lundi 15 juin 2020

Le traitement des femmes à la prison militaire

Nudité forcé, non respect de la pudeur en prison pour femme.
Nudité et humiliation d'une prisonnière à poil.

Une prisonnière nue et dégradée en détention

Une femme ayant probablement  une position importante dans l'ancien régime que les militaires américains viennent de renverser vient d'être arrêtée lors d'une opération de ratissage de l'armée dans un quartier hostile à la coalition.

Elle est probablement une apparatchik de l'ancien gouvernement aujourd'hui en fuite et recherché. C'est une femme respectable, riche et haut placée, l'épouse ou la cousine d'un ministre important, les américains ne savent pas encore très bien sa place et son rôle mais vont le découvrir grace à des méthodes d'interrogatoires renforcés.

La détenue est considérée comme étant de "haute valeur" et est transférée dans une prison comportant une aile dédiés à ce type de prisonniers. Le fait d'être une femme ne change rien à ce qu'elle doit subir. Des témoins affirment que dans cette partie de la prison, des fouilles très strictes et intrusives sont imposées à tout le monde, même aux femmes.

Des témoignages glaçants.

Un témoin ancien détenu nous signale que :

"Lorsque un nouveau détenu arrive ici, les gardes US le font déshabiller, de gré ou de force pour la fouille qu'ils appellent "strip search" and "cavity search" qu'ils imposent aux prisonniers. Une femme a été soumise à ça, et elle a du se dénuder devant des gardes hommes."

"C'est une femme d'environs 35 ans, bien habillée à l'occidentale, mais ils l'ont obligée à se déshabiller et menacer d'utiliser la force comme ils font avec les hommes. Ils n'ont aucun respect pour son rang ni sa pudeur de femme, c'est une honte." dit il en s'énervant.

Pour les autorités américaines, les fouilles à nu avec examens des orifices intimes sont une pratique routinière visant à garantir qu'aucune arme ou objet illicite soit introduit en détention. Les standards et procédures sont les mêmes que dans les prisons américains de moyennes et haute sécurité qui nécessite le retrait des vêtements pour l'inspection corporel et l'examen des parties intimes.

Bien que le nombre de femmes soit limité, les quelques détenues sont soumises à ces procedures.

On a ordonner à la prisonnière de vider ses poches, de donner ses bijoux, sa montre, ses boucle d'oreille, son argent liquide, ses papiers et ses cartes, et tout à été mis sous scellés et conserver dans une consigne conformément aux règles de bases.
La femme est ensuite déshabillée, les gardes explique qu'ici tout le monde est inspectés et fouillés, hommes, et femmes, pas d'exception, et que c'est la règle, que les gardiens ne font que leur travail, et qu'en cas d'absence de coopération, la prisonnière est dénuder de force.

Ella n'a pas le choix et retire ses vêtements, et ses chaussures, de beaux escarpins de luxe. Arrivé aux sous vêtements elle demande si elle peut au moins les garder. On lui répond strictement que "Non, la nudité totale est exigée ici".

Nue et pieds nus devant ses geôliers, elle tourne sur elle même sous les regard des surveillants qui scrutent tout les détails et signes distinctifs tels qu'un tatouage, piercing (qui doit etre ôter obligatoirement) , cicatrices, traces d'opération chirurgicale, tout est noté dans le dossier de la prisonnière.

Ensuite c'est une inspection de la têtes aux pieds. Tout y passe.

Les cheveux sont minutieusement controlés, ainsi que les oreilles, la bouche le nez et le nombril. Ses seins sont palper et ses aisselles aussi.

Elle doit aussi lever ses pieds pour un contrôle de la voute plantaire et un garde lui examine les orteils.

Elle est aussi forcée de sautiller nue et ses seins bouge, ainsi que de prendre des postures de squats et de tousser très fort pour s'assurer qu'elle ne cache rien dans son vagin ni dans son anus.

Pour finir elle a droit a un doigt gantés et lubrifié dans le cul et un autre dans la chatte.

Nudité forcée et humiliations.


Elle est ensuite gardée nue, car ici selon l'ancien prisonnier qui a accepter de témoigner "Les américains gardent les prisonniers nus en permanence, sauf ceux qui parlent et coopèrent avec eux. Ils l'ont escorté nue jusque dans sa petite cellule en riant, ils aiment rabaisser les femmes, elle marchait pieds nus et était exposée totalement aux hommes !"

Le retrait des vêtements serait une technique utilisé par la police militaire chargée des interrogatoires, qui aurait elle même ordonner aux surveillants de garder les prisonniers nus et de ne pas leur remettre de vêtements et leur faire du chantage.

Certains militaires reconnaissent de façon non officielle pratiquer comme technique d'interrogatoire la nudité forcée, méthodes selon eux très efficace et facile à mettre en oeuvre pour adoucir les détenus et obtenir des informations.


Liens :


Le camp de prisonnière.




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