dimanche 24 mars 2024

Jeune fille humiliée et punie pour manque d'hygiène au pensionnat.

 

Fille humiliée nue au foyer de l'ASE
Contrôle d'hygiène au foyer pour jeune femme.
 

Les éducateurs fessent et humilient les filles pour les former et leur apprendre la vie en société.

Mélanie, 22 ans est en pensionnat car elle a du mal à gérer sa vie et à poursuivre ses études. Les éducateurs l'ont surprise à marcher pieds nus dans les couloirs et parties communes, ce qui est interdit par le règlement, car marcher pieds nus salit les plantes des pieds, et les pieds des pensionnaires doivent être toujours propre.

Ayant constater ce manque d'hygiène, la jeune femme est soumise à un contrôle plus stricte et une punition : la fessée.
 
Les éducateurs l'obligent à se mettre à poil et a ouvrir les fesses pour voir si son trou et sa chatte sont bien propres.
 
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samedi 23 mars 2024

Une voleuse humiliée et fouillée toute nue en pensionnat.

Sévices et humiliation au pensionnat foyer de jeunes filles.
Une voleuse humiliée nue au pensionnat pour jeunes fille

Le calvaire de Vanessa, soupçonnée de vol et humilier par les éducateurs et les autres filles.

 Les foyer pour jeunes filles sont des endroits fermés, clos, qui font souvent parler deux comme dans ce fait divers, ou nous apprenons qu'une jeune femme de 21 ans, Vanessa a été humiliée par les éducateurs et les autres filles.

La jeune femme a vécue un cauchemar, accusée d'avoir voler les écouteurs d'une autre fille, a été prise à partie; Refusant d'avouer, les éducateurs ont décider de lui imposer une fouille à corps, devant les autres pensionnaires pour en faire un exemple.

L'étudiante est obligée de se mettre à poil sous la menace, les autres filles ont hurler des insultes et des moqueries "A poil les voleuses" "Montre ton trou du cul salope tu cache quelque chose dedans".

Vanessa s'est fait confisquer ses vêtements, elle a même du enlever ses chaussettes.

Les filles l'ont obliger à parader à poil dans les couloirs et la salle principale, et lui on claquer les fesses, pincer les seins.

Ensuite les surveillants l'ont enfermée nue et pieds nus dans une salle, avant de réunir tous le monde pour lui fouiller l'anus et la chatte.


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La délinquante punie.

Prisonnière nue sous la douche.

Une femme forcée de se doucher nue devant les gardiens de prison.

Les humiliations quotidiennes imposées aux femmes en prison.

 Les gardiens américain de la prison d'Abou Ghraib en Irak, dans le cadre de la lutte contre le terrorisme, en 2004 font tout pour humilier les captifs, y compris les femmes irakiennes musulmanes. Pour les punir et les rabaisser, la nudité est très utile et efficace.

Les femmes n'ont pas le droit de porter des vêtements, ni de chaussures, et l'une des pratiques pour bien les humilier est de les obliger à se doucher à poil devant les gardiens hommes.

Ce rituel a été mis en place pour habituées les prisonnières à la nudité. Le but est de leur faire perdre toutes pudeur, donc elles sont  plusieurs fois par semaines escortées à poil vers les douches, elles n'ont bien sur pas de serviettes, et paradent les fesses à l'air dans la honte. Elles doivent passer devant les cellules des hommes pour qu'ils puissent les voir nues.

Les gardes doivent toujours voir si les femmes prennent bien leurs douches, et si elles se lavent correctement, en vérifiant si elles frottent bien leurs fesses et leurs vagins. 


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Les gardes matent les prisonnières nues sous la douche.

Les humiliations quotidiennes subies par les prisonnières.

Fouilles et humiliations en prison
Les prisonnières alignée pour la fouille des anus.

La nudité et l'humiliation systématique en prison.

 Avril 2004, Abou Ghraib, Irak.

Le quotidien des prisonnières irakiennes dans la prison d'Abou Ghraib est très difficile. Les détenues sont là pour diverses raisons, l'une est l'épouse d'une personne activement recherché, une autre est suspectée de financer la résistance, d'autres sont suspectées d'avoir abriter des combattants et de détenir des informations importantes, d'autre avait des postes significatifs dans l'ancien régime etc. 

Elles ont entre 25 et 45 ans, et sont retenues dans l'aile d'isolement réservée aux femmes. La plupart sont éduquées dans une culture arabe conservatrice et pudique et sont de confession musulmane. Avant leur incarcération elles portaient le voile (hijab) et de longues robes traditionnelles pour cacher leurs formes.

Quand elles arrivent, les gardiens américains les forcent à se déshabiller. Elles sont misent totalement nues, par méchanceté les américains découpent ou brulent leurs vêtements devant elles. Les gardes hurlent et ordonnent aux femmes de tous enlever, elles doivent s'humilier à se déshabiller en public, c'est terrible de se déshabiller devant un public masculin.

Bien sur c'est toujours spectaculaire de découvrir nues des femmes qui étaient totalement couverte de la tête aux pieds, et qui se retrouvent 100% à poil quelques minutes après.

Elles sont totalement dépouillées y compris leurs bijoux, les chaussures aussi sont interdites , et les prisonnières ayant des collants bas ou chaussettes doivent les enlever pour se présenter pieds nus.

Les gardiens se moquent des femmes à poil, s'amusent de les regarder se promener les fesses à l'air, de leur imposer des fouilles anale et vaginale publique, l'anus bien ouvert, de secouer leurs seins.

Elles sont obliger de vivre nues, les fouilles des cavités pour la sécurité sont quotidiennes ( au moins trois fois par jours).

 

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Humiliations sexuelles et culturelles maximales en prison.


jeudi 21 mars 2024

L'interrogatoire d'une prisonnière arrogante.

 

Humiliation nue en prison
Exhibition d'une prisonnière nue.


Une femme remise en place en prison.

Une journaliste irakienne incarcérée par les troupes américaines pour avoir critiquer l'invasion en 2004.

Elle dénonce les humiliations  et mauvais traitements imposées aux prisonnières de façon systématique.

Ce qui l'a d'abord choquée c'est le fait d'avoir à se déshabiller, elle raconte que les américains forcent les femmes arrêtées à se mettre nues devant eux. Elle a été forcée de retirer tout, les femmes musulmanes comme elle n'ont pas le droit de porter leurs voiles et leurs robes pudiques. Leurs foulards sont arrachés et leurs abayas découpées.

Elle s'est fait mettre toute nue, y compris pieds nus, les américain font mettre nue et pieds nus toutes les femmes qu’ils arrêtent lors des opérations.

Ils aiment garder comme trophées les femmes, et s'amuser de leur embarras


mercredi 20 mars 2024

Les femmes sont disciplinées et punies.

Exhibition, nudité forcée, humiliation en prison
Les femmes prisonnières alignées nues et humiliées par les gardes.

Les femmes soumises aux techniques d'interrogatoires renforcés.


Dans la prison militaire d'Abou Ghraib en Irak en 2004, le gouvernement américain a donner les pleins pouvoirs à l'armée, à la CIA pour les interrogatoires et la lutte contre le terrorisme après le 11 septembre. Dans la section ou sont retenue les femmes irakiennes, la discipline est très stricte et les conditions inhumaines et dégradantes.

Dans cette prison la chose la plus frappante est que les femmes sont gardées toutes nues, en arrivant les gardiens américains les forcent à se déshabiller, les fouilles vraiment partout en passant des oreilles aux orteils sans oublier de vérifier leurs anus. 

Tout est fait pour les punir et humilier, elles sont presque toutes musulmanes et portent le hijab pour 90% et de longues robes arabes traditionnelles par respect pour leur coutumes religieuses pudiques, et elles doivent s'exposer devant les hommes.

Pour les gardes la punition et la vengeance passent par l'humiliation, et les détenues doivent perdre toute pudeur et s'exhiber nue devant des hommes. Les voiles et les robes sont découpés et brulés sous leurs yeux, les culottes sont systématiquement volées et utiliser pour humilier et tourmenter les hommes qui se retrouve souvent à poil avec les culottes de leurs femmes sur la tête. 

C'est un vrai processus de conditionnement et d'asservissement, ces femmes doivent être nues en permanence. Sans avoir droit de couvrir leurs seins et leurs fesses qui doivent être visibles en permanence.

Les gardiens fouillent les orifices des femmes plusieurs fois par jours pour des raisons de sécurité, mais aussi pour les rabaisser en permanence, pour les punir elles doivent ouvrir la chatte et les fesses.

Le nudisme est une vrai doctrine imposée.


Les femmes sont réveillée à 6h et sont alignées dans le couloir pour l'appel et écouter l'hymne américain à poil.

Puis elles font des exercices sportifs nues, puis passent à la douche sous les yeux des gardiens qui les regardent se savonner les fesses.

Ensuite à 9 heures c’est le petit déjeuner, souvent des biscuits arrosés de spermes.

Ensuite les gardiens aiment organiser des parades. Les femmes sont forcées de chanter et danser des choses obscènes

Elles sont obligées de se regarder nue, de se montrer l’anus ouvert entre elles, sous les rires et insultes des gardes en public.


 Lien :


Le dressage d'une prisonnière.


mardi 19 mars 2024

Une prisonnière amenée nue et balader dans les couloirs de sa prison.

Forced nudity during iraqi war (Abu Ghraib)
Prisonnière conduite nue en cellule.

Incident nudité forcée à Abou Ghraib.

 Cette photo a été prise en avril 2004 dans les couloirs de la prison militaire d'Abou Ghraib en Irak gérée par les USA.

Une détenue dite "de sécurité" de sexe féminin est escortée  enchainée et menottée jusqu'à sa cellule. Il faut signaler qu'elle est intégralement nue. C'est une ancienne responsable du ministère de l'intérieur, elle est sous statut de "haute importance".

La prisonnière a été fouillé comme le prévoit le processus d'incarcération, les femmes musulmanes irakiennes sont donc obliger d'enlever leurs vêtements. Son hijab, sa robe, ses bijoux, sa montre, ses sous vêtements, ses chaussures, ses chaussettes et même ses boucles d'oreilles sont confisqués !

Les prisonnières ne sont pas autorisées à porter des vêtements ni de chaussures et doivent rester nues et pieds nus. Les vêtements ne sont pas autorisés.

lundi 18 mars 2024

Deux prisonnières nues mise en cellule.

Deux femmes paradent à poil en prison.
Nue en prison.

Les femmes pudiques et la nudité forcée.

 Pendant la guerre en Irak en 2004, je connaissais une femme d'une trentaine d'année, Marwa, elle était la gérante de la pharmacie de mon quartier, des personnes malveillantes l'ont dénoncer aux américains comme quoi elle soutiendrait la résistance, elle s'est faite arrêtée avec sa collègue Wafa quelques jours après.

Les américains l'ont incarcérée dans dans tristement célèbre  prison d'Abou Ghraib,  La pauvre, elle n'a jamais été aussi humilier de sa vie, elle et son amie ont été forcée d'enlever leurs vêtements devant des hommes. Les prisonnières irakiennes sont traitées comme les hommes : elles sont misent à poil,et interdites de porter le moindre morceaux de tissus.

Marwa et Wafa portent habituellement le voile (hijab) et de grande robe traditionnelle arabe pour des raisons d'éducation et de  respect des préceptes de la religion musulmane, et le protocole mis en place les oblige à tout enlever.

Plus c'est traumatisant et humiliant et mieux c'est, j'ai jamais vue Marwa aussi honteuse, elle baissait la tête et sanglotait, les gardiens les ont faite parader à poil dans toute la prison.

Les gardes lui demandait ce que ça fait de se promener cul nu ? C'est terriblement humiliant pour ces deux femmes musulmanes d'être forcées de rester toute nue et même pieds nus, les gardiens interdisent aux prisonnières de couvrir leurs pieds, les chaussettes aussi sont retirés.

Les femmes doivent se montrer nues devant tout le staff mais aussi devant les autres détenus et entre elles.

 La nudité est jugée essentielle pour obtenir des résultats.


Liens :

Prison d'Abou Ghraib.

dimanche 17 mars 2024

Retour du bagne en France.

Dressage discipline au bagne.
Bagne, les détenues déshabillées complétement pour le dressage.

 Les centres de lutte contre radicalisation  et délinquance en France.


Le gouvernement à déclarer avoir ouvert un programme pour lutter contre la délinquance et la radicalisation des jeunes femmes de 18 a 40 ans. Ceux sont de véritables bagnes modernes avec des conditions très strictes qui ont ouvert dans toute la France.

Les femmes considérées comme dangereuses peuvent y être internées sur demande de leurs parents, professeurs ou de leurs patrons. Les jeunes femmes condamnées à des peines de moins de 2 ans peuvent aussi bénéficier de ce programme expérimental. 

La discipline est très importante, le travail et l'obéissance sont au cœur du projet.

 

Les femmes sont soumises à des règles strictes : 

Les jeunes femmes sont juste vêtue d'un uniforme rayé primaire d'une seule pièce, et de chaines en fer aux chevilles. Elles n'ont pas le droit de choisir leurs tenue vestimentaires. Elles sont toutes pieds nus en permanence, en signe d'humilité et d'égalité, elles ne porte pas non plus de culotte ni de soutien gorge, les sous vêtements sont interdits. Elles n'ont pas non plus le droit de porter des signes religieux, les voiles (hijab), croix, étoiles de David etc. sont confisqués et strictement interdit. Toutes doivent être tête nue.

Elles sont fouillées très régulièrement et intégralement nues pour la sécurité de tous mais aussi la discipline. De plus elles doivent s'exposer sans vêtements devant des hommes, la pudeur doit être combattue, une femme qui se dit bonne citoyenne n'a pas à cacher son corps devant les autres.

Les douches sont collectives se déroulent nues et sous les yeux des surveillants. Les visite médicales aussi.

Les mises à poil sont essentielle dans le processus d'éducation et de formatage idéologique.

Lever à 6h, avec alignement dans la court et hymne nation à apprendre par coeur.

6H30 : Inspection corporels (dentition, anus, vagin, orteils, nombril, vérification de l'hygiène (test du doigt dans l'anus).

7H00 : Petit déjeuner.

08h à 11h, travail forcé aux champs.

11h passage en revue et alignement des filles nues, punition aléatoire (fessées, falaka).

12h : déjeuner.


13h à 16h, cours.

17h : Hymne national.

17H30, sport nue.

18H30 douche.

19h Repas du soir.

20h30 : passage en revue, dressage des filles les moins perforante.

22h extinction des feux.


Liens :


Punir au pensionnat.

 

Brimades au centre éducatif fermé.

 



Une prisonnière nue et pudique en confinement solitaire.

Nudité forcée en prison
Prisonnière nue et pudique.

La nudité forcée en cellule d'isolement.

 2004, Section isolement de la prison d'Abou Ghraib en Irak.

 

Les femmes irakiennes comme  Jasmina détenues par les forces américaine sont gardées sans aucun vêtements. Lorsque les enquêteurs ont eu accès à elle après l'avoir retrouver plusieurs semaines après son arrestation, elle était détenue dans une petite cellule en confinement solitaire.

Elle n'avait manifestement pas de traces de maltraitances, mais elle était très gênée, les gardiens l'ont mises nue lors de son arrivée et l'ont laisser comme ça.

La détenue tentait de cacher son corps, il faut savoir que cette prisonnière est une fervente musulmane très conservatrice, comme la majorité des irakiennes elle porte le hijab (voile) et de longue robe pour dissimuler son corps.

Et bien sur, quand une de ces femmes est incarcérée, les gardes l'obligent à retirer tous ses vêtements pour la fouiller. La prisonnière doit se déshabiller devant des hommes aussi, car c'est plus humiliant sous le regard de pervers qui matent et reluquent les moindres partie de son corps en faisant des remarques salaces.

Les femmes sont très humiliées par cette nudité obligatoire, Jasmina n'aurait jamais imaginer se retrouver toute nue devant des hommes et devoir les laisser regarder dans son anus et y mettre leurs doigts, lui toucher les seins.

Les gardes l'ont aussi forcer à parader à poil dans la prison,  car les femmes pudiques doivent apprendre à s'exhiber et comprendre qu'entre les mains des militaires il n'y a aucune place pour la pudeur.

Les femmes doivent apprendre à être nues devant les hommes et ne rien cacher, ici les seins les fesses et la chatte doivent être toujours visibles.

Jasmina est encore pudique et se recroqueville par modestie ce qui fait rigoler les gardes car tant qu'elle sera prisonnière elle sera privée de vêtements et de chaussures.


Liens : 

Interrogatoire nue en prison.

dimanche 18 février 2024

Les règles de la prison des femmes d'Abou Ghraib

 

Les prisonnières doivent faire les corvées et travaux forcés à poil.
Une prisonnière nue lors des travaux forcés.
 

Notes et révélations sur les consignes données par l'armée et la CIA pour traiter les prisonnières d'Abou Ghraib.

 

Suite au scandale concernant les abus et les tortures subies par des prisonniers irakiens entre les mains des américains pendant la seconde guerre du golfe (2003/2011), c'est vite poser la question du traitement des dizaines de femmes retenues dans ce terrible complexe pénitentiaire. Plusieurs journalistes et chercheurs ont découvert que ces abus ne sont pas le fruit de la perversion de brebis égarées, mais un système mis en place et pensée par les plus hautes autorité du renseignement militaire et de la CIA. Des notes ayant valeurs de consignes et de règlement à appliquer aux femmes comme lignes directrices ont été données au staff pénitentiaire.

 

 Pour plus d'information sur le contexte historique et politique veuillez vous référer à ce lien.

 

Les méthodes d'interrogatoires renforcés utilisées :


Les interrogateurs estiment qu'il faut utiliser les tabous culturels et religieux des prisonniers, et comme la nudité est particulièrement infamante pour les arabes, toutes les personnes incarcérées doivent donc être nues.

Les prisonnières doivent être nues en permanence, les femmes musulmanes doivent être déshabillées lors du processus d’incarcération, les gardes doivent veiller à ce qu'elles enlèvent tout. Elles sont pudiques et voilées de la tête aux pieds et les gardiens sont sans pitié et les force à tout retirer, bien sur que les femmes enlévent leurs robes et leurs voiles, les culotte aussi et les gardes interdisent même les tampons hygiéniques !

Les fouilles des cavités (bouche, oreils, anus, chatte, orteils) plusieurs fois par jours pour s'assurer qu'elles ne cachent rien. 

Les femmes doivent être exposées nues pour une humiliation totale, entre elles,  devant les gardiens mais aussi devant les prisonniers masculins.

C’est plus efficace de forcer les femmes à s’exhiber devant leurs communautés, elles paradent nues devant des hommes qui peuvent être leurs époux, cousins, voisins, employés, frères etc.

Obligation de travailler à poil en prison.
Une prisonnière nue lave et nettoie le sol.


Les prisonnières doivent apprendre l’humilité, en étant nues et pieds nus. Elles doivent s'exhiber devant leur proches.

Les femmes sont utilisées comme moyen de pression sur les hommes, qui prennent vite peur, car ils savent que si  une femme de leur entourage est capturée, et bien elle sera exposée comme un trophée par les américains.

Les femmes lors des défilés doivent se présenter, dire leurs noms, prénoms, ville, confession religieuse, profession tout en montrant leurs corps aux hommes irakiens.

Les hommes doivent bien comprendre que si leurs femmes, sœurs ou filles sont arrêtées, elles subiront le même sort.

Travaux forcés et corvées: Chaque femme doit à tour de rôle servir les repas des autres prisonnières et prisonniers, c'est une habitude qu'on pris les gardes pour obliger les femmes à perdre leur pudeur.

Les femmes doivent aussi effectuer diverses taches et corvées comme nettoyer le sol, laver les murs, balayer, récurer. Tout doit briller et être propre.

Les gardiens obligent les prisonniers et prisonnières à marcher pieds nus et si leurs pieds sont sales les autres détenues doivent les lécher.

Les fouilles : les femmes sont soumises à plusieurs inspections des cavités par jours pour vérifier qu'elles ne dissimulent rien et surtout apprendre l'humilité. Elles doivent régulièrement faire une sorte de chorégraphie ou elles exposent leurs cheveux, doivent ouvrir la bouche, , soulever, leurs seins, écarter les fesses pour montrer l'anus, ouvrir les lèvres de leurs chattes, secouer les orteils.

L'homosexualité et la masturbation : Les prisonnières sont régulièrement forcées d'avoir des relations lesbiennes et de se toucher la chatte jusque à la jouissance.

Les gardiennes utilisent les femmes pour les soulager sexuellement.

Sport et épuisement : Courir, sauter, sautiller, faire des squats et des flexions  jusque à l'épuisement, sous les rires et moqueries des surveillants qui regardent leurs seins et fesses bouger dans tous les sens.

Autocritique et conditionnement mental : Les détenues doivent critiquer leurs cultures d'origine et rejeter le port de vêtements et de chaussures.

Photos et vidéos :les photos des prisonnière nues dans des positions obscènes sont placardées partout dans la prison.


Liens :

 

L'humiliation comme mode de gestion de la prison.

samedi 17 février 2024

Bizutage : une fille stockée toute nue dans la salle de cours

Toute nue au bizutage

 Chloé se souviendra longtemps de sa journée de bizutage de première année de fac.

Les anciens ont littéralement traqué les filles de premières années, ils sont aller les chercher partout, Chloé est l'une des premières, les maitres de cérémonie l'ont placée dans la salle, ou ils l'ont obligée à se mettre toute nue.

L'étudiante n'a pas résister car elle a vue d'autres filles plus pudiques se faire mettre à poil de force et déchirer leurs vêtements. Dans ces bizutages les anciens font mettre totalement à poil les nouvelles, elles doivent même retirer leurs chaussures et chaussettes pour être pieds nus.

Chloé se rase la chatte donc elle est tout de suite bien vue car c'est une jeune fille moderne est propre.

Liens :

 

A poil dans le parc au bizutage.


Une femme forcée de se déshabiller devant les gardiens homme.

Striiped naked in front og male guard.
Prisonnière se déshabille devant un gardien homme.

Rapport d'incident à la prison d'Abou Ghraib  :  une femme forcée de se dénuder devant des hommes.

Le 7 mars 2004, dans la prison d'Abou Ghraib, Lila D, une détenue irakienne de 28 ans, retenue pour soupçons de soutient financier à la rébellion a été obligée de se déshabiller devant un garde américain en guise de punition.

Les gardes utilisent la nudité comme moyen de domination et de punition. La décision de lui enlever ses vêtements vient du fait qu'elle se soit plaint à son avocat de mauvais traitements, et aurait refuser de se lever pour écouter l'hymne américain.

Dans la section d'isolement les détenues portent un uniforme de prison de couleur orange, comme à Guantanamo Bay, avec inscrit "Inmate". Les détenues ne porte pas de sous vêtements, ni de chaussures ou de chaussettes.

Le hijab (voile islamique) que ces prisonnières portent comme toutes les bonnes musulmanes est interdit. Les prisonnières doivent en signe de soumission et d'humilité restées "tête nue" et pieds nus et porter des uniformes impersonnels oranges.

Les prisonnières sont traditionnellement gardées pieds nus pour leur enseigner la soumission et l’humilité.

Les femmes n’ont pas le droit de manifester leur appartenance religieuse.

Elles doivent se déshabiller devant des hommes, c'est important qu'elle comprennent qu'elles n'ont pas le droit à l'intimité ni à la pudeur et que les gardes ont le droit de voir leurs seins, leurs fesses et leurs chattes à volonté.

Lorsque une femme arrive elle doit se soumettre à une fouille très complète avec une inspection de l’anus et du vagin. C’est très humiliant, pudeur n'a pas sa place, mais c'est une prison de haute sécurité dans une zone de guerre.

 

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Discipline en prison.

dimanche 11 février 2024

L'importance des fouilles et de la nudité en prison.

Deux femmes déshabillées par le garde de la prison.

Un responsable des interrogatoires explique gardiens  l'importance d'humilier les femmes en prison.



Depuis le 11 septembre 2001, nous avons décider d'autoriser toutes les techniques interrogatoires par soumettre et rendre docile les prisonniers dans le cadre de notre lutte contre le terrorisme, et l'une des techniques les plus simples, les plus économique, sécuritaires  et paradoxalement l'une des plus efficace c'est la nudité forcée et les fouilles corporelles.

Nous avons décider de faire de ce complexe pénitentiaire d'Abou Ghraib le centre de nos interrogatoires en Irak et un centre d'expérimentation des méthodes les plus pratiques et performants en vue d'obtenir des résultats : Coopération complète et soumission. Le tout sans aucun état d'âme.

Les femmes que nous arrêtons le sont pour diverses raisons qui pour les gardiens n'ont pas vraiment d'importance alors nous le l'évoquons ici que brièvement : Liens avec l'ancien régime, liens de parenté avec un homme recherché (soeur, fille, épouse, cousine), opposantes, personnes dénoncée abusivement etc.

La plupart des femmes entre vos mains sont des irakiennes, musulmanes sunnites ou chiite, parfois chrétiennes voir même athée, mais toutes sont de culture très traditionnelle et conservatrice, presque aucune n'oserait ne serait ce que se promener en bikini sur une plage. De plus elles sont très pudiques et réservées.

Environs 90 % des arrivantes porte des vêtements religieux et coutumiers arabes (la longue et ample robe arabe abaya, voile islamique, Tchador), l'une de vos priorités doit être de dépouiller la femme incarcérée de son identité (elle devient un numéro), de son argent, et bien sur de ses vêtements et bijoux.

Pour imposer directement votre autorité, la fouille à nu est essentielle, la prisonnière doit y perdre sa dignité, sa pudeur, sa fierté pendant cette étape.  Le mieux est de l'obliger  à enlever ses vêtements d'elle même en lui faisant comprendre que toute résistance est inutile, avec la présence de gardes masculins très costaud.


Faite en sorte que la fouille se déroule en  publique et en présence d'hommes pour augmenter le sentiment de dégradation des prisonnières. Moquez vous d'elles, dites leurs que la nudité est la règle ici, et qu'elles doivent tout montrer, aucune intimité 

Certes ça rend le déshabillage plus long, mais aussi plus humiliant et donc plus efficace. Aucune faveurs ne doit être accordées à la détenue malgré les larmes et supplications, n'oubliez pas de leur faire enlever leurs montres ou leurs chaussettes si elles portent, et même leurs tampons hygiénique !

Si possible découper ou déchirer leurs vêtements devant elles, ou prenez les et mettez les hors de vue de la détenue pour lui faire perdre tout espoir de se rhabiller.

Une fois dépouillée de toute pudeur et vulnérable, laissez la prisonnière nue totalement exposée, regardez ses seins, sa chatte, ses fesses. Et moquez vous d'elles, exploitez la situation en lui rappelant qu'elle est toute nue et pieds nus alors que quelques instant elle était une femme respectable et pudique !

Nous devons reconditionné l'esprit de ces femmes, leur imposer le nudisme comme mode de vie et détruire en elles toutes traces de pudeur et de modestie doit être l'objectif.

Vous avez les fouiller intégralement, et partout même entre leurs fesses !

Elles doivent toucher leurs orteils et ouvrir les fesses pendant que vous regarder l’intérieur de leurs entrailles, si possible en y introduisant un doigt ganté lubrifié ou pas et avec une lampe torche.

Ensuite vient une étape très importante pour le reconditionnement des détenues, la parade “a poil”, vous devez conduire les prisonnières dans leurs cellule totalement nues en prenant tous votre temps et en faisant le tour de la prison.

Bien sur, elles ont l'interdiction de mettre les mains sur la poitrine pour cacher les seins ou la chatte et les fesses qui doivent être à l’air et pleinement visible.

Elles doivent être présentée à tous le staff mais aussi aux autres détenus hommes et femmes, si possible devant des membres de leurs familles ou de leurs quartiers pour les humilier au maximum. Et comprendre qu’ici les concept tels que dignité, pudeur, modestie, vie privée n’ont pas d’application ici.

Moquez vous d’elles pendant la balade les fesses à l’air  en prenant bien votre temps ! Si vous le pouvez; faite bruler ou découper en public leurs vêtements, surtout leurs voile (hijab) et leurs robes pour symboliquement les rabaisser.
 
N'oubliez pas que leur religion les incitent à se couvrir et cacher leurs corps, alors imposez leur la nudité totale et permanente. 
 
Dite leur qu'ici les prisonnières sont gardées obligatoirement nues pour être dressées, et que dans quelques semaines elles s'habitueront à vivre nue.

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samedi 10 février 2024

Harcèlement sexuel, nudité forcée, fouille humiliantes pour prisonnières de guerre.

 

Femme dressée et humiliée par les gardiens de prison.
Prison et humiliation.

Un interrogateur explique l'importance des humiliations et des inspections des prisonnières en terme de renseignement militaire.


Depuis les temps immémoriaux que les guerres existent, les prisonniers et prisonnières de guerre ont toujours représenter un enjeux important, qu'ils soient symbolique comme faire des défiler de prisonniers nus et de vendre les femmes comme esclave, économique comme au moyen âge ou les nobles capturés étaient rançonnés, et surtout en terme de domination du peuple conquis et de renseignement militaire et stratégique.

Les Etats Unis d'Amérique ont développer un grand savoir faire pour "traiter" les détenus et les briser et les rendre dociles et coopératifs. Dans la prison militaire d'Abou Ghraib en Irak pendant la seconde guerre du golfe (2003/2011), les américains ont mis en place un processus de traitement pour briser et rendre docile les captifs et les faire parler et avouer lors des interrogatoires.

Les femmes sont particulièrement visées et appréciées par les gardiens, à l'image de Salma,  prisonnière irakienne 34 ans, pharmacienne de profession, de milieu aisé, d'une conservatrice et pleine de traditions religieuses musulmanes et arabes, sont durant la première étape de leur admission dans cette prison sont dépouiller de leurs identités, argents, effets personnels, montres, bijoux, boucles d'oreilles, de toute liberté et aussi de leurs vêtements.

Cette respectable,  pieuse et bien éduquée  jeune femme s'est retrouvée très humiliée quand on lui a fait retirer son voile (hijab) qui lui couvre la tête, pour qu'elle soit priver de son identité culturelle et religieuses, qui est interdit dans la prison, ainsi que le reste de ses vêtements ses chaussures.et même ses sous vêtements et chaussettes !

Le déshabillage des prisonnières se déroulent devant un public mixte avec obligatoirement la présence d'homme pour accroitre le sentiment dégradation des femmes. Lorsque Salma a appris qu'elle devait être nue en présence d'homme elle a pleurer et était toute rouge de colère et les yeux plein de honte.

Le processus a pour but de dépouiller la prisonnière de tout ses droits, de sa liberté et de sa dignité et de la briser.

La détenue doit ensuite prendre des postures obscène et dégradante pour que tout le monde puisse voir quand elle écarte les fesses et sa chatte sous les rires et doit toucher ses orteils, pour les gardiens c'est un spectacle, ces femmes si pudiques sont des prisonnières et elles doivent être totalement exhibées de la têtes aux orteils !

Les cavités intimes sont explorés la pieuse femme se prend un long toucher rectal puis vaginal.

Avant le placement en cellule la jeune femme a été laissée nue et pieds nus au milieu des couloirs de la prison pour ensuite faire une parade à poil devant le staff et les autres prisonniers. Pour les interrogateurs c'est important de permettre aux gardes et aux membres du personnel découvrir  ces femmes sans culotte ni aucun tissu pour se couvrir et de profiter du choc et de voir à quel point c'est humiliant et gênant pour elles.

La prisonnière déteste toujours ce moment ou pour la première fois , elle est soumises à l'obligation d'exposer les recoins les plus intimes de leurs corps. Le tout devant les soldats  américains qui ne respectent pas sa vie privée, ni sa dignité,  et lui fait savoir qu'elle n'a aucun droits.
 
Les consignes données aux gardiens  sont de pratiquer des fouilles intimes très régulièrement et de façon minutieuse tant pour des raisons de sécurité mais aussi pour apprendre l'obéissance et la soumission.
 
Utilisez leur religion pour mieux les humilier, demandez leur si elles sont contente d'être à poil entre nos mains. Moquez vous d'elles, du fait que leurs fesses soient à l'air, attribuez leur des sobriquets comme "cul nu" , "pute".
 
Faite lui remarquer  qu'elle n'a pas de droit de porter des vêtements, et qu'elle doit rester nue et pieds nus alors qu'une bonne musulmane est censée être pudique, couverte et voilée. 

Salma par exemple est obligée de répéter plusieurs fois par jours qu'elle est fière et heureuse d'être nue.
 
C'est important pour les reconditionner de leur faire répéter  des paroles comme "Je ne mérite pas de porter des vêtements".

Nos ennemis doivent payer, il est normal de les humilier, les perdants lors des guerres sont en général mis à poil et soumis, nous devons perpétuer cette longue tradition de domination.



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vendredi 9 février 2024

La nudité forcée dans les prisons militaires en temps de guerre.

Nudité forcée
Prisonnière escortée et exhibée nue en prison.

Une femme vient d'arriver en prison, et elle est mise nue et humiliée.

Quand vous voyez cette femme complétement nue, tête baissée, enchainée et menottée entre les mains de son gardien et forcée de parader nue avant de rejoindre sa cellule, vous devez savoir que quelques minutes avant, elle était encore une femme digne et fière, qu'elle portait le voile et une abaya comme la plupart des femmes musulmanes d'Irak.

Mais en arrivant dans la célèbre prison d'Abou Ghraib, les gardiens l'ont obliger à enlever ses vêtements, car les prisonnières doivent être punies et dressées, et donc misent complétement nues devant tout le monde, y compris des hommes. C'est une terrible et implacable humiliation.

Elle a subie une fouille très invasive, avec examen de l'anus et du vagin pour s'assurer qu'elle ne dissimule rien. Les femmes doivent se déshabiller devant les hommes.

Cette détenue de sécurité n'aurait jamais imaginer dans ses pires cauchemar subir ça. Elle est à poil, les gens se moque d'elle, elle n'a même pas eu le droit de garder ses chaussettes, le contact de ses pieds nus sur le sol lui est très désagréable, c'est sale, humides, poussiéreux.

Les militaires se moque de ses petits seins et de son corps tout maigre, d'autre lui demande ce que ça fait d'être balader  poil, et qu'ici les femmes prisonnières sont gardées toutes nues.

Dans les couloirs de la prison d'Abou Ghraib la nudité de cette prisonnière est normale pour les gardiens.

La responsable du secteur lui dit qu'elle restera nue en permanence, que les femmes prisonnières sont strictement interdite de porter le moindre vêtements. "

La nouvelle constate avec effroi que toutes les femmes sont nues. Une détenue est exhibée les jambes écartées.

 

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Humiliations et nudité forcée en prison.

mercredi 7 février 2024

Les prisonnières humiliées nues en vue des interrogatoires.

 

Des femmes humiliées à poil par les gardiens
Les prisonnières humiliées et avilies en public.

Les gardes mettent nues et humilient sexuellement les femmes dans cette prison.

 

 En mars 2004 en Irak dans la prison militaire d'Abou Ghraib tenue par l'armée américaine.
 
 
 Les femmes prisonnières irakiennes d'Abou Ghraib en voie des vertes et des pas mures, les gardes par méchanceté et sadisme les rabaissent, maltraitent et les humilient constamment. Lorsqu'un nouveau gardes ou qu'un observateur se promène dans la zone ou les femmes sont détenues, il assiste souvent à des scènes spectaculaire et marquantes.

Tout d'abord, les prisonnières sont  totalement à poil, ce traitement infamant est choquant quand on sait que ces femmes sont des musulmanes très conservatrices, pudiques, qu'elles portent le voile (hijab) et l'abaya et que là on leur impose la nudité intégrale. Elles sont toutes pieds nus.

Les gardiens américains les réunissent souvent dans les couloirs pour de vrai séance d'humiliations publiques.
 
Elles sont alignées nues les mains sur la tête,  les jambes écartées, les yeux et la tête baissées , elles doivent parfois rester plusieurs heures comme ça. Les seins et leurs fesses sont pincés, tripoter, leurs chattes sont doigter et leurs anus sont titillés.
 
Les gardes les insultent, lancent des commentaires et des moqueries sur leur seins, le fesses, leurs chattes, elles doivent "jouer" à des jeux stupides, comme le jeux des chiennes, ou les gardes les force à marcher à quatre pattes et à se renifler les fesses. Certains gardes pour corser le jeux colle parfois le nez d'une détenue dans le cul d'une autre et l'oblige à lécher.

Les femmes doivent aussi régulièrement "se présenter" dans des rituels humiliants et dégradant. Une à une, les détenues doivent donner leur numéro de matricule, leur nom, prénom, âge, ville d'origine et présenter leurs seins, leur sexe et leur anus écarté puis remercier les Etats Unis d'avoir libérer l'Irak.
 
Elles doivent aussi dire plusieurs fois par jours qu'elles remercie les responsables de la prison de leur interdire de porter des vêtements.
 
Les femmes sont exposées nues en permanence même devant les autres prisonniers. Les gardes forcent les femmes à s'exhiber devant leur propre famille et leurs proches.
Les femmes sont de vraies trophées

Ils aiment aussi organiser des séances de sport dans les couloirs, forcer les femmes à s'épuiser dans des exercices intenses. 
 
Les prisonnières doivent faire des monter de genoux, leurs seins bougent dans tous les sens, elles font des squats et les gardes regardent les fentes s'ouvrir.
 
Elles sautillent et leurs seins rebondissent, marchent en canard, des jumping Jack,  les plus sportives font des burpees.

Les femmes doivent s'épuiser au sport avant d'être passées au jet d'eau froide.


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mardi 6 février 2024

La prisonnière humiliée et interrogée.


Nudit lors des interrogatoires.
Une prisonnière nue pendant l'interrogatoire.

Comment se déroulent les arrestation et les interrogatoires des femmes ?

Depuis les attentats du 11 septembre 2001, les Etats Unis se sont lancés dans la guerre contre le terrorisme et ils ont modifiés leurs lois pour les rendre plus répressives, permettre de détenir des personnes sans charges pour des durées indéterminées, et autorisé toute une série de mesures d'interrogatoires renforcés.

Ils ont ensuite attaquer l'Irak et renverser le régime en place.

Malika, 26 ans, la fille d'un responsable de l'ancien régime en fuite a été arrêtée et à passer plusieurs semaines en détention sans charge, juste parce qu'elle est proche d'une personne recherchée.

Elle a passer presque un mois dans la prison d'Abou Ghraib. Les forces spéciales l'ont capturée pendant un raid sur sa maison en pensant trouver son père. L'arrestation s'est déroulée proprement, les militaires lui ont menottées les mains dans le dos, et lui ont placer une cagoule sur la tête avant de l'embarquer pour une destination inconnue.

Après plusieurs heures de périples et d'attente, Malika a été conduite dans le centre de détention d'Abou Graib, dans la section d'isolement ou sont retenues plusieurs femmes comme elle.

Sur place, le processus se met en place, Malika est soumise à une fouille à nue qui comprend un examen gynécologique. Les femmes musulmanes irakiennes comme Malika sont très pudique, portent le voile hijab et s'habillent de façon ample pour dissimuler leurs formes. Mais les autorités américaines ont décider qu'il fallait faire preuve d'autorité envers toutes personnes susceptible d'être liées plus ou moins à la domination américaine ou au 11 septembre. Malika a vécue très difficilement cette nudité forcée.

Devoir retirer ses vêtements devant des étrangers, et des hommes est très dégradant pour une pieuse musulmane. Pourtant elle n'a pas le choix, elle est contrainte par des militaires bien plus fort et costaud qu'elle et très agressifs. 

Comme les autres détenues, Malika n'a pas d'autre choix que de se déshabiller et se soumettre, remettre ses vêtements un à un aux gardiens, qui se marrent de voir une respectable femme musulmane se foutre à  poil devant eux.

C'est toujours marquant pour les gardes de voir une femme pudique et couverte, enlever ses vêtements l'un après l'autre en pleurant, et qui en quelques minutes se retrouve totalement à poil.

Les responsables américains ont décidé après les attentats du 11 septembre 2001 d'autoriser les " techniques d'interrogatoires renforcées" et la nudité forcée dans la loi du Patriot Act.

Les prisonnières irakiennes comme Malika passe du voile à la nudité totale, les femmes sont gardées nues et pieds nus. Les détenues qui portent des bas, collants, chaussettes doivent aussi les enlever, les tampons hygiéniques sont aussi confisqués. Les am

Conformément à la procédure, Malika est prison en photo, nue bien sur, de face, de profil et par derrière. C'est infamant pour les détenues, mails les photos sont pour les dossiers et la fiche des prisonnières accompagnées d'examen biométrique.

La détenue est ensuite exposée et obliger de parader nue dans la prison pour que tous les gardiens et prisonniers puissant la voir.

Elle est ensuite interrogée nue et pieds nus et contrainte de prendre des poses obscènes. Malika doit se présenter  nue en pleine lumière au milieu de la pièce devant les interrogateurs. 

C'est plus difficile de mentir lorsqu'on est à poil, c'est pour ça qu'un bon interrogatoire se déroule toujours dans la nudité totale. Surtout que le questionnement est filmé et que les agents font du chantage : si la prisonnière ne coopère pas totalement, et bien les photos et vidéos seront diffuser à sa famille.

Ce chantage est très efficace sur Malika. Elle dit tout ce qu'elle sait par peur qu'on montre les images à ses proches. Les américains lui ont fait se mettre les doigts dans le cul et dans la chatte et l'ont obliger à lécher, elle a aussi été contrainte de danser nue dans une vidéo et de remuer ses fesses.

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Nue en cellule.

dimanche 4 février 2024

Rapport de visite de la détenue n°974598 (Kenza J)

 

Prisonnière nue assise et enchainée dans sa cellule
Femme enchainée nue et pieds nus en cellule de prison.

Note sur le traitements des femmes irakiennes dans la prison d'Abou Ghraib en avril 2004.

Un mémo déposé par un agent lors de son témoignage devant la commission d'enquête suite au scandale des tortures et des mauvais traitements.

La personne interrogée est un agent du secrétariat d’État à la défense ( équivalent du ministère des armées) chargé de superviser traitement des prisonniers de guerre de guerre pendant la seconde guerre d'Irak. Le fonctionnaire a été envoyé le 7 avril 2004 dans la prison d'Abou Ghraib pour rencontrer Kenza J, une jeune femme irakienne arrêtée quelques semaines avant, et cousine d'un ancien haut fonctionnaire activement recherché par la coalition.

"Je suis arrivé le 7 avril 2004 dans la prison d'Abou Ghraib pour prendre des renseignement sur Kenza J, la cousine d'une personne activement recherchée par l'armée. Elle a été arrêtée pour ses liens familiaux et faire pression sur son parent pour qu'il se rende, et aussi parce qu'elle est susceptible de par sa position de détenir des informations stratégiques capitales. C'est donc ça qui justifie sont statut de prisonnière de haute sécurité et son placement en isolement et au secret sans avocat pour une période indéterminée.

L'équipe de gardiens et le responsable de la partie dure de la prison m'ont accueillis. Après quelques présentation j'ai pu accéder à la détenue.

La prisonnière étaient nue et pieds nus, mais elle n'avait aucune traces de blessure ni de maltraitances sur le corps. Elle semblait calme et n'avait pas l'air d'avoir peur. Elle était juste gênée d'être nue. 

Le responsable des interrogatoires ordonnent aux gardiens de confisquer les vêtements des détenus, pour les hommes comme pour les femmes, et j'ai pu constater  les autres femmes irakiennes retenues dans la même section sont elles aussi gardées sans le moindre vêtements.

Le renseignement militaire, les administrateurs de la prison sont parfaitement conscient de cette pratique, puisque les femmes sont transportées et déplacer nues pour aller aux interrogatoires, aux douches, aux sorties (qui consiste à se rendre dans une toute petite court pour prendre l'air ou faire un peu d'exercice).

Ces pratiques sont récurrente, j'ai pu voir une autre détenue irakienne nue et menottée les mains dans le dos et ramener manu militari dans sa cellule après un interrogatoire. Cette situation avait l'air parfaitement normale pour les gardiens et toute l'équipe d'Abou Ghraib.

Prisonnière nue escortée par sa gardienne en uniforme de la salle d'interrogatoire vers sa cellule.

 

J'ai demandé à la détenue si tout allait bien et si elle voulait voir un médecin, j'ai aussi demander au responsable des gardiens dont j'ai oublier le nom de lui rendre ses vêtements. Avec un garde il a fait mine d'aller les chercher, puis au bout de 20 minutes, il a dit qu'il ne les avait pas trouver.

Les vêtements et les effets personnels des prisonnières sont mélangés dans une armoire dans un bureau administratif de l'autre côté du secteur. C'est impossible de les retrouver, surtout qu'un administrateur m'a parler de vols, il a constater que les culottes des prisonnières étaient systématiquement confisquées et utilisées pour torturer et humilier les prisonniers hommes (souvent attachés à poil avec des sous vêtements féminins sur la tête).

 

Kenza J m'a confirmé que les autres prisonnières sont nues, et que le chef des gardiens est hypocrites et menteur, qu'il n'a aucunement l'intention de permettre à la moindre femmes de s'habiller.

 J'ai donc insister après du responsable pour en savoir plus sur les vêtements des prisonnières, et qu'il fallait au moins remettre à Kenza et aux autres les vêtements qu'il est possible de leur remettre.

Ce dernier m'a dit que c'était impossible, puisque il n'y avait jamais eu la moindre livraison d'uniforme de prisonnière faute de moyens, et que les vêtements dans l'armoire sont abimées ou peuvent servir de pièce à conviction.

Ces arguments étaient un peu bancales mais je n'avais aucune autorité pour faire changer les choses, et il avait l'air d'avoir des appuis parmi ses supérieurs.


Kenza m'a dit que pour une femme musulmane et arabe, la nudité était très difficile, surtout au début. Sa religion enseigne la pudeur et la modestie, les femmes ici retenues sont toutes très traditionnelles et conservatrices. Kenza,  comme l'autre détenue que j'ai croisée escortée nue prénommée Leila m'a dit qu'elle portait le hijab (voile islamique) et une robe arabe large qui couvre toutes ses formes, et qu'elle n'avait jamais été nue en public ni même porter un maillot de bain.

 En arrivant à Abou Ghraib, elle s'est faite déshabiller complétement pour une fouille très approfondie (la procédure prévoit un examen gynécologique et anal). Puis qu'ensuite aucun vêtements n'est rendus aux femmes qui sont placées en cellule totalement à poil après une parade de la honte.

Le chef des gardes participe toujours au processus et assiste au fouilles et à toutes les étapes de l'incarcération des femmes.

Ici les femmes sont obligées de se montrer nues devant les hommes, le gardien estime que les femmes irakiennes doivent être punies et humiliées, et donc être à poil.

Il aime voir arriver une détenue, bien couverte de son voile, digne, qui en quelques minutes se retrouve sans dignité et entièrement nue et soumise aux gardiens.

Même les culottes et les chaussettes sont interdites, la détenue n°974598 a demandé à pouvoir au moins porter des tongs ou des chaussettes pour marcher car le sol est sale et froid. Le responsable des surveillants a rigoler et a dit que tant qu'il sera là les prisonnières sous sa responsabilité seront 100 % nue et pieds nus.

Concernant l'autre détenue que j'ai croisé, Leila, j'ai pu selon mon mandant demander des informations sur elle et lui parler. Elle est une journaliste proche des médias de l'ancien régime.

Elle m'a dit que les prisonnières sont prises en photo totalement à poil, devant, derrière, sur les cotés et que ces photos sont mises dans des fiches mais qu'elles circulent au sein de la prison.

Les gardes pour ma visite avaient retirer ces images, mais sur la porte de chaque cellule, il y a des photos nues de chaque prisonnières sur les portes de leurs cellules, donc des photos de leurs anus ouvert lors des fouilles ou dans des positions obscènes.

 

Liens : 

 

Les femmes humiliées publiquement en prison.


 

jeudi 1 février 2024

Femme nue en cellule de la prison

 

Naked female prisoner
Prisonnière nue.

Une femme gardée entièrement nue pendant sa détention.

Prison d’Abou Graib, région de Baghdad, Irak, 2004.


Les observateurs du  CICR (Comité International de la Croix/Croissant Rouge) ont constaté de graves manquements aux droit de l'homme et à la dignité humaine lors de leur visite de la prison d'Abou Ghraib.

Ce qui est le plus frappant pour les visiteurs, c'est que la section du complexe pénitentiaire ou sont retenue les personnes ayant été arrêtées pour liens avec l'ancien régime, d'activité anti coalition, de liens avec le terrorisme, de détenir des informations sur le programme d'armement massif ou sur des personnes activement recherchées sont soumises à des conditions de détention difficile avec des pressions physiques et psychologiques intenses, des interrogatoires renforcées.

Une femme d'environ 31 ans, identifiée comme Sara, une professeure de lycée portée disparue suite à un raid de l'armée contre un quartier rebelle de la capitale. Le renseignement militaire a décider de la garder en détention comme étant une "Détenue de sécurité" pour ses liens avec l'ancien régime.

Elle a été retrouvée lors d'une visite inopinée, elle est confinée dans une petite cellule d'isolement et a des conditions de détention très difficiles. 

Comme tous les prisonniers entrants, la prisonnière Sara a été soumise à une fouille de sécurité, systématique en prison ou les gardiens l'ont obliger à retirer ses habits. La nudité et les fouilles sont au cœur du traitement spécial imposée aux prisonnières pour les soumettre. Sara est une femme respectable et culturellement pudique, musulmane attachée aux traditions comme la plupart des prisonnières.

Ses gardes lui interdisent de porter des vêtements. Depuis son arrivée sur le site,  elle est contrainte de rester toute nue comme l'explique le plus naturellement possible l'un des responsables aux visiteurs.

Il ajoute que dans la procédure, la technique d'interrogatoire  préférée et aussi la plus utilisée et la plus spectaculaire est "la nudité forcée". La majorité des personnes détenues sont gardés entièrement nues, certains depuis plusieurs mois. 

Sara comme la plupart des femmes de son milieu porte par pudeur et respect de sa religion un voile (hijab) lui cachant les cheveux,  robe traditionnelle ample et large pour dissimuler ses formes, et en arrivant les gardiens lui ont confisqué et découper devant elle, ses chaussures et tout ses effets personnelles ont été pris par les américains, qui découpent systématiquement les foulards et les tenues trop couvrante devant les prisonnières pour mieux les humilier et leur faire comprendre qui est le maitre.

 La jeune femme a été conditionnée à la nudité. Elle n'a même pas chercher à couvrir ses seins et son sexe devant les visiteurs, c'est comme si elle avait perdue toute pudeur. Les observateurs se sont bien sur demandé plusieurs choses, déjà premièrement,  pourquoi est elle totalement nue dans sa cellule ? La réponse est que Sara ne porte aucun vêtements depuis plusieurs mois; et que les prisonnières sont soumises à un véritable reconditionnement psychologique.

 

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Nudité forcée.


dimanche 28 janvier 2024

La stricte discipline de la prison pour femme.

 

Corvée et travaux forcés en prison
Travail forcé , une prisonnière nue lave.

La prison doit punir et dresser. 

Dans la prison d'Abou Ghraib, pendant la seconde guerre du golfe, les forces armée américaines détiennent des milliers de prisonniers irakiens, dont des femmes. Les conditions de détentions sont très strictes et sévères. Hoda, une irakienne de 33 ans, arrêtée par les forces américaines pour soupçon de financement de la rébellion et pour ses liens avec l'ancien régime raconte dans un journal avoir subie un traitement difficile.
 
La trentenaire s'est retrouvé emprisonnée à Abou Ghraib pendant 5 mois, elle affirme avoir vécu des moments éprouvants et reste choquée même après sa libération.

Dans son long témoignage que nous résumerons ici, elle rapporte que les soldats américains ont fait du secteur ou sont détenues les femmes "un enfer", "une machine à broyer" et que tout est fait pour avilir et "dresser" les prisonnières.
 
Elle nous apprend que les prisonnières irakiennes sont gardées en confinement solitaire dans de petites cellules d'un mètre sur deux, sombre, sans confort (pas de matelas, toilette à la turque, nourriture fade etc.). Avec l'interdiction de parler sans autorisation, l'obligation de baisser les yeux devant les américains etc.

Comme pour les  prisonniers de sexe masculin, Hoda doit passer son séjour nue. Les prisonnières musulmanes et chrétiennes sont toutes interdites de porter des vêtements. Les américains pour dresser et "décoincer "les détenues, dont la pudeur est jugées "archaïque" et contraire à la culture démocratique ont fait de la prison "un centre nudiste".
 
Hoda a vue ses vêtements être découpés et détruit par les gardiens en arrivant, sa culotte volée, et ses chaussures confisquées.

Les femmes comme elle qui porte le voile et de longue robe arabe traditionnels sont systématiquement déshabiller complétement devant des hommes et en publique. Hoda s'est faite mettre à poil devant tout le monde, les gardiens sont très rudes et ordonnent en hurlant en arabe et en anglais "A poil !" "Allez vite salope! ", "déshabillez vous", "faut tout enlever !"
"Si vous ne supportez pas de vous trimbaler les fesses à l'air fallait pas être des terroristes !".

Les gardes sont sans aucun respect et ne ressentent aucune pitié ni empathie lorsqu'une femme arrive. C'est même avec un plaisir sadique non dissimulé qu'ils humilient les prisonnières. La nudité forcée et les fouilles des cavités sont l'une des bases du "traitement". 
"Vous êtes peut être pudique, mais nous, on vous met à poil, on vous interdit de porter vos vêtements ridicules et obscurantistes, vous aimez vos hijabs, vos voiles, vos larges robes, et bien ici, vous êtes sans rien ! Vos chattes sont à l'air et vous vous promenez cul nu".

 
"Salope, on va t'apprendre à faire la pudique, tu retire tout, tes chaussures et tes chaussettes aussi."
 
Hoda est ensuite inspectée de la tête aux pieds avec fouille des cavités (doigt ganté et lubrifié dans le cul et la chatte). Les détenues sont très régulièrement soumises à des fouilles anales et vaginales.

Les détenues sont aussi photographiées nues et pieds nus, subissent un prélèvement d'ADN, des relevées d'empreinte digitales.

Les femmes pendant leur période de détention doivent rester nues, elles ont l'interdiction de porter des vêtements ou de couvrir leurs corps.

Hoda explique que cette politique de nudité forcée est ordonnée par les plus hautes sphères dirigeantes de la prison. Un gardien lui aurait expliquer que les ordres sont de forcer les prisonnières à rester nues en permanence à la fois pour des raisons de sécurité et d'économie (absence de moyens de fournir des uniformes). Mais aussi pour instrumentaliser leurs craintes culturels et religieuses. Les femmes arabes et musulmanes doivent être rééduquées et reconditionnées pour perdre toute pudeur et modestie.
 
La nudité totale et permanente des prisonnières est la règle ici. Hoda nous dit que toutes les femmes sans exception sont obligées de s'exhiber en permanence. 
 
Les repas sont distribués les matin, midi et soir, et une femme est chargée de les servir aux autres détenus, hommes et femmes. Hoda était  régulièrement obligée de servir nue certains homme de son quartier qui l'ont reconnue. 
 
Les américains aiment forcer les femmes à être nues devant leurs proches.
 
Les douches sont collectives, et se déroulent devant les gardiens qui ont le droit de vérifier que les femmes se lavent bien la chatte et les fesses. 

En plus des distribution, les femmes doivent aussi "travailler" et faire toutes les corvées nécessaires au bon fonctionnement et à la propreté de la prison.

Les prisonnières nues récurent le sol, le nettoient, passent le balais et la serpillière sur le sol, lavent les douches. Tout doit être nickel sous peine de sanction collectives et de punitions.

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dimanche 21 janvier 2024

Une femme forcée de parader nue.

 

Walk of shame, naked female prisoner paraded naked
Marche de la honte (Walking Shame) pour une prisonnière.

Punition et humiliations publiques en temps de guerre.



Nous sommes  sur une route une mâtiné de septembre 2004 en Irak dans la périphérie de la capitale Baghdad pendant l'occupation américaine de ce pays (2004/2011). Nous prenons la direction d'une petite ville ou nous avons rendez vous avec l'institutrice d'une école qui a appeler les journalistes pour dénoncer le comportement irrespectueux des soldats américains dans la région et leurs méfaits.(bruits, violence, racket, etc.).

Soudain, de loin, nous apercevons une voiture de type gros SUV 4X4 militarisé avec une silhouette humaine derrière.

Quand nous sommes plus proche nous nous rendons compte qu'une femme totalement nue est tenue en laisse et contrainte de marcher sur le bas coté de la route pour une sorte de "Parade" organisée par des militaires occupants.

Nous constatons avec effarement que la femme exhibée est notre contact ! La pauvre femme est trainée nue et pieds nus dans les rues et sur les routes autour de sa ville.

Pour faire , taire toute contestation et terroriser  la population, les soldats usent de techniques basées sur l’humiliation et la nudité.
 

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samedi 20 janvier 2024

Les prisonnières nues humiliées collectivement par les gardes.


Les gardes de la prison d'Abou Ghraib humilient des femmes prisonnières nues
Groupe de femmes nues et humiliées par les gardiens de prison.

 Un groupe de prisonnières nues en prison.

Pendant la seconde guerre du golfe, en 2004, les forces américaines détiennent des milliers de prisonniers et prisonnières dans la tristement célèbre prison d'Abou Ghraib près de Bagdad, la capitale de l'Irak.
 
A l'intérieur de la partie dure de la prison, dans une aile  d'isolement ou sont retenues les femmes irakiennes. Les responsables des interrogatoires demandent régulièrement aux gardes et soldats américains d'humilier et maltraiter régulièrement les prisonnières.
 
Ces derniers appliquent les consignes sans état d'âme.

L'un des "conseils" est d'obliger les femmes à se mettre nues et les  de ridiculiser. La majorité des détenues sont musulmane, culturellement très pudique, avec des conviction religieuses fortes. Elles portent en général de longue robes traditionnelles arabe, et des voiles (hijab, foulard) par respect de leur religion.
Les gardes les obligent à rester à poil, leur interdisent de porter des vêtements et des chaussures.
 
L'un des surveillant militaire témoigne anonymement :  "Les supérieurs nous ont féliciter plusieurs fois pour notre travail. Les femmes arrivaient complétement voilées et couvertes, et elles étaient rapidement déshabillées, terrifiées, sans défenses et humiliées. Bien sur, il y en a toujours une qui nous supplie de lui laisser au moins ses sous vêtements, certaines aussi prétendent avoir froid aux pieds et que le sol est sale pour conserver leurs chaussettes. Et bien nos supérieurs peuvent nous rappeler à l'ordre si on fait pas attention, au début certains gardes un peu négligents avaient par mégardes parfois autorisées certaines irakiennes à garder des chaussettes, ou même une culotte.  Par exemple une jolie détenue avait prétendu avoir froid aux pieds et a été autorisé par un garde étourdi à garder ses chaussettes, une autre portait une culotte de contrebande. Nos responsables ont vite décider de mettre de l'ordre et de réunir toute les femmes, 100% nues, celle avec la culotte avait été fouettée publiquement pour possession d'objet illicites...

Bref depuis ces quelques rappels à l'ordre  de la part des commandants, les prisonnières sont vraiment nues. Lors des appels, chaque femme doit se présenter par son numéro de matricule et de cellule, sa section,et dire en arabe ou en anglais (pour les anglophones) qu'elle se présente "nue, pieds nus, avec le chatte et l'anus ouvert et les seins visibles en toute circonstances."

Pour les humilier, les gardiens les réunissaient dans les couloirs pour leur faire faire des exercices sportifs, les pauvres femmes devaient faire des jumping jack, des flexion extension, des burpees, des montés de genoux, sautiller, marcher en canard jusque à l'épuisement. Les seins et les grosses fesses de certaines prisonnières bougeaient dans tous les sens ce qui faisaient vraiment marrer les gardiens.

Une petite grosse irakienne était souvent victime de la méchanceté des gardes, ils l'a trainait en laisse, l'obligeait a lécher le sol, à faire pipi devant eux, à aboyer comme une chienne.
 
Les prisonnières doivent chaque soir s'aligner dans les corridors de la section pour être "dresser" , en général elles doivent l'une après l'autre mettre les mains sur leurs têtes, tourner sur elles même, voir danser à poil pour distraire les militaires, prendre des postures obscènes et dégradantes.
 
 
 Liens :
 
 
 

dimanche 14 janvier 2024

Le bizutage des étudiantes

 

Nudité forcée et bizutage étudiant.
Filles marchent dans les rues lors du bizutage.

Les filles doivent parader nue dans le centre ville pendant le bizutage traditionnel.


Chaque début d'année universitaire, en septembre et en octobre, des bizutages ont lieux, souvent officieusement soutenu par les institution locale et encouragé comme tradition faisant partie du patrimoine.

Dans ce petit village du sud de la France, les filles de premières années d'études supérieurs sont systématiquement soumises de gré ou de force aux épreuves du bizutage.

Les habitants, les commerçants et les touristes ont pour habitude de voir des jeunes filles déambuler nues dans les rues et les magasins du centre ville.

Le premier samedi de la rentré, les anciens ont décrété que les filles devaient être réunis dans les locaux universitaires, nous assistons parfois à de véritable traque, ou les anciens fouillent toutes les résidences du CROUS, les cantines, les bibliothèque, les salles de cours, et tout le campus pour y trouver toute les primo arrivantes.

Le système est bien rodé, avec la complicité du personnel, et des autorités,  quasiment aucune filles ne peut y échapper. 

Les filles sont prisent par petit groupe, au début elles sont en général assez détendues et amusées, mais quand elles arrivent dans l'amphi principal, ou le conseil des gardiens de la tradition (Le BDE Bureau Des Étudiants) a décider de les réunir , et ou elle découvrent que celles arrivées avant elles sont totalement nues et exhibées, les plus pudiques pleurent ou se mettent à fortement angoisser.

L'ambiance est terrible, les nouvelles sont "inviter" à enlever leurs vêtements devant tout le monde, certains anciens hurlent "A poil !" d'autre incitent "gentiment" avec un sourire narquois les filles à obéir, car de toute façon elles devront être nues.

 

Le strip tease se déroule sur l'estrade devant le public, les filles doivent tout enlever et présenter leurs seins, leurs fesses, leurs chattes pour se présenter. Gare aux pudiques, leurs vêtements sont arrachés ou découpés et sont bien plus dresser que les autres.

Les filles doivent même retirer leurs chaussures, chaussettes, socquettes, bas etc. Les filles qui oublient d'être pieds nus sont parfois humilier et sanctionner.


Chaque nouvelles doit s'identifier : donner son nom, prénom, classe, et ouvrir ses fesses  et exposer son anus et sa chatte sous les rires des étudiants pervers.

Certaines pleurent, puis les filles doivent défiler et parader nues dans tout le campus, mais aussi dans le centre ville pour amuser les touristes.


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Nue au bar pendant le bizutage.


Nudité forcée pendant le bizutage.