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dimanche 18 août 2024

La professeur Nassira K, prisonnière n°0407795

Les femmes prisonnières nues sont humiliée en permanence.
Une prisonnière nue et enchainée parade nue dans les couloirs.

Rapport sur une détenue de sécurité "Nassira"

Nassira K est une professeur à l'université et l'épouse d'un haut dignitaire du régime irakien. Elle a été potée disparue suite à son arrestation lors d'un raid sur sa maison. Les forces américaine l'ont arrêtée et emprisonnée sous le statut de "prisonnière de haute valeur".

Son avocat a retrouver sa trace quelques mois après sa capture. Tout d'abord, il faut savoir que Nassira comme les autres prisonnières d'Abou Ghraib sont gardées nues en confinement solitaire et ne sont ni maltraitées ni torturées et nourries régulièrement (riz, poulet, bananes, pomme de terre, soupe, pain, œufs etc.) 

Lorsqu'elle a été amenée dans la prison, les gardes l'ont obliger à se déshabiller, lui ont fait retirer tous ses vêtements, ses chaussures, bijoux.  

Les femmes arabes sont mises complètement nues, c'est une humiliation terrible pour Nassira.

Ses proches l’ont toujours connue très pudique et modeste, elle a toujours porter le voile et des tenues larges et couvrantes, et maintenant elle est gardée sans vêtements. Elle n'a jamais porter ne serait ce qu'un maillot de bain, et elle s'est vue imposer la nudité totale.

Les américains veulent déposséder les prisonnières de toute pudeur et dignité. Elle est pieds nus comme toutes les autres captives. Lors de sa fouille elle a du même retirer ses chaussettes, les femmes doivent être pieds nus. en permanence.

La détenue est contrainte de marcher nue dans les couloirs, les soldats aiment voir les prisonnières humiliées  parader à poil, les regarder dans les yeux pour contempler leur dégradation.

Si les américains évitent de torturer et de frapper les femmes, ils sont inflexibles sur la nudité qui n'est pas négociable. Les femmes doivent servir d'exemple, être punies et servir d'exemple...

 Liens :

Une prisonnière parade nue dans les couloirs de la prison.

mercredi 10 janvier 2024

Prisonnière mise à nue et forcée de parader dans la honte.

 

Prisonnière parade nue en prison.
Une femme trainée nue dans les couloirs de la prison.

Nous savons peu de choses sur la zone du centre de détention d'Abou Ghraib ou sont retenues les femmes irakiennes faites prisonnières par les troupes américaines dans le cadre de l'occupation militaire. Une aile de la partie en dure de la prison serait le lieu de détention des femmes.


La communication avec le monde extérieur est très restreinte, les avocats et observateurs internationaux n'y ont que très peu accès et les communications sont censurées. Seul des témoignages des familles et des visiteurs anonymes, et de quelques anciennes détenues délivrés morceau par morceau dans la presse informent le grand public.


Les informations  et les images ayant fuitées laissent penserque les conditions de détention des femmes sont très dures, voire inhumaine et pouvant s'apparenter à de la torture et en contradiction avec les conventions de Genève.


Le discipline y est stricte et impitoyable, l'humiliation et la déshumanisation sont au coeur du traitement des prisonnières, avec la nudité forcée, les manipulation du sommeil, le régime alimentaire restreint, et les punitions et châtiment corporels sont régulièrement administrés dans le plus total arbitraire. réguliers et délivrer arbitrairement.


Ces méthodes sont approuvés par les plus haute autorités militaires et du renseignement en vue de préparer les interrogatoires et au reconditionnement mental et psychique des prisonnières.


Sur une des photos parue dans la presse, nous pouvons voir , dans un couloir l'un des interrogateurs tirer par une laisse une prisonnière totalement nue, les yeux bandés et menottée les mains dans le dos conduite en salle d'interrogatoire.


Une ONG de défense des droit de l'homme pense avoir identifier la prisonnière nue sur le cliché. Ce serait Nora R, une commerçante, arrêtée  pour une erreur d'identité lors d'un raid sur son quartier.


Elle est connue comme étant très sympathique, pudique, réservée, elle porte une tenue traditionnel arabe et le hijab comme toute bonne musulmane. C'est une femme respectée dans son quartier. 


Son cas révèle une politique carcérale basée sur l'humiliation et la dégradation en utilisant les tabous culturels et religieux des prisonniers pour les avilir le plus possible. Les militaires lui on enlever toute dignité en l'obligeant a se mettre complètement nue, non seulement devant des gardes hommes, mais aussi en public. 


L'humiliation de la fouille est considéré comme une part essentielle du dressage et conditionnement de la nouvelle détenue. Nora est obligée de remettre ses affaires et tout ses vêtements aux gardes qui n'en perdent pas une miette et l'ont obliger à se tourner nue sur elle même et à sautiller pendant qu'ils se marraient  en voyant ses seins partir dans tout les sens, à faire des squats et tousser, marcher comme un canard  et ouvrir ses fesses et montrer son anus dans l'hilarité générale.


La prisonnière doit aussi défiler nue très lentement dans toute la prison avant d'être conduite en cellule. C'est une tradition auquel aucune femme n'échappent pas  et que les américains aiment car voir une femme bien élevée, respectable, pieuse, se retrouvée entièrement à poil, pieds nus, sans défense et complètement exposée  à la vue de tous ! C'est une épreuve  très dégradante et inimaginable qui permet de les briser moralement et psychologiquement.


Liens : 

Femme dégradée et humiliée en prison.


dimanche 31 décembre 2023

Deux femmes punies et humiliées par les gardes.


Humiliation et nudité forcée.
Deux prisonnières attachées nues aux barreaux de leur cellule.

Les punitions dégradantes imposées aux prisonnières.


Suite aux révélations sur les tortures et mauvais traitements infligés aux prisonniers irakiens par les forces américaines en 2004 dans le centre de détention d'Abou Ghraib, plusieurs photos ont été diffusées dont ces deux femmes prisonnières menottées nues aux barreaux de leur cellule.

Les deux femmes sont âgées d'environ 40 ans et détenues par les forces américaines pour leurs liens avec l'ancien régime, l'une, Hind, 41 ans, professeur dans un lycée et cousine d'un ancien ministre et Hoda 44 ans, scientifique et propriétaire d'une entreprise soupçonnée de financer l'insurrection.

Ces deux femmes sont donc considérées comme des "détenues sensibles" et soumises à différentes techniques et punitions visant à faire pression physiquement et psychologiquement sur elles pour les rendre coopératives et docile.

Les deux prisonnières sont en cellule disciplinaire et vivent dans des conditions difficiles.

Tout d'abord, en isolement, elles sont gardées complètement nues et soumises à des fouilles des cavités plusieurs fois par jours (vérification de l'anus, du vagin, de la bouche, du nombril, entre les orteils , sous les aisselles etc.). Les psychologue et interrogateurs ont spécifiquement recommander d'utiliser la nudité forcée car c'est un moyen simple et efficace pour briser et humilier les femmes. Elles sont très pudiques, de par leur religion et leur culture qui enseigne aux femme la pudeur, la modestie et de cacher son corps.

Les surveillants ont pour ordre et consignes d'utiliser les tabous culturels et religieux contre les détenus pour mieux les avilir. Les deux quadragénaires portait le voile islamique et une tenue large et ample arabe lors de leur arrestation. Les deux femmes ont ensuite étaient obligées de se dévoiler et de retirer tout leurs vêtements pour une fouille très approfondie avec examen gynécologique et test de virginité.

Les américains décident que les femmes prisonnières arabes et musulmanes doivent être nue, et pieds nus, pour y être déconstruite  psychologiquement et oublier toute pudeur. Le programme d'interrogatoire renforcé prévoit d'utiliser la nudité forcée comme un élément essentiel du processus.

Hind et Hoda doivent marcher nues en dehors de leurs cellule, et parader ainsi devant les gardes mais aussi les autres détenus hommes et femmes. Les gardes rient, sifflent et se moquent des pauvres femmes honteuse d'être vues nues et font des remarques salaces sur les grosses fesses plates et molles ou les seins tombant des prisonnières qu'elles doivent exhiber.

Elles sont gardées dans de petite cellules d'isolement vide sans aucun vêtements.

Pour les punir, les gardiens attachent les prisonnières nues aux barreaux de leurs cellules en pleine journée  pendant plusieurs heures pour les exhiber totalement devant tout le monde.

Elles sont soumises à plusieurs fouilles des cavités par jours incluant le vagin, l'anus, la bouche, sous les seins et les pieds pour selon les américains leur enseigner l'humilité.
 
La nudité forcée est obligatoire devant les hommes, qui narguent les pauvres prisonnières à poil.


Liens : 
 



samedi 19 août 2023

Choc culturel et humiliation de la prisonnière

 

Nudité forcée pour une femme prisonnière.
Prisonnière nue et enchaînée dans les couloirs.

L'humiliation et l'asservissement des femmes en prison.


Lors de la seconde guerre du golfe en Irak (2003/2011) ou les Etats Unis ont envahi  et occuper ce pays  et ouvert des prison comme la célèbre centre de détention d'Abou Ghraib a coté de Baghdad ou les prisonniers sont régulièrement humiliés et maltraités.


Les femmes capturées par les américains sont spécifiquement humiliées et dressées pour marquer la domination des conquérants et l'avilissement des vaincus. Lorsqu'une femme arrive comme Maha, fille d'un responsable de l'ancien régime recherché activement par les troupes de la coalition internationale, tout est fait pour choquer, humilier et avilir la détenue.


Les prisonnières sont en général des femmes respectables et pieuses  ayant été éduquer dans les valeurs traditionnelles de pudeur et modestie de la culture arabe et religion musulmane, elles portent comme Maha un voile (hijab) et des tenues longue et ample comme des larges robes pour dissimuler leurs corps et sont couverte de la tête aux pieds.


Bien sur que les militaires utilisent les tabous culturelle et religieux pour mieux contrôler et dominer les prisonniers, les gardes ont pour consigne de traiter les détenus "pires que des chiens" et que seuls les lois arbitraires, cruelle et sadiques des surveillants s'appliquent.


La jeune femme pudique est soumise à un déshabillage humiliant en public, la première chose qui arrive aux prisonnières est l'obligation de se mettre entièrement nue, les américains dépouillent les femmes de leurs signes religieux mais aussi de tout leurs vêtements, sous vêtements, bijoux, boucles d'oreilles effets personnels et chaussures ! 


Les fouilles à nu sont systématique et de rigueur dans la totale nudité, et les femmes doivent exposer leurs anus et leurs vagins en profondeur et de manière très dégradante. C'est difficile de ressentir la honte de cette pauvre femme obligée d'écarter les fesses pour ouvrir de façon dégradante son trou du cul et écarter les lèves de son sexe devant les occupants sans aucune pudeur.


Les femmes doivent exposer leurs corps sans aucune intimité devant tout le monde, y compris les autres détenus qui peuvent la reconnaitre !


Liens :


Francy Steel.


Nue derrière les barreaux de sa cellule de prison.




vendredi 14 juillet 2023

Une femme nue et agitée dans sa cellule de prison.

Nudité forcée en confinement solitaire.
Femme nue et entravée dans sa cellule de confinement solitaire.

Scandale en prison : Incident nudité forcée n°20041144


Rapport d'enquête  n°20041144.


Objet de l'enquête : Une photo a été diffusé montrant une femme prisonnière nue et menotté aux poignets et aux chevilles et agitée dans un cellule d'isolement du complexe pénitentiaire d'Abou Ghraib.Date : 14 novembre 2003.


Localisation : Prison d'Abou Ghraib, Baghdad, Iraq, section d'isolement.


Nom de la prisonnière impliquée : Rania B.


numéro d'écrou : RB04119

Raison de l'incarcération : Rania B est une scientifique proche de l'ancien régime, et a ce titre suspecte de détenir des informations stratégiques.


Statut : Prisonnière de sécurité de "Haute Valeur".


Régime de détention : En confinement solitaire.


Profession : Scientifique.


Age : 32 ans.


Taille : 167 cm


Poids 55 kilos.


Nationalité : Irakienne.


Religion : musulmane sunnite.


Groupe sanguin : B Positif.


Couleur cheveux : Noirs.


Couleur des yeux : Noirs.


Note : Différents témoins ont affirmé devant la court de justice que la prisonnière numéro d'écrou RB04119 était agitée et furieuse lors de son placement en confinement solitaire. La détenue a très mal vécue l'obligation de se déshabiller. La procédure pour les détenus de haute sécurité étant très stricte et ne souffrant d'aucune exceptions.

Lors de son arrivée, elle a refuser d'enlever ses vêtements pour la fouille de sécurité. Les surveillants ont du lui donner un coup de taser et menacer de lui arracher  et découper ses vêtements de force. La jeune femme a invoquer sa religion et sa culture pour refuser la mise à nue. Les gardes ont refuser sa demande et l'ont faite enlever tous ses vêtements.


La prisonnière a donner un coup de pieds à un garde lors de la fouille de son anus, l'un des gardiens avec une lampe et un gant était en train d'inspecter son rectum et d'y introduire un doigt a été frappé au visage. La détenue a donc été inspectée en profondeur par l'anus et le vagin et "mise au trou", en confinement solitaire pour un mois. La détenue a plusieurs fois crier et hurler pour réclamer des vêtements.

Liens : 


Nue en confinement solitaire.

dimanche 18 septembre 2022

Nue pour l'interrogatoire.

Nudité lors des interrogatoires
Prisonnière nue vers la salle d'interrogatoire

 Nudité et interrogatoire renforcé des femmes.


Dans la plupart des pays du monde, sur les différents continents, la police politique et les militaires usent de méthodes musclés et coercitives pour ramollir et faire parler les détenus. Et les femmes ne sont pas en reste, certaines pratiques sont quasiment universelles.


En Amérique latine dans les prisons tenues par des régimes militaires d'extrême droite soutenus par la France et les Etats Unis, en Europe de l'est dans les dictatures communistes satellites de Moscou, en Russie même, dans les pays arabes et du moyen orient, dans les prison secrètes ou dans les prisons militaire américaine ouvertes dans le cadre de la lutte contre le terrorisme comme à Abou Ghraib en Irak.


Certes les femmes sont minoritaires dans ses endroits qui comprennent majoritairement des détenus mâles.  Mais lorsqu'elles sont arrêtées, les policiers ou les soldats commencent toujours par obliger les prisonnières à enlever tout les vêtements. Ceux sont souvent des femmes pudiques jouissants d'un respect ou d'un prestige dans leurs communautés d'origines (institutrice de gauche, femme d'opposants ou de rebelles etc.) et sont sont obligées de se mettre totalement nues sans aucune intimité et de parader dans le plus simple appareil en attente des interrogatoires ...


Liens :






mercredi 16 mars 2022

Campagne électorale française et exploitation sexuelle pour financement

 

Scandale sexuel pendant la campagne électoral française.
Une femme blanche nue vendue à un riche africain.


Le scandale des financement de la campagne présidentielle française.



En France en 2022, c'est l'année de l'élection d'un nouveau président, plusieurs candidats briguent le poste et cherchent par tous les moyens possibles des financements pour acheter le plus de voix, le plus d'articles dans les médias, trafiquer le plus de bulletin de vote, obtenir les meilleurs temps de parole, organiser d'énormes meeting, et ainsi remporter le scrutin.


Les médias rapportent qu'un candidat, en cherchant à être sponsorisé par un riche homme d'affaire du Nigeria lui a offert plusieurs militantes de son propre parti et à organisation un véritable système de traite des femmes blanches.


les militantes sont devenue de la marchandises sexuelles, livrées a de riches africains noirs.


Pour financer un grand meeting, nous savons qu'un candidat a offert deux femmes blanche à une milliardaire nigérian, magnant des médias et du pétrole dans son pays qui en échange de quelques femmes à accepter de faire un chèque de quelques millions d'euros pour l'organisation d'un meeting géant.


la politique française est plein de scandale de corruption et prendre vraiment une tournure infecte. La prostitution, l'esclavage, le BDSM sont au coeur de la campagne. Selon #MeToo et #Balancetonporc les hommes politiques  et de pouvoir en France abusent régulièrement de leur position pour s'accaparer des femmes.


Ici des femmes sont louées a de riches étrangers dans l'espoir de remporter la victoire.


Une jeune française, Mélanie, raconte avoir été exploitée sexuellement par un riche africain dans un hôtel le soir d'un grand meeting électorale.


La jeune femme rapporte que ses camarades du parti l'ont déshabillé complètement à poil et lui on confisquer ses vêtements avant de lui bander les yeux et de l'attachée nue dans une chambre d'hôtel.


Ensuite le riche nigérian est arrivé et lui a imposer toutes sortes de perversion à tendance sadomasochistes. 



Liens :






samedi 29 janvier 2022

Torture et humiliation sexuelles sur une femme prisonnière.

Humiliation et torture BDSM d'une prisonnière nue.
Femme nue et maltraitée en prison.

Prisonnière déshabillée, maltraitée et humiliée par les interrogateurs et les gardiens de prison.


Pendant la seconde guerre du Golfe (2003/2011), les Etats Unis ont détenus et torturer des prisonniers dans la prison militaire d'Abou Ghraib, près de la capitale Baghdad. Les femmes détenues sont en petit nombre et elles ont le statut  de prisonnières "de haute valeurs" et soumises à des interrogatoires renforcés.


Si la partie aménagée est officiellement interdite aux soldats masculins hommes, le règlement ne concerne pas les interrogateurs de sexe masculin, ni les mercenaires et les civils employés par la prison.


Plusieurs témoins rapportent de l'état d'esprit régnant dans le staff concernant le traitement des femmes captives.


Une ancienne engagées "Nous devons appliquer les ordres, procédures et règlements sans réfléchir, de plus les cadres de l'armée nous avaient dit de les traiter comme des moins que rien, pire que des chiens, comme des déchets. Quand un nouveau prisonnier arrive il faut le mettre à poil et le terroriser. En général ils n'aiment pas ça du tout, certains nous supplie de leur laisser garder le slip mais à poil c'est à poil, ils doivent tout retirer, les ordres sont les ordres et on les applique sans états d'âme et froidement."


Elle continue plus loin : "Lorsqu'une femme arrive,  comme cette scientifique d'environ 35 ans, Rania, toute menue et frêle, arrêtée pour ses liens avec des personnes activement recherchées par la coalition et soupçons de financement de la rébellion. Comme pas mal d'autre femmes, elle est toute voilée et vêtue de vêtements traditionnel et couverte de la tête aux pieds. Et bien ont l'oblige a se mettre entièrement nue, si elle n'obtempère pas on la déshabille de force et lui découpe ses vêtements, on l'exhibe devant des hommes et on lui fait prendre des photos très embarrassante dans des postures dégradantes."


"Rania comme les autres prisonnières a fait une de ces têtes quand elle a compris qu'on allait la mettre à poil et permettre a des hommes de la voir nue, son regard étaient plein de honte, de détresse, et de résignation."


"Certaines surveillantes sont très dominatrice et autoritaire et totalement insensibles aux pleurs, elles savent à quel point a nudité peut être humiliante et dégradante pour ces pauvres femmes de culture arabe et musulmanes, et ça les fait marrer et elles prennent du plaisir à rabaisser et déshumaniser les détenues."


Concernant la période de détention de Rania, la soldate américaine donne plus de précisions.


Sur ordres des interrogateurs,  "Il faut deja savoir que lors de la fouille d'accueil, les femmes irakiennes incarcérées sont selon leur profil placées sous différents statuts : "Très haute sécurité", celles là sont nues en permanence et placée dans des petites cellules totalement vide  en confinement solitaire et sous surveillance permanente de deux gardes. Les autres sont autorisées a porter un uniforme orange  de prisonnière, mais sans sous vêtements les culottes et soutien gorge sont confisqués pour des raisons de sécurité les couvre chefs religieux comme les voiles et les hijabs sont aussi interdites aux prisonnières qui doivent rester têtes nues.

A noter aussi que toutes les femmes sont systématiquement gardées pieds nus, sans chaussures, pas même des tongs."


Sur le sort de Rania : "Les gardes doivent suivent les consignes des interrogateurs du renseignement militaire et  forcent Rania à se déshabiller en public  dans les couloirs en prévision des interrogatoires. Ceci dit la prisonnière ne porte qu'une simple et modeste tunique orange sans rien en dessous. Ses plantes des pieds sont sales à force de marcher sur le sol. Ses vêtements lui sont confisqués parfois plusieurs jours.


Elle est torturée nue et en public, parfois un interrogateur masqué vient lui imposer divers sévices pervers et sadiques, la prisonnière est attachée nue les mains dans le dos avec une corde au cou, et les tortionnaires viennent lui pincer ses tétons, lui palper de façon agressive ses petits seins, lui introduire des doigts dans les fesses puis la forcer a renifler en se moquant d'elle et de son hygiène déplorable, elle est aussi fouettée et soumise au supplice de la flagellation des plantes de pieds (appelés Falaka ou Bastinado) et des mines sur les seins.

Une prisonnière nue soumise au supplice du falaka/Bastinado.
Falaka  ou Bastinado (flagellation des pieds).


Pour être exemplaire et terroriser tout le monde les humiliations et les punitions ont lieu en public, des femmes sont traiter de façon terrible, dans des postures les plus dégradantes possibles."



Liens : 


















dimanche 2 janvier 2022

Préparation aux interrogatoires : Nudité forcée et humiliation

 

Femme forcée d'être exhibée et de parader nue dans l'aile de la prison
Une femme défile nue et menotté en prison.

Totale nudité des prisonniers pendant leur captivité en vue des interrogatoires renforcés.


Durant l'été 2003, un scandale a éclaté  après la révélation de photos et de vidéos de détenus nus et humiliés par les forces américaine dans la prison militaire d'Abou Ghraib. Les responsables politiques et militaires US ont tenter d'expliquer que ces actes d'humiliations étaient des actes isolés à l'initiative d'une équipe de soldats mal formés et corrompus.


Mais la nudité forcée était présente et systématique dans la partie dure de la prison ou étaient retenus les personnes considérées comme étant lié à l'ancien régime, à l'insurrection ou au terrorisme international. A tel point que pour le personnel civil et militaire qui gère et administre le pénitencier trouvait banal et ordinaire le fait de garder les prisonniers sans vêtements.


La pratique de la nudité imposée est très agressive et a commencer des qu'un général du renseignement militaires ait visité la prison et ait donner pour consignes de traiter les prisonniers comme des chiens et et leur en faire baver  pour qu'ils craquent plus vite lors des interrogatoires. Personne ne sait exactement qui a donner l'ordre de garder nus la majorité des détenus ni même qui l'a autorisé pour en faire une pratique  généralisée quasiment institutionnalisée.


Les témoins et visiteurs déclarent avoir constater le dépouillement des captifs et avoir demander des explications qui ont obtenues diverses réponses. Certains officiers disaient que c'est le renseignement militaire qui demande de traiter les prisonniers ainsi et que ça fait partie du processus d'interrogatoire.


Un capitaine de l'armée disait que les détenus étaient déshabillés et devait défiler nus devant les gardiens et autres prisonniers. Lorsque Rania, une cousine d'un ancien membre du régime renversé est arrivé, les gardiens l'ont faite se déshabiller pour la fouille (strip search) et le retrait des vêtements civils. Certains officiers disent que la prisonnière est restée nue du fait du manque d'uniforme.


D'autre estime que la mise à nue est utile et efficace car ça permet de mettre mal à l'aise la prisonnière. Pour d'autre gardiens  dépouiller les détenus est simplement normal et justifié pour des raisons de sécurité (zone de guerre) et de chaleur.


Liens : 


Nudité forcée et sévices.


Deux femmes humiliées en détention.