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| Nue devant les garçons pendant le bizutage étudiant. |
Bizutage classique dans les années 1980
Nous sommes dans une faculté de droit d'une université du centre de la France en 1987, une époque ou le bizutage était ouvertement accepté et même encouragé par les autorités.
Témoignages de Malika, l'une des rares étudiantes musulmanes d'origines nord africaine (Tunisie) qui portait le voile (hijab) à cette époque.
Dés la première semaine, en général vendredi ou samedi, tous les étudiants en premières années étaient regrouper dans l’amphithéâtre pour la cérémonie d'intégration organisée par les anciens. Le bizutage était incontournable à l'époque, c'était impossible d'y échapper sous peines d'exclusion sociale et de toute façon les anciens allaient chercher les récalcitrantes qui tentaient d'esquiver.
J'étais l'une des seules étudiantes musulmanes voilées, je portais le hijab depuis 16 ans, à l'époque c'était autorisé même au lycée. L'ambiance était festives et électriques, beaucoup chantaient des chansons idiotes ou paillardes , avec pas mal d'alcool, de la bière surtout. Puis les anciens nous ont regrouper par petit groupes de 5 à 6 filles, nous étions des "bans de poissons frais" selon les termes utilisés par les anciens.
Ensuite c'est mon groupe qui a été invité a se rendre sur l'estrade, les anciens me regardaient avec un air narquois et l'une d'entre elle a ordonner avec un haut parleur "Vous vous déshabiller ! Aujourd'hui, il faut tout enlever, pas de place pour la pudeur, ni pour les complexes, ni pour la religion ou le statut social, tout le monde à poil !"
Les spectateurs hurlaient et criaient toutes sortes de propos du type "à poil" "montrez nous leurs chattes" etc.
J'ai tenter de protester en disant que j'étais musulmane, pudique et voilée, mais rien à faire, une des anciennes s'est mise à crier "hahaha elle se prend pour une saint avec son voile ! on dirait une bonne soeur et on va la libérer et la décoincer un peu !"
Dans les gradins certains hurlaient "mettez la à poil, pas de religieuse ici, tous le monde à égalité".
Deux garçons sont venus en disant d'en finir avec "ce cinéma et cette fasse pudeur et de tout enlever". et ils m'ont enlever mes vêtements en commençant par mon hijab.
Ils nous ont exposés toutes nues devant tout le monde, j'ai du les remercier de m'avoir sauver et libérer, puis nous avons du faire la marche de la libération entièrement nues en défilant sur le campus universitaire.
Toutes les filles étaient nues et pieds nus, beaucoup comme moi étaient très honteuses, mais c'était les règles et traditions de l'époque.
Lien :
Ce que j'ai vu aussi dans le bizutage d'une nana qui refusait d'être bizutée devant son copain, c'est la façon hard. Les bizuteurs se sont emparés de la nana ,l'ont déshabillée, lui ont enlevé son slip, donc carrément à poil.ils se sont ensuite adressés à son copain bien tenu par les autres bizuteurs, que vu qu'ils ont refusé tous les deux le bizutage, surtout lui ,que sa nana en allait faire les frais. Ils l'ont donc mise à poil, que son copain regarde bien la suite. Les bizuteurs ont pris deux tréteaux sur lesquels ils ont posé une planche dessus. Les tréteaux étant positionné à trois mètres l'un de l'autre, et avec la planche dessus. Ils ont ensuite mis une dizaine de bougies allumées sur la planche. Une fois fait, ils ont dit au gars qu'ils allaient bien brûler la chatte de sa nana sans même la toucher. Sur ce, ils sont amenés la nana à enjambé la planche, de façon à ce qu'elle ait les bougies entre les jambes, et qu'il fallait qu'elle éteigne toutes les bougies avec sa chatte, d'un bout à l'autre de la planche. Un bizuteur lui tenait la main de chaque côté en la faisant avancer. Si elle ne voulait pas éteindre la bougie,un bizuteur la prenait par les hanches et et abaissait la nana jusqu'à ce que sa chatte touche la flamme. Elle hurlait car ça brûlait pas mal, et ça cramait même ses poils. Elle avait réussi à en éteindre deux ou trois toute seule, mais pour les autres, le bizuteur lui a abaissé sa chatte sur la flamme pour l'éteindre. Le pire a été pour la dernière bougie, où le bizuteur l'a fait asseoir sur la flamme pour l'éteindre, en lui ouvrant la fente pour lui faire la bougie chaude dans son vagin. Elle a crié, pleuré, hurlé, mais tout a été fait. Quand ça a été fini, ils ont fait venir son copain qui pleurait lui aussi, pour venir constater l'état de la chatte de sa nana. Pour voir, il a vu. Sa nana avait les poils de sa chatte roussis,ses lèvres vaginales étaient un peu cloquées, sans parler de son vagin qui était un peu brûlé. Les bizuteurs lui ont simplement dit :"On te l'avait bien dit qu'on lui brūlerait sa chatte sans toucher à ta nana. Tu as vu ce qu'il en coûte de refuser le bizutage.Ta nana a sa chatte bien brûlée, et tu n'es pas prêt de la baiser ".Alors, vraiment hard ce bizutage, mais moi, ça m'avait excité. Qu'en pensez-vous ?
RépondreSupprimerMilky 2
Vraiment très hard, sadique et excitant
RépondreSupprimerÇa devait sentir la cochonne brûlée.
Il ne manque plus que le cirage pour continuer à lui chauffer la chatte et obliger le copain à la baiser devant tout le monde
Le cirage était quand même employé sur le sexe des filles. Pour celles qui avaient des poils, ça collait bien et ça les raidissaient. D'autres, c'était le dentifrice qu'on introduisait dans le vagin pour bien lui brûler l'intérieur. Toute la chatte était aussi enduite de dentifrice, pour bien lui irriter les muqueuses. De même que le clitoris bien décapuchonné était aussi enduit de dentifrice. De toute façon, on s'arrangeait pour que la fille sente bien la brûlure de sa chatte. Et devant son copain, c'était le même procédé. En plus qu'il fallait qu'il regarde comment on enduisait la chatte de sa nana,voir comment on lui ouvrait son vagin. Pour une femme en reprise d'études, c'était la même chose. On lui passait d'abord la flamme d'un briquet pour lui griller un peu les poils de sa chatte. Ce n'était qu'après qu'on la passait au dentifrice, aussi introduit dans son vagin. Là, ça la brûlait bien.
SupprimerMilky 2