pour ne garder que la culotte. Sarah ce jours la s'est faite reprendre par une surveillante car elle n'avait pas retirer ses chaussettes tout de suite. Les filles doivent être pieds nus pour diverses raisons : les balances pour les pesées calculent la masse graisseuse et la composition corporelle. De plus pour des raisons d'hygiène et de tradition, les pieds doivent être découverts.


La première partie de l'examen est assez simple, l'infirmière et une pionne font passer des tests d'audition, de vision aux jeunes filles, puis elles sont pesées et mesurées en petites culotte, on leur prend aussi les mensurations (tours des hanches, tours de poitrines, des cuisses etc.). Un test des capacités respiratoires et pulmonaires et aussi au programme.


Ensuite l'infirmière reçoit les patientes dans son petit bureau, certaines sont gênées de devoir rester debout en petite culotte pour l'entretien sur les habitudes, si elles se sentent bien, leur alimentation, si elles font du sport, leur contraception, et sur leurs vaccinations.


Ensuite les filles sont envoyées dans la salle d'examen du médecin, c'est le moment le plus redouté car avant d'entrer, les culottes doivent être retirées car c'est toute nue qu'il faut se présenter devant le médecin.


Sarah comme toute les autres filles doit s'assoir sur la table d'examen médicale pour que le docteur lui prenne sa tension, écoute son coeur et sa respiration avec un stéthoscope, lui observe les oreilles, les yeux, le nez, la bouche et le fond de la gorge. Un bref examen de la dentition est aussi pratiqué. 


Puis le docteur palpe longuement les seins de la jeune fille, avant de lui palper le ventre.


Ensuite les réflexes de Sarah sont vérifiés au niveau des coudes, des genoux et des plantes des pieds, les orteils sont aussi inspectés pendant la visite médicale.


Sarah doit aussi s'allonger pour un bref examen gynécologique qui consiste d'avoir à contrôler si la jeune fille est vierge ou pas, le docteur examine la vulve, et écartent les lèvres vaginales de la jeune fille pour s'assurer que toute aille bien.




Liens :




Femme humiliée pisse en public.

 

Soumise doit uriner à poil sans pudeur dans la honte.
L'humiliation de devoir faire pipi toute nue comme une chienne.

Femme française soumise et humiliée en plein air.


Mathilde, fille au pair d'origine française est devenue l'esclave et la souffre douleur d'une famille de riche allemands de Bavière. Dans la tradition de cette famille, l'ordre, l'autorité et les valeurs d'inégalité entre les hommes et les races persistent. Mathilde comprend vite qu'en Germanie, elle n'est qu'un être inférieur ravalé au rang d'esclave sans dignité.


La jeune française est nue en permanence pour lui rappeler son statut d'esclave. Elle doit se charger de toutes les bases besognes et les corvées, faire la cuisine, et servir sexuellement ses Maitres et Maitresses.


Le fils du Maitre, un jeune homme de 20 ans aime bien traiter Mathilde comme une chienne et lui imposer des promenades à poil dans la jardin ou il l'oblige souvent à pisser en public sous les rires et moqueries des spectateurs. La soumise doit uriner sur ordre et sans aucune pudeur.


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Esclavage domestique.


Esclave à poil.




vendredi 21 mai 2021

Accusée par erreur d'un vol, une jeune fille humiliée.

 

La marche de la honte pour une voleuse.
Voleuse nue et parade de la honte.

Fille victime d'une erreur et fausse accusation de vol mise à poil.


Des groupes de voisins vigilants ont punie une jeune femme qu'ils soupçonnaient de vols et de larcins dans le quartier. La victime Natascha à passer une sale moment car elle a été vue plusieurs fois prêt d'un endroit ou plusieurs délits ont été signalés, bref elle était la au mauvais endroit et mauvais moment.


Elle a été saisie par deux gaillards qui ont ensuite appeler la foule, dans ce coin les gens sont très en colère à cause de l'insécurité qui règne dans la zones depuis quelques semaines et par l'absences de réaction des autorités publiques.


Natascha est prise à partie par des gens furieux contre elle, elle affirme n'avoir rien fait et qu'elle cherche simplement à savoir ou se trouve la gare mais personnes ne la croit.

Dans la meute, plusieurs voix s'élèvent pour "mettre à poil la voleuse" dans le but de l'humilier et la punir.

La pauvre femme crie et demande aux gens de ne pas faire ça car elle est innocente mais personne ne l'entend.
Les deux costauds lui arrachent d'abord ses chaussures qui sont jeté dans le parc. Puis les voisins en colère remontre la jupe de la victime pour lui prendre son collant et lui retirer aussi pour mettre la soumise pieds nus.

Natascha commence à paniquer car elle réalise qu'elle va vraiment se retrouver à poil  et qu'elle n'aura plus rien pour cacher son corps et son intimité. Son chemisier et son soutien gorge sont aussi enlevés puis c'est la culotte qui y passe ...

Mortifiée et humiliée, la jeune voleuse présumée est totalement nue, ses seins, ses fesses, sa chatte sont totalement exposés. La foule peut voir toutes les parties du corps de la tête aux pieds de la pauvres fille.

Il y a beaucoup de commentaires salaces et grossiers sur le cul et ses nichons de Natascha. Elle doit ouvrir sa chatte pour bien montrer ses lèvres vaginales.

La suspecte est ensuite forcer de se promener nue dans tout le quartier en guise de punition.


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Dans un site secret de détention pour femme.

Dessins d'une prisonnière nue dessiné par Tbool de Chainganggirls avec une petite histoire
Nue et enchainée en prison.

 Prisonnière nue dans un camp de détention spécial.


Anya est encore sous le choc de son mois passé en détention dans un site secret de l’armée américaine après une avoir été arrêtée par erreur par les services de renseignements.


Elle témoigne pour plusieurs ONG avoir passé plusieurs semaines dans un centre de détention pour l’interrogatoire et la punition des personnes soupçonnées de liens avec le terrorisme, les trafics de drogues et d’armes et tout ce qui porte potentiellement atteinte à la sécurité des États Unis. 


Dans ces endroits les prisonniers sont gardés nus et soumis à des traitements infâmes. Les détenus sont gardés dans des cellules en confinement solitaires souterraines. 


Tout est fait pour humilier et maintenir les captifs dans la soumission en permanence et pour les rendre docile et coopératif.


Anya raconte : “Des soldats m’ont arrêtée lors d’une patrouille dans mon village. Au début tout de passait bien, ils ont vérifier mon identité, et ils ont tout de suite dit qu’il y avait un problème. Mon nom était sur une liste de personnes recherchées par la coalition internationale.


 Alors un groupe spécial est venu me chercher, ils étaient tous masqués et ils n’ont menottée et bandée les yeux avant de me placer dans un hélicoptère pour une prison située dans un endroit très isolé dans très certainement le désert car la journée la température y était très élevé.


Lorsque je suis arrivée dans  cet endroit, les gardiens en uniforme militaires m’ont faite déshabillée devant eux sans le moindre respect pour ma pudeur et mon intimité et quasiment en public.


Ils m’ont mise toute nue comme le jours de ma naissance comme toutes les personnes incarcérées dans ce terrible endroit. Ils exigent la nudité totale, lorsque  j'ai demander si je pouvais garder mes sous vêtements, l'un des gardes m'a dit que ce n'est pas possible et qu'il fallait tout retirer. Ensuite ils m'ont fouiller et inspecter vraiment partout (NDLR : les détenus sont soumis a des fouilles corporelles très strictes et invasives qui incluent des vérification des cavités intimes comme l'anus et le vagin).


Ensuite ils nous mettent les lourdes chaines aux pieds et nous mettent les menottes, puis m'ont obliger à parader à poil jusque dans ma cellule. C'était trop la honte et ils en profitent pour nous ridiculiser devant les autres détenus. Ils m'ont placée devant la cellule d'un homme et m'ont exposée et exhibée devant lui en lui disant que quand ils attraperont sa soeur ils lui feront pareil et la mettrons toute nue devant tout le monde. Ils m'ont aussi dit que j'étais une mauvaise personnes car je me promène nue devant tout le monde car je suis une mauvaise fille alors que c'est eux qui m'oblige à rester en tenue d'Eve !


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lundi 17 mai 2021

Soumise exposée nue et humiliée.

 

Femme soumise nue dans une villa
Soumise nue en bondage attachée à un arbre.

Règles pour traiter une esclave soumise.


Dans les grandes Et riches familles de grand propriétaire terriens, l’esclavage même s’il est officiellement aboli persiste encore.


Les plus fortunés grace au pouvoir de l’argent peuvent recruter des jeunes femmes issues de milieux plus modestes et en faire des soumises et des servantes.


Une famille bourgeoise du sud de la France a ouvert les portes d’une de ses villas à certains journalistes pour leur expliquer Le conception des rapports entre les différentes classes sociales basées sur l’ordre, autorité et la soumission des inférieurs.


Dans cette famille de milliardaires, des jeunes femmes de milieux modestes sont recrutées ( dans la classe ouvrière, les banlieues françaises, parmi les migrantes) pour servir d’esclaves sexuellement dominés pour les gens de l’élite.


Lors de la visite du domaine nous avons directement remarqué qu’une jeune femme de 25 ans de type beurette était attachée et exposée toute nue à un arbre (palmiers) à côté de la piscine. 


C’est Sonia, une Française d’origine maghrébine (Maroc) qui est la depuis un mois. Du fait de la situation économique catastrophique à cause de la mauvaise gestion et de la pandémie de coronavirus, la jeune femme n’a pas eu d’autres choix que d’accepter d’être la servante de cette famille. 


La pauvreté et la galère ont forcer cette beurette à devenir une soumise et d’accepter des règles humiliantes.


1/Nudité.

Tout d’abord la soumise n’a pas le droit de porter de vêtements ou de chaussures sur la propriété de ses maîtres et maîtresses. Elle doit rester nue et pieds nus en permanence. La nudité lui rappelle en permanence sa place d’esclave et qu’elle est au plus bas de l’échelle sociale.

2/ Perte d’identité.

La soumise doit appeler les résidents de la villa et doit  visiteurs par des titres du type « Maître » « Maîtresse », et la soumise elle n’a plus de nom ni de prénom. Elle est appelée « esclave », « pute », « chienne » etc. La jeune femme n’a pas non plus le droit de dire « Je » et doit parler d’elle comme une esclave et un numéro.


Elle a pour consignes aussi de  baisser la tête et à l’interdiction de parler sans autorisation.


3/ Humiliation permanente.

Sonia doit être rabaissée et humiliée tout le temps. Elle doit exposer son intimité à tout le monde sans aucune pudeur ni respect, prendre des positions de soumission dégradantes comme se mettre à genoux, écarter ses fesses et ouvrir l’anus, se masturber en public et avoir un orgasme pour divertir les gens. 


Elle doit aussi faire ses besoins naturellement en public faire caca toute nue devant les gens qui la regarde est très difficile et terriblement dégradant les premières fois mais c’est un traitement digne d’un animal. Lorsque on promène son chien ce dernier pisse et chit partout dans se soucier du regard des autres, alors pourquoi est ce qu’une soumise aurait elle plus de droit qu’un chien ? 


Rester  à poil devant les gens habillés, et se faire baiser à volonté par n’importe qui, sucer des bites, lécher des chattes et des pieds. 


Liens : 


Exploitation des femmes pauvres.


samedi 15 mai 2021

Rapport de visite en Prison.

Femme prisonnière nue en cellule
Femme nue dans sa cellule de confinement solitaire.


L’inspecteur des prisons : visite à Abou Ghabir au moyen orient.

Histoire Bdsm.

Nous sommes en  semaine durant le mois de juillet 2004 dans une prison tenue par l’armée américaine dans un pays du moyen orient. L’inspecteur des prisons est un juriste expérimenté qui travaille pour une organisation internationale de défense des droits de l’homme et qui est chargé de rendre visite à une femme, Sabrina L, elle est âgée  d’une trentaine d’année et elle est  détenue depuis plusieurs mois pour des soupçons de soutien à l’insurrection et ses liens avec l’ancien régime.

Les autorités américaines ont autorisé l’inspecteur à venir visiter la prisonnière sur pression de ses avocats.


La visite commence tôt le matin vers 06h peu après le levé du soleil. Les gardes en treillis militaires et rangers accompagnent le visiteur qui est en costard cravate. Ils se rendent dans une petite cellule de 3 mètres sur 4 , ce qui est un "luxe" ici dans cette vétuste prison.


La visite

La première chose qu’on remarque lors qu’on arrive à la cellule de la détenue c’est qu’elle  est totalement vide et ne contient qu'une couchette surélevée et des toilettes "turques". Aucun autres objets quelques soit sa nature n'est permis dans cette section. Les gardiens  peuvent être des hommes comme des  femmes et on notera aussi la présence de fonctionnaires et les contractuels (mercenaires) travaillant sur place.

Sabrina est encore somnolente, elle a 30 ans. Elle mesure 1.70m pour environs 55 kilos, elle est très sexy, la peau mate , des fesses épaisses et des hanches larges et une petite poitrine naturelle. 

Elle  est un peu musclée. Sa peau est légèrement bronzée et elle a de long cheveux noirs. Elle est là depuis deux à trois mois.

Elle est une femme orientale  très éduquée, elle était cadre dans le ministère de l’économie avant sont arrestation, ce qui l'a rend importante au regard des autorités qui l'a maintienne en détention pour une durée indéterminée.

Les cliquetis de la clé ouvrant sa cellule l'a réveille. La prisonnière est nue, les pieds nus (et ici ses plantes de pieds sont noircies par la poussière et la crasse accumulés lorsqu'elle marche sur le sol pas très propre.). Elle est allongée nue sur le dos par les chevilles et les poignets sur sa banquette. Exposée totalement à poil sans aucune pudeur à la vue de ceux qui rentre dans sa cellule, ses premières semaines ont été très difficile puis elle s'est habituée. 

Sabrina comme une bonne partie des personnes privées de liberté ici sont gardés  sans aucun vêtements, c'est une section d'isolement en sécurité maximum car c'est un théâtre de guerre, les moyens manques cruellement, il n'y a que très peu d'uniforme, les rares sont donnés aux détenus coopératifs masculin, les uniforme féminin ne sont pas prévue du fait du nombre limitée de femmes. L'équipe d'interrogateurs de la police militaire et de la CIA recommande la nudité pour ramollir les détenus et les rendre plus dociles. Et pour l'équipe de surveillants, c'est bien plus sur et sécurisé  de garder les prisonniers nus. Ici savoir que les captifs sont nus ne choque personne, c’est tout à fait banal et les gardes s’y sont vite habitués.


Sabrina est une détenue jugée sensibles et de haute importance. Elle n'est pas soumise aux interrogatoires violents, mais elle doit être sous surveillance étroite 24h sur 24, elle est toujours sous contrainte la nuit, et elle doit toujours être sous la surveillance d'un garde lors de ses activités.

Les entraves de la prisonnière  lui son retirer et elle doit se lever et se mettre au garde à vous et se voit remettre son petit déjeuner. C'est un traitement de VIP peu représentatif du reste qui lui est réservé. Certes ce n'est pas de la haute gastronomie, mais elle est aussi bien nourrie que les soldats. Elle a le droit à un plateau avec une assiette de poulet frit avec du riz et quelques légumes, une banane, et un verre d'eau bien frais.

Elle est observée par une surveillante à chacun de ses geste, et il y a parfois des fonctionnaires masculins qui regardent. L'américaine chargée de la contrôler est assez froide et stricte et fait son boulot sans état d'âmes.

Sabrina  doit  tout manger devant elle, quand elle a finie, elle doit poser le plateau repas à l'entré et se mettre contre le mur les mains sur la tête pendant que la gardienne ramasse l'objet.

Ensuite elle doit se mettre devant la porte, mains sur la tête et attendre les ordres.


Elle doit bouger ses cheveux, ouvrir grandement la bouche, et surtout se soumettre à une inspection humiliantes des cavités intimes. 

La jeune femme  qui parle parfaitement l'anglais demande à la surveillante "Est ce que je peux vous montrer ma chatte et mon cul de façon plus  plus discrète ? car n'importe qui peut circuler dans le couloir et me voir dans cette situation embrassante et je ne veux pas que des hommes puissent me voir ainsi.".

La surveillante lui répond "Ne sois pas ridicule, les gardes et les contractuels voient ta chatte tout le temps car tu vis toute nue depuis plusieurs mois".

Sabrina le sait, mais devoir montrer son intimité sur commande elle trouve ça dégradant et se sent comme un animal au zoo. 

Les hommes passant par là (souvent par coïncidence la fréquentation de cette zone augmente lors des heures des inspections et des fouilles des prisonnières) s'arrêtent et ont des débuts d'érection.

"Allez c'est un ordre, dernier avertissement" dit la surveillante en uniforme militaire.

Résignée, la prisonnière prend sur elle même  se penche et écarte ses jambes pour exposer son anus rose , c'est toujours difficile à vivre que de sentir le souffle d'un gardien équipé d'une lampe vous regardez le fond des entrailles et vous faire tousser en ayant vos fesses écartées au maximum.

Puis elle doit écarter encore plus les jambes, ce matin elle est tombée, car ses pieds nus on glissés pendant l'opération, rien de mal, aucune blessure, mais les hommes qui passaient par là ont bien rigoler en l'a voyant se ramasser par terre toute nue et se relever pour reprendre sa position indécente et écarter le plus possible ses lèvres devant la gardienne, qui remarque quelques traces humide et suspect émanant du sexe de la détenue.


Sabrina avant d'être emprisonnée par les américains a entendu parler de rumeurs comme quoi les militaires humiliaient et maltraitaient les prisonniers  qu'ils détiennent, mais elle n'y a pas cru. Elle ne subie d'ailleurs aucun mauvais traitements et n'a jamais reçu le moindre coup ni la moindre insultes. 

A son  arrivée en décembre 2003, elle est soumise au processus habituel pratiqué à la section d'isolement de cette prison. Elle est accueillie et informée par le staff  qu'elle sera traitée selon les convention de Genève. Puis elle est enregistrée administrativement, ses papiers d'identité, biens, bijoux et effets personnels ont été placés sous scellés dans des cartons, ses empruntes digitales, et de sa salive pour identifier son ADN on été prélevés. Un numéro d'identifiant de prisonnier lui à aussi été délivré.

Ensuite elle a été déshabiller pour la fouille (strip search) obligatoire avant tout mouvement dans la division.

Lors qu'elle entendait parler des rumeurs de nudités forcés imposer aux arabes retenus par les américains, bien que choquée, elle imaginait bien la honte, l'humiliation que d'être dénudé en publique représentait pour les victimes, mais elle se voyait dans ses fantasmes,  elle, une femme pieuse, respectables et honorable être obliger d'être de se déshabiller devant des étrangers, que les autres puissent voir son sexe, ses gros seins à l'air, ses fesses, ses pieds, ses cheveux ... 


Pour elle qui hors de ses voyages à l'étrangers, dans des pays occidentaux ou en Asie doit être couverte de la tête aux pieds et cacher la moindre parcelle de son corps aux hommes. La nudité était un de ses fantasmes qui hantait ses nuits,

Le premier déshabillage n'est jamais facile surtout pour une personne ayant des tabou religieux et culturels important comme elle.  Lors de ses premiers jours elle était honteuse et obsédée par sa nudité. Les gardiennes s'amusent de la gêne et de la honte que ressent la prisonnière.

Lors des restrictions, que la détenue  déteste, elle est allongées et attachée solidement sur un lit ou une civière sans pouvoir bouger, nue bien sur et les jambes assez écartées pour que l'on puisse tout voir. Pour une femme comme elle c'est l'une des choses les plus dégradantes.

La nudité est difficile à supporter surtout que l'humiliation fait beaucoup mouiller Sabrina, les gardes le savent et en profitent souvent pour la mettre dans l’embarras ou pour la regarder se masturber.

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Car disons le franchement, cette prisonnière s'ennuie,  même si elle a accès a quelques livres, a une heure de sortie par jours, la possibilité de faire un peu de sport, et être toute nue stimule beaucoup sa libido et l’ennui la pousse  à se masturber.

Sa chatte est toujours humide lors des inspections, et la surveillante lui donne parfois quelques tapes sur le clitoris pour mieux l'excitée.


Après le petit déjeuner et l'inspection, la prisonnière a le droit à une heure de "sortie" ou elle est libre de menottes et de chaines et libre de ses mouvement et peut prendre l'air. Un petit enclos de 10 mètres sur 10 est dédiés aux prisonniers en isolement pour leur permettre de bouger un peu. Le climat est très chaud et le soleil tape fort dès le matin, l'heure à été choisie car une partie de l'enclos et au soleil et l'autre à l'ombre.

Sabrina  est contrainte de mettre des menottes et est enchainée par les chevilles pour le transfert dans la "cours". Elle est escortée toute nue, la cours étant partie intégrante du secteur d'isolement de la prison, il est contraire au règlement de lui fournir des vêtements pour les déplacements internes à l'unité. Car l'uniforme ici c'est la tenue de naissance.

C'est assez marrant pour les gardes de faire marcher une femme sexu  comme elle dans les couloirs. Elle a très mal pris  ces obligations de parader nue hors de sa cellule dans les couloirs de la prison  durant les premières semaines, comme  le fait de devoir aller à la douche ou dans la court de promenade  à poil et à plusieurs fois refuser d'y aller. 

Elle disait dans un anglais parfait  "Vous ne pouvez pas me faire subir ça ! je ne veux pas marcher les fesses à l'air devant tout le monde et les seins exposée devant tout le monde Donnez moi des habits  !"

Mais le staff pénitencier ne transige pas avec les règles et n'a que faire de ses humeurs.

L'equipe est assez dirons nous assez taquine et certains prennent un malin plaisir à utiliser la nudité de Sabrina  pour lui causer encore plus de gêne et de honte. Sous prétexte de perquisitionner sa cellule, la détenue a été sortie de sa cellule pour être conduite dans une pièce ouverte ou tout passants peu la voir en tenue d'Eve.

Faire parader toute nue une femme et faire plein de remarques et commentaires salaces sur son corps fait rire et amusent le personnel du camp.


Elle s'est petit à petit habituée à être sans aucun vêtements. Elle marche désormais tranquillement et la nudité lui paraît tellement naturel qu'elle est conduite à la récréation sans soucis.


Une fois dans la cours, ses menottes et chaines sont défaites, et elle est libre de ses mouvements, elle court un peu pour se décrasser les jambes, puis elle fait quelques séries de squats, des exercices de mouvement de bassins, d'épaules, puis elle pratique des étirements.

Puis elle se met à danser nue, comme si elle était toute seule, les surveillantes savent que ce comportement est suspect, car lors de ses mouvements, ses mains se rapprochent dangereusement de sa poitrine et de son vagin. 

Ensuite elle est conduite à la salle de douche. Elle est particulièrement surveillée pour soupçons de masturbation lorsqu'elle se lave. La douche est codifiée et la prisonnière  doit suivre le protocole.

Elle commence par se mouiller tout le corps, et se frotter un peu partout, puis après une ou deux minutes elle prend un carré de savon et se lave les seins, bien sous les aisselles, le ventre et le nombril, puis elle passe aux jambes et aux pieds, elle se nettoie bien les plantes et entre les orteils.


Puis elle doit passer au cul, et bien passer le savon entre ses fesses pour le faire mousser,  puis frotter pour que tout soit propre. Puis elle doit se laver la zone du vagin, qu'elle doit d'abord savonner pour qu'il y est plein de mousse, 

Puis avec le savon elle doit écarter les jambes et passer le savons partout et le faire légèrement rentrer pour bien purifier le clitoris et tout les plis de sa chatte. 

Une fois cette opération terminée, elle est invitée à se sécher et replacer en cellule.


Au alentours de 14h, deux gardes viennent chercher la détenue. Elles amènent une culotte, un haut d'uniforme de prisonnier jaune/orange et une paire de tong en caoutchouc. 

"Tiens enfile ça prisonnière, il te faut une tenue décente pour ton audience devant ton avocat , tu va voyager un peu aujourd'hui, ça te changera un peu de ton train train habituel "  lui dit une surveillante en lui tendant l'ensemble plié.

Sabrina demande "Qu'est ce que c'est ?"

"Une tenue pour circuler hors de la section d’isolement pour un entretien avec l’inspecteur des prisons.

.

La jeune  inspecte les tissus et demande "Y a t'il une robe aussi et un foulard ?"


"Non pas aujourd'hui, nous n'en avons pas en réserve, enfile ça qu'on y aille."

"J'aurai besoin d'un pantalon c'est trop court comme tenue pour moi" redemande la captive.

"Nous n'avons que ça à te donner comme vêtements, c'est la tenue de prisonnières standard des prisonnières de l'armée américaine dans les pays et région chaude."

Elle met donc  la culotte, puis le haut avant d'enfiler les claquettes, les gardiennes lui mettent des chaines aux pieds et des menottes dans le dos.


La prisonnière  a de trop grosse fesses et elle est un peu serrée dans sa tenue moulante, elle se demande si être promenée toute nue n'est pas mieux ... 


Elle est toujours gênée d'être en petite culotte, mais c'est toujours mieux que les obligations de parader à poil  auxquelles elle  soumise la plupart du temps.

L'un des gardes lui met ensuite les menottes dans le dos et lui met des chaînes aux chevilles. 

Sabrina  est conduite manu militari vers une autre partie de la prison pour l’entretien. Lors de la sortie du secteur d'isolement, et donc son passage sous la  responsabilité de l’inspecteur. Il décide de lui faire retirer ses chaînes et menottes. Elle le remercie en anglais et  lui demande si elle peut avoir une robe ou un pantalon et se couvrir la tête pour rencontrer son avocat. 

Hors de la section d’isolement le staff est plus amical avec les prisonniers et après deux minutes d’attente une soldate US à accepter de lui prêter une robe, certes c'est pas une robe arabe, mais Sabrina l'a prend quand même, et je lui donne une casquette car impossible de trouver un foulard en quelques minutes.
Elle le remercie même si il ne peut pas faire beaucoup plus pour elle. Ce qui est sûr c’est que le ministère de La Défense et la direction de la prison seront prévenus de la situation.



L’entretien avec son avocat dure seulement 10 minutes quasiment chronométré et en présence d'un membre de la police militaire. Ensuite elle doit retourné en cellules.

Le règlement est très dur en isolement, Sabrina  a encore été obligée de retirer ses vêtements devant des hommes et des femmes.
Lorsque l’inspecteur a 
 raccompagné  la prisonnière,  , deux gardes l'ont prise et escorter jusqu'à sa cellule, ou ils se sont arrêtés en face. Elle reçut l'ordre de rester immobile face au mur pendant que ses chaînes et menottes lui sont ôtées.


Les surveillants lui donnent pour consigne de se déshabiller en anglais et dans un Arabe approximatif.

Les déshabillages se font toujours dans les couloirs et en public, jamais dans les cellules dansce secteur.


Elle défait les tongs et pose ses petits pieds nus  sur le sol de façon gracieuse. Elle est comme beaucoup de femmes des pays chaud tout le temps pieds nus et prend très soin de ses petons.

Elle remet aux gardes sa casquette pour découvrir sa belle chevelure noire.
Résignée, elle enlève ensuite la robe qu'on lui avait offerte et apparaît en petite culotte devant les gardes exposant ses seins ronds et bien tendus .

"La culotte, allez donne là !" Dit le garde en haussant le ton tout en restant ferme, mais non-violent.
La jeune femme  prend une voix mignonne et suppliante pour demander dans un Anglais "please" S'il vous plaît, je voudrais garder la culotte, je vous promets que je ne cache rien".

Tu connais les règles ic, n'y vois rien de personnel, mais ici les détenus n'ont pas le droit de porter de vêtements en cellule. Tu aura droit à la culotte et au t-shirt essentiellement quand tu en sort.

Le garde ajoute que les hommes et les femmes qui arrivent ici sont tous soumis aux mêmes règles édictées par l'armée américaine. Les quelques femmes ici n'ont pas de vêtement. Alors donne nous cette culotte.

La prisonnière , résignée, baisse sa culotte et l'a laisse tomber à ses pieds, toute rouge et en colère elle donne un coup de pied dans sa culotte qui s'envole dans le couloir. "Voilà je suis toute nue vous êtes content !?" hurle t'elle.


Sabrina  se tient devant les gardes à poil, provocante avec un air de défiance, l'air de dire qu'elle s'en fiche et qu'elle n'a rien à cacher.

Les gardes procèdent à une brève fouille en lui faisant ouvrir la bouche et regarder à l'intérieur avec une lumière, remuer les orteils, ils l'a font s'accroupir tousser et écarter les fesses devant eux. 

Nudité forcée et enfermement dans une petite cage
Prisonnière nue dans une cage.


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Prison de haute sécurité.


Ça

Cambriolage par des perverses lesbiennes.

 

Nue et soumise lors d’un cambriolage bdsm
Blonde soumise est humiliée par des lesbiennes dominantes.

Le nouveau type de cambriolage par des gangs de lesbiennes.


L’une des nouveautés est l’apparition d’un gang de femmes lesbiennes qui pratiquent des cambriolages très particulier : ces délinquantes ne se contentent pas de simplement voler les gens et leur dérober leurs biens : elles exploitent sexuellement leurs victimes pendant plusieurs heures avant de disparaître.


Les victimes sont en générale des jeunes femmes qui vivent seules âgées entre 20 et 40 ans de toutes origines et de toute confession qui vivent dans des maisons de quartiers résidentiels.


Les jeunes filles sont généralement surprises chez elles et rapidement ceinturées et maîtrisées. Les ravisseuses sont de très bonne lutteuses et combattantes d’après les témoignages de qui laissent que peu de chance aux femmes de se défendre.


Sarah, une jeune femme blonde de 28 ans en a fait la triste expérience. Les délinquantes l’ont dompter et malgré ses tentatives pour résister et ses débats, elles l’ont dominé et mise totalement nue !!!


Elles lui ont même retirés ses chaussettes pour la mettre pieds nus !


Une fois la victime à poil les lesbiennes lui impose des tas de petits sévices sexuels comme l’obliger à danser toute nue sous leurs rires moqueurs. L’a faire marcher à quatre pattes comme une chienne en dog training, lui donner des fessés et lui frapper et claquer les seins en lui tordant les tétons.


Une fois bien excitées les dominantes doigtent et introduisent des doigts dans le cul de leur soumise blonde.


La blonde est aussi obligée de lécher les orteils de ses maîtresses, de leur lécher l’anus et la charte longtemps jusque à ce qu’elles soient satisfaites.

Humiliation d’une femme lors d’un cambriolage qui tourne mal
Capture nue d’une soumise blonde aux gros seins.





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Bourgeoise kidnappée nue

Bourgeoise blonde nue et victime d’un kidnapping
Femme nue  victime d’un gang Bdsm 

 Le kidnapping de Sophie.

La presse locale dans cette petite région de province nous apprends que plusieurs femmes de milieux aisés sont régulièrement kidnappées par des groupes criminels organisés en échange de rançons.


Sophie, une femme française, de race blanche, et  blonde  âgée d’environs 30 ans, cadre dans le siège sociale  d’une banque de la localité est la dernière victime d’une série de kidnapping.


Une organisation mafieuse serait derrière ces agissements néfastes et la police serait débordée. Certains parlent même de corruption et d’une certaine complicité des autorités.


Sophie a été capturée en rentrant chez elle après le travail. Ses ravisseurs l’ont bâillonnée et attachée avant de la jeter dans le coffre d’un gros SUV.


La victime est transportée dans une grande villa, sûrement l’une des bases de la mafia.


Par sadisme et pour assoir sa domination sur les captives l’organisation utilise des méthodes musclées pour faire en sorte de rendre les prisonnières dociles.


La plupart des victimes ont honte de témoigner et peu osé raconter leurs conditions de détention tellement les délinquants sont pervers et vicieux.


Sophie est mise complètement nue et ses vêtements détruit car elle s’est débattue lors de sa mise à nue, sa montre et ses objets de valeurs sont eux voler et revendu sur le marché noir.


Les victimes sont toujours retrouvées nues, souvent relâchées en forêt ou même parfois en centre ville totalement à poil.


Sophie est gardée sans aucun vêtements et placée dans un petit cachot au fond d’une cave.


Elle se fait prendre en photo nue dans des postures humiliantes et dégradantes qui sont envoyé aux autorités pour faire pression sur son entreprise et sa famille pour les contraindre de payer plus rapidement.


Les ravisseurs imposent aussi à la victime des petites tortures sexuels de type BDSM (Bondage, Domination, Sado Masochisme).


Sophie est mastubee  en permanence par ce gang qui lui impose des orgasmes forces jusque à l’épuisement, elle se prend même tellement de doigt dans le cul qu’elle a développer une passion pour la sodomie.


Ces séances de tortures sont parfois filmées pour faire pression.


Elle est aussi contrainte de sucer les chattes et les pieds des femmes qui la détiennent qui sont de vrais lesbiennes perverses et les bites de ses geôliers.
 

Elle est fessée, forcer de chier et de pisser devant tout le monde,  ses seins sont tripotés  et tortures et elles est attachée dans des positions humiliantes par des maîtres du bondage qui la baise dans des positions qu’elle n’aurait jamais pu imaginer.


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vendredi 14 mai 2021

Préparation aux interrogatoires musclés en prison

 

Femme prisonnière nue et exhibée
Femme exposée nue dans les couloirs de la prison en guise de punition.

Nudité forcée et humiliation en prison.


Durant les années 2000 à 2010 les Etats Unis au nom de la lutte contre le terrorisme et la promotion de la démocratie et des droits de l'homme ont mener plusieurs guerres sur plusieurs front et avec la loi appelée "Patriot Act" qui permet aux forces américaines (armée et renseignement) de détenir des personnes hors de tout cadre légale et sans respecter les conventions de Genève.


Le président et le  secrétaire d'état à la défense ont autorisé les des techniques d'interrogatoires comportant des  méthodes de coercitions physiques et psychologiques dont certaines sont considérées comme formes de tortures et des sévices infamants. Ces moyens sont utilisés contre les personnes considérée comme ayant une valeur  en terme de renseignement et sont applique de façon systématique.


Zahia, environs 30 ans, une femme d'affaire proche du régime de l'ancien dictateur renversée par les Etats Unis dans un pays du moyen orient a passée 6 mois en détention dans une prison militaire entre les mains des américains avant d'être libérée.


Elle affirme avoir été victimes d'abus et d'humiliations durant cette période.


"Lorsque nous arrivons après plusieurs heures de voyage dans des fourgons militaires sur le site dure de la prison d'Abou Ghraib, nous sommes avec une cagoule sur la tête  et menottés, ils nous conduisent dans une grande salle ou nous devons nous déshabiller, c'est encore pire pour nous les femmes car on nous apprend l'importance de la modestie et de la pudeur dans notre culture, et eux nous déshabille en public. On se retrouve dépouiller de tous nos vêtements et ils nous fouille vraiment partout même juste entre nos orteils et dans nos anus et vagin avec des chiens qui nous reniflent le derrière !".


L'ancienne prisonnière se rappel de la honte ressentie la première fois : "Sans vêtements, sans rien du tout pour cacher nos corps, ils nous humilie et rigolent de nous savoir ainsi honteuses et vulnérables".


Elle continue "Ensuite nous devons marcher et défiler nues jusque dans nos cellules, c'est très choquant de devoir parader à poil devant le staff de la prison (gardien, membre de l'administration et de la police militaire) autres prisonniers hommes et femmes qui sont pour l'immense majorité d'entre eux gardés nus. Les américains disent qu'il fait chaud alors il n'y a pas besoin de porter des vêtements, et que de toute façon ils n'ont pas beaucoup d'uniforme de prisonnier."


Zahia ajoute "Les cellules sont en béton et totalement vides et sans lumières".


"La journée pour m'humilier ils m'ont attachée pendant plusieurs heures totalement nue sur le poteau au milieu du couloir de la prison  dans des positions dégradantes et exposée à la vue de tous".


C'est en général le processus utilisé par les autorités de l'armée pour préparer et ramollir les détenus en attendant les interrogatoires.


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La prison des soumises.


Nudité et pressions psychologiques.




mardi 11 mai 2021

Prisonnière nue en cellule de prison (article de presse).

 

Prisonnière nue en prison après la fouille au corps.
Femme nue derrière les barreaux de sa cellule et sa gardienne en uniforme.

Gardée totalement nue en cellule.


Dans cette région du Texas, le commissariat local est suspecté de pratiquer systématiquement des mauvais traitement sur les femmes de toutes origines et de toutes religions âgées entre 20 et 45 ans. En effet lorsque la police régionale arrête une femme, souvent pour des raisons futiles comme un défaut d’assurance, une étrangère pour de pseudo problèmes de visa, ou pour des accusations de tapage nocturne et toute autre prétexte assez léger pour justifier une garde à vue. Les femmes sont retenues automatiquement dans les locaux du poste le temps des vérifications qui peuvent parfois prendre jusque à 48 heures.

Plusieurs incidents impliquant des déshabillages humiliants, des fouilles poussées et de la nudité forcée  sont rapportés par plusieurs femmes.


Selon les rapports 100% des femmes sont soumises à des fouille à nu avec inspection des cavités les plus intimes.
Leila, une jeune femme de 26 ans affirme avoir été contrainte de se déshabiller devant une policière qui l’a fait se mettre toute nue et lui à imposer une fouille anale et vaginale ainsi que des poses humiliantes et dégradantes comme devoir faire des flexions (squats) à poil pour vérifier qu’elle ne cache rien dans ses trous intimes.
Elle a ensuite été placée nue dans une cellule ouverte à la vue de tous pendant 24 heures , sans aucune possibilité de se couvrir des passants. Sa cellule étant en effet visible depuis l’extérieur.
De plus la jeune femme a dû défilée sans aucun vêtements dans les couloirs du commissariat pour se rendre dans la salle d’audition ou pour y rencontrer s’il avocat qui a été très choqué de découvrir sa cliente à poil.

Les autorités policières affirment de leur côté que les fouilles sont nécessaires pour assurer la sécurité de tous et pour les besoins de l’enquête. Quand au fait de garder nue des femmes en garde à vue, tant l’excuse choisie est l’absence d’uniforme de prisonniers par manque de moyens ou par le fait que certaines détenues seraient suicidaires et que le retrait des vêtements est nécessaire dans ces cas là.

De plus les autorités considèrent que même si ça peut lettre un peu à mal la pudeur et la dignité des femmes, les forcer à se mettre à poil n’est pas quelque chose de si grave.
  

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lundi 10 mai 2021

Sévices et humiliations sexuelles envers des prisonnières.

Nudité force en prison
Prisonnière nue derrière les barreaux de sa cellule.


Les gardes ont pour consignes de dégrader et d’humilier les femmes en prison.


Plusieurs ONG et avocats dénoncent le traitement fait aux femmes détenues dans des prisons sous contrôle de l’armée américaine en Amérique latine et au moyen orient. Le département d’état a La Défense à décider que les détenus de hautes valeurs ( c’est à dire grand trafiquant de drogue, terroristes, opposants) doivent être exemptés du respect des conventions de Genève et garder en détention tant que l’administration estime qu’ils représente une menace pour la sécurité nationale Us.

Des femmes âgées entre 20 et 45 ans sont gardés en captivité sur plusieurs camps de prisonniers et des témoignages parlent de sévices systématiquement imposés aux détenues.

Le renseignement militaire d’une de ces prisons aurait donner pour consignes aux gardiens en vue de « ramollir »  et rendre plus coopérative les prisonnières de les traiter de la façon suivante :


Nudité forcée : les femmes doivent être fouillées lors de la procédure d’accueil,  ce qui implique de les faire se déshabiller entièrement nue et de vérifier leurs effets personnels, vêtements, et leurs corps dont leurs orifices naturels tels que l’anus et le vagin.

Le but en dehors de s’assurer qu’elles ne dissimulent rien de dangereux ou d’illégal est de les humilier et de leur faire prendre conscience de leur place.

Rien n’est plus humiliant pour des femmes respectables et honorables que de devoir retirer leurs vêtements sur ordre et de s’exposer nue et de devoir s’accroupir et tousser pendant qu’on contrôle son trou du cul.

De plus aucun vêtements ne doit être donné à la prisonnière tant qu’elle ne s’est pas montré pleinement coopérative ce qui fait que les détenues restes nues en permanence plusieurs semaines.


Déshumanisation : Les prisonnières doivent  être appelées par leurs numéros de matricules et elles doivent appeler leurs surveillants et le staff «  Monsieur ou Madame ».

Humiliation : les prisonnières peuvent être traitées sans aucun respect pour leur pudeur et pour leur dignité. Les gardes doivent les faire marcher comme si elles étaient des chiennes et les tenir en laisse (pet girl), les faire mettre a genoux, les attacher et exposer à poil en public, les forcer à se masturber en groupe les unes devant les autres etc.

Exhibition : Les femmes nues doivent être filmées et prise en photos avec des menaces de diffusion à leurs familles et leurs entourages, moyen pratique de faire des pressions psychologiques pour les faire parler. Les mises à nu publique sont recommandées.


Pisser et cracher sur les soumises.


Travaux forcés et domestiques : faire faire aux prisonnières toutes les tâches ménagères et les corvées du site de détention.


Humiliation et sévices sexuels envers une détenue nue.
Femme humiliée sexuellement en prison par les gardiens.


Liens :


La prison des soumises.