Contrôle d'hygiène au foyer pour jeune femme. |
Blog érotique et pornographique consacré au Bdsm ( Bondage Domination et Sado Masochisme). Les principaux fantasmes abordés : prisonnières nues, visites médicales, nudité forcée, fessées et autres punitions, bizutage, filles en pensionnat, exhib, pieds féminins, fétichisme etc. Suite de l'ancien blog https://camp-bdsm.blogspot.com
Contrôle d'hygiène au foyer pour jeune femme. |
Une voleuse humiliée nue au pensionnat pour jeunes fille |
Les foyer pour jeunes filles sont des endroits fermés, clos, qui font souvent parler deux comme dans ce fait divers, ou nous apprenons qu'une jeune femme de 21 ans, Vanessa a été humiliée par les éducateurs et les autres filles.
La jeune femme a vécue un cauchemar, accusée d'avoir voler les écouteurs d'une autre fille, a été prise à partie; Refusant d'avouer, les éducateurs ont décider de lui imposer une fouille à corps, devant les autres pensionnaires pour en faire un exemple.
L'étudiante est obligée de se mettre à poil sous la menace, les autres filles ont hurler des insultes et des moqueries "A poil les voleuses" "Montre ton trou du cul salope tu cache quelque chose dedans".
Vanessa s'est fait confisquer ses vêtements, elle a même du enlever ses chaussettes.
Les filles l'ont obliger à parader à poil dans les couloirs et la salle principale, et lui on claquer les fesses, pincer les seins.
Ensuite les surveillants l'ont enfermée nue et pieds nus dans une salle, avant de réunir tous le monde pour lui fouiller l'anus et la chatte.
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Une femme forcée de se doucher nue devant les gardiens de prison. |
Les gardiens américain de la prison d'Abou Ghraib en Irak, dans le cadre de la lutte contre le terrorisme, en 2004 font tout pour humilier les captifs, y compris les femmes irakiennes musulmanes. Pour les punir et les rabaisser, la nudité est très utile et efficace.
Les femmes n'ont pas le droit de porter des vêtements, ni de chaussures, et l'une des pratiques pour bien les humilier est de les obliger à se doucher à poil devant les gardiens hommes.
Ce rituel a été mis en place pour habituées les prisonnières à la nudité. Le but est de leur faire perdre toutes pudeur, donc elles sont plusieurs fois par semaines escortées à poil vers les douches, elles n'ont bien sur pas de serviettes, et paradent les fesses à l'air dans la honte. Elles doivent passer devant les cellules des hommes pour qu'ils puissent les voir nues.
Les gardes doivent toujours voir si les femmes prennent bien leurs douches, et si elles se lavent correctement, en vérifiant si elles frottent bien leurs fesses et leurs vagins.
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Les prisonnières alignée pour la fouille des anus. |
Le quotidien des prisonnières irakiennes dans la prison d'Abou Ghraib est très difficile. Les détenues sont là pour diverses raisons, l'une est l'épouse d'une personne activement recherché, une autre est suspectée de financer la résistance, d'autres sont suspectées d'avoir abriter des combattants et de détenir des informations importantes, d'autre avait des postes significatifs dans l'ancien régime etc.
Elles ont entre 25 et 45 ans, et sont retenues dans l'aile d'isolement réservée aux femmes. La plupart sont éduquées dans une culture arabe conservatrice et pudique et sont de confession musulmane. Avant leur incarcération elles portaient le voile (hijab) et de longues robes traditionnelles pour cacher leurs formes.
Quand elles arrivent, les gardiens américains les forcent à se déshabiller. Elles sont misent totalement nues, par méchanceté les américains découpent ou brulent leurs vêtements devant elles. Les gardes hurlent et ordonnent aux femmes de tous enlever, elles doivent s'humilier à se déshabiller en public, c'est terrible de se déshabiller devant un public masculin.
Bien sur c'est toujours spectaculaire de découvrir nues des femmes qui étaient totalement couverte de la tête aux pieds, et qui se retrouvent 100% à poil quelques minutes après.
Elles sont totalement dépouillées y compris leurs bijoux, les chaussures aussi sont interdites , et les prisonnières ayant des collants bas ou chaussettes doivent les enlever pour se présenter pieds nus.
Les gardiens se moquent des femmes à poil, s'amusent de les regarder se promener les fesses à l'air, de leur imposer des fouilles anale et vaginale publique, l'anus bien ouvert, de secouer leurs seins.
Elles sont obliger de vivre nues, les fouilles des cavités pour la sécurité sont quotidiennes ( au moins trois fois par jours).
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Humiliations sexuelles et culturelles maximales en prison.
Exhibition d'une prisonnière nue. |
Une journaliste irakienne incarcérée par les troupes américaines pour avoir critiquer l'invasion en 2004.
Elle dénonce les humiliations et mauvais traitements imposées aux prisonnières de façon systématique.
Ce qui l'a d'abord choquée c'est le fait d'avoir à se déshabiller, elle raconte que les américains forcent les femmes arrêtées à se mettre nues devant eux. Elle a été forcée de retirer tout, les femmes musulmanes comme elle n'ont pas le droit de porter leurs voiles et leurs robes pudiques. Leurs foulards sont arrachés et leurs abayas découpées.
Elle s'est fait mettre toute nue, y compris pieds nus, les américain font mettre nue et pieds nus toutes les femmes qu’ils arrêtent lors des opérations.
Ils aiment garder comme trophées les femmes, et s'amuser de leur embarras
Dans cette prison la chose la plus frappante est que les femmes sont gardées toutes nues, en arrivant les gardiens américains les forcent à se déshabiller, les fouilles vraiment partout en passant des oreilles aux orteils sans oublier de vérifier leurs anus.
Tout est fait pour les punir et humilier, elles sont presque toutes musulmanes et portent le hijab pour 90% et de longues robes arabes traditionnelles par respect pour leur coutumes religieuses pudiques, et elles doivent s'exposer devant les hommes.
Pour les gardes la punition et la vengeance passent par l'humiliation, et les détenues doivent perdre toute pudeur et s'exhiber nue devant des hommes. Les voiles et les robes sont découpés et brulés sous leurs yeux, les culottes sont systématiquement volées et utiliser pour humilier et tourmenter les hommes qui se retrouve souvent à poil avec les culottes de leurs femmes sur la tête.
C'est un vrai processus de conditionnement et d'asservissement, ces femmes doivent être nues en permanence. Sans avoir droit de couvrir leurs seins et leurs fesses qui doivent être visibles en permanence.
Les gardiens fouillent les orifices des femmes plusieurs fois par jours pour des raisons de sécurité, mais aussi pour les rabaisser en permanence, pour les punir elles doivent ouvrir la chatte et les fesses.
Le nudisme est une vrai doctrine imposée.
Les femmes sont réveillée à 6h et sont alignées dans le couloir pour l'appel et écouter l'hymne américain à poil.
Puis elles font des exercices sportifs nues, puis passent à la douche sous les yeux des gardiens qui les regardent se savonner les fesses.
Ensuite à 9 heures c’est le petit déjeuner, souvent des biscuits arrosés de spermes.
Ensuite les gardiens aiment organiser des parades. Les femmes sont forcées de chanter et danser des choses obscènes
Elles sont obligées de se regarder nue, de se montrer l’anus ouvert entre elles, sous les rires et insultes des gardes en public.
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Le dressage d'une prisonnière.
Prisonnière conduite nue en cellule. |
Cette photo a été prise en avril 2004 dans les couloirs de la prison militaire d'Abou Ghraib en Irak gérée par les USA.
Une détenue dite "de sécurité" de sexe féminin est escortée enchainée et menottée jusqu'à sa cellule. Il faut signaler qu'elle est intégralement nue. C'est une ancienne responsable du ministère de l'intérieur, elle est sous statut de "haute importance".
La prisonnière a été fouillé comme le prévoit le processus d'incarcération, les femmes musulmanes irakiennes sont donc obliger d'enlever leurs vêtements. Son hijab, sa robe, ses bijoux, sa montre, ses sous vêtements, ses chaussures, ses chaussettes et même ses boucles d'oreilles sont confisqués !
Les prisonnières ne sont pas autorisées à porter des vêtements ni de chaussures et doivent rester nues et pieds nus. Les vêtements ne sont pas autorisés.
Nue en prison. |
Pendant la guerre en Irak en 2004, je connaissais une femme d'une trentaine d'année, Marwa, elle était la gérante de la pharmacie de mon quartier, des personnes malveillantes l'ont dénoncer aux américains comme quoi elle soutiendrait la résistance, elle s'est faite arrêtée avec sa collègue Wafa quelques jours après.
Les américains l'ont incarcérée dans dans tristement célèbre prison d'Abou Ghraib, La pauvre, elle n'a jamais été aussi humilier de sa vie, elle et son amie ont été forcée d'enlever leurs vêtements devant des hommes. Les prisonnières irakiennes sont traitées comme les hommes : elles sont misent à poil,et interdites de porter le moindre morceaux de tissus.
Marwa et Wafa portent habituellement le voile (hijab) et de grande robe traditionnelle arabe pour des raisons d'éducation et de respect des préceptes de la religion musulmane, et le protocole mis en place les oblige à tout enlever.
Plus c'est traumatisant et humiliant et mieux c'est, j'ai jamais vue Marwa aussi honteuse, elle baissait la tête et sanglotait, les gardiens les ont faite parader à poil dans toute la prison.
Les gardes lui demandait ce que ça fait de se promener cul nu ? C'est terriblement humiliant pour ces deux femmes musulmanes d'être forcées de rester toute nue et même pieds nus, les gardiens interdisent aux prisonnières de couvrir leurs pieds, les chaussettes aussi sont retirés.
Les femmes doivent se montrer nues devant tout le staff mais aussi devant les autres détenus et entre elles.
La nudité est jugée essentielle pour obtenir des résultats.
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Bagne, les détenues déshabillées complétement pour le dressage. |
Le gouvernement à déclarer avoir ouvert un programme pour lutter contre la délinquance et la radicalisation des jeunes femmes de 18 a 40 ans. Ceux sont de véritables bagnes modernes avec des conditions très strictes qui ont ouvert dans toute la France.
Les femmes considérées comme dangereuses peuvent y être internées sur demande de leurs parents, professeurs ou de leurs patrons. Les jeunes femmes condamnées à des peines de moins de 2 ans peuvent aussi bénéficier de ce programme expérimental.
La discipline est très importante, le travail et l'obéissance sont au cœur du projet.
Les femmes sont soumises à des règles strictes :
Les jeunes femmes sont juste vêtue d'un uniforme rayé primaire d'une
seule pièce, et de chaines en fer aux chevilles. Elles n'ont pas le
droit de choisir leurs tenue vestimentaires. Elles sont toutes pieds nus en permanence, en signe d'humilité et d'égalité, elles ne porte pas non plus de culotte ni de soutien gorge, les sous vêtements sont interdits. Elles n'ont pas non plus le droit de porter des signes religieux, les voiles (hijab), croix, étoiles de David etc. sont confisqués et strictement interdit. Toutes doivent être tête nue.
Elles sont fouillées très régulièrement et intégralement nues pour la sécurité de tous mais aussi la discipline. De plus elles doivent s'exposer sans vêtements devant des hommes, la pudeur doit être combattue, une femme qui se dit bonne citoyenne n'a pas à cacher son corps devant les autres.
Les douches sont collectives se déroulent nues et sous les yeux des surveillants. Les visite médicales aussi.
Les mises à poil sont essentielle dans le processus d'éducation et de formatage idéologique.
Lever à 6h, avec alignement dans la court et hymne nation à apprendre par coeur.
6H30 : Inspection corporels (dentition, anus, vagin, orteils, nombril, vérification de l'hygiène (test du doigt dans l'anus).
7H00 : Petit déjeuner.
08h à 11h, travail forcé aux champs.
11h passage en revue et alignement des filles nues, punition aléatoire (fessées, falaka).
12h : déjeuner.
13h à 16h, cours.
17h : Hymne national.
17H30, sport nue.
18H30 douche.
19h Repas du soir.
20h30 : passage en revue, dressage des filles les moins perforante.
22h extinction des feux.
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Brimades au centre éducatif fermé.
Prisonnière nue et pudique. |
2004, Section isolement de la prison d'Abou Ghraib en Irak.
Les femmes irakiennes comme Jasmina détenues par les forces américaine sont gardées sans aucun vêtements. Lorsque les enquêteurs ont eu accès à elle après l'avoir retrouver plusieurs semaines après son arrestation, elle était détenue dans une petite cellule en confinement solitaire.
Elle n'avait manifestement pas de traces de maltraitances, mais elle était très gênée, les gardiens l'ont mises nue lors de son arrivée et l'ont laisser comme ça.
La détenue tentait de cacher son corps, il faut savoir que cette prisonnière est une fervente musulmane très conservatrice, comme la majorité des irakiennes elle porte le hijab (voile) et de longue robe pour dissimuler son corps.
Et bien sur, quand une de ces femmes est incarcérée, les gardes l'obligent à retirer tous ses vêtements pour la fouiller. La prisonnière doit se déshabiller devant des hommes aussi, car c'est plus humiliant sous le regard de pervers qui matent et reluquent les moindres partie de son corps en faisant des remarques salaces.
Les femmes sont très humiliées par cette nudité obligatoire, Jasmina n'aurait jamais imaginer se retrouver toute nue devant des hommes et devoir les laisser regarder dans son anus et y mettre leurs doigts, lui toucher les seins.
Les gardes l'ont aussi forcer à parader à poil dans la prison, car les femmes pudiques doivent apprendre à s'exhiber et comprendre qu'entre les mains des militaires il n'y a aucune place pour la pudeur.
Les femmes doivent apprendre à être nues devant les hommes et ne rien cacher, ici les seins les fesses et la chatte doivent être toujours visibles.
Jasmina est encore pudique et se recroqueville par modestie ce qui fait rigoler les gardes car tant qu'elle sera prisonnière elle sera privée de vêtements et de chaussures.
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Une prisonnière nue lors des travaux forcés. |
Suite au scandale concernant les abus et les tortures subies par des prisonniers irakiens entre les mains des américains pendant la seconde guerre du golfe (2003/2011), c'est vite poser la question du traitement des dizaines de femmes retenues dans ce terrible complexe pénitentiaire. Plusieurs journalistes et chercheurs ont découvert que ces abus ne sont pas le fruit de la perversion de brebis égarées, mais un système mis en place et pensée par les plus hautes autorité du renseignement militaire et de la CIA. Des notes ayant valeurs de consignes et de règlement à appliquer aux femmes comme lignes directrices ont été données au staff pénitentiaire.
Pour plus d'information sur le contexte historique et politique veuillez vous référer à ce lien.
Les interrogateurs estiment qu'il faut utiliser les tabous culturels et religieux des prisonniers, et comme la nudité est particulièrement infamante pour les arabes, toutes les personnes incarcérées doivent donc être nues.
Les prisonnières doivent être nues en permanence, les femmes musulmanes doivent être déshabillées lors du processus d’incarcération, les gardes doivent veiller à ce qu'elles enlèvent tout. Elles sont pudiques et voilées de la tête aux pieds et les gardiens sont sans pitié et les force à tout retirer, bien sur que les femmes enlévent leurs robes et leurs voiles, les culotte aussi et les gardes interdisent même les tampons hygiéniques !
Les fouilles des cavités (bouche, oreils, anus, chatte, orteils) plusieurs fois par jours pour s'assurer qu'elles ne cachent rien.
Les femmes doivent être exposées nues pour une humiliation totale, entre elles, devant les gardiens mais aussi devant les prisonniers masculins.
C’est plus efficace de forcer les femmes à s’exhiber devant leurs communautés, elles paradent nues devant des hommes qui peuvent être leurs époux, cousins, voisins, employés, frères etc.
Une prisonnière nue lave et nettoie le sol. |
Les prisonnières doivent apprendre l’humilité, en étant nues et pieds nus. Elles doivent s'exhiber devant leur proches.
Les femmes sont utilisées comme moyen de pression sur les hommes, qui prennent vite peur, car ils savent que si une femme de leur entourage est capturée, et bien elle sera exposée comme un trophée par les américains.
Les femmes lors des défilés doivent se présenter, dire leurs noms, prénoms, ville, confession religieuse, profession tout en montrant leurs corps aux hommes irakiens.
Les hommes doivent bien comprendre que si leurs femmes, sœurs ou filles sont arrêtées, elles subiront le même sort.
Travaux forcés et corvées: Chaque femme doit à tour de rôle servir les repas des autres prisonnières et prisonniers, c'est une habitude qu'on pris les gardes pour obliger les femmes à perdre leur pudeur.
Les femmes doivent aussi effectuer diverses taches et corvées comme nettoyer le sol, laver les murs, balayer, récurer. Tout doit briller et être propre.
Les gardiens obligent les prisonniers et prisonnières à marcher pieds nus et si leurs pieds sont sales les autres détenues doivent les lécher.
Les fouilles : les femmes sont soumises à plusieurs inspections des cavités par jours pour vérifier qu'elles ne dissimulent rien et surtout apprendre l'humilité. Elles doivent régulièrement faire une sorte de chorégraphie ou elles exposent leurs cheveux, doivent ouvrir la bouche, , soulever, leurs seins, écarter les fesses pour montrer l'anus, ouvrir les lèvres de leurs chattes, secouer les orteils.
L'homosexualité et la masturbation : Les prisonnières sont régulièrement forcées d'avoir des relations lesbiennes et de se toucher la chatte jusque à la jouissance.
Les gardiennes utilisent les femmes pour les soulager sexuellement.
Sport et épuisement : Courir, sauter, sautiller, faire des squats et des flexions jusque à l'épuisement, sous les rires et moqueries des surveillants qui regardent leurs seins et fesses bouger dans tous les sens.
Autocritique et conditionnement mental : Les détenues doivent critiquer leurs cultures d'origine et rejeter le port de vêtements et de chaussures.
Photos et vidéos :les photos des prisonnière nues dans des positions obscènes sont placardées partout dans la prison.
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Chloé se souviendra longtemps de sa journée de bizutage de première année de fac.
Les anciens ont littéralement traqué les filles de premières années, ils sont aller les chercher partout, Chloé est l'une des premières, les maitres de cérémonie l'ont placée dans la salle, ou ils l'ont obligée à se mettre toute nue.
L'étudiante n'a pas résister car elle a vue d'autres filles plus pudiques se faire mettre à poil de force et déchirer leurs vêtements. Dans ces bizutages les anciens font mettre totalement à poil les nouvelles, elles doivent même retirer leurs chaussures et chaussettes pour être pieds nus.
Chloé se rase la chatte donc elle est tout de suite bien vue car c'est une jeune fille moderne est propre.
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A poil dans le parc au bizutage.
Prisonnière se déshabille devant un gardien homme. |
Le 7 mars 2004, dans la prison d'Abou Ghraib, Lila D, une détenue irakienne de 28 ans, retenue pour soupçons de soutient financier à la rébellion a été obligée de se déshabiller devant un garde américain en guise de punition.
Les gardes utilisent la nudité comme moyen de domination et de punition. La décision de lui enlever ses vêtements vient du fait qu'elle se soit plaint à son avocat de mauvais traitements, et aurait refuser de se lever pour écouter l'hymne américain.
Dans la section d'isolement les détenues portent un uniforme de prison de couleur orange, comme à Guantanamo Bay, avec inscrit "Inmate". Les détenues ne porte pas de sous vêtements, ni de chaussures ou de chaussettes.
Le hijab (voile islamique) que ces prisonnières portent comme toutes les bonnes musulmanes est interdit. Les prisonnières doivent en signe de soumission et d'humilité restées "tête nue" et pieds nus et porter des uniformes impersonnels oranges.
Les prisonnières sont traditionnellement gardées pieds nus pour leur enseigner la soumission et l’humilité.
Les femmes n’ont pas le droit de manifester leur appartenance religieuse.
Elles doivent se déshabiller devant des hommes, c'est important qu'elle comprennent qu'elles n'ont pas le droit à l'intimité ni à la pudeur et que les gardes ont le droit de voir leurs seins, leurs fesses et leurs chattes à volonté.
Lorsque une femme arrive elle doit se soumettre à une fouille très complète avec une inspection de l’anus et du vagin. C’est très humiliant, pudeur n'a pas sa place, mais c'est une prison de haute sécurité dans une zone de guerre.
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Deux femmes déshabillées par le garde de la prison. |
Prison et humiliation. |
Prisonnière escortée et exhibée nue en prison. |
Quand vous voyez cette femme complétement nue, tête baissée, enchainée et menottée entre les mains de son gardien et forcée de parader nue avant de rejoindre sa cellule, vous devez savoir que quelques minutes avant, elle était encore une femme digne et fière, qu'elle portait le voile et une abaya comme la plupart des femmes musulmanes d'Irak.
Mais en arrivant dans la célèbre prison d'Abou Ghraib, les gardiens l'ont obliger à enlever ses vêtements, car les prisonnières doivent être punies et dressées, et donc misent complétement nues devant tout le monde, y compris des hommes. C'est une terrible et implacable humiliation.
Elle a subie une fouille très invasive, avec examen de l'anus et du vagin pour s'assurer qu'elle ne dissimule rien. Les femmes doivent se déshabiller devant les hommes.
Cette détenue de sécurité n'aurait jamais imaginer dans ses pires cauchemar subir ça. Elle est à poil, les gens se moque d'elle, elle n'a même pas eu le droit de garder ses chaussettes, le contact de ses pieds nus sur le sol lui est très désagréable, c'est sale, humides, poussiéreux.
Les militaires se moque de ses petits seins et de son corps tout maigre, d'autre lui demande ce que ça fait d'être balader poil, et qu'ici les femmes prisonnières sont gardées toutes nues.
Dans les couloirs de la prison d'Abou Ghraib la nudité de cette prisonnière est normale pour les gardiens.
La responsable du secteur lui dit qu'elle restera nue en permanence, que les femmes prisonnières sont strictement interdite de porter le moindre vêtements. "
La nouvelle constate avec effroi que toutes les femmes sont nues. Une détenue est exhibée les jambes écartées.
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Les prisonnières humiliées et avilies en public. |
Une prisonnière nue pendant l'interrogatoire. |
Depuis les attentats du 11 septembre 2001, les Etats Unis se sont lancés dans la guerre contre le terrorisme et ils ont modifiés leurs lois pour les rendre plus répressives, permettre de détenir des personnes sans charges pour des durées indéterminées, et autorisé toute une série de mesures d'interrogatoires renforcés.
Ils ont ensuite attaquer l'Irak et renverser le régime en place.
Malika, 26 ans, la fille d'un responsable de l'ancien régime en fuite a été arrêtée et à passer plusieurs semaines en détention sans charge, juste parce qu'elle est proche d'une personne recherchée.
Elle a passer presque un mois dans la prison d'Abou Ghraib. Les forces spéciales l'ont capturée pendant un raid sur sa maison en pensant trouver son père. L'arrestation s'est déroulée proprement, les militaires lui ont menottées les mains dans le dos, et lui ont placer une cagoule sur la tête avant de l'embarquer pour une destination inconnue.
Après plusieurs heures de périples et d'attente, Malika a été conduite dans le centre de détention d'Abou Graib, dans la section d'isolement ou sont retenues plusieurs femmes comme elle.
Sur place, le processus se met en place, Malika est soumise à une fouille à nue qui comprend un examen gynécologique. Les femmes musulmanes irakiennes comme Malika sont très pudique, portent le voile hijab et s'habillent de façon ample pour dissimuler leurs formes. Mais les autorités américaines ont décider qu'il fallait faire preuve d'autorité envers toutes personnes susceptible d'être liées plus ou moins à la domination américaine ou au 11 septembre. Malika a vécue très difficilement cette nudité forcée.
Devoir retirer ses vêtements devant des étrangers, et des hommes est très dégradant pour une pieuse musulmane. Pourtant elle n'a pas le choix, elle est contrainte par des militaires bien plus fort et costaud qu'elle et très agressifs.
Comme les autres détenues, Malika n'a pas d'autre choix que de se déshabiller et se soumettre, remettre ses vêtements un à un aux gardiens, qui se marrent de voir une respectable femme musulmane se foutre à poil devant eux.
C'est toujours marquant pour les gardes de voir une femme pudique et couverte, enlever ses vêtements l'un après l'autre en pleurant, et qui en quelques minutes se retrouve totalement à poil.
Les responsables américains ont décidé après les attentats du 11 septembre 2001 d'autoriser les " techniques d'interrogatoires renforcées" et la nudité forcée dans la loi du Patriot Act.
Les prisonnières irakiennes comme Malika passe du voile à la nudité totale, les femmes sont gardées nues et pieds nus. Les détenues qui portent des bas, collants, chaussettes doivent aussi les enlever, les tampons hygiéniques sont aussi confisqués. Les am
Conformément à la procédure, Malika est prison en photo, nue bien sur, de face, de profil et par derrière. C'est infamant pour les détenues, mails les photos sont pour les dossiers et la fiche des prisonnières accompagnées d'examen biométrique.
La détenue est ensuite exposée et obliger de parader nue dans la prison pour que tous les gardiens et prisonniers puissant la voir.
Elle est ensuite interrogée nue et pieds nus et contrainte de prendre des poses obscènes. Malika doit se présenter nue en pleine lumière au milieu de la pièce devant les interrogateurs.
C'est plus difficile de mentir lorsqu'on est à poil, c'est pour ça qu'un bon interrogatoire se déroule toujours dans la nudité totale. Surtout que le questionnement est filmé et que les agents font du chantage : si la prisonnière ne coopère pas totalement, et bien les photos et vidéos seront diffuser à sa famille.
Ce chantage est très efficace sur Malika. Elle dit tout ce qu'elle sait par peur qu'on montre les images à ses proches. Les américains lui ont fait se mettre les doigts dans le cul et dans la chatte et l'ont obliger à lécher, elle a aussi été contrainte de danser nue dans une vidéo et de remuer ses fesses.
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Femme enchainée nue et pieds nus en cellule de prison. |
Un mémo déposé par un agent lors de son témoignage devant la commission d'enquête suite au scandale des tortures et des mauvais traitements.
La personne interrogée est un agent du secrétariat d’État à la défense ( équivalent du ministère des armées) chargé de superviser traitement des prisonniers de guerre de guerre pendant la seconde guerre d'Irak. Le fonctionnaire a été envoyé le 7 avril 2004 dans la prison d'Abou Ghraib pour rencontrer Kenza J, une jeune femme irakienne arrêtée quelques semaines avant, et cousine d'un ancien haut fonctionnaire activement recherché par la coalition.
"Je suis arrivé le 7 avril 2004 dans la prison d'Abou Ghraib pour prendre des renseignement sur Kenza J, la cousine d'une personne activement recherchée par l'armée. Elle a été arrêtée pour ses liens familiaux et faire pression sur son parent pour qu'il se rende, et aussi parce qu'elle est susceptible de par sa position de détenir des informations stratégiques capitales. C'est donc ça qui justifie sont statut de prisonnière de haute sécurité et son placement en isolement et au secret sans avocat pour une période indéterminée.
L'équipe de gardiens et le responsable de la partie dure de la prison m'ont accueillis. Après quelques présentation j'ai pu accéder à la détenue.
La prisonnière étaient nue et pieds nus, mais elle n'avait aucune traces de blessure ni de maltraitances sur le corps. Elle semblait calme et n'avait pas l'air d'avoir peur. Elle était juste gênée d'être nue.
Le responsable des interrogatoires ordonnent aux gardiens de confisquer les vêtements des détenus, pour les hommes comme pour les femmes, et j'ai pu constater les autres femmes irakiennes retenues dans la même section sont elles aussi gardées sans le moindre vêtements.
Le renseignement militaire, les administrateurs de la prison sont parfaitement conscient de cette pratique, puisque les femmes sont transportées et déplacer nues pour aller aux interrogatoires, aux douches, aux sorties (qui consiste à se rendre dans une toute petite court pour prendre l'air ou faire un peu d'exercice).
Ces pratiques sont récurrente, j'ai pu voir une autre détenue irakienne nue et menottée les mains dans le dos et ramener manu militari dans sa cellule après un interrogatoire. Cette situation avait l'air parfaitement normale pour les gardiens et toute l'équipe d'Abou Ghraib.
Prisonnière nue escortée par sa gardienne en uniforme de la salle d'interrogatoire vers sa cellule. |
J'ai demandé à la détenue si tout allait bien et si elle voulait voir un médecin, j'ai aussi demander au responsable des gardiens dont j'ai oublier le nom de lui rendre ses vêtements. Avec un garde il a fait mine d'aller les chercher, puis au bout de 20 minutes, il a dit qu'il ne les avait pas trouver.
Les vêtements et les effets personnels des prisonnières sont mélangés dans une armoire dans un bureau administratif de l'autre côté du secteur. C'est impossible de les retrouver, surtout qu'un administrateur m'a parler de vols, il a constater que les culottes des prisonnières étaient systématiquement confisquées et utilisées pour torturer et humilier les prisonniers hommes (souvent attachés à poil avec des sous vêtements féminins sur la tête).
Kenza J m'a confirmé que les autres prisonnières sont nues, et que le chef des gardiens est hypocrites et menteur, qu'il n'a aucunement l'intention de permettre à la moindre femmes de s'habiller.
J'ai donc insister après du responsable pour en savoir plus sur les vêtements des prisonnières, et qu'il fallait au moins remettre à Kenza et aux autres les vêtements qu'il est possible de leur remettre.
Ce dernier m'a dit que c'était impossible, puisque il n'y avait jamais eu la moindre livraison d'uniforme de prisonnière faute de moyens, et que les vêtements dans l'armoire sont abimées ou peuvent servir de pièce à conviction.
Ces arguments étaient un peu bancales mais je n'avais aucune autorité pour faire changer les choses, et il avait l'air d'avoir des appuis parmi ses supérieurs.
Kenza m'a dit que pour une femme musulmane et arabe, la nudité était très difficile, surtout au début. Sa religion enseigne la pudeur et la modestie, les femmes ici retenues sont toutes très traditionnelles et conservatrices. Kenza, comme l'autre détenue que j'ai croisée escortée nue prénommée Leila m'a dit qu'elle portait le hijab (voile islamique) et une robe arabe large qui couvre toutes ses formes, et qu'elle n'avait jamais été nue en public ni même porter un maillot de bain.
En arrivant à Abou Ghraib, elle s'est faite déshabiller complétement pour une fouille très approfondie (la procédure prévoit un examen gynécologique et anal). Puis qu'ensuite aucun vêtements n'est rendus aux femmes qui sont placées en cellule totalement à poil après une parade de la honte.
Le chef des gardes participe toujours au processus et assiste au fouilles et à toutes les étapes de l'incarcération des femmes.
Ici les femmes sont obligées de se montrer nues devant les hommes, le gardien estime que les femmes irakiennes doivent être punies et humiliées, et donc être à poil.
Il aime voir arriver une détenue, bien couverte de son voile, digne, qui en quelques minutes se retrouve sans dignité et entièrement nue et soumise aux gardiens.
Même les culottes et les chaussettes sont interdites, la détenue n°974598 a demandé à pouvoir au moins porter des tongs ou des chaussettes pour marcher car le sol est sale et froid. Le responsable des surveillants a rigoler et a dit que tant qu'il sera là les prisonnières sous sa responsabilité seront 100 % nue et pieds nus.
Concernant l'autre détenue que j'ai croisé, Leila, j'ai pu selon mon mandant demander des informations sur elle et lui parler. Elle est une journaliste proche des médias de l'ancien régime.
Elle m'a dit que les prisonnières sont prises en photo totalement à poil, devant, derrière, sur les cotés et que ces photos sont mises dans des fiches mais qu'elles circulent au sein de la prison.
Les gardes pour ma visite avaient retirer ces images, mais sur la porte de chaque cellule, il y a des photos nues de chaque prisonnières sur les portes de leurs cellules, donc des photos de leurs anus ouvert lors des fouilles ou dans des positions obscènes.
Liens :
Les femmes humiliées publiquement en prison.
Prisonnière nue. |
Prison d’Abou Graib, région de Baghdad, Irak, 2004.
Les observateurs du CICR (Comité International de la Croix/Croissant Rouge) ont constaté de graves manquements aux droit de l'homme et à la dignité humaine lors de leur visite de la prison d'Abou Ghraib.
Ce qui est le plus frappant pour les visiteurs, c'est que la section du complexe pénitentiaire ou sont retenue les personnes ayant été arrêtées pour liens avec l'ancien régime, d'activité anti coalition, de liens avec le terrorisme, de détenir des informations sur le programme d'armement massif ou sur des personnes activement recherchées sont soumises à des conditions de détention difficile avec des pressions physiques et psychologiques intenses, des interrogatoires renforcées.
Une femme d'environ 31 ans, identifiée comme Sara, une professeure de lycée portée disparue suite à un raid de l'armée contre un quartier rebelle de la capitale. Le renseignement militaire a décider de la garder en détention comme étant une "Détenue de sécurité" pour ses liens avec l'ancien régime.
Elle a été retrouvée lors d'une visite inopinée, elle est confinée dans une petite cellule d'isolement et a des conditions de détention très difficiles.
Comme tous les prisonniers entrants, la prisonnière Sara a été soumise à une fouille de sécurité, systématique en prison ou les gardiens l'ont obliger à retirer ses habits. La nudité et les fouilles sont au cœur du traitement spécial imposée aux prisonnières pour les soumettre. Sara est une femme respectable et culturellement pudique, musulmane attachée aux traditions comme la plupart des prisonnières.
Ses gardes lui interdisent de porter des vêtements. Depuis son arrivée sur le site, elle est contrainte de rester toute nue comme l'explique le plus naturellement possible l'un des responsables aux visiteurs.
Il ajoute que dans la procédure, la technique d'interrogatoire préférée et aussi la plus utilisée et la plus spectaculaire est "la nudité forcée". La majorité des personnes détenues sont gardés entièrement nues, certains depuis plusieurs mois.
Sara comme la plupart des femmes de son milieu porte par pudeur et respect de sa religion un voile (hijab) lui cachant les cheveux, robe traditionnelle ample et large pour dissimuler ses formes, et en arrivant les gardiens lui ont confisqué et découper devant elle, ses chaussures et tout ses effets personnelles ont été pris par les américains, qui découpent systématiquement les foulards et les tenues trop couvrante devant les prisonnières pour mieux les humilier et leur faire comprendre qui est le maitre.
La jeune femme a été conditionnée à la nudité. Elle n'a même pas chercher à couvrir ses seins et son sexe devant les visiteurs, c'est comme si elle avait perdue toute pudeur. Les observateurs se sont bien sur demandé plusieurs choses, déjà premièrement, pourquoi est elle totalement nue dans sa cellule ? La réponse est que Sara ne porte aucun vêtements depuis plusieurs mois; et que les prisonnières sont soumises à un véritable reconditionnement psychologique.
Liens :
Travail forcé , une prisonnière nue lave. |
Marche de la honte (Walking Shame) pour une prisonnière. |
Groupe de femmes nues et humiliées par les gardiens de prison. |
Filles marchent dans les rues lors du bizutage. |
Chaque début d'année universitaire, en septembre et en octobre, des bizutages ont lieux, souvent officieusement soutenu par les institution locale et encouragé comme tradition faisant partie du patrimoine.
Dans ce petit village du sud de la France, les filles de premières années d'études supérieurs sont systématiquement soumises de gré ou de force aux épreuves du bizutage.
Les habitants, les commerçants et les touristes ont pour habitude de voir des jeunes filles déambuler nues dans les rues et les magasins du centre ville.
Le premier samedi de la rentré, les anciens ont décrété que les filles devaient être réunis dans les locaux universitaires, nous assistons parfois à de véritable traque, ou les anciens fouillent toutes les résidences du CROUS, les cantines, les bibliothèque, les salles de cours, et tout le campus pour y trouver toute les primo arrivantes.
Le système est bien rodé, avec la complicité du personnel, et des autorités, quasiment aucune filles ne peut y échapper.
Les filles sont prisent par petit groupe, au début elles sont en général assez détendues et amusées, mais quand elles arrivent dans l'amphi principal, ou le conseil des gardiens de la tradition (Le BDE Bureau Des Étudiants) a décider de les réunir , et ou elle découvrent que celles arrivées avant elles sont totalement nues et exhibées, les plus pudiques pleurent ou se mettent à fortement angoisser.
L'ambiance est terrible, les nouvelles sont "inviter" à enlever leurs vêtements devant tout le monde, certains anciens hurlent "A poil !" d'autre incitent "gentiment" avec un sourire narquois les filles à obéir, car de toute façon elles devront être nues.
Le strip tease se déroule sur l'estrade devant le public, les filles doivent tout enlever et présenter leurs seins, leurs fesses, leurs chattes pour se présenter. Gare aux pudiques, leurs vêtements sont arrachés ou découpés et sont bien plus dresser que les autres.
Les filles doivent même retirer leurs chaussures, chaussettes, socquettes, bas etc. Les filles qui oublient d'être pieds nus sont parfois humilier et sanctionner.
Chaque nouvelles doit s'identifier : donner son nom, prénom, classe, et ouvrir ses fesses et exposer son anus et sa chatte sous les rires des étudiants pervers.
Certaines pleurent, puis les filles doivent défiler et parader nues dans tout le campus, mais aussi dans le centre ville pour amuser les touristes.
Liens :
Nue au bar pendant le bizutage.
Nudité forcée pendant le bizutage.