mercredi 20 octobre 2021

Interrogatoire renforcé, nudité forcée et stress position.

 

Prisonnière nue et attachée forcée de s'exposer à poil sans aucune pudeur.
Une femme prisonnière forcée de s'exhiber entièrement nue dans les couloirs de la prison.

Prisonnière nue exposée en public.



Sophia 35 ans est exhibée nue et attachée dans les couloirs de sa prison dans un sentiment de honte et d’humiliation imposée. Cette femme respectable et respectée est humiliée et rabaissée par ce traitement dégradant.


Cette femme est une "prisonnière de sécurité", une notion floue inventée par les Etat Unis en riposte des attentats du 11 septembre qui associées a la loi "Pariot act" permet aux forces armées américaine, service de renseignement et à l'administration d'arrêter toutes personnes suspectées de menacer la sécurité nationale US pour une durée indéterminée et sans avocats. Les interrogatoires musclés et des methodes s'apparentant à de la torture et a des mauvais traitements sont aussi approuvés par les plus hauts dirigeants du pays.


Les Etats Unis ont en outre créer une coalition internationale et envahie l'Irak sous le faux prétexte des armes de destruction massives et du pseudo soutient au terrorisme de l'ancien régime renversé.


Sophia a été arrêtée par l'armée américaine durant la seconde guerre du golfe (2003-2011)lors d'une perquisition sur son lieu de travail. C'est une femme éduquée, riche, de bonne famille qui est professeure de science à l'université. Son mari exerce des responsabilités au sein du ministère de l'intérieur et du parti au pouvoir ce qui fait que les autorités considèrent Sophia comme une prise de guerre importante.


Pour l'administration américaine Sophia est potentiellement susceptible de détenir des information importantes et stratégiques et par conséquent, des hauts gradés de la police militaire ont décider de la  transférée dans la célèbre prison militaire d'Abou Ghraib tenue par l'armée US qui est devenu le centre d'interrogatoire principal des services de renseignements dans la région et qui regroupe des détenus de haute importance. Une aile de la prison est consacrée à ce type de  détenus qui sont garder isoler et au secret.


Les gens du renseignement militaire et les hauts fonctionnaire du département d'état à la défense ont étudier divers moyens de contourner les conventions de Genève et faire parler les détenus rapidement et obtenir du résultat.


Après plusieurs discussions et plusieurs études, plusieurs façon de traiter les prisonniers en vue de les rendre coopératif et de les brise ont été mis en place : La privation de sommeil, l'imposition de position stressante, les humiliations, les manipulations du régime alimentaire, la privation de sens, jouer sur les phobies culturelles et religieuses, la peur des chiens ou des insectes, interrogatoire longue durée, mise à nu publique et nudité prolongée, le maintient en isolement et en confinement solitaire etc.


Dans cette partie de la prison l'un des caractères les plus frappant et les plus marquant et la nudité imposée à l'immense majorité des prisonniers, plus de 80% des personnes privées de liberté sont sans vêtements, quelque uns portent des slip et une infime minorité des uniforme orange ou jaune.


La CIA estime que c'est une méthode simple et efficace pour adoucir les suspects et les rendre dépendant tout en améliorant la sécurité.


Sophia est l'une des rares femmes retenue dans ce pénitencier. Lorsqu'elle est arrivée sur le site, elle a été soumise à une mise à nu imposée et  complète associée à une fouille corporelle  avec inspection de la tête aux orteils et comportant un examen de l'anus et du vagin. 


Bien qu'elle soit une femme moderne et très éduquée, elle porte des vêtements traditionnels arabe (grande et longue robe) et un hijab (voile) sur les cheveux en signe de pudeur et de modestie et de respect pour sa religion et sa culture. Les gardes n'ont aucun scrupule a déshabiller les femmes comme elle, c'est terrible de devoir se mettre totalement nue et de se faire  exposée à poil  sans aucune pudeur aux regard des hommes et des femmes du staff ainsi que par les autres détenus dont peut être certains sont des  membres de sa famille.


Si les fouilles impliquant la nudité  sont une pratique habituelle et de routine dans les prisons américaines, ici dans ce centre de détention, les hommes peuvent participer aux fouilles à nue des femmes prisonnières et inversement les femmes gardes peuvent voir les prisonniers mâles soumis à des fouilles.


Ce choix est fait en fonction du contexte : accroitre le sentiment de honte et d'humiliation des captifs pout qui la nudité est un taboue culturel et religieux. Sophia et les quelques autres femmes incarcérées qui arrivent habillée de façon pudique et souvent complètement voilée  sont soumise à ce traitement : aucun respect pour leurs dignité ni leur sentiment religieux ! La prisonnière est 100% nue, rien pour couvrir sa poitrine, aucun tissus pour dissimuler  ses fesses et sa chatte, aucune chaussures pour masquer ses pieds nus !


Les soldats ont forcer Sophia a se déshabiller devant des gardes hommes et ils lui  ont interdit de porter des vêtements. Ils savent que la nudité provoque un grand sentiment d'humiliation chez ces femmes pour des raisons culturelles.

En plus d'utiliser des méthodes habituelle vexations, de dépersonnalisation,  de déshumanisation  et de rabaissement des nouveaux arrivant comme la fixation d'un numéro de matricule d'identification de prisonnier, le confiscation des vêtements civils et des effets personnels, bijoux, montre, boucles d'oreilles etc. Et bien sur l'interdiction de tout vêtements ou objets ethnique ou religieux (voile, couvre chef, Djellabah, Abaya) donc obligation d'être tête nue sans couvre chef en détention.


Les autorités pour renforcer le sentiment d'humiliation sexuel, mais aussi culturel et religieux obligent les femmes à parader et déambuler entièrement nues jusque a leurs cellules ! 


Sophia n'a pas échappée a cette difficile épreuve. Les gardes aiment la contraindre à  parader à poil sous les rires gras des soldats américains qui n'hésitent jamais à faire la moindre remarques salaces ou à imposer des postures humiliantes et dégradante à la prisonnière nue. 


Ils attachent aussi régulièrement la femme pour l'exposer et l'exhiber nue  en pleine journée et en public à la vue de tous dans les couloirs de l'aile de la prison car ils trouvent ça "fun" et amusant.


Modèle sur la photo : Cecilia Vega.



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Le traitement des femmes à la prison militaire.


Une prisonnière se fait tondre la tête par ses gardiens !


La nudité forcée en détention.


vendredi 15 octobre 2021

Une femme séjourne dans une prison de soumission.

 

Bondage d'une femme prisonnière nue.
Une femme nue sanctionnée et fouettée en prison.

Une prisonnière politique maltraitée et humiliée.


"Lorsque je suis arrivée dans cette prison, les gardes m'ont tout de suite obligée a me mettre nue et privée de tout mes vêtements et effets personnels. J'avais l'interdiction de porter des vêtements, et  comme la plupart des autres prisonniers je suis nue en permanence.


Dans cette endroit s'habiller n'est pas un droit.


La discipline est très stricte, tout est fait pour soumettre les détenus à l'ordre en place et les dresser. Je devais faire des travaux forcés et des corvées, et pour un rien les surveillants peuvent nous punir et nous priver de nourriture et de toute hygiène élémentaires.


Nous avons aussi l'interdiction de parler sans autorisation sous peine de sanctions sévères.


Les punitions sont cruelles et perverses, les gardiens fouettent, donnent des fessées, des coups de martinet ou de paddle, pratique la falaka sur les pieds des prisonnières, imposent de longue exposition totalement nue en publique pour bien humilier etc.



Les cellules sont toutes petites et sans aucun confort."



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Nudité imposée et pudeur.



Nue en prison.



jeudi 14 octobre 2021

Elles la mettent toute nue pour l'humilier et la punir.


Nudité imposée et méchanceté entre filles.
Fille cachée à poil dans la rue par vengeance.


Expédition punitive et vengeance avec mise à poil forcée.


Les faits se sont déroulés en Ile de France dans la grande couronne dans la journée du lundi 11 octobre 2021.  Zoé et Sirine, deux copines ont mener une opération punitive pour se venger  contre la jeune Lucie accusée d'avoir voler un téléphone et d'avoir tourner autour du petit ami de Sirine deux jours avant.



Les deux filles ont pénétrer en force dans le domicile de Lucie pour lui donner une correction et la séquestrer.



Les filles attrapent Lucie par les cheveux et lui donnent l'une après l'autre une série de gifles pour la remettre à sa place et fouillent le domicile de la victime.



Ensuite les filles décident de mettre à poil leur victime pour bien la dresser. Lucie n'a pas le choix et doit retirer tout ses vêtements, y compris sa culotte et ses chaussettes.


Après l'avoir humilier et donner plusieurs fessées et forcer à faire du sport à poil, les filles ont relâcher Lucie toute nue dans la nature.



Lucie a été retrouvée marchant à poil par des passants.



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mercredi 6 octobre 2021

Interrogatoire d'une prisonnière politique.

 


L'interrogatoire d'une fille de bonne famille.



Durant la domination des Etats Unis sur l'Amérique latine et particulièrement dans le contexte de la guerre froide  (1948/1991) ou les Etats Unis ont mener une guerre d'influence contre l'URSS qui représentait le communisme. Les Etats Unis ont installer et soutiennent des régime de droite souvent militaire anti socialistes.


Les  dirigeants des Etats Unis ont aider ces dictatures et leurs  services de renseignement à utiliser de méthodes d'interrogatoire renforcées ou musclées dans le but de faire parler les détenus et de démanteler toute opposition et faire taire toute contestation.



Un rapport rendu public parle d'une femme prisonnière connue sous le pseudonyme de "Ruby" ayant séjourné plusieurs mois dans une prison de la police politique superviser par l'armée US dans un pays d'Amérique centrale.

La jeune femme après avoir été arrêtée à un point de contrôle par des policiers, qui du fait de ses liens familiaux (son oncle est émigré en Italie et a écrit plusieurs livres favorable à la démocratie et à une plus juste redistribution des richesses) ont décider de la placer dans une prison spécialisée dans les interrogatoires.




Ruby est une fille de bonne famille, bien éduquée, une bourgeoise citadine , son seul tord est que son oncle est recherché, il est suspecté de financer la rébellion et d'avoir des informations importantes sur plusieurs autres opposants en fuite et de détenir des informations stratégiques.


Ruby est transportée dans un fourgon militaire  avec un sac sur la tête et enchainée aux mains et aux pieds en direction du fameux centre d'interrogatoire.


La prisonnière est maintenue manu militari entre les mains de deux gardiens en treillis  militaire qui l'a traine vers une pièce ou plusieurs spécialistes l'attendent.


Ruby cris et demande "Ou  suis je ?" "Que me voulez vous ?" mais les gardes l'ignorent totalement.


Une fois la détenue arrivée dans la "salle d'accueil", les interrogateurs se présente de façon strict et lui disent bonjour de manière relativement cordiale. Les gardes enlèvent les chaines de la prisonnière.


Ruby doit vite comprendre qu'on lui demande de se déshabiller :  "Enlève tes vêtements, bijoux, piercing et tout vos effets personnels s'il te plait."


"Quoi ?" répond la détenue choquée.


"Oui l'ordre est simple, tu te déshabille, tu retire tout, ce qui inclus tes chaussettes, soutien-gorge, culotte, mais aussi boucles d'oreilles, piercings, épingles à cheveux, tout quoi."



"Tu te met toute nue, rien ne doit couvrir tes fesses et tes seins, ainsi que tes pieds, si tu ne coopère pas nous utiliserons la force et tu terminera à poil."



Après le mise à nu humiliante, Ruby est interrogée à poil ligotée en bondage sur une chaise en étant masturber jusque à l'orgasme, puis on lui impose d'autre orgasmes.



Les femmes ont la capacité à pouvoir enchainer les jouissances l'une après l'autre, et ça devient insupportable après trois ou quatre




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lundi 4 octobre 2021

Interrogatoire d'une femme prisonnière.

 

Bondage et nudité pour la soumise ligotée nue sans pudeur.
Humiliation et nudité forcée au programme des interrogatoires des prisonnières.

La Stasi humilie et interroge de façon musclée une femme prisonnière nue.




En ex Allemagne de l'est , dans la République Démocratique Allemande (RDA) dans les années 1980 pendant la guerre froide le régime totalitaire  en place en Allemagne disposait d'une redoutable police politique , la STASI chargée de mater l'opposition.



La police politique use de moyen de pression psychologique et physique pour détruire l'opposition et faire parler les suspect pour démanteler toute forme d'opposition au socialisme.



Une opération a été mené par la redoutable sécurité intérieure qui à capturé une femme de 35 ans, Angela pour possession de croix, de bibles et de littérature religieuse non autorisé, et de liens avec le Vatican via l'Eglise Catholique interdite car contraire à l'Athéisme d'Etat.



Elle a été arrêtée en présence de son frère, Hans, 23 ans. Ils ont été transférés dans un centre de détention spécialisé dans les interrogatoires.


 Angela est placée plusieurs heures en isolement avec un sac sur la tête et son fils est attaché sur une chaise dans une grande salle d'interrogatoire.


Les policiers spécialisés explique à la prisonnière que son frère sera torturé et enfermé à vie dans une prison sécrète si elle ne parle pas et ne dévoile pas qui lui a fournit les bibles et qui sont les autres membres du revaux ecclésiastique.


Si elle veut sauver son frère innocent, la prisonnière doit obéir et satisfaire ses geôliers. 


Les entraves visuels du jeune homme sont retirées, 


La détenue catholique est amenée dans la salle de questionnement. En pleine lumière, elle reçoit l'ordre de se déshabiller devant les hommes interrogateurs et son fils, c'est très humiliant pour une personne respectable et bien élevée comme elle d'agir ainsi.



Une fois nue, Angela doit mettre les mains sur la tête et écarter les jambes au maximum pour que son vagin encore poilu et son anus soit visibles et bien exposés à la vue de tous.



Elle doit rester immobile dans cette position, pendant plusieurs minutes, pendant que les hommes de la police politique rigolent et l'insultent et font des commentaires salaces et pervers sur ses parties intimes.



Les flics se moquent de son hygiène douteuse, de ses trous jugés sales et sur sa "chatte gluante et puante".



Cette séance d'exhibition humiliante porte un grand coup à l'égo de la pauvre chrétienne persécutée par les communistes.


Un agent arrive avec un gant en latex et commencer par toucher les seins et les fesses de la détenue avant de lui masturber les lèvres et le clitoris devant son frère.


Hans bande comme un fou devant l'humiliation de sa soeur.



Angela mouille et gémit car la honte et les stimulations vaginales. Les membres de la Stasi rigolent et se moquent de la captive nue qui a des tremblements et émet des petits cris de plaisir.



Ensuite la prisonnière est attachée totalement ouverte la chatte écartée à la vue de tous dans une position extrêmement embarrassante et dégradante.





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Mettre nu les prisonniers fait partie du processus.

 

Nue et enchainée en prison
Femme nue et enchainée en prison.

Interrogation sur les abus, sévices et nudité forcée en prison.



Depuis que les abus sur les  tortures et les sévices à la prison militaire d'Abou Ghraib ont étés révélé par voie de presse au publique et que ça à provoquer un scandale ayant entaché l'image des Etats Unis, les hauts responsables américains ont accuser les gardiens d'être les seuls responsables, d'être des brebis galeuses et d'avoir agit par eux même de façon cruelle par manque de formation, de leadership.


Hors cela est faux, le renseignement militaire avec l'aval des plus hautes autorités civils et militaires US ont ordonner à la police militaire et aux gardiens de traiter les prisonniers comme pire que des chiens, de les humilier et de les rabaisser constamment en vue de les ramollir avant les interrogatoires et de les rendre plus dociles et coopératifs.


Les témoins ont constater que la plupart des détenus étaient gardés sans vêtements dans la plus totale nudité. Les autorités ont donner pour consignes aux gardiens de prendre les vêtements des prisonniers et de les garder nus dans leurs cellules.


Les dirigeants de la prison et les gardes sont très favorable à l'imposition de la nudité pour embarrasser les prisonniers et les briser en vue des interrogatoires.


Des femmes sont  également soumises à ce traitement. C'est jugée traumatisant pour une prisonnière que de devoir se déshabiller publiquement en exposant ses parties intimes  devant des gardes hommes et femmes sans respect pour la pudeur.


Par exemple Lara, une jeune femme incarcérée plusieurs mois  car soupçonnée d'avoir eu des responsabilités au sein de l'ancien parti unique au pouvoir a été déshabillée complètement lors de son arrivée sur le site, ses vêtements et ses chaussures ayant été confisqués  après la fouille lors de sont arrivée.


Des chaines sont placées aux poignets et chevilles de la détenue par sécurité.


La question de fournir des vêtements ou non à la prisonnière a été débattue au sein du staff pénitentiaire, l'opinion consistant à la traiter à égalité avec les hommes. Difficile d'imaginer ce que la prisonnière a pu ressentir en terme d'humiliation, surtout les premières heures quand elle a du parader nue  et pieds nus en direction de sa cellule dans les couloirs de la prison.



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Déshumaniser les femmes.



Forced nudity.





vendredi 1 octobre 2021

Les brimades et humiliations en centre éducatif fermé (foyer).

 

Un groupe de fille humiliées et dégradées nue.
Humiliation et brimades collective en pensionnat.

Brimades  et humiliations sexuelles au CEF (Centre éducatif fermé) pour jeune filles.


Pour faire face à la délinquance et a la radicalisation, les simples mesures répressives ne suffisent pas, le gouvernement à fait ouvert plusieurs Centre éducatif fermés , des établissements mixte, intermédiaire entre la prison et le pensionnat.


Dans la presse, il a été rapporté que des jeunes femmes disent subir des traitements dégradants et humiliants de la part des éducateurs et du directeur.


Les jeunes filles délinquantes ou en voie de radicalisation pour éviter d'aller en prison se voient proposer des placements dans ces foyers collectif dans le but de leur apprendre la discipline et les bases de la vie en société. 


Le règlement y est très stricte. Les pensionnaires doivent porter un uniforme (Chemisier blanc, jupe noire, veste, collants, chaussure de type escarpins, manteau, une tenue de sport, une tenue de nuit etc.), tout vêtements civiles venant de l'extérieur est interdit dans les locaux. La direction préfère imposer un uniforme pour mettre toute les filles à égalité, faire respecter le principe de laïcité en interdisant le port de tout signes religieux distinctif et les couvres chefs.


Les filles sont soumises  une discipline très stricte et doivent prendre leurs repas toutes ensembles au réfectoire commun.


L'une des pratiques dénoncés par les jeunes filles est la fouille à nu, en effet les pensionnaires se plaignent de devoir souvent se déshabiller complètement pour subir des inspection et mettre les mains sur la tête et se faire contrôler les anus, vagins, bouche, orteils sans aucun respect pour la pudeur et la dignité.


Le directeur de l'établissement justifie ces inspection pour des raisons de sécurité : vérifier que les pensionnaires ne dissimulent aucun objets illicite et pour des raisons éducatives : contrôler l'hygiène et la propreté des filles, celles dont les manquements sont constatés sont punies, souvent par des châtiments corporels humiliants (fessées, coups de cannes, bastinado etc.).


Elle reçoit une fessée toute nue.
Une bonne fessée toute nue sur les genoux du directeur.

Les méthodes éducatives sont aussi dénoncés, en effet les éducateurs sous prétextes d'endurcir les filles et de les éduquer, et pour montrer leur autorité forcent régulièrement les filles à s'exhiber nue, à courir et à danser à poil, a avoir des relations lesbiennes, à se masturber en publique, les fessées et autres châtiments corporels sont eux aussi délivrés devant tout le monde pour l'exemple.


Fille humiliée et punie toute nue.
Les humiliants châtiments corporels à poil.



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