vendredi 30 avril 2021

Nudité forcée et honte pour deux prisonnières.

Nudité forcée et honte en détention
Deux femmes prisonnières nues en cellule.

 Scandale de la nudité imposée en prison.


Deux jeunes femmes de 25 ans, Louisa et Celia  et  ayant été prises pour des "combattantes ennemies" par erreur  et arrêtées lors d'une opération militaire dans un quartier de la capitale réputé pour abriter des rebelles. 


Elles rapportent des conditions de détention dégradantes et affirment avoir étés humiliées pendant leur captivité par les gardiens. Les forces américaines occupent leur pays et cherchent à mettre fin à toute résistance, et les deux amies se sont retrouver là au mauvais endroit et mauvais moment. Le "Patriot Act", la loi votée sur ordre du président Bush permet à l'administration de retenir des gens en détention  au secret sans inculpation pendant une période indéterminée , ni même le droit de rencontrer un avocat.
Si l'administration américaine affirme respecter les conventions de Genève sur le traitements des prisonniers et prétend que ses camps de détention militaires ne pratiquent pas la torture, certaines pratiques laissent le doute.


Les deux filles après un voyage de plusieurs heures pendant laquelle elles étaient menottées et avaient une cagoule sur la tête sont arrivé dans une prison de l'ancien régime que les américains ont récupérée et transformée en prison militaire US.

Témoignage accablant.


Un témoin, un agent d'entretien de la prison rapporte que lorsque les deux suspectes sont arrivées, l'équipe pénitentiaire était quelque peu surprise car elle n'avait pas l'habitude de recevoir des femmes : 


"Deux femmes assez jeunes sont arrivées, nous étions assez surpris car c'était la première fois que nous recevons des détenus de sexe féminin ici, nous avons hésiter, mais l'un des chefs des gardes, le sergent Smith a décider de les traiter comme ont fait habituellement avec les prisonniers mâles. Il les a conduite dans l'une des salles de réception et avait laisser la porte entre ouverte.

Après 10 minutes, je n'ai pas pu résister à ma curiosité et j'ai jété un coup d'oeil, les prisonnières étaient complètement nues et faisaient des squats (flexions) devant Smith. Les filles avaient la têtes baissées et pleuraient car elles étaient totalement humiliées."


Le sergent est intraitable sur les fouilles et sur la sécurité, homme ou femme, aucune importance les infections doivent empêcher l'introduction de tout objets de contrebandes ou dangereux dans la prison.


Le sergent Smith est selon les rapports de ses supérieurs un homme très respectueux des protocoles et qui respectent les ordres sans se poser de questions. Des témoins affirment que les ordres étaient de "traiter les prisonniers comme des chiens, de les rendre dépendant et de les ramollir en vue des interrogatoires".


Le témoin ajoute : 


"Si la nudité des prisonniers hommes  paraissait normale dans les locaux, celle des femmes était sujette a quelque controverse car certains membre de l'équipe était gênés, après tout, certains se disaient que si l'armée avait envahie ce pays, c'était pour y libérer les femmes, non les asservir.

Celia et Louisa sont restées nues et ont du traverser la prison sans aucun vêtements dans ce qu'on peut appeler une "marche de la honte". avant d'être placée ensemble en cellule ouverte, toute personne passant devant pouvait les apercevoir à poil.


Concernant la nudité forcée, les autorité pénitentiaire considère que porter des vêtements n'est pas une droit quand on est en prison, mais que c'est une faveur, et que les nouveaux prisonniers doivent se montrer coopératifs pour avoir la possibilité de s'habiller. Louisa et Celia étant nouvelles, il n'y avait aucune raisons de les vêtir pendant leurs premiers jours de détentions.


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jeudi 29 avril 2021

Une femme beurette séquestrée nue.

 

Beurette soumise nue ligotée et attachée en BDSM.
Attachée toute nue et prête a se faire baiser en gang bang.


Séquestration BDSM: Une femme  humiliée lors d'une expédition punitives.


Jenya, une petite beurette bourgeoise qui vit dans un pavillons à arnaquer et s'est moquer d'un mec à qui elle voler la mauvaise personne. Mais manque de chance pour elle, Jenya est retrouvée par cet homme, qui avec ses copains à décider de la séquestrer plusieurs heures pour lui donner une bonne leçon.

Le groupe de justicier composé de trois garçons s'est introduit chez la jeune femme ronde  en pleine journée un samedi après midi.

Surprise Jenya n'a pas le temps de réagir, ses ravisseurs se jettent sur elle et lui arrache tout ses vêtements, ils l'ont mise entièrement nue, quelle honte et humiliation pour elle !

La voleuse est palper et tripoter comme du bétail, ses gros seins sont malaxer de façon énergique,  ses fesses ronde et ses seins sous sous pesés, ses pieds sont chatouillés. 

Pour la dégradée le groupe de mecs prend des photos de la voleuse nue, ils l'insultent de tout les noms, la traite de chienne et de pute avant de se rendre compte que la situation excite beaucoup Jenya.

La honte lui procure rapidement une excitation incroyable. Sa chatte mouille très vite et l'un des ravisseur l'a fait mettre à genoux et l'oblige à le sucer.

La beurette suce goulument la bite, elle aime ça. Un autre décide de l'enculer.


Après s'être vider sur ou dans elle. La soumise est attachée nue sur un fauteuil dans une position très explicite les jambes écartées et la chatte et le cul bien ouvert et exposés.


Les justiciers décident donc d'appeler leurs potes pour baiser et enculer à tours de rôle la grosse voleuse. Certains sadiques lèche les pieds de la beurette et lui mordillent les orteils, Jenya aime beaucoup qu'on s'occuper de ses petits pieds, ça tombe bien car beaucoup de mecs sont fétichistes et lui masse et lèchent les pieds.

Depuis lors, Jenya est soumise et organise régulièrement des plans avec scénario BDSM plus ou moins hard.



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mercredi 28 avril 2021

La maison de correction pour jeunes filles (histoire de fessée)

Pensionnat : les filles reçoivent la fessée et sont humiliées à poil
Des filles attendent de recevoir une fessée toutes nues des mains de leur éducatrice.

Dans un centre de rééducation pour jeunes femmes.


Avec les nouvelles réformes dont la loi sur le séparatisme, le gouvernement a décider de faire plusieurs réformes concernant la répression de la délinquance des jeunes filles, et plusieurs maisons de correction pour jeunes femmes ont été ouvert dans toute la France. Ces centre accueillent des filles en décrochage scolaires, des filles radicalisées, des petites délinquantes. Pour ces filles ces établissements sont la dernière chance avant la prison.

Le centre éducatif fermé est un ensemble imposant de bâtiments entouré par un grand mur dans les environs d'une ville moyenne d'Ile de France.

L'une des choses que nous avons remarqués c'est que quatre jeunes filles étaient absolument nues et marchaient à poil dans les locaux en direction d'une salle de punition publique. Nous étions choqués au début avant que les responsable éducatifs viennent nous expliquer que l'établissement à un règlement intérieur qui prévoit des punitions et châtiments corporels en cas de non respect des consignes et des règles de vivre ensemble au sein du foyer.

Ces quatre filles sont toutes adultes et ont entre 21 ans et 28 ans, nous explique notre guide. lorsqu'une nouvelle arrivante arrive, nous leur prenons leurs papiers d'identités, leurs cartes de crédits, leurs vêtements civils, ici l'uniforme est obligatoire pour toute comme à l'ancienne. Le maquillage, les parfums, les bijoux, sont aussi interdit. Les filles sont déshabillées complètement et  pour leur séjour, on leur donne de nouveaux vêtements, des chaussures convenable, des sous vêtements réglementaires et un uniforme scolaire, une trousse de toilette, et une nuisette pour dormir. Les filles sont toutes pareils, elles ont toutes les mêmes objets et vêtements à disposition.

Ces mesures évite la jalousie entre filles, les vols, ainsi que d'abîmer ou de perdre des vêtements important et ça met toutes les filles a égalité.


Les douches sont collectives et se déroule à poil.


Les filles perdent vite toute pudeur et modestie dans cette endroit du fait de la nudité imposée de façon très fréquente et elles n'ont aucune intimité.


Les filles ici sont nues car elles attendent de recevoir une fessée, la fessée associée à la nudité est très efficace car ça permet d'allier douleur et humiliation et créer un sentiment de vulnérabilité chez les punies.

Leurs éducatrices ont jugées nécessaire de les sanctionner car leur chambre est mal tenue, certaines sont trop souvent en retard en cas et ça nécessite une punition pour rectifier leur comportement. Elles s'habituent à s'exhiber pour recevoir des fessées à poil devant les autres filles.


Après les fessées, les filles doivent rester nues les fesses à l'air et toutes rouges pour méditer sur leurs fautes et accroitre leur sentiment d'humiliation.

Ses fesses sont toutes rouges après avoir reçue une fessée punitive.
Après sa fessée, la jeune fille est exposée et humiliée les fesses à l'air.


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Pensionnat : une nouvelle reçoit une fessée et est humiliée nue.



 

lundi 26 avril 2021

Prisonnière nue en confinement et interrogatoire renforcé


Une femme prisonnière nue et humiliée attachée en bondage avec un sac sur la tête pour un interrogatoire très dur.
Prisonnière nue un sac sur la tête attachée sur une chaine pour l'interrogatoire musclé.


La prisonnière nue pendant l'interrogatoire renforcé.


C'est l'un des quartier de la prison militaire le plus terrible : celui ou sont regroupés et détenus les prisonniers de hautes valeurs susceptibles d'avoir des informations importantes pour les forces de la coalition militaires qui utilisent des méthodes et des techniques d'interrogatoires renforcés dans le but de mettre une pression maximale et de stressée le plus possible les prisonnier pour les briser et les faire parler. Même si la majorité des détenus sont de sexe masculins, certaines femmes sont soumises à ce traitements. L'une des soeurs d'un insurgé, Marwa est passée par là et le fait qu'elle soit une femme ne lui a pas faciliter les choses.


Bienvenue en Enfer, Welcome to hell.


La prisonnière est déshabillée totalement lors de son arrivée, et elle est laissée dans une  mini cellule cellule vide totalement à poil avec une cagoule sur la tête  et entravée aux poignets et aux chevilles. Deux interrogateurs viennent l'a voir, l'un lui pisse dessus,  et l'autre lui attrape les chevilles et l'a trainer dans l'urine toute jaune et dégoutante..


Après quelques heures passées dans ce trou, deux autres soldats viennent l'a prendre pour interrogatoire, elle est escortée nue dans les couloirs direction la salle d'interrogatoire.

Elle est à genoux, en face d'elle il y a un bureau avec deux hommes et une femme qu'elle ne peut pas identifier.


On installer des bracelets en cuir sur ses poignets, puis on les fixe à une barre horizontale, ses pieds touche à peine le sol, elle est à moitié suspendue, elle ne tient que par la pointe des pieds. on lui écarte les jambes et fixe les chevilles au sol. Tout le poids de son corps est sur ses mains et le bout de ses pieds, la douleur arrive rapidement dans cette position.


"Après ça tu parlera sale chienne !" Hurle un militaire.


L'autre soldat, un, afro américain d'une trentaine d'année, il passe d'abord le fouet lentement   sur le corps nu de la prisonnière, en lui passant sur le sexe,  tout en puis pinçant le bout des seins.


Interrogatoire musclé.


"Tu va aimer le fouet salope, et tu nous dira tout ce que tu sais pétasse."


Puis l'autre soldat frappe le premier coup.


Slaaap le coup est très sec et très fort, il laisse une marque sur le bas du dos de la détenue qui pousse un hurlement instantané.


Le tortionnaire attends quelques instant et lui donne un second coup aussi fort, un autre cri de la jeune femme.


Les frappes se répètent et chacune  laisse une trace zébrée, l'interrogateur frappe sur les fesses qui sont pleine de marques, mais vise aussi les cuisses, le dos et parfois les épaules.


La prisonnière  s'évanouie, on la réveil avec des claques.


La femme militaire, en retrait lui demande son nom.


"Je m'appelle Marwa X"


"Tu mens" répond l'une des deux brutes qui lui pince les seins.


"Ton métier ?"


"Ingénieur en génie civil"  dit elle épuisée.


"Tu mens" et le soudard lui claque les seins.


"Tu est notre ennemie salope, alors parles, dis nous comment tu a comploter contre nous !"


Epuisée, Elle répond qu'elle ne sait pas ce qu'ils veulent, elle était journaliste, jamais eu aucun rapport avec la politique.


"Ton frère, ou est il ?"


"Je ne sais pas"


"Menteuse, nous l'avons arrêté, il est en route vers Guantanamo."


"Quand l'a tu vu pour la dernière fois ?"


"Lors de la chute de la capitale, il m'a dit qu'il partait aider des blessés par les bombardements, puis il n'est jamais revenu."


"Tu mens !" et le malabar lui met une baffe sur les parties génitales.


"Je vois que tu ne coopère toujours pas pétasse" dit l'interrogatrice.


Toujours attachée et au bord de l'effondrement, les deux sbires sortent des pinces du tiroir d'un bureau, ils les installent d'abord sur chaque mamelons, ils en disposent d'autre sur toute l'auréole mammaires, puis ils s'en prenne à ses lèvres vaginales, vulves et clitoris.


La prisonnière les supplie de retirer les pinces, ça lui fait très mal.


"Nous les retirerons quand tu parlera et cessera de nous mentir. Si tu parles, nous te rendons tes vêtements, et tu aura un certain confort, mais si tu ne parle pas tu restera comme ça, nue et nous te questionneront régulièrement jusque a ce que tu parle." explique calmement la femme militaire chargée de délier les langues.


"Mais je ne sais rien  !" dit  la prisonnière en pleurant.


"Au début toutes les personnes entre nos mains disent ça, mais nous, nous voulons des informations. qui sont les amis de ton frère  ?"


"Je ne sais pas." répond encore Marwa.


"Quel lieu fréquentait-il ? qui sont ses amis ?"


"Il allait souvent au café du centre ville parler avec des étudiants , des jeunes." répond la jeune femme.


Tu nous donnera la liste des noms et des lieux.


Les américains ôtent les pinces du corps de la suspecte.


Nous allons vérifier tout ça. Reconduisez là en cellule.


Avant de la remettre en cellule d'isolement, Marwa est passée au jet froid par des militaires, ces derniers prennent un malin plaisir à viser ses seins et ses parties génitales. Sa cellule est nettoyée de la même manière, mais elle restera  nue, entravée, on lui retire juste sa cagoule avant de l'enfermer.


Elle reste enfermée à l'isolement, elle n'entend que des bruits, des cris, hurlements. On lui sert chaque jours une nourriture immondes.


Les interrogatoires se répètent, plus ou moins violent ou humiliants, toujours les mêmes questions, et les mêmes réponses.



dimanche 25 avril 2021

Vidéo : Des filles baisées par une lesbienne au bizutage étudiant.


 Vidéo : Des filles bizutées se font baiser par une lesbienne dominatrice.



Les filles sont toutes nues pour leur traditionnel bizutage et se font baiser sauvagement par une ancienne.




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samedi 24 avril 2021

Un frère humilie sa soeur soumise musulmane

Cette soumise musulmane voilée aime la soumission et l'humiliation.
Une soumise musulmane expose docilement son anus et sa chatte aux voyeurs.

 Obscurantisme et perversion dans cette famille de pervers sadiques.


Après l'adoption de la loi républicaine sur le séparatisme, et devant l'impossibilité pour le père et le frère de la famille A, ces derniers ont humilier et maltraiter leur soeurs Nadia et lui ont imposer plein de choses perverses.

Le frère de Nadia a tenter de consulter plusieurs médecins et gynécologue en vue d'imposer un mariage  à sa soeur. Du fait de la loi, aucun médecin ne peut certifier que la jeune fille est vierge. 

Le frère à passer plusieurs annonces pour marier sa soeur, sur des sites de rencontres communautaires. Il a vraiment traiter sa soeur comme de la marchandise. Lorsqu'un prétendant était intéressé pour épouser Nadia, son frère l'obligeait à se déshabiller complètement dans le salon, à l'exception de son hijab (voile islamique) qu'elle avait le droit de conserver pendant ces "rencontres".


Nadia était nue avec un simple couvre chef religieux, les mecs prétendants et son frères pouvaient regarder ses seins, sa chatte, ses pieds, lui tripoter les seins et lui mettre des doigts dans la chatte et le cul pour vérifier si elle est vierge et surtout si c'est une vrai salope soumise qui mouille bien. 

Nadia devait  aussi répondre en public a des questions inquisitrices sur la sexualité , car les inspecteurs ont trouver des traces de pénétration anales dans son cul et des irritations sur son vagin pouvant laisser penser qu'elle s'est faite baiser il y a peu de temps.


La pauvre soumise à du se mettre à quatre pattes et écarter et étirer ses fesses le plus possible pour bien exposer son petit anus pour que les prétendants y mettent leurs doigts ou leurs langues pour la tester sexuellement avant un éventuelle mariage.


Nadia qui est pieuse et très religieuse aime beaucoup la soumission, être dégradée, traitée comme un objet sexuelle et subir toutes sortes de sévices vicieux.


La loi sur le séparatisme à déjà des effets pervers ...


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Arabe milf soumise.





vendredi 23 avril 2021

Fessée et punie par son éducatrice (spanking)

 

Une fessée ça se reçoit toute nue pour être plus efficace
Fille reçoit une fessée toute nue sur les genoux de l'éducatrice.

Jeune fille sanctionnée par une éducatrice sévère.


Dans ce pensionnat qui accueille des jeunes filles de toutes origines, classe sociale, et religion confondue, les méthodes anciennes et traditionnelles de punitions et de châtiments corporels sont de mise, le règlement intérieur prévoit par exemple des fessées et des sanctions humiliante pour les manquements à la discipline de l'établissement. Une ordonnance du ministère de la jeunesse est venue confirmée l'autorité des éducateurs et éducatrices de foyer pour jeunes femmes.


Le pensionnat reçoit des jeunes placés par leurs parents ou la justice pour des problèmes de comportement ou des difficulté dans leurs formation universitaire ou professionnel.

Châtiments corporels et fessées.

Yasmine, 21 ans est ce soir punie par son éducatrice pour cause d'absences injustifiées à l'université, et pour une baisse de ses notes au second semestre. La jeune fille doit se déshabiller devant tout le monde sur ordre de l'éducatrice stricte et sévère. Yasmine proteste car elle est pudique et à honte de devoir se mettre toute nue en public, elle dit qu'elle à 21 ans, qu'elle est majeure et que ce type de punition sont pour les petites.

Hors le règlement qu'elle a signer elle et ses parents stipule bien la possibilité en cas de manquements aux règles la possibilité pour le personnel éducatif d'utiliser des châtiments corporels humiliants comme la fessée punitive.


Yasmine doit donc obéir et se déshabiller car une fessée selon la tradition, ça se reçoit toute nue pour être bien humiliante et infantilisante. 


Elle retire ses vêtements l'un après l'autre, y compris ses chaussettes car il faut  être pieds nus et sa culotte car elle va se faire punir et ses fesses vont rougir sous les mains de la dominatrice.


L'étudiante doit ensuite s'allonger sur les genoux de l'éducatrice qui va lui coller une fessée énergique, longue et douloureuse jusque à ce qu'elle pleure et que ses fesses soient bien rouges.

Après la fessée, c'est l'obligation de rester toute nue les mains sur la tête et au coin pendant deux heures. D'une ça permet de bien humilier la fille punie, et c'est dissuasif pour les autres filles qui en voyant ça savent que ce type de sanction peut arriver à n'importe quelle filles.

Ce pensionnat à l'un des meilleurs taux de réussite de France, et ces méthodes sont donc très efficaces.


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Enfer des pensionnats de jeunes filles.


Vidéo d'une femme fessée nue.



jeudi 22 avril 2021

Femme esclave à la ferme.

 

Ferme dans laquelle des femmes esclaves travaillent nue
Esclave nue et soumise à la ferme.


La ferme aux esclaves nues.

Clara avant d'être l'esclave nue et enchainée à la tête rasée que vous voyez sur la photo était une citoyenne "normale". Elle avait un travail administratif dans une grande entreprise parisienne, elle avait une certaine respectabilité dans la société et un statut social.


Mais de riches propriétaire terrien, des sortes de barons féodaux des temps modernes recherchent des esclaves, et Clara a été capturée par un gang de trafiquants de femmes lors d'un voyage en Europe Centrale. Elle n'est désormais plus qu'une marchandise, et elle appartient à une riche famille possédant plusieurs fermes et exploitation terrienne dans laquelle la pauvre fille travail de force comme esclave.

Clare a du dire adieu à sa chevelure , les femmes esclaves doivent avoir la boule à zéro, les marchands d'esclaves leurs tondent la tête, adieu au port de vêtements, Clara vit totalement nue désormais et n'a plus le droit de porter le moindre vêtements. L'esclave doit aussi être enchainée 24 h sur 24 et 7 jours sur 7.


Elle est soumise a une discipline très stricte, elle doit effectuer tout les travaux difficiles et les corvées, et elle est au service sexuel, ses orifices (chatte cul bouche) servent à satisfaire ses propriétaire et ses maitres à qui elle n'a rien le droit de refuser sous peine de fessée, de coup de fouet ou de martinet.



Liens :


Une jeune fille esclave.


Femme esclave moderne.



mercredi 21 avril 2021

Vidéo d'une voleuse forcée de marcher nue en public

 

Vidéo : voleuse et marche de la honte.


Le châtiment pour cette voleuse est de devoir rentrer toute nue chez elle et d'être exhibée en public. Dans certains pays, pour punir les personnes coupables de larcins, les commerçants et les habitants décident de les déshabiller totalement pour bien les humilier et les exhiber à poil en public.


C'est ce qui est arrivée à cette femme sur la vidéo, elle est nue et pieds nus et doit marcher comme ça dehors.

C'est dans un pays d'Amérique latine.


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Nue en public.



mardi 20 avril 2021

Vidéo d'une fille fouillée nue en garde à vue

 


Vidéo d'une jeune femme soumise à une fouille de sécurité nue.


Les filles ressortent souvent très choquée et traumatisée de leur garde à vue que ce soit dans les postes de police américain ou français. Voici une vidéo qui parle d'elle même et qui explique pourquoi beaucoup de femmes refusent de parler de ces expériences.

Les fouille à nu ou strip search se font sans aucun respect pour la dignité ou la pudeur des prisonnières et ont lieu dans des lieu manquant fortement d'intimité : dans les cellule ou juste devant faute de moyens.

Chaque femme doit enlever ses vêtements devant une femme policière dure et sans pitié. Il n'y a aucune négociation possible, il faut se mettre toute nue, la gardienne fait tout enlever même les socquettes car il faut êtres nus pieds !

Lorsque la femme est à poil, la surveillante l'examine et vérifie tout de la têtes aux orteils, et même les cavités les plus intimes (vagin et anus sont minutieusement vérifiés et controlés).

Les femmes sont ensuite souvent laisser nue dans leurs cellule pour 24 heures, 48 heures ou 72 heures lorsque il ya suspicion de graves crimes. Les femmes nues peuvent être vue par tout le monde.


Les vêtements sont confisqués pendant les garde à vue sous prétexte qu'ils seraient des pièces à conviction nécessaire à l'enquête, ce qui force les suspecte à rester à poil, c'est bien sur une technique de pression psychologique pour faire parler les captives.


Liens :


Nue et enchainée en prison.




dimanche 18 avril 2021

Prisonnière nue lors de l'interrogatoire

Les interrogatoires musclés se déroulent toute nue pour la prisonnière
Prisonnière nue lors d'un interrogatoire.

Nudité comme préparation pour les interrogatoires.


Sur les théâtres de guerre, avoir des bons renseignements est essentiel pour obtenir le succès et atteindre les objectifs stratégiques.


Plusieurs enquêtes révèlent les méthodes utilisées par le renseignement militaire américains pour traiter les prisonniers de guerres susceptibles de détenir  des informations très importantes. Ces détenus sont qualifiés de prisonnier de "haute valeur". 


Des journalistes d'investigations et des membres d'organisations gouvernement ont étudier le cas de Zora (un pseudonyme)  une femme de 29 ans, arrêtée par l'armée US lors d'une opération militaire au Moyen Orient. Ce serait même si le doute persiste la fille d'un ministre de l'ancien régime, arrêtée lors d'un raid sur la maison de son père, et en l'absence de celui ci, l'armée à décider de capturer la fille pour faire pression sur sa famille. Ce type d'opération est régulièrement pratiqué. Les responsables de l'enquête pour préserver l'anonymat de la prisonnière n'en diront pas plus sur son identité.


Des témoins comme des anciens militaires ou des avocats et juristes confirment avoir vue des détenus de première importance  forcés de se déshabiller complètement placée à l'isolement en confinement solitaire pendant des périodes plus ou moins longues sans vêtements.


"Lorsqu'ils arrivent les premiers jours, les prisonniers importants sont contraints de vivre dans des petites cellules de 2 mètres sur 2 en total isolement totalement à poil, sans toilette, ni eau courante, ni fenêtre pendant plusieurs jours voir une semaine." rapporte l'avocat d'un ancien détenu.


Les prisonniers hommes et femmes lorsqu'ils arrivent sur le site et régulièrement sont soumis à des fouilles de sécurité (strip search) qui impose la totale nudité. Lorsque Zora est arrivée, des gardiennes  l'ont prise en charge. Zora a été enregistrée administrativement comme prisonnière, ses effets personnels (papiers d'identités, cartes de crédits, bijoux, montres, boucles d'oreilles) sont placés sous scellés et mis dans des cartons. On a aussi pris ses empreintes digitales et des échantillons de salives pour prélever de son ADN. Ensuite un numéro d'identifiant avec un bracelet lui a été remis.


Zora par la suite  déshabiller sur ordre des surveillantes pénitentiaires  et être fouillée , par mesure de sécurité la salle de fouille reste ouverte et des hommes peuvent voir les prisonnières se déshabiller.
Se mettre totalement nue est obligatoire et c'est très humiliant, retirer ses habits l'un après l'autres devant des gardiennes aux regards inquisiteurs qui scrute chaque articles de façon minutieuses. Zora se sent honteuse et très mal à l'aise de devoir exposer son corps à la vue de tous, ses seins pendent à l'air, ses fesses et son sexe sont exposés, ses pieds nus , ses cheveux bref elle ne peut rien cacher.


Elle est ensuite conduite nue jusque à sa petite cellule d'isolement.


Au départ, pour Zora, sa cellule était totalement vide et elle totalement nue, elle est restée une semaine comme ça, il a fallut quelques interrogatoires pour qu'elle parle et donne quelques informations pour qu'un matelas lui soit donné, ainsi que l'eau courante et de meilleurs repas.


Par contre, elle est gardée nue en permanence pour des raisons de sécurité.



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samedi 17 avril 2021

Prisonnière nue soumise à une marche de la honte.

Lavender Rayne prisonnière nue parade dans la campagne
Femme forcée de parader toute nue et enchainée (bdsm, bondage).

L'armée pratique des sévices et des humiliations envers les femmes prisonnières.



Lorsque l'armée a pris le contrôle de cette région du nord est, plusieurs raids ont été lancés contre des villages et des maisons suspectées d'abriter des rebelles, mais sur place, les soldats n'ont trouver personnes, hormis quelques femmes, filles ou soeurs d'homme recherchés comme insurgés.



Les militaires ont arrêtées les femmes du village pour quelques vérifications, et certaines sont soumises à des sévices très humiliants. Des témoins rapporte qu'une femme âgée d'environs 32 ans, institutrice et responsable d'une association de défense du droit des travailleurs et épouse d'un opposant en fuite a été maltraiter et dégradé publiquement.



La jeune femme a été forcée de se déshabiller dans la rue par les soldats qui l'ont mise entièrement nue et sont même aller jusque à bruler ses vêtements et l'ont dépouiller de ses bijoux, de sa montre et de ses effets personnels.

La prisonnière à poil était aussi victime d'humiliation, les soldats lui ont imposer une marche de la honte (walking shame) elle a été bâillonnée, ses seins serrés et ligotés en bondage, et forcer de marcher toute nue dans le village et les campagnes aux alentours. 


Quelle humiliation c'était pour elle d'être exposée et exhibée comme du vulgaire bétails sous les rires et les moqueries des habitants ? 


Que doit elle ressentir pendant sa déchéance ?


Lorsqu'elle est arrivée au camp militaire, elle est devenue le jouet sexuel des soldats qui l'a giflait à volonté, lui crachaient dessus, pouvaient lui explorer les orifices , lui palper et pincer les seins, lui donner des fessées, l'enculer et la forcer a sucer tout les hommes du camp.



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Interrogatoire musclé nue.


L'humiliation de l'incarcération.





jeudi 15 avril 2021

Prisonnière nue et interrogatoire musclé

Femme nue et soumise à décharge électrique en prison
Prisonnière nue menacée de torture électrique pendant l'interrogatoire.

Arrestation et interrogatoire musclé pour une prisonnière nue.


Sara a 28 ans, et est journaliste de profession. Issue de la moyenne bourgeoise , elle a eu l'opportunité de suivre des études supérieures alors que la majorité des autres femmes ont peut accès à l'éducation dans son pays.


Le métier de journaliste très difficile à exercer, mais en se censurant et évitant de déplaire au gouvernement en place, il est quand même possible d'exercer sa profession.


Son époux, ancien haut fonctionnaire, est porté disparue depuis la chute du gouvernement de ... renversé par les troupes américaine après seulement quelques semaines de guerre.


C'est le chaos lors de la conquête de la capitale par les troupes US,  SaRA reste dans un premier temps à chez elle pendant quelques semaines en espérant que l'ordre revienne. Les américains multiplient les raids dans son quartier. Constatant l'insécurité grandissante, elle décide de fuir vers un pays voisin, pour rejoindre des membres de sa famille et être en sécurité.


Avant de partir, elle se rend dans un bâtiment du gouvernement provisoire chapeauté par les américains, pour récupérer des papiers concernant sa propriété et s'assurer que tout se passera bien en son absence, et recruter des gardes pour sa maison. Elle tombe sur un  secrétaire américain, qui prend ses papiers d'identité , pendant que Sara passe dans les archives s'assurer que ses titres de propriété soient en règle, et en faire des photocopies.


Arrestation et détention arbitraire.


Une fois ces paperasses terminés, elle retourne à l'accueil, ou l'américain lui dit d'attendre un peu, et cherche à savoir ce qu'elle compte faire dans les jours qui viennent. Le yankee lui explique que ses papiers n'ont pas l'air en règle, et qu'elle doit attendre pour des vérifications. 


Après deux heures d'attentes, un humvee arrive avec plusieurs soldats. La jeune femme est officiellement en état d'arrestation. Elle se retrouve menottée les mains dans le dos, et on lui met une capuche sur la tête, et la dépose à l'arrière du véhicule. Elle a beaux protester et demander des explications, rien n'y fait, on lui dis de fermer sa gueule et de rester calme.


Le voyage se passe en silence. Elle est conduite dans une prison géré par l'armée. 

Elle est remise à deux gardiennes en treillis militaire et casquettes, et conduite  manu militari dans un bâtiment à l'intérieur du camp de détention. Les deux femmes sont froides, l'air dures, athlétique avec des démarches robotisés.

Elles déposent la prisonnière dans une salle, ou des soldates l'attendent.


La soldate en chef est une grande et blonde en tenue militaire, et responsable de la police militaire chargée du renseignement, elle a entre 35 et 40 ans, musclée, environs 1.75m. Elle dit à Sara qu'elle l'a retient ici pour quelques vérifications pour une durée indéterminée.


Puis elle interroge la prisonnière.


Es tu bien Sara X ?


Oui.


Quel est ton âge ?


28 ans



Es tu mariée ?


Oui


Qui est ton époux ?


Yanis Y


A tu des enfants ?


Non ?


Ta profession ?


journaliste


Qui es ton employeur ?


Un médias spécialisé dans l'actualité et le sport.


La profession de ton mari ?


Fonctionnaire


Ou est il ?


Je ne sais pas, il a disparu depuis la chute de la capitale. Il m'a dit qu'il passerait et n'est jamais rentrer.


Une idée d'ou il pourrait se trouver ?


Non aucune. Avez vous une idée ?


Hum c'est moi qui pose les questions ici, si j'avais une idée de la réponse je ne te le demanderait pas. 


Etes vous enceinte ?


Non je ne le suis pas.


problèmes de santé ?


Rien de spécial non plus.


Je vois  dans votre dossier que vous avez séjourner au USA, dans quel but ?


J'y suis aller pour un stage de journalisme, et j'y est  travailler pour un petit journal  pendant quelques mois. Je suis rester dans ce pays un ans et demi.


Votre époux était il avec vous ?


Il venait me voir tout les deux à trois mois.


Que faisait il  chez nous ?


Il venait en touriste et pour me tenir compagnie, il  gagne bien sa vie, il pouvait se permettre de voyager facilement. 


A tu aimer ton séjours  chez nous?


Oui beaucoup.


Ah oui dans quel endroit a tu vécue ?


Près de Chicago


Pourquoi suis je là ?


Difficile de te dire maintenant, Je ne sais pas. Peut être  devra tu éclairer certaines  choses pour prouver que tu es innocente.  Mais c'est moi qui pose les questions ici. Je reprend, pourquoi après avoir passer tout ce temps là chez nous, tu es rentrée ici ?


Mon mari ne pouvait pas être médecin là bas, enfin si, mais il lui aurait fallu reprendre toute ces études là bas, pas le temps ni les moyens.


Pense tu qu'il aurait eu honte de gagner moins d'argent que toi ?


Oui je le pense, il disait aussi vouloir aider sa population, son pays.


Que pense tu de l'idée de quitter le pays ?


C'est le chaos ici, plus rien ne fonctionne. Donc je souhaite partir.


La discussion est terminée pour le moment, nous la reprendrons plus tard conclue la soldate.


Une autre militaire demande à Sara de vider ses poches, de donner portefeuille, montre, bijoux, boucle d'oreilles, clés, argent liquide et tout autre objet personnel. Les effets sont noté, consignés et mis dans un sachet sous scellé et ranger dans une consigne. "On vous les rendra à la sortie. ajoute l'agent."


Nudité forcée, brimades et humiliations.



Les militaires se présente, et invite Sara à se déshabiller.  Elle leur en demande la raison, et la responsable des opérations lui répond que la procédure d'entrée exige qu'on examine, fouille et inspecte les prisonniers et les prisonnières. Sara demande à nouveaux pourquoi, Jane lui répond qu'elles font leur travail, et que tout le monde est soumis à la même procédure. Les femmes passées ici avant elle y ont toute passées. Elle ajoute qu'il n'y a rien d'humiliant , et que si la détenue fait la difficile, elles lui retireront et découperont ses vêtements de force, et que finalement elle sera nue, alors on invite gentiment chaque nouvelles prisonnières à  comprendre qu'elle ferait mieux de coopérer pour que tout ce passe bien.


Bondage, nudité et prisonnière nue enchainée.
Humiliation et nudité forcée pour une femme en prison.



La jeune femme, après quelques hésitations,  comprends très vite qu'elle ne peut rien faire face à ces soldates entrainées et baraquées, toute résistance est futile. 

Elle retire ses chaussures, une paire de ballerine et découvre ses petits pieds nus vernis, puis défait son hijab noir, couvre chef religieux, pour découvrir une belle et longue chevelure noire légèrement bouclé, pourquoi les femmes arabes portent elles cela dit Jane, ici tu n'en aura pas besoin, on est entre femmes. La surveillante en chef  remet affaires à l'une des gardienne qui les enregistre minutieusement. Sara retire aussi son abaya beige (longue robe traditionnel) , bouton par bouton. Jane  lui dit qu'elle a été éduquée dans une église protestante très stricte, mais qu'elle prends ses distance sa foi.


La prisonnière demande à nouveau pourquoi elle est là,  en pleurant, la commandante lui répond qu'on lui dira peut être en temps voulus. La détenue est en sous vêtement  blanc et sexy.


Après quelques hésitations,Sara demande si elle peut conserver le minimum, qu'être nue la dérange. Les soldats sont stricts  lui dit de "tout retirer, car une inspection se déroule dans la nudité totale". La jeune fille indécise défait son soutien gorge qui laisse ses seins à l'air. Puis elle se débarrasse de son ultime sous vêtement, la militaire prend et observe sa petite culotte en dentelle blanche," Tu  cache un attirail sacrément sexy" lui dit elle tout en reniflant le sous vêtement.


La prisonnière est nue devant ses geôlières. Elle doit d'abord tourner sur elle même, les gardiennes cherchent des marques et signes distinctif comme des cicatrices, tatouages ou tout autres traces. Sara n'a pas de tatouage, mais possède une cicatrice suite à une opération de l'appendicite.


Sara est mesurée et pesée nue, 1.70m pour 57 kilos.


"Main sur la nuque !" ordonne une gardienne. pendant que les habits et affaires de la détenue sont vérifiés par une autre soldate.


Elles lui font ensuite défaire et soulever sa chevelure, qui est inspecté minutieusement. "Cheveux noir long légèrement frisé" notent elles. Puis l'une des miliaires avec une main gantée regarde et inspecte ses oreilles, regarde avec une lampe dans les narines, observe sa dentition et fouille dans la bouche. "RAS concernant la bouche". "Yeux marrons très foncé".



Une soldate vient palper les seins de la prisonnières, puis les soulève, ils sont de taille moyenne avec des tétons rosés. Puis la prisonnière doit soulever les bras pour montrer ses aisselles, le nombril est aussi vérifié.


La détenue est ensuite soumise à un outrage de plus, on lui demande de sautiller nue devant les militaires, puis de se pencher en avant en  écartant les fesses et toussant fort plusieurs fois, elles vont même jusque à lui imposer de prendre des positions de squats et de tousser pour vérifier que rien ne tombe se ses orifices génitaux et anaux. La détenue doit aussi lever ses pieds, qui sont inspecter, la plante est palpée, et les orteils écarté l'un après l'autres.


Des femmes soldates lesbiennes.



Une autre militaire  lui met son doigt lubrifier dans l'anus et le vagin et va très profond.

"Hum, mais elle mouille,  il faut faire des vérifications supplémentaires, peut être qu'il n'y avait pas besoin d'utiliser du lubrifiant car il y en a beaucoup de cyprine  et c'est un lubrifiant naturel et écologique.". dit la soldate.


Sara est allongée sur une table, ou tout d'abord, les américaines lui rase la chatte, car elles ont pour mission d'apporter la civilisation, et elles estiment que ça en fait partie. Si elle ne coopère pas, on  menace de lui raser la tête !


La pauvre prisonnière voit son vagin passer à la tondeuse. 

"Voilà une chatte fraiche toute humide et appétissante" dit Jane.


Les gardiennes se mettent à lui lécher le vagin à tour de rôle, Puis elle sent 4 bouches et 4 langues qui lui embrasse et suce tout le corps, les lèvres de ces lesbiennes se baladent sur ses seins, entres ses doigts de pieds.


Les soldates se déshabillent partiellement et découvrent leurs seins que Sara lèche et suce. La soldate blonde embrasse le ventre et le nombril de la détenue, et prends un de ses tétons entre les lèvres, qu'elle aspire et suce longuement , et malaxe l'autre seins avec son autre  mains.


La blonde écarte les cuisses de la jeune femme, et l'a couvre de baiser, puis elle fait des bisous sur les petites lèvres de l'organe sexuel de la prisonnière, avant d'y enfoncer un doigts et d'ouvrir le sexe et lui aspirer le clitoris avec la bouche. Elle le mâchouille, le mordille le suce longuement   jusque à ce que la prisonnière ait des spasmes orgasmiques, une soldate lesbienne  l'embrasse goulument.



Sara s'écroule de plaisir dans de long gémissements.



Après cette entrée en matière,  notre prisonnière se voit remettre un bracelet d'identification avec un numéro d'identifiant qu'elle doit retenir et qui lui sert désormais d'identité. On lui remet ensuite un uniforme orange (sans sous vêtements) de prisonnière comme à Guantanamo et une pair de tongs.




Liens :



Prisonnière nue tondue (tête rasée et humiliée).




Nudité forcée et sévices en prison.



mercredi 14 avril 2021

Vidéo d'humiliation lors d'un bizutage d'étudiantes.


 Vidéo prise pendant un bizutage de lesbiennes.


Les anciennes de la résidence universitaires rentrent de force dans les chambres des nouvelles pour les bizuter de façon très hard et perverse. 

Les anciennes mettent à poil les nouvelles et les force à faire le ménage nue, puis elles sont contrainte de faire des cochonneries entre filles et de devenir des lesbiennes brodeuses de chatte.

Liens :








lundi 12 avril 2021

De la nudité en prison


Nudité en détention BDSM
Prisonnière nue conduite dans sa cellule par un gardien.

Une prison ou les femmes sont gardées nues.



Incident  impliquant la nudité avec la détenue Soraya.


Un membre de la police militaire sous couvert d'anonymat dit  avoir tenté de demander des explications à ses supérieurs sur la nudité imposée aux détenus dans la prison. Ce membre des renseignements a été rapidement écarté et témoigne pour nous de ce qu'il a vu pendant son passage dans cette prison.



"La première fois que je suis allé dans la partie en béton du site, j'ai constaté que la nudité était omniprésente qu'elle paraissait normal et naturel pour les gens qui y travaillaient depuis longtemps. Lorsque vous demandiez à quelqu'un "pourquoi sont ils nus ?", vous n'obteniez que des haussements d'épaules et des réponses évasives du style, c'est la procédure du renseignement, que les détenus ont perdu leurs vêtements et qu'il n'y a pas d'uniforme, ou tout simplement pour éviter qu'ils cachent quelques choses d'illégal. Les gardiens voyaient bien que c'était embarrassant pour les prisonniers. Certains reconnaissaient même que c'est dégradant, mais personne ne voyaient ça comme un abus. Pour les manuels de l'armée, la nudité forcée si elle est justifiée n'est pas contraire aux conventions de Genève.

La majorité des détenus sont des hommes, mais il y avait quelques femmes, certaines étaient gardée individuellement isolées à part, et d'autre étaient regroupées dans une petite aile de la prison masquée du reste par des rideaux et couverture. Je me souviens d'une détenue, Soraya âgée d'une trentaine d'années, elle était considérée comme étant de "haute valeur". Je sais qu'elle était nue et tentait de dissimuler son corps en public.
"

Le cas de la femme prisonnière ici mentionnée est bien connu. Soraya ( un pseudonyme pour respecter son anonymat) est l'une des dernières prisonnières a avoir été officiellement libérée. Elle est une proche parente d'un cousin d'un des plus fidèles ministres de l'ancien régime renversé par les Etats Unis, elle est âgée de 32 ans, et travaillait comme professeur avant l'invasion militaire US. Elle a passé plus de 6 mois et demi en détention dans les geôles américaines. Elle est maintenant en Exil en Australie et refuse toute sollicitation d'ONG pour témoigner. 

Les observateurs du CICR (Comité International de la Croix Rouge) se souviennent d'elle. Soraya était détenue à l'isolement dans la section de la prison ou sont regroupé les prisonniers de haute valeurs ou arrêtés dans le cadre de la lutte contre le terrorisme et l'insurrection.


Elle était dans une petite cellule isolée du reste du block de détention. Elle était entièrement nue et sous contrôle. La cellule est toute simple : deux mètres de large pour trois mètres de long, un banc en pierre pour dormir et des toilettes "turques" et une toute petite fenêtre en hauteur, et rien d'autre. Elle n'a pas subi de torture physique ni de mauvais traitements, elle avait accès à une nourriture relativement correcte.

Lorsque les responsables américains ont été interrogé sur le fait que la prisonnière soit gardée nue, ils ont tout simplement répondu que ça faisait parti du processus, et que c'était une mesure de sécurité pour s'assurer que la prisonnière ne cherche pas à se suicider ou à cacher des objets de contrebande. Notons que l'administration justifie de la même manière les cas de nudité forcée sur les autres personnes privées de liberté.


Marche de la honte une prisonnière forcée de marcher nue en public.
Femme prisonnière nue contrainte de parader à poil.



Soraya était une femme riche et respectable et de haut niveau social, normal après tout, elle était proche de l'ex régime et membre d'une famille privilégiée. Lors de son arrestation et incarcération, elle était vêtue d'une sorte de long "tchador" noir comme les occidentaux appellent ça, et d'une abaya (longue robe arabe traditionnelle). Elle est intégralement couverte à l'exception du visage et des mains comme beaucoup de femmes orientales de son niveau social. Elle porte plus ce type de vêtement par conformisme social et tradition que par convictions religieuses.

Des fouilles humiliantes.


Lors du processus d'accueil, elle est soumise à une fouille approfondie comme tous les prisonniers, ici, c'est comme aux Etats Unis, les fouilles sont systématique et Soraya était obligée de se déshabiller devant les gardiennes. Malgré ses protestations, la jeune femme  doit retirer tous ses vêtements sous la menace d'utilisation de la force et de la contrainte physique.

Elle a très mal pris le déshabillage obligatoire, comme tout les autres détenus  qui refusent de retirer leurs vêtements et tentent aussi de négocier pour garder leurs culottes ou slips. Les gardiennes, on expliquer  à la prisonnière que la nudité totale était requise et non-négociable pour tout le monde, hommes ou femmes tout le monde doit se mettre à poil, car ce sont les règles américaines. Soraya doit se dépouiller de ses vêtements, sous-vêtements, chaussures, effets personnels et même de ses bijoux qui sont placés sous scellés.

La procédure US est choquante et dégradante pour une femme comme Soraya contrainte de se mettre nue pour une inspection complète. L'administration militaire qui gère la prison donne des manuels expliquant que les prisonniers de guerre et de droit commun détenus par l'armée doivent selon le protocole de fouilles (strip search) retirer leurs vêtements pour une inspection visuelle complète du corps, notamment vérifier les chevelures, les oreilles, les mains, les doigts , les aisselles, le nombril, le pubis, entre les fesses, et les américains sont même aller jusque à examiner ses pieds et entre ses orteils.

Soraya a dû exposer son anus et l'intérieur de son vagin aux gardes américaines, quelle honte pour une personne si pudique que de devoir exposer ses partis les plus intimes sans le moindre respect de sa pudeur. Surtout que les soldates prennent des gants en latex, de la vaseline et lui ont écarté manuellement les lèvres vaginales et les fesses pour y introduire un doigt par sécurité.

Elle fait partie de ces femmes n'ayant jamais ne serait ce que porter un maillot de bain sur une plage publique et là, les Américains l'ont mise à poil sans pitié ni état d'âmes.

Pour palier à toute accusation de viols, les Américains imposent des tests de virginité qui seront détaillés plus tard et des contrôles stricts aux femmes prisonnières d'importance.

Soraya n'a subi aucune agression physique ni violences sexuelles pendant sa détention comme le prouve les rapports médicaux hebdomadaires, du fait de son rang et sa situation, la direction de la prison à décider de la soumettre à un stricte suivie de son état de santé.


Elle a donc eu un traitement préférentiel. Un médecin était chargé de l'examiner et de l'inspecter chaque semaine (alors que l'accès à des traitements médicaux pour les autres détenus est quasi inexistant.).

Le CICR a constaté que des rapports hebdomadaires indiquant que la prisonnière était inspectée chaque semaine. Elle était conduite dans une petite salle ou un médecin et des surveillants (hommes ou femmes) en tenue militaire l'attendaient.
Son corps était examiné totalement dans la plus totale nudité. Le docteur était à la recherche de marques, d'ecchymoses, de traces de blessures, et pour cela, il doit avoir accès et vérifier la moindre parcelle de peaux de Soraya.


Humiliation à poil pour une pauvre prisonnière innocente.
Femme nue et enchainée dans une cage.



Le médecin insiste même souvent sur ses orteils, à se demander s'il n'est pas fétichiste des pieds.

Soraya est ensuite placée sur une chaise gynécologique pour un examen visant à vérifier qu'elle n'a subi aucune agression, et le docteur fait ensuite la même chose avec son anus.

Selon les documents, la jeune femme au début fut très traumatisée de ces examens sans aucun respect pour sa pudeur, mais après trois mois de détention elle s'y est habituée et ne portait même plus d'attention à sa nudité. C'est la routine de la prison.

Elle a eu la chance d'être protégée pendant sa détention, les gardes avaient interdiction de porter la main sur elle. La direction a décidé de lui imposer la nudité totale et permanente pour plusieurs raisons, avant tout sécuritaire. C'est une détenue importante qui doit être protégée d'elle-même, c'est l'une des premières femmes arrêtées par les troupes américaine. Les prisonniers males étaient tous nus et laissés ainsi dans les cellules. Après le débat au sein du conseil de la police militaire, la décision prise a été de traiter Soraya comme les autres et donc de la garder sans aucun vêtement. Le secrétaire d'Etat à la défense  autorise recommandé  la nudité aux personnes maintenues en détention par les forces américaines.


La partie "Isolement" de la prison est pour les gardiens une zone ou les prisonniers sont nus, Soraya doit l'être aussi, qu'elle soit une femme ne lui donne pas le droit de porter de vêtements.


"Soraya demandait les premières semaines tout le temps des vêtements, elle pleurait souvent, elle criait pour réclamer de quoi se couvrir, chose qui lui étaient bien sur tout le temps refuser. Elle avait beaucoup de pudeur et tentait tout le temps de cacher son corps de la vue des gardes. Ensuite, elle n'y prêtait plus aucune attention, comme si être nue était devenu normal pour elle.

Elle a perdu toute pudeur apparente en un mois.
 Elle montre tout sans ressentir la moindre gêne lors des inspections quotidienne."


S'habituer à la nudité.



Une ancienne surveillante se souvient d'une anecdote concernant cette détenue :

"Cette femme était la depuis quelques mois lorsque je suis arrivée. Elle était intégralement nue et ne manifestaient visiblement aucune pudeur devant nous, lorsque elle devait montrer ses fesses, elle le faisait. Nous pouvions de temps en temps discuter avec elle, elle nous racontait sa vie avant la prison, parlait de son ex-mari, de son quotidien ici. Nous lui donnions souvent de notre nourriture qui est meilleure que celle réservée aux autres détenus, des bonbons, des cigarettes.

Elle est devenue très intime avec un garde, tout à commencer lors des inspections ou nous avons remarqué des traces de masturbation, Soraya était, en effet, toute mouillée, la chatte pleine de cyprine lors d'une visite surprise de sa cellule. Elle était particulièrement excitée lors de l'examen de son vagin et anus.


Nue et humiliée devant sa cellule de prison avec un sac sur la tête.
    Exposée nue et attachée dans les couloirs de la prison.



Quand nous vérifions les orifices d'un prisonnier, nous utilisons habituellement du lubrifiant, mais avec Soraya, il n'y en a pas besoin, elle est très humide, nous introduisions nos doigts gantés sans problème dans son canal vaginal, ça glissait tout seul.


Un des gardes qui n'avait pas de copines est devenu très proche d'elle, il parait qu'elle a passait plusieurs nuits dans sa chambre, c'est totalement illégal, mais c'était tolérer par l'équipe.

Soraya ne pouvait pas s'enfuir, ou serait elle aller toute nue dans un pays comme ça ? Elle ne cherchait pas non plus à fuir donc, c'est passer avec l'équipe surveillante. Elle marchait nue au milieu des soldats, qui s'y sont vite habitués, c'était une prisonnière sympa.

Soraya lors de sa libération est partie accompagnée de soldat US, vers l'aéroport, elle est en Australie en couple avec cet ancien gardien.

Il parait qu'elle fait souvent du naturisme et a des problèmes avec les vêtements, elle est restée tellement longtemps toutes nue qu'elle n'aiment pas la sensation que procure le fait de s'habiller et sort souvent en oubliant qu'elle est à poil."



Liens :



Femme prisonnière tondue et humiliée à poil.



Nudité, contention et restriction en prison.