jeudi 12 décembre 2024

Une fille tente d'échapper au bizutage.

 

Bizutage bien organisé.

Les bizutages sur ce campus universitaires sont très bien organisés, c'est très difficile pour les filles récalcitrantes d'y échapper, même pour les plus malignes et rusées comme Sabrina.

Sabrina est étudiante en première année d'études de commerce à l'IUT (Institut Universitaire de Technologie) rattaché à l'université. Elle est d'origine marocaine par son père et espagnol par sa mère. Elle à grandie dans une banlieue assez aisée du 92, c'est plutôt une bonne étudiante, elle a obtenu le bac avec mention très bien.

Sabrina connaissait avant de s'inscrire le fait que sur ce campus, les bizutages sont très ancrés dans les mœurs et ont toujours lieux sous le nom de "journée d'intégration". Et elle veutà tout prix éviter d'y participer car elle est très pudique et porte le voile et l'abbaya comme toute bonne musulmane.

Le jours du bizutage, la jeune fille s'est rendu dans la bibliothèque universitaire (BU) du campus au lieu d'aller dans l'amphi principal de l'université ou les nouveaux doivent se réunir selon les "convocations".

Mais elle ne sait pas que les bizuteurs ont toujours une longueur d'avance sur les nouveaux. En effet, le BDE (Bureau des Étudiants) organisent avec le soutient de l'administration de l'université, des services de la mairie, et disposent de listes et d'informateurs permettant de retrouver toutes les personnes qui tentent d'échapper à la journée d'intégration.

Grace à la complicité de la bibliothécaire et des caméras de sécurité, les anciens ont pu identifier qu'une fille avait l'air de tenter d'éviter d'aller au rendez vous officiel et se serait cacher dans la bibliothèque en faisant semblant de lire des livres alors qu'elle est plutôt adepte de ChatGPT pour ses cours ...

Les anciens sont bien rodés, équipés de talkie-walkie   ont vite envoyé un groupe s'occuper de la récalcitrante.

Une fois sur place, Sabrina est directement identifiée et les anciens lui demande de se lever et si elle sait qu'elle doit être théoriquement dans l'amphi principal pour le début de la journée d'intégration.

La jeune femme fait mine de ne pas bien comprendre et répond qu'elle révise. Les anciens étant expérimenté et devinant qu'elle n'a pas envie d'aller au bizutage lui disent que ça a commencer dans l'amphi, et qu'elle doit se déshabiller ici, car les autres premières années sont à poil et qu'il n'est pas juste qu'elle passe moins de temps toute nue que les autres.

Sabrina rougie et dit "Non, mais vous n'allez tout de même pas me faire me déshabiller ça va pas la tête non" avec un air hautain et arrogant propre aux gamines gâtées comme elle. "Je suis voilée quand même, je peux pas l'enlever".

Les bizuteurs, insensibles lui disent de retirer ses vêtements ici devant tout le monde, sinon ils useront de la force, car c'est le bizutage, tout le monde à poil sans distinction, on met sa culture et sa religion de coté  et qu'il faut tout montrer".

C'est horrible pour Sabrina mais elle n'a pas le choix et sait parfaitement qu'ils vont lui arracher ses habits et lui infliger des sévices et des punitions.

Il faut tout enlever même la culotte et les chaussettes. Sabrina qui était couverte de la tête aux pieds s'est retrouvée à poil en quelques minutes, et devant tout le personnel de la BU.

La honte, les anciens l'oblige à parader à poil devant les autres les mains sur la tête pour que tout le monde puisse bien reluquer ses seins, sa chatte sans poil ses fesses à l'air.

Faut pas être pudique pendant le bizutage.




Lien : 

La tradition du bizutage en milieu étudiant.


6 commentaires:

  1. C'est déjà arrivé qu'une fille tentait de se soustraire au bizutage. Mais quand elle était chopée, c'était pire pour elle. Déshabillée de force, soutien-gorge enlevé avec rudesse, son slip déchiré, bien tenue par les bizuteurs bras et jambes écartées, ses seins soupesés, ses tétons tordus, ses mamelons pincés et tirés entre deux doigts, et sa chatte bien malaxée, avec les lèvres de son vagin bien étirées le plus possible, grandes comme petites, bien pincées aussi et même tordues,clitoris décapuchonné jusqu'à lui faire mal et tordu dans tous les sens. Ensuite son vagin ouvert en grand,et une bonne dose de dentifrice introduit en elle,bien malaxé à l'intérieur, puis ses lèvres vaginales ainsi que son clito passés aussi au dentifrice. La fille hurlait mais les bizuteurs n'en avaient rien à faire car ils continuaient à tout frotter avec une brosse à dents.
    Chaud tout l'amphi à ce moment-là.
    Milky 2

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  2. Comme c'est une tradition, il y a souvent des complice parmis le personnel de l'école.
    Nous c'était le gardien du foyer qui laissait entrer les anciens la nuit et assistait bienveillant au bizutage.
    Celles ou ceux qui résistait étaient effectivement dénudé de force et "punis" avec des humiliations supplémentaires, fessées et gages humiliants comme faire des pompes et faire ke tour de la pièce à 4 pattes sous les coups de règles sur les fesses

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    1. C'est vrai qu'il y avait de la complicité parmi le personnel de l'école. Nous, c'était le concierge qui avait les clefs de la résidence universitaire. Et lui aussi assistait avec bienveillance au bizutage. Par moment, on faisait exprès d'amener une fille face à lui, pour qu'il voit bien la fille se faire déshabiller. De ce fait, il était aux premières loges quand on enlevait le slip de la fille pour finir de la mettre toute nue. On prenait ensuite la fille sous les bras et dans le creux des genoux pour le soulever tout en lui écartant bien les jambes. On montrait donc sa chatte au concierge, tout en lui ouvrant bien la fente pour qu'il voit bien l'intérieur de son vagin. Par la suite, il a assisté à pas mal de badigeonnage de chattes au cirage ou au dentifrice. Ça se voyait que par moments, il était excité.Une fois, il nous a rendu service, en allant chercher une ou deux boites de cirage, et deux ou trois tubes de dentifrice. Il a même ramené un embout à visser sur le tube de dentifrice, comme ça vous pourrez en mettre plus dans le vagin des filles, nous a t-il dit. Un fin connaisseur ce concierge. Comme quoi, il y avait de la complicité partout.
      Milky 2

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  3. J'imagine la gêne des filles ensuite en passant devant le concierge qui avait assisté à leur bizutage et pensait certainement à leur chatte exposée en les regardant vicieusement
    Nelly

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    1. C'est exactement cela. Quand les filles passaient devant le concierge, certaines étaient très gênées, car elles savaient qu'il avait vu leur sexe .Surtout que leur fente était bien ouverte et qu'i ne se gênait pas pour regarder leur vagin. Il voyait tout, même l'introduction du dentifrice dans le vagin, et nous disait qu'il ne connaissait pas cette façon de bizuter une fille. Je pense qu'il devait y en avoir beaucoup comme lui.
      Milky 2

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  4. Comme dans beaucoup de bizutage, les filles sont ciblées. Les mettre toutes nues était une chose normale. Si elles ne voulaient pas le faire, on le faisait pour elles. Même une nana avec un copain, il fallait aussi qu'elle soit toute nue. Très stressant pour le garçon qui voyait sa nana se faire déshabiller. Surtout le moment où on lui enlevait son soutien-gorge et son slip, pour que tout le monde lui voit sa chatte à l'air. Si le copain ne disait rien ou laissait faire, sa chatte était tout juste passée au cirage. Sinon c'était son vagin ouvert et du dentifrice introduit en elle, et assez profondément. On s'arrangeait pour bien l'irriter et la brûler vaginalement. Le dentifrice était passé ensuite sur toute sa chatte. Le tout l'irritait et la brûlait terriblement. Son copain pleurait, hurlait, mais en plus, sa nana était obligée de défiler dans le campus mains sur la tête, avec tout le dentifrice sur elle et en elle. Bien ou peut mieux faire ?
    Milky 2

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