samedi 29 janvier 2022

Torture et humiliation sexuelles sur une femme prisonnière.

Humiliation et torture BDSM d'une prisonnière nue.
Femme nue et maltraitée en prison.

Prisonnière déshabillée, maltraitée et humiliée par les interrogateurs et les gardiens de prison.


Pendant la seconde guerre du Golfe (2003/2011), les Etats Unis ont détenus et torturer des prisonniers dans la prison militaire d'Abou Ghraib, près de la capitale Baghdad. Les femmes détenues sont en petit nombre et elles ont le statut  de prisonnières "de haute valeurs" et soumises à des interrogatoires renforcés.


Si la partie aménagée est officiellement interdite aux soldats masculins hommes, le règlement ne concerne pas les interrogateurs de sexe masculin, ni les mercenaires et les civils employés par la prison.


Plusieurs témoins rapportent de l'état d'esprit régnant dans le staff concernant le traitement des femmes captives.


Une ancienne engagées "Nous devons appliquer les ordres, procédures et règlements sans réfléchir, de plus les cadres de l'armée nous avaient dit de les traiter comme des moins que rien, pire que des chiens, comme des déchets. Quand un nouveau prisonnier arrive il faut le mettre à poil et le terroriser. En général ils n'aiment pas ça du tout, certains nous supplie de leur laisser garder le slip mais à poil c'est à poil, ils doivent tout retirer, les ordres sont les ordres et on les applique sans états d'âme et froidement."


Elle continue plus loin : "Lorsqu'une femme arrive,  comme cette scientifique d'environ 35 ans, Rania, toute menue et frêle, arrêtée pour ses liens avec des personnes activement recherchées par la coalition et soupçons de financement de la rébellion. Comme pas mal d'autre femmes, elle est toute voilée et vêtue de vêtements traditionnel et couverte de la tête aux pieds. Et bien ont l'oblige a se mettre entièrement nue, si elle n'obtempère pas on la déshabille de force et lui découpe ses vêtements, on l'exhibe devant des hommes et on lui fait prendre des photos très embarrassante dans des postures dégradantes."


"Rania comme les autres prisonnières a fait une de ces têtes quand elle a compris qu'on allait la mettre à poil et permettre a des hommes de la voir nue, son regard étaient plein de honte, de détresse, et de résignation."


"Certaines surveillantes sont très dominatrice et autoritaire et totalement insensibles aux pleurs, elles savent à quel point a nudité peut être humiliante et dégradante pour ces pauvres femmes de culture arabe et musulmanes, et ça les fait marrer et elles prennent du plaisir à rabaisser et déshumaniser les détenues."


Concernant la période de détention de Rania, la soldate américaine donne plus de précisions.


Sur ordres des interrogateurs,  "Il faut deja savoir que lors de la fouille d'accueil, les femmes irakiennes incarcérées sont selon leur profil placées sous différents statuts : "Très haute sécurité", celles là sont nues en permanence et placée dans des petites cellules totalement vide  en confinement solitaire et sous surveillance permanente de deux gardes. Les autres sont autorisées a porter un uniforme orange  de prisonnière, mais sans sous vêtements les culottes et soutien gorge sont confisqués pour des raisons de sécurité les couvre chefs religieux comme les voiles et les hijabs sont aussi interdites aux prisonnières qui doivent rester têtes nues.

A noter aussi que toutes les femmes sont systématiquement gardées pieds nus, sans chaussures, pas même des tongs."


Sur le sort de Rania : "Les gardes doivent suivent les consignes des interrogateurs du renseignement militaire et  forcent Rania à se déshabiller en public  dans les couloirs en prévision des interrogatoires. Ceci dit la prisonnière ne porte qu'une simple et modeste tunique orange sans rien en dessous. Ses plantes des pieds sont sales à force de marcher sur le sol. Ses vêtements lui sont confisqués parfois plusieurs jours.


Elle est torturée nue et en public, parfois un interrogateur masqué vient lui imposer divers sévices pervers et sadiques, la prisonnière est attachée nue les mains dans le dos avec une corde au cou, et les tortionnaires viennent lui pincer ses tétons, lui palper de façon agressive ses petits seins, lui introduire des doigts dans les fesses puis la forcer a renifler en se moquant d'elle et de son hygiène déplorable, elle est aussi fouettée et soumise au supplice de la flagellation des plantes de pieds (appelés Falaka ou Bastinado) et des mines sur les seins.

Une prisonnière nue soumise au supplice du falaka/Bastinado.
Falaka  ou Bastinado (flagellation des pieds).


Pour être exemplaire et terroriser tout le monde les humiliations et les punitions ont lieu en public, des femmes sont traiter de façon terrible, dans des postures les plus dégradantes possibles."



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5 commentaires:

  1. La marche de la honte me rappelle le bizutage des filles qui étaient mises à poil et ensuite les seins, les fesses et la chatte étaient passés au cirage,et elles devaient faire le tour de l'établissement comme ça,avec les mains sur la tête.

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  2. La première photo rappelle aussi les marchés africains où les femelles blanches sont exposées comme ça et offertes aux palpations et sévices des maquignons

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  3. Dernière photo, exemple d'une prisonnière au début du spectacle, le travail sera progressif, les plus résistantes dureront toute la nuit dans d'atroces souffrances

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