mercredi 26 janvier 2022

Femme prisonnière nue dans sa cellule.

 

Prisonnière forcée de rester à poil dans sa cellule, porter des vêtements est interdit dans cette prison.
Femme gardée toute nue dans sa cellule discutant avec une gardienne.

Un inspecteur des prison donne son témoignage sur une femme détenue.


Un inspecteur des lieux de détention tenue par l'armée américaine témoigne et averti ses supérieurs sur le traitement subit par les détenus dans la prison militaire d'Abou Ghraib près de Baghdad pendant la seconde guerre du golfe, en particulier sur la pratique de la nudité forcée qui semble être généralisée.


En Avril 2004 je suis aller dans le cadre de ma mission d'inspection et de contrôle des lieux de détention militaire américain effectué une mission d'information dans le camp de détention d'Abou Ghraib. Accompagné de la directrice adjointe de la prison, Madame Kathleen Johnson  qui prend en charge les femmes retenues, j'arrive avec elle dans une cellule numéroté E7 pour contrôler la situation de madame Hannia R, une professeur de lycée arrêtée et placée sous le statut de prisonnière de haute sécurité pour ses liens avec un responsables de l'ancien régime renversé et des soupçons de financement de l'insurrection. Elle est retenue ici sans accès a un avocat et pour une durée indéterminée.


Hannia est gardée à l'isolement, elle a  environ 34 ans, elle est grande, environ 1.73m  avec un gabarit longiligne pour 60 kilos. Elle a de long cheveux noirs la peau assez mate comme le sont souvent les arabes et les femmes latines. Elle es complètement nue comme les autres prisonniers homme. Sa cellule est elle aussi quasiment vide, avec juste un banc et une couverture, des toilettes basiques et un robinet pour avoir une arrivée d'eau.


Dans la partie d'isolement les prisonniers n'ont pas le droit de porter de vêtements. C'est une consigne donnée par les interrogateurs du renseignement militaire et c'est approuvé par l'administration pénitentiaire.


La directrice adjointe lui demande comment elle vas ce matin, la prisonnière lui répond un peu énervée qu'elle veut des vêtements et des chaussures et qu'elle n'est pas contente de ma présence car je suis un homme et elle est énervée que je puisse la voir nue.


L'adjointe lui répond par la négative, elle n'a pas la possibilité de se vêtir, et elle lui dit d'arrêter d'être ridicule, les gardiens hommes peuvent tout le tout le temps la voir nue et pratiquent régulièrement des inspections et des fouilles et connaissent tout les moindres recoins de son intimité. La prisonnière doit rendre toutes les parties de son corps visible et se fait contrôler l'anus et la vagin par des gardes américains qui regardent à l'intérieur avec des lampes, elle doit aussi lever ses pieds nus et écarter et remuer ses orteils.

 Elle vit nue depuis plusieurs mois et en a pris l'habitude.


Hannia est très nerveuse et se met facilement en colère et cris souvent des que quelque chose lui déplait. C'est une des raisons pour laquelle aucun vêtements ne lui sera fourni pendant sa détention même si elle n'a plus aucun intérêt en terme de renseignement. Les gardes refusent qu'elle puisse s'habiller.


Elle est retenue par l'administration et ne sera libérée que sur décision de cette dernière le temps que les vérifications se terminent et ça peut prendre plusieurs mois dans ce contexte.


Kathleen Johnson ajoute  qu'Hannia est une femme issue d'un milieu urbain assez privilégié et  relativement moderniste, elle ne parle pas beaucoup d'elle même. A son arrivée, la prisonnière portai une tenue traditionnelle arabe (robe arabe appelé abaya, voile ou hijab sur les cheveux) et un assortiment culotte soutien gorge en dentelle sexy. 


La prisonnière a été dépouillée de ses affaires personnelles, vêtements, chaussures, bijoux, montres, et de tout ce qu'elle avait. Lorsque une femme arrive ici la mise à nue totale est systématique, Hannia a eu du mal comme les autres femmes à se déshabiller mais elle s'y est habituée et vit nue depuis plusieurs mois.


Conformément aux mesures d'hygiène et de sécurité Hannia a été rasée au niveau des partis génitales. Dans cette prison la directrice adjointe en constatant que les prisonnières avaient trop de poils pubiens a décider de les obliger à présenter des sexes lisses.



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2 commentaires:

  1. Les deux derniers finalistes de Mr Gros Kiki attendaient le début de la cérémonie enfermés à poil dans les caves du lycée.

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