mardi 24 mai 2022

Témoignage d'humiliations de prisonnières.

 

Des femmes prisonnières nues et humiliées dans des postures obscènes.
Deux prisonnières photographiées nues dans des postures humiliantes.

Deux femmes dégradées et humiliées en détention.


Suite aux révélations sur les actes de tortures, de sévices et d'humiliation pratiquées par l'armée et les service de renseignement dans la prison militaire américaine d'Abou Ghraib en Irak en 2004 pendant la seconde guerre du golfe. Des enquêtes menées par les autorités militaires, civiles et politiques, des centaines de personnes ont témoigné avoir vue des choses surprenante et dérangeantes.


Une jeune soldat de 22 ans, engagé dans la prison comme surveillant sans réel expérience ni formation dit avoir vue un de ses cousins de 41 ans, ancien policier texan se comporter de façon très déplacée et sans aucun respect pour la pudeur et la dignité des captifs.


Devant les enquêteurs, il raconte plusieurs choses qui nous informe sur l'ambiance de cette prison sinistre et l'état d'esprit des gardiens souvent pervers et cruels.


"Je me nomme Billy Jr Schmidt, je me suis engagé sur recommandation de mon cousin, Bobby Hart qui est l'un des accusés des sévices et qu'ont peut voir sur plusieurs photos en train d'humilier les prisonniers. Il m'a aider à obtenir un diplôme dans la sécurité et m'a expliquer que je pourrais aller dans l'armée avec ça; il m'a aider a dénicher un poste de gardien de prison en Irak près de Baghdad, le salaire et l'envie de voyage étaient intéressant pour moi.


Bobby avait été plusieurs fois poursuivis pour des abus sur des suspect et différentes bavures policières ( harcèlement envers les femmes, corruption et liens avec des trafiquants de drogues et des trafiquants de femmes et de migrants latinos, il s'en est sortie en donnant quelques pots de vin aux juges et parce qu'il détient des vidéos embarrassantes pour plusieurs hommes politiques avec des prostituées immigrées.


Ceci dit pour éviter trop de scandale, d'un commun accord, on lui a recommandé de quitter quelque temps sa ville et de restaurer son image en allant défendre la Patrie contre le terrorisme et en répandant la démocratie et les droits de l'homme en Irak. Servir sous les drapeaux ne peut que le servir et son expérience et sa réputation en matière de traitement des suspects intéressait fortement l'armée.


Une fois sur place, il a été nommé comme l'un des chefs des gardiens chargé de collaborer avec les services de renseignement. 


Les premiers jours pour moi sont de la formation, il m'a appelé pour me dire que deux suspects arrivent, a ma surprise, c'était des femmes, menottées les mains dans le dos, une mère de 40 ans environs et sa fille de mon âge, 22 ans. Elles sont comme beaucoup de femme arabes irakiennes habillées en tenue traditionnelle et voilée de la tête aux pieds, seules leurs visages et mains sont visibles. Les forces armées les ont arrêtées pour des soupçons de liens avec les rebelles qui s'opposent à l'occupation de leur pays. Pour mon cousin et pas mal de gardiens et gardiennes d'ici, c'est très amusant de disposer de personne arrêtée pour rien de concret. Mon cousin aux Etats Unis était réputé pour mettre en garde à vue des femmes sous n'importe quel prétexte et de les retenir 72 heures pour les "cuisiner".


Les deux femmes sont conduite dans une salle par Bobby et une autre gardienne, Jennifer Sanchez. C'est une métisse de père mexicain catholique  et de mère américaine blanche protestante, mais elle est complètement athée. J'imaginais qu'ils prenaient des renseignements biologique, ou des prises d'ADN. 


Il ne se passa rien de mon point de vue pendant une petite heure. Soudainement, Bobby est sortie de la salle pour se rendre probablement aux toilettes, et a laisser la porte entrouverte. J'ai pas pu m'empêcher d'y jeter un coup d'oeil et ce que j'ai vu, je ne l'oublierais jamais : les deux femmes sont complètement nues et  attachées dans des positions obscènes les fesses en l'air avec l'anus et la chatte totalement ouvertes et exposées.


Elles ont la tête elles yeux baissés silencieuses, leurs visages sont tout rouges et on peut supposer qu'elles sont totalement humiliées.


Sous le choc, j'ai du mal à estimer le temps qui s'est écoulé avant que Bobby ne revienne. Il m'a dit de rentrer dans la pièce ou sont les deux femmes dénudées.


Il m'a dit ne faire que  d'appliquer les consignes, et que "La première chose à faire quand un prisonnier arrive est de le fouiller avant de les faire rentrer dans l'établissement et de les placer en cellule. Le but est de recherche de la contrebande." Il ajoute que c'est aussi "Un moyen de faire comprendre qui est le patron et de les punir, et puis avoir un boulot qui permet de mettre des femmes nues c'est assez cool je pense que tu devrais toi aussi aimer".

Il continue fiérement  : "Vois tu, nous avons forcer ces deux prisonnières à retirer tout leurs vêtements devant nous et l'une devant l'autre, elles sont vulnérables et sans défense, exposées totalement sans avoir la possibilité de dissimuler à la vue du public leur corps et leurs parties intimes".


A ce moment là Bobby est très sur de lui en affirmant ceci comme si ce qu'il est en train de faire est  bien et tout à fait normal. Il faut savoir qu'aux Etats Unis plusieurs femmes ont porter plaintes contre lui pour des faits de harcèlements sexuels et d'humiliations. Toute les affaires ont bien sur était mises sous silence mais il me semble que les responsables ont recruter Bobby pour son expérience en matière d'humiliation des femmes.


Il sort ensuite son appareil photo pour officiellement remplir le dossier des prisonnières et officieusement pour sa collection personnelle.


Il donne l'appareil à Jennifer Sanchez, qui est en train de claquer les fesses des captives pour s'amuser, et de tripoter leurs seins et d'obliger la mère et la fille à exhiber leurs chattes lisses ouvertes l'une devant l'autre en leur disant qu'elles sont traitées comme les putes et mises à poil à poil pour divertir les gens.


Bobby se met à hurler "Maintenant nous allons prendre des photos pour nos dossiers, nous faisons ça avec tout les détenus qui arrivent ici".


La plus jeune des deux prisonnières qui parlent anglais répond en pleurant "Quoi, ne faite pas ça s'il vous plait, car nous sommes toutes nues".


En souriant Bobby leur dit que "Ceux sont les règles et les pratiques dans les centre de détention américain, nous devons faire des dossiers très précis sur chaque détenus, nous nous documentons sur leurs visages et leurs corps pour plus de sécurité et une meilleur identification".


Bobby lance une salve de photos des deux femmes encore à quatre pattes les fesses en l'air.


La mère tentant de protéger sa fille dit toujours en anglais "C'est moi que vous voulez laissez la partir et remettre des vêtements".


Bobby en prenant des photos lui répond que les deux femmes sont détenues par les Etats Unis et qu'il ne peut pas les laisser partir. Ensuite "Détache les Jennifer je vais prendre des images de leurs visages et de leurs poitrines". Ils prend ensuite les seins, les chattes , les fesses avec l'anus ouvert, les pieds nus des prisonnières sont aussi photographiés.


Ensuite Bobby et sa complice regardent les photos en se marrant et en faisant des commentaires vicieux et demandent aux captives "Qu'est ce que vous pensez d'envoyer ces images à vos familles et a vos proches ?"


Les deux femmes pleurent de plus belles et supplient Bobby de ne pas faire ça.



Liens :


Dans une prison US pour femmes ...



La prison des soumises.


dimanche 22 mai 2022

Humiliation et dressage d'une femme réduite en esclavage BDSM.

 

Esclave BDSM nue et bien dressée.
Esclave nue expose son cul avec fierté sur ordre d'un dresseur.

Une femme avilie et réduite en esclavage.


Qui aurait penser que la femme sur cette image avait, à l'époque de la pudeur, de la dignité, une situation sociale et qu'elle était respectée ?


Elle s'appelait Andrea et était la fille d'un riche homme d'affaire proche d'un régime dictatorial d'Europe de l'Est. Elle a reçue une bonne éducation et avait de part son statut social un très bon poster avec de bon revenus.

Mais les Etats Unis et les services occidentaux ont organiser un coup d'état qui à déclencher une guerre civil dans le pays et le régime est tombée après plusieurs années de guerre. Andrea a été capturée et faite prisonnière dans un raid. Son père s'est enfuit dans un pays allié.


Comme prisonnière de guerre, Andrea a perdue tout ses droits, les révolutionnaires adverses l'ont dépouillée de tout ses vêtements et bijoux et enfermée dans une petite cage totalement nue pendant plusieurs jours. 


Pour se financer, ce type de groupe armé pratique tout les trafics possibles y compris celui des femmes. Andrea est donc vendue pour son potentielle à une organisation de dressage et de revente de femelles.


Après un "contrôle technique" qui consiste en une horrible et profonde inspection totalement nue de la tête aux pieds et de devoir ouvrir la chatte et l'anus le plus possible aux acheteurs.


Ensuite l'esclave est enfermée nue  et enchainée dans une petite cellule noire avec peu d'eau et de nourriture et sans aucune dignité ni hygiène et sans possibilité de prendre une douche.


La soumise est exhibée sans cesses, insulter, forcer d'être promener comme une chienne, de pisser et de faire caca devant tout le monde, de manger dans une gamelle nue à quatre pattes avec les fesses en l'air.


L'objectif est de faire perdre toute pudeur et dignité et d'avilir au maximum l'esclave pour lui faire perdre toute volonté et la soumettre totalement.


Ensuite une fois qu'Andrea est bien dressée et soumise, elle est vendue a des riches perles qui l'utilisent comme esclaves et jouet sexuelles en lui accordant un statut juridique proche de l'animal de compagnie et de la domestique.


C'est une esclave de l'est qui sert à distraire les riches occidentaux, elle se met à quatre pattes comme une bête et ouvre ses fesses sur commande et de façon tout à fait naturel.



Liens : 






mardi 3 mai 2022

Manque de pudeur, examen gynécologique et abus de pouvoir lors des visites médicales.

 

Lesbienne passe une visite médicale nue avec test gynécologique.
Soumise nue à un examen gynécologique par une doctoresse lesbienne.

Visite médicale obligatoire : des étudiantes se plaignent d'une doctoresse lesbienne perverse et dominatrice.


Plusieurs jeunes filles étudiantes dénoncent la  visite médicale obligatoire de l'enseignement supérieur de l'infirmerie du campus universitaire. Ce contrôle de santé effectué par une doctoresse et une infirmière serait selon elles très intrusif, dégradant, irrespectueux et très difficile à vivre et remettent en cause la politique de l'établissement.


Plusieurs filles comme Clémence ou Aziza témoignent du comportement selon elles abusifs de l'équipe médicales qui serait composer de lesbiennes dominatrice qui abuseraient de leur pouvoir pour asservir des jeunes filles.


Les deux filles qui osent témoigner et avoir écrit une lettre de protestation au président de l'université ont été convoquées quelques jours avant au centre de santé de médecine préventive. Elles rapportent une organisation très peu respectueuse de la pudeur et très envahissant dans la vie privée.


Lorsque une étudiante arrive, elle est reçue par l'infirmière qui lui pose un tas de questions générales sur leur état civil, âge, parcours universitaire, vie sociale, puis personnel  sur leur forme, état de santé générale,  antécédent médicaux, opération, consommation de drogue ou d'alcool, problème éventuelle de sommeil, si elles se sentent en isolement ,  ont des problème familiaux etc. Et pour ensuite arriver à des questions de plus en plus intimes sur leur vie sexuelle comme par exemple la pratique de la sodomie, de leurs premières règles, leurs premiers rapports,  de savoir si elles ont un suivis gynécologique ou pas et quand remonte la dernière consultation, si elles ont des petits copains etc.


Ensuite l'infirmière pratique deux test: de l'audition et de la vision. Ensuite les deux filles dont l'attestation concorde disent avoir étés dirigées vers une cabine à double portée avoir reçu l'ordre de se déshabiller et de tout enlever même la culotte car la doctoresse doit procéder à un examen gynécologique car Aziza n'a pas consulter de gynécologue depuis longtemps et Clémence prétend être vierge, chose à laquelle l'infirmière ne croit absolument pas et qui devra être vérifier.


Ensuite la patiente est reçue par une femme médecin très sexy, Aziza se souvient avoir été prise à partie et engueuler par la doctoresse pour avoir oublier de retirer ses chaussettes et de se présenter pieds nus. La femme médecin est très à cheval sur la procédure et la discipline et prétend faire appliquer les consignes du ministère de la santé qui imposent un examen physique et clinique complet des jeunes femmes.


Les deux étudiantes rapportent dans un premier temps avoir été soumises à différentes mesures (taille, poids, tours de ventre, tours de poitrine etc.), des tests de réflexes sur les coudes, genoux, plantes des pieds, des tests de souplesse et examen de la colonne.


Ensuite elles sont examinées cliniquement : écoute du coeur et des poumons, prise de tension, rapide test d'effort en faisant des flexions (squats) toute nue avec prise de pouls pour contrôler le rythme cardiaque avant et après l'effort.


Ensuite l'infirmière est arrivée et les filles rapportent avoir été tripotées de toute part par les deux soignantes en uniforme , des palpations approfondies et très appuyées des seins, des doigt dans l'anus, des caresses du clitoris, des embrassades forcées avec la langues, des orteils à  sucer et lécher. 


La doctoresse fait avoir un orgasme a toute les étudiantes selon les témoignages.


La doctoresse aurait dit publiquement au sujet des patientes que : "C'est toutes des lesbiennes refoulées et les baiser lors des examens les décoincent et leur fait du bien."



Examinée nue et sans pudeur par l'infirmière lors de la visite médicale étudiante.
Toute nue et pudique à la visite médicale.

Le président de l'université par un communiqué de presse a dit soutenir son équipe médicale qui est selon lui très professionnel et donner pour consigne d'examiner une seconde fois les plaignantes pour s'assurer de leurs bonne santé mentale.



Liens : 


Le protocole de la visite médicale.


L'examen gynécologique en médecine universitaire de prévention.


Autorité et humiliation dans le monde de la santé.


dimanche 1 mai 2022

Une femme interrogée nue sans pudeur.

 

Nudité forcée pour les femmes durant les interrogatoires.
Prisonnière attachée nue pendant l'interrogatoire.

La nudité forcée lors des interrogatoires.


L'une des choses pour laquelle les femmes ayant été incarcérée et détenue par l'armée américaine durant la seconde guerre d'Irak (2003/2011) garde le plus d'amertume sont les obligations de se déshabiller et les humiliations.


Lorsque les forces armées américaine arrêtent des femmes irakiennes, en général pour des raisons de soupçons de liens avec l'ancien régime, de soutient à la résistance ou encore de liens familiaux important avec des personnes recherchées. Si les femmes  prisonnières sont relativement exemptées d'agression physique, de passage à tabac, de torture hard etc. Elles n'en demeurent pas moins soumises à des mesures de sécurité très stricte, d'isolement (confinement solitaire), d'humiliation, de mesures vexatoires et de pression psychologique très forte.


C'est comme le cas rapporte d'Houda, une jeune femme détenue plusieurs semaines en 2004 pour avoir  été soupçonnée d'organiser des manifestations contre la présence américaine.


Les personnes emprisonnées avec Houda sont majoritairement des hommes et deux trois femmes, elles ont été amenées dans un centre de détention militaire spéciale près de Baghdad. Sur place Houda et les quelque femmes ont étés contraintes de retirer leurs vêtements devant une gardienne blonde américaine accompagnés de 3 soldats hommes et femmes dans une pièce ou la porte reste grande ouverte et avec une fenêtre qui rend les déshabillage visible par les gens qui passent de l'extérieur.


Les américains obligent les prisonnières à retirer leurs hijab (voile), et tout le reste ; vêtements, sous vêtements, bijoux, chaussettes, chaussures pour une fouille public visibles par les soldats hommes et même par les prisonniers qui peuvent tout entendre et voir.


Les militaires se moquent et rient de voir les prisonnières nues devoir prendre des poses gênantes et humiliantes pour l'inspection qui est très complète : bouches, oreilles, aisselles, nombril, entre les fesses, doigts de pieds etc. Et bien sur inspection anale et vaginale avec l'obligation de pencher pendant que la gardienne regarde le fond de leurs trou du cul avec une lampe torche. Certains prennent des photos des femmes nues.


Ensuite Houda n'a pas eu la possibilité de remettre le moindre vêtements car elle a du attendre d'être interrogée entièrement nue par un agent du renseignement et de la police militaire et subir des remarques avilissantes.

Dans la prison d'Abou Ghraib les détenus interrogés le sont et toujours complètement nus. Houda garde un très mauvais souvenir car après la fouille elle a attendu plusieurs heures à poil et pieds nus et a été exhibée devant ses camarades d'études et des gens de sont quartier.

Ce processus est validé par les autorités militaires américaines qui le trouve très simple efficace et facile à mettre en place. Houda et ses compagnes d'infortune restent très choquées par cette expérience 


Liens :