mercredi 26 mai 2021

L'arrestation et l'interrogatoire d'une femme.



Toute nue, une détenue forcée de parader à poil.
Femme prisonnière escortée nue par un garde.

Une prisonnière soumise à des méthodes d'interrogatoires renforcés.


Une femme prisonnière se souvient de la honte et de l'humiliation qu'elle a ressentie lors de son passage en prison dans la partie d'une prison réservée aux "détenus de haute valeurs". C'est une détenue âgée d'environs 35 à 40 ans, c'est une cadre de la grande banque nationale qui a été arrêtée par l'armée américaine lors d'une opération de ratissage dans son quartier. La prisonnière étant une personnalité importante liées au ministre des finances en fuite, le service de renseignement US a décider de transférer cette prisonnière à Abou Ghraeb, une prison sous contrôle militaire des Etats Unis dont une aile est dédiée  pour les prisonniers importants (insurgés, ancien responsable du régime déchu, terroristes etc.).


Zahia est économiste de formation, elle est assez mure, maigre à la peau blanche et brune. Elle possède un doctorat en science économique et financière, ce qui lui a permis d'obtenir un poste important dans son pays malgré qu'elle soit une femme. C'est une femme respectée qui donne aussi des cours à l'université aux étudiants en plus de ses responsabilités. Elle porte en général des tenues strictes er porte un châle sur les cheveux par respect des traditions. 

Si son arrestation s'est déroulée sans incidents et dans de bonne conditions, son arrivée  et son séjour dans la sinistre prison lui reste comme une très mauvaise et traumatisante expérience.


Zahia est transférée par hélicoptère, puis amenée dans les locaux en dur du site du camp de prisonnier. Elle remplit d'abord divers documents administratifs avant d'être conduire dans la pièce d'admission de l'aile de la prison destinés aux détenus sensibles.


Quatre femmes en treillis militaire et portant des bottes rangers, toutes sont très athlétique et très costaud et beaucoup plus grande que Zahia qui n'a aucune chance de pouvoir leur résister physiquement car elles sont toutes bien trop fortes et puissantes pour elle.


Zahia reçoit l'ordre de se déshabiller complètement pour la fouille et la confiscation  vêtements civils et des effets personnels. 


Elle proteste mais elle se prend rapidement un strict  rappel à l'ordre qui lui explique que "Ici les prisonniers doivent suivre nos règles, les hommes et les femmes doivent retirer leurs vêtements sans exception avant de pénétrer dans le lieue de détention. La nudité est habituelle."


"Vous ne pouvez pas faire ça" crie Zahia en anglais.


Les gardiennes rigolent et répondent "Si nous le pouvons et nous le ferons".


"S'il vous plait je vous en supplie ne faite pas ça." reprendre la détenue.


"Pas d'inquiétude c'est la procédure ici ça ne prend pas beaucoup de temps." répondent les militaires, même si pour la prisonnière ça parait une éternité.


Zahia doit retirer son foulard qu'elle porte  sur les cheveux plus par tradition que par conviction. Elle retire ensuite ses chaussures.


La captive demandent ensuite si elle peut être fouiller par dessus ses vêtements, les américains disent "Non, il faut se dévêtir totalement" .


Zahia retire sa jupe et ses collants qui sont placés sous scellés par les gardiens. La prisonnière comprend qu'elle ne pourra bientôt plus rien cacher. C'est ensuite au tours de son chemisier d'être aux mains de ses geôliers.


Zahia panique car elle n'a plus que sa culotte et son soutien gorge. Elle pleure et demande qu'on lui laisse ses sous vêtements, et elle demande "pourquoi devoir se mettre nue ?"


Les gardes répondent que c'est "la procédure habituelle pour les détenus, pour des raisons de sécurité et de discipline et parce que ceux sont les ordres."


Zahia est mortifiée et retire le reste de ses vêtements pour être intégralement nue. Le sentiment de honte est palpable et elle se sent déshonorée et dégradée. Elle est complètement exposée, ses seins, fesses, et sa chatte sont visibles, sa nudité n'est pas seulement physique, elle est aussi émotionnel et elle se sent dépourvue de toute protection.

Une gardienne prend une lampe et enfile des gants en caoutchouc pour d'abord palper la tête et la chevelure de Zahia, lui vérifier ses oreilles, son nez, sa bouche, et même sa dentition et sous la langue. La surveillante pénitentiaire vérifie même le fond de sa gorge. Elle vérifie aussi sous ses seins et ses aisselles on l'a forçant à sautiller toute nue. Ses seins étant petits l'opération se passe vite. 

L'humiliation ne s'arrête pas là, Zahia doit écarter les jambes pour qu'une gardienne vienne fouiller son intimité.  La surveillante introduit ses doigt dans le vagin de la détenue tout en lui titillant le clitoris pour provoquer de la gêne et de l'excitation forcée. Puis c'est au tour de l'anus d'être vérifié, on lui écrase fortement les fesses et un doigt lui rentre dans le trou du cul.


La prisonnière est très humiliée, pour finir les surveillantes luis inspectent aussi le nombril, les orteils et les plantes des pieds. Elles l'ont fouiller de vraiment partout. 


Après la fouille, la femme est enchainée aux chevilles et menottés comme dans toutes les prisons de haute sécurité US.


Zahia est entrainée hors de cette salle sous escorte tout en se sentant très humiliée tant par l'inspection qu'elle vient de subir que par le fait d'être promener nue dans les couloirs.


Personne n'a l'air de trouver étrange la nudité de la prisonnière ici. Les gardiens et gardiennes l'ignorent pour la majorité d'entre eux tellement voir des captifs à poil est fréquent ici car seul les prisonniers se montrant coopératifs et ayant donner des informations sont autorisés à porter des vêtements. Le chemin vers la salle d'interrogatoire est très long pour la prisonnière pudique qui est visible par tout le monde, les prisonniers hommes peuvent la voir ainsi, quelle honte pour elle.


La salle de travail (des interrogatoires) est très crainte, Zahia étant une femme importante et à protéger, elle ne peut pas subir de violences, ni aucunes tortures physiques ou coups, mais par contre les agents de la CIA lui impose une technique spéciale visant à forcer la détenue à avoir de multiples orgasmes jusque à ce qu'elle parle.


La détenue est allongée nue sur une table les jambes écartées  le corps exposé a ses geôliers.  Des interrogateurs hommes et femmes pour la première fois ont fait découvrir à la prisonnière qu'elle peut jouir plusieurs fois de suite par des coups de langues féminines répétées sur la chatte, des godes et des doigts dans la chatte et l'anus, des pinces aux seins.

Après chaque orgasme, la détenue est invitée à parler et à tout avouer avant qu'on en déclenche un second.


Nudité et honte pour les femmes prisonnières.
Prisonnière nue et enchainée sous la garde d'un surveillant.

 

2 commentaires:

  1. Suivez ce Twit Follw this https://twitter.com/BdsmFemale

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  2. Allez, à la saillie, ton petit cul va prendre cher !

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