dimanche 21 juin 2020

Briser l'égo d'une prisonnière (Ego Down)

nudité forcée, contrainte psychique et psychologique, humiliation, et exercice physique et sportif imposé pour une détenue nue.
Une détenue nue forcée de faire du sport par les gardiens (burpees à poil).

Humiliations, nudité, mauvais traitements et sport épuisant en prison

Mouna est détenue en confinement solitaire dans une prison militaire de haute sécurité tenue par l'armée américaine. Elle a été capturée par les forces spéciales dans la région du moyen orient puis incarcérée dans le quartier d'isolement d'une des prison les plus dures du pays comparable au camp de Guantanamo bay.

C'est une femme soupçonnée de terrorisme et d'atteintes aux intérêts américains dans le monde, et l'administration US après son arrestation à choisir de la garder dans une des prisons les plus strictes de l'armée.

C'est l'une des rares femmes soumis à ce traitement réservés aux criminels les plus aguerris.

Mouna est mise à nue lors de son arrivé pour une fouille très poussée.

Ici les personnes privées de liberté sont complètement nues et en permanence. Ce règlement d'exception n'est appliqué que dans de rares prisons. L'immense majorité des prison US offre des uniformes aux prisonniers, mais ici de par la caractère spécial et exceptionnel du quartier pénitentiaire, les prisonniers sont nus, et aucun objets extérieurs n'est autorisés.

Mouna doit donc rester nue, et il n'y à aucun place pour la pudeur, elle doit marcher et déambuler nue devant les gardes et éventuellement d'autres prisonniers dans les couloirs de la prison lors de ses rares sorties de micro cellule.

Elle est enfermée sans vêtements dans une très petite cellule sombre d'un mètre sur deux, toujours enchainée. Elle ne reçoit qu'une nourriture dégoutante et peu variée mais suffisamment équilibré et énergétique pour répondre a ses besoins la maintenir en bonne santé. Son hygiène et sa pudeur sont tout simplement ignorés par ses geôliers, elle doit faire ses besoins dans sa cellule et se faire sur elle même et vivre dans un odeur terrible. Elle doit souvent se soulager devant les autres et les gardiens rient et se moque d'elle de la voir ainsi rabaissée.

Elle a le droit aussi à une heure de sortie de cellule tout les trois jours. Les gardiens l'oblige sous peine de coup de fouet à faire du sport toute nue, souvent jusque à l'épuisement, devant eux. Mouna est honteuse de devoir faire des pompes, des jumping jack, des abdos, des burpees à poil sous le regard vicieux des surveillants.

Elle est en sueur, épuisée et dégradée d'être humilier de la sorte.

Mais c'est sa routine pour les mois à venir, ses avocats ayant déposer une requête devant une juridiction pour la transférée dans une autre prison.


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Filles en pensionnat (foyer)

vendredi 19 juin 2020

Esclavage domestique et sexuelle BDSM des femmes

femme chienne toute nue sans pudeur s'exhibe devant le maitre.
Humiliée et transformée en chienne, cette esclave n'a plus de dignité.

De la condition de femme esclave.

Certains pays et certaines régions du monde conserve malgré tout des traditions d'esclavage marquée impossible à effacer. C'est le cas dans cette région de l'ancien empire Ottoman ou l'asservissement des femmes en particulier persiste en dépit de la modernité.

Les grandes familles et les bourgeois locaux pratiquent encore et toujours la traite des femmes et se fournisse sur le marché international. Les femmes esclaves sont en général réduite à ce statut suite à d'importante dettes et doivent servir en esclavage plusieurs années le temps que ces riches familles puissent rembourser les créancier. Elles ont un statut d'humain non libre, personnes ne peut toucher à leur intégrité physique (hormis pour les correction légères), mais elles ne seront libérer qu'a la fin de leur contrat d'esclave dont la durée varie en fonction de leurs anciennes dettes.

Sinon des femmes volontaires sont aussi parfois réduite en esclavage, avec des contrats plus court, certains hommes aussi place leurs femmes ou leurs filles chez ses familles pour les éduquer et en faire des femmes plus dociles.

Nous avons ici dans notre reportage fait la rencontrer d'une esclave  métisse d'origine britannique, Clarissa, transformée en esclave pour 5 ans à cause de trop de crédit non honorés à Londres.
Les esclaves sont nus, totalement (en général le climat est chaud donc ça ne pose pas de soucis particulier).

Les vêtements de Clarissa ont été détruit à son arrivée, elle s'est assez vite habituée à la nudité complète qui symbolise son statut d'esclave. Elle a perdu toute pudeur et tout envie de cacher son corps après un dressage.

Elle est au service domestique et sexuelle de ses maitres, elle y a developper sa bi sexualité et se fait régulièrement soumettre par des hommes et des femmes qui ont accès à tout ses orifices. Elle effectue aussi le ménage, la cuisine et les corvée nue, et peut être baiser ou enculer à tout moment.

Elle a appris a mieux sucer et mieux lécher, son anus à force d'être sodomisé est devenu plus souple et elle a développer un gout pour la sodomie qu'elle n'imaginait même pas.


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Vidéo d'une esclave ménagère

mercredi 17 juin 2020

Prison de haute sécurité et prisonnière nue



Obligation d'être nue en permanence et enchainée pour des raisons de sécurité dans cette prison américaine.
Détenue nue et enchainée en cellule de prison.

Prisonnière nue et enchaînée dans sa cellule de prison.

Ici nous sommes dans  l’une des prisons pour femme  les plus dures des États Unis qui accueille les prisonnières les plus dangereuses du monde. On y trouve des meurtrières, des trafiquantes de narcotiques, des terroristes, des dangereuses empoisonneuses etc.

Cette section particulièrement attire note attention puisque les femmes y sont gardées totalement nues et enchaînées en permanence. Officiellement pour des raisons de sécurité.

Nous remarquons,  Sana, une détenue française d’origine arabe  incarcérée ici depuis 8 mois pour des faits de terrorisme international. Les forces armées américaines l’ont capturé sur un champ de bataille du moyen orient avant de l’a transférée ici aux États Unis. 

Lorsque nous arrivons Sana vient juste de rencontrer son avocat, et les gardiens l’escortent pour la ramener dans sa cellule. Ici lorsqu’une détenue a une visite ou un parloir, et qu’elle doit aller dans une autre section de la prison, on lui remet en générale temporairement  une culotte, et une tunique orange de prisonnière ainsi qu’une paire de tongs en plastique. Mais elle doit se déshabiller avant de rentrer en cellule comme le prévoit le règlement.

C’est la première fois que cette femme porte des vêtements depuis qu’elle est ici, comme c’est une prisonnière suspectée de terrorisme, elle n’a pas eu tout de suite droit à un avocat , ni de visites lors des premiers mois.

Lors de son arrestation en territoire étranger par commando des forces spéciales, elle n’a pas penser qu’elle serait extradée en Amérique pour soupçons  complicité dans des attaques contre des intérêts américains.

Après un passage dans des camps militaires, elle est envoyée sur décision de la justice aux États Unis. Depuis le départ de Bush, la prison de la base  Guantanamo bay a Cuba n’accueille plus de nouveaux prisonniers, et les femmes sont incarcérées dans les prisons les plus sécurisées du pays. Elle attend son procès.

Le jours ou Sana est arrivée ici, elle s’est fait mettre nue de force par les gardes après avoir refuser les ordres de mise à poil pour la fouille, une partie de ses vêtements ont été déchirer et détruit pendant l'opération. Donc les gardes sont très attentifs et sur le qui vive lors de cet opération.

Sana vit nue et enchainée comme les autres prisonnières dans sa petite cellule vide d'isolement, car c'est ici une prison de haute sécurité et tout objet extérieur est strictement interdit.

Ses premières semaines étaient difficiles, mais elle s'est habituée a être à poil en permanence et a devoir exposer son intimité sur ordre à n'importe quels moment car ici il n'y a pas de place pour la pudeur ni la dignité.

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Strip Search and mandatory nudity


lundi 15 juin 2020

Le traitement des femmes à la prison militaire

Nudité forcé, non respect de la pudeur en prison pour femme.
Nudité et humiliation d'une prisonnière à poil.

Une prisonnière nue et dégradée en détention

Une femme ayant probablement  une position importante dans l'ancien régime que les militaires américains viennent de renverser vient d'être arrêtée lors d'une opération de ratissage de l'armée dans un quartier hostile à la coalition.

Elle est probablement une apparatchik de l'ancien gouvernement aujourd'hui en fuite et recherché. C'est une femme respectable, riche et haut placée, l'épouse ou la cousine d'un ministre important, les américains ne savent pas encore très bien sa place et son rôle mais vont le découvrir grace à des méthodes d'interrogatoires renforcés.

La détenue est considérée comme étant de "haute valeur" et est transférée dans une prison comportant une aile dédiés à ce type de prisonniers. Le fait d'être une femme ne change rien à ce qu'elle doit subir. Des témoins affirment que dans cette partie de la prison, des fouilles très strictes et intrusives sont imposées à tout le monde, même aux femmes.

Des témoignages glaçants.

Un témoin ancien détenu nous signale que :

"Lorsque un nouveau détenu arrive ici, les gardes US le font déshabiller, de gré ou de force pour la fouille qu'ils appellent "strip search" and "cavity search" qu'ils imposent aux prisonniers. Une femme a été soumise à ça, et elle a du se dénuder devant des gardes hommes."

"C'est une femme d'environs 35 ans, bien habillée à l'occidentale, mais ils l'ont obligée à se déshabiller et menacer d'utiliser la force comme ils font avec les hommes. Ils n'ont aucun respect pour son rang ni sa pudeur de femme, c'est une honte." dit il en s'énervant.

Pour les autorités américaines, les fouilles à nu avec examens des orifices intimes sont une pratique routinière visant à garantir qu'aucune arme ou objet illicite soit introduit en détention. Les standards et procédures sont les mêmes que dans les prisons américains de moyennes et haute sécurité qui nécessite le retrait des vêtements pour l'inspection corporel et l'examen des parties intimes.

Bien que le nombre de femmes soit limité, les quelques détenues sont soumises à ces procedures.

On a ordonner à la prisonnière de vider ses poches, de donner ses bijoux, sa montre, ses boucle d'oreille, son argent liquide, ses papiers et ses cartes, et tout à été mis sous scellés et conserver dans une consigne conformément aux règles de bases.
La femme est ensuite déshabillée, les gardes explique qu'ici tout le monde est inspectés et fouillés, hommes, et femmes, pas d'exception, et que c'est la règle, que les gardiens ne font que leur travail, et qu'en cas d'absence de coopération, la prisonnière est dénuder de force.

Ella n'a pas le choix et retire ses vêtements, et ses chaussures, de beaux escarpins de luxe. Arrivé aux sous vêtements elle demande si elle peut au moins les garder. On lui répond strictement que "Non, la nudité totale est exigée ici".

Nue et pieds nus devant ses geôliers, elle tourne sur elle même sous les regard des surveillants qui scrutent tout les détails et signes distinctifs tels qu'un tatouage, piercing (qui doit etre ôter obligatoirement) , cicatrices, traces d'opération chirurgicale, tout est noté dans le dossier de la prisonnière.

Ensuite c'est une inspection de la têtes aux pieds. Tout y passe.

Les cheveux sont minutieusement controlés, ainsi que les oreilles, la bouche le nez et le nombril. Ses seins sont palper et ses aisselles aussi.

Elle doit aussi lever ses pieds pour un contrôle de la voute plantaire et un garde lui examine les orteils.

Elle est aussi forcée de sautiller nue et ses seins bouge, ainsi que de prendre des postures de squats et de tousser très fort pour s'assurer qu'elle ne cache rien dans son vagin ni dans son anus.

Pour finir elle a droit a un doigt gantés et lubrifié dans le cul et un autre dans la chatte.

Nudité forcée et humiliations.


Elle est ensuite gardée nue, car ici selon l'ancien prisonnier qui a accepter de témoigner "Les américains gardent les prisonniers nus en permanence, sauf ceux qui parlent et coopèrent avec eux. Ils l'ont escorté nue jusque dans sa petite cellule en riant, ils aiment rabaisser les femmes, elle marchait pieds nus et était exposée totalement aux hommes !"

Le retrait des vêtements serait une technique utilisé par la police militaire chargée des interrogatoires, qui aurait elle même ordonner aux surveillants de garder les prisonniers nus et de ne pas leur remettre de vêtements et leur faire du chantage.

Certains militaires reconnaissent de façon non officielle pratiquer comme technique d'interrogatoire la nudité forcée, méthodes selon eux très efficace et facile à mettre en oeuvre pour adoucir les détenus et obtenir des informations.


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Le camp de prisonnière.




dimanche 14 juin 2020

Jeux pervers avec une étudiante arabe voilée

Superbe cul d'une fille voilée avec de jolis pieds nus.
Il se branle sur les fesses et les pieds de la beurette.

Une chaude arabe s'exhibe et rend fou les mecs

Lamia 22 ans est une étudiante arabe d'origine marocaine, elle est musulmane très pratiquante et porte le hijab.
Lors d'une après midi pendant le confinement dans une cité étudiante, elle décide de jouer un peu avec les autres.

Ils font une partie de poker et d'autres jeux de cartes, Lamia est nulle à ce type de jeux, elle ne sait pas y jouer, et donc elle perd et doit réaliser des gages plus ou moins difficiles.

Lors de ce type de jeux en milieu estudiantin, le strip poker est un classique, La jeune musulmane perd et tout donc retirer ses vêtements (sauf son hijab car elle a le droit de cacher ses cheveux , l'université est un lieu de tolérance et de liberté d'expression).

Les participants sont d'accord et respecte sa liberté, après tout si pour elle les cheveux font partie de l'intimité, c'est quelque chose à respecter. Mais pour le reste des vêtements elle est soumise à la même règle que les autres.

Lamia perd et retire ses vêtements l'un après l'autre, elle échoue quasiment à chaque tours et est la première à retirer ses habits. Elle retire d'abord ses tongs, il fait relativement chaud et elle est pieds nus, mais ses petons sont très sexy et font deja bander les mecs.

Au second tours elle retire sa veste, puis elle se voit contrainte de retirer son jean, elle ne porte plus qu'une tunique et ses sous vêtements ( et bien sur le voile). Ensuite tours après tours elle se retrouve vite nue (juste elle garde le hijab).

A la fin du jeux tout le monde est à poil sauf le vainqueur, les perdant sont soumis a des gages humiliants, comme faire de la gymnastique à poil, les filles dont Lamia doivent prendre des postures très ouvertes et exhibitionniste.

A la fin l'un des étudiants va se branler sur son cul et ses plantes de pieds et lui éjaculer dessus.


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Hijab et pieds nus


samedi 13 juin 2020

Prisonnière nue et enchainée en cellule

nudité forcé, exposition, exhibition, humiliation et chaines pour une prisonnière à poil.
Prisonnière totalement nue en cellule de prison.

Femme gardée nue en cellule


Les observateurs ont constater que les prisons tenues par l'armée américaine sont des endroits ou la dignité humaine n'est pas respectée.

L'une des choses les plus frappante lors d'une visite, est que toutes les personnes ayant été arrêtées pour liens avec l'ancien régime, ou pour soupçons d'activité anti coalition, de liens avec des groupes terroristes ou de détenir des informations dites stratégiques sont soumise très souvent à des interrogatoires renforcés très musclés et sont gardées dans des conditions difficiles.

L'une des pratiques parmi la gamme de "techniques" d'interrogatoire utilisée sur les détenus qui choque le plus les observateurs est la nudité forcée.  Plus de 90% des prisonniers étaient complètement nus dans leurs cellules, pour certains, depuis plusieurs semaines.

Une femme d'une trentaine d'année, retenue pour ses liens avec l'ancien régime (c'est une conseillères scientifique de l'ancien ministère de l'industrie) est entièrement nue dans une cellule et enchainée "pour des raisons de sécurité". Si les autorités expliquent dans un premier temps la nudité des captifs par le manque d'uniforme de prisonniers, c'est officieusement une technique de pression et de coercition psychique et psychologique utilisée par le renseignement militaire US. Pour cette femme, la direction du camp de détention affirme ne pas avoir d'uniforme féminin à lui fournir, ni de sous vêtements, et la police militaire ne l'a pas autorisé à s'habiller.

Quand un observateurs demande aux officiers ce qui est arrivé à ses vêtements civils, l'armée répond qu'ils sont interdit et qu'ils sont souvent détruit ou détérioré lors du processus d'accueil et de la fouille à corps obligatoire. Il ajoute qu'il n'est pas rare que des détenus soient déshabiller de force et aient les vêtements déchiré ou découpés.


Modèle pornstar sur la photo : Claire Dames.


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Nudité forcée pour jeune prisonnière pudique

Nudité forcée en prison  militaire (interrogatoire renforcé)
Nue, la prisonnière par pudeur tente de cacher son corps à ses geôliers.

Une femme nue en prison tente de dissimuler son intimité.


Un ancien détenue d’un centre de détention  militaire américain accueillant des prisonniers de guerre témoigne des méthodes d’interrogatoires renforcés utilisées par les services de renseignement US et assimilés à de la torture par beaucoup de pays car ne respectant pas les conventions de Genève.

Témoignage :


Cet ex rebel ayant passé plusieurs mois en captivité pour ses liens avec l’insurrection a été particulièrement touché par le sort réservé à certaines femmes, qui bien que minoritaires sont elles aussi soumises aux mêmes traitements que les hommes.

« Elle devait avoir 25 ans environs, elle s’appelait  Nadia, les américains l’ont arrêté car elle est la nièce d’un responsable de la résistance. Ils ont penser qu’elle serait une prise de choix et qu’elle détenait des informations pouvant aider à la capture de son oncle.
Lorsque quelqu’un arrive en détention, il est mis à nu pour la fouille ( strip search and body cavity search) et inspecté de la tètes aux pieds, les gardes font meme écarter les fesses et regardent avec des lampes si les prisonniers ne cachent rien dans leurs dernières.

Ils font de même avec les quelques femmes qu’ils ont entre leurs mains. Ils aiment garder les gens nus. Ils disaient qu’ils donneraient des vêtements qu’aux personnes qui coopèrent pleinement  avec eux. 

Nadia lors de sont arrivé a été forcée de se déshabiller devant des gardiens hommes car il n’y avait pas de femmes pour la fouille à corps.
C’était terriblement humiliant pour elle, qui porte habituellement des vêtements traditionnelles et qui est très pudique, et ne s’est jamais découverte devant des étrangers ni même porter un bikini à la plage.

 Elle s’est retrouvée entièrement nue et totalement exposée sans possibilité de se couvrir. Elle pleurait et suppliait les gardiens de lui laisser le droit de porter des vêtements. Mais ses geôliers lui ont fait tout enlever même ses bijoux.

La nudité forcée est systématiquement pratiquée ici, sur ordre de la police militaire qui estime cette technique simple, efficace pour ramollir les détenus avant les interrogatoires.

La prisonnière est gardée nue, ils l’avaient placée en cellule d’isolement à poil. Lorsque les militaires ouvraient la porte de la cellule, ils riaient lorsque elle tentaient de cacher ses parties intimes avec ses bras et ses jambes, surtout que connaissant sa pudeur et sa gêne, les gardes aiment imposer à ce type de femmes des fouilles intimes de façon très fréquentes pour les mettre dans l'embarras. »

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Fantasme de la prisonnière.




vendredi 12 juin 2020

Dans le camp de prisonnières Bdsm

Mauvais traitements, humiliations, mise à nue pour les femmes prisonnières.
Obligation de se mettre à poil en public devant les gardes hommes.

Se Déshabiller pour les fouilles collectives en publique.

 Dans ce camp de prisonniers, dans la section où les femmes sont détenues, les mauvais traitements et les humiliations sont monnaie courante. Dans ce pays d’Amérique latine en guerre  dirigé d’une main de fer par un dictateur appuyé par les États Unis, des images du sort imposé aux femmes dans une prison gérée par les États Unis  font scandales.

L’intervention américaine ayant pour but de protéger un régime ami favorable aux intérêts américains dans la région ( Plantations de bananes, de canne à sucre, mines de fers etc.)  doit faire face à une polémique sur le sort des prisonniers.

En effet, les personnes suspectes de liens avec l’opposition, la rébellion, les mouvements de gauches ou progressistes etc. Sont en général arrêtées sans procès pour des périodes indéterminée, souvent internés dans des camps co gérés par la CIA.

Des dizaines de femmes sont gardées dans ses camps, elles sont souvent institutrices, enseignantes, ou alors membre de la petite bourgeoisie citadine libérale, certaines sont aussi religieuses et liées à la théologie de la libération, où elles sont simplement jugées proche d’hommes membre de l’insurrection.

Ces femmes à l’origine respectées dans leur communauté d’origine sont rabaissées et dégradées dès leur arrivé ou on les force à se déshabiller complètement en publique pour des fouilles corporelles très poussées ou elles sont inspectées sans ménagement de la tètes aux pieds en passant par les cavités les plus intimes.

Elles n’ont le droit de porter qu’une tunique rayée de prisonnière et restent nues en dessous ( les sous vêtements interdits), et sont maintenu pour des raisons de sécurité les chevilles enchaînées et pieds nus.

Les gardes américains obligent régulièrement les prisonnières à ôter leurs uniformes et à s’exposer nues devant les autres pour le moindre  prétexte (fouille, contrôle d'hygiène). Des photos montrant un surveillant faisant déshabiller un groupe de femmes font scandales et mettent l’image des États Unis a mal dans cette partie du monde.

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Inquisition Bdsm Prison

Bizutage d'une réfugiée en foyer

Toute nue, les fesses écartés et l'anus et la chatte exposée lors d'un bizutage humiliant.
Une arabe nue expose sa chatte et son anus

Pensionnat pour jeunes filles et la tradition du bizutage


Une jeune femme   de 20 ans, Hana,  réfugiée de Syrie est accueillie dans un foyer pour jeunes filles qui reçoit des jeunes femmes de 18 à 26 ans. Lors des premiers jours elle est soumise aux traditionnels épreuves de bizutage.

Les éducatrices et la directrice du foyer reste silencieuses sur ce type de pratique dans l'établissement, et les supportent en sous mains pour favoriser la cohésion entre les filles.

Lorsqu'une nouvelle arrive, en général elle est bizutée le premier samedi ou dimanche car c'est à ce moment là que le plus de filles sont disponibles pour les "jeux cochons".

Il n'y a rien de bien méchant, il faut bien que les filles s'amusent et puissent se détendre un peu. Bon il y a quelques maltraitances, le bizutage commence par le déshabillage de la jeune femme, qui doit rester nue face aux filles habillées plusieurs heures voir tout le week end si la fille est jugée "trop coincée du cul", car ces rituels ont pour but de mettre les nouvelles à l'aise et les décoincer pour mieux les intégrer au groupe.

Hana est mise totalement nue malgré ses protestations en mauvais français, les filles se jettent sur elle et lui retire de force tout ses vêtements. Sa culotte est même déchirée pendant l'opération !

Ses vêtements  arabes traditionnels sont pris et mis dans un sac, elle doit rester à poil autant de temps que les filles le souhaite.

Elles lui ont vraiment tout retirer ! meme son voile et ses chaussettes ! Elle doit être totalement nue !

Elle est arabe et elle est forcée de faire la danse du ventre dans le plus simple appareil pour mettre l'ambiance dans le foyer, les filles rient et certaines dansent aussi. 
Hana doit aussi faire des choses plus salaces , comme lécher les pieds et les minous des autres filles, prendre des postures obscène et dégradantes et écarter ses fesses pour que tout le monde puissent voir le fond de son trou du cul.

Chaque fille a le droit de voir et de tripoter l'anus de la réfugiée. Hana commence vite à découvrir qu'elle est lesbienne lorsqu'elle est contrainte de se masturber devant les spectatrices , elle a toujours eux des penchants pour les filles, mais cette séance de bizutage a révélé en elle sa passion pour être dominer par des femmes.

Si les filles doivent se branler devant les autres c'est pour leur apprendre à jouir comme de vraies femmes.

Après plusieurs heures d'exhibition et de jeux pervers, Hana a droit de fumer sa cigarette, elle est encore nue car les filles préfèrent qu'elle soit en tenue d'Eve, elle qui est une coquine soumise et exhib, elle va s'amuser cette année avec les autres filles, surtout celles qui ont de véritables penchant de lesbienne dominatrice ! 

nue elle fume sa cigarette après la séance de bienvenue
Montre tes trous et tes pieds bizute !

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Pensionnat de jeunes filles, lesbiennes et humiliations

exhibition de deux lesbiennes très chaudes et sans pudeur.
Deux filles baisent et exhibent leurs anus !

Foyer pour jeunes filles et homosexualité


Deux jeunes  filles de 20 ans placées par leur parents dans un stricte et sévère pensionnat de jeunes filles sont soumises par les éducatrices et la directrice du foyer à des traitements pervers et humiliants.

La philosophie de la directrice est qu'une jeune fille pour son éducation doit gouter aux joie de l'homosexualité féminine, des caresses et de la soumission pour devenir une femme accomplie. Les pensionnaires sont donc dressées pour etre docile et etre des femmes sans complexe ni pudeur.

Les deux nouvelles découvrent vite les règles spéciales, ici les jeunes filles sont très souvent nues en publique, car la nudité entre femmes est encouragées et la pudeur réprimée. Elles ont aussi l'obligation de s'embrasser avec la langue et se tripoter et exhiber publiquement en montrant leurs chattes et anus a tout le monde.


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BDSMLR le site de micro blogging BDSM

jeudi 11 juin 2020

Nudité forcée et publique en prison

Forcer de s'exposer et de rester à poil en prison, traitements dégradants.
Des prisonnières alignées nues.

La déchéance des femmes emprisonnées


L'un des événements les plus traumatisant pour les femmes dans cette prison est lorsqu'elles arrivent, le fait de devoir se déshabiller publiquement et devant les gardes pour la confiscation des vêtements et des effets personnels et la fouille (strip search).

Si cette pratique est jugé normale par les autorités et pratiquée de façon routinière et systématique , c'est un cauchemar pour les femmes soumises à ce traitements qu'elles jugent dégradant.

Elles doivent se déshabiller complètement devant tout le monde et exposer leurs parties intimes et c'est humiliant.

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Une musulmane en hijab pour fétichistes des pieds

Pieds nus sexy d'une jeune femme étudiante musulmane en hijab qui montre ses petons.
Ella Knox pieds nus porte le voile.

Hijab et pieds nus ( et sexy)


Cette jeune étudiante arabe et musulmane qui porte le voile islamique cache ses cheveux et son corps mais nous montre ses jolies pieds.

Chez elle, la jeune femme est tout le temps pieds nus, elle retire automatiquement ses chaussures et ses bas, collants chaussettes bien qu'elle en porte rarement.

Elle est très croyante, et fière de sa culture et sa religion, mais aussi très féminine de la tête aux pieds. Dès que le temps le permet, elle porte des petites sandales, des tongs pour montrer à tout le monde ses jolies petons dont elle prend soin.

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Nue et sans gêne

Chloé Amour à poil pieds nus et très sexy
Jeune femme nue sans complexe.

Soumission et nudité 

Une jeune femme dressée et habituée à vivre nue ne ressent aucune gênes à se montrer devant les gens dans le plus simple appareil.

Cette petite brune était pudique il y a quelques mois, elle est désormais exhibitionniste et déambule à poil. Elle aime la nudité et ne supporte pas de porter des vêtements.

On est à l'aise sans vêtements, pourquoi cacher le corps d'une femme alors qu'elles sont faite pour vivre nue ?

Modèle sur la photo : Cloé Amour.

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BDSM et nudité.

mercredi 10 juin 2020

Présentation du blog

Petite présentation


Bonjour et bienvenue sur ce blog X BDSM érotique et pornographique.

Ce site est Interdit aux mineurs ( - de 18 ou 21 ans selon votre pays).

Le contenu du blog est orienté Sado Maso, humiliation et soumission de soft à hard. Vous êtes prévenus, si ce type de sexualité ne vous plait pas, passez votre chemin.

Ce blog est la suite de l'ancien https://camp-bdsm.blogspot.com , supprimé il y a quelques temps pour repartir sur des bases nouvelles.


Comme son prédécesseur, il traitera d'histoire, photos et vidéos de prisonnières humiliées et nues, de soumission à la visite médicale, de fessée punitives, de bizutage étudiant, en pensionnat ou foyer de jeunes filles, de pieds féminins (foot fetish), de nudité et d'exhibition, de récits pervers à connotation religieuses et culturels, Harem, sport nue, domination lesbienne, règlements de comptes, kidnapping, bondage, ceinture de chasteté, actualités et faits divers vicieux etc.


Je me réserve aussi le droit de publier à l'occasion du sexe LGBT (transexuelles et gays).


Bonne visite, n'hésitez pas à commenter et me laisser un message.

La visite médicale comporte un examen gynécologique et de déroule toute nue.
Exposée nue à la visite médicale gynécologique 

Quelques un de mes sites préférés :