lundi 26 avril 2021

Prisonnière nue en confinement et interrogatoire renforcé


Une femme prisonnière nue et humiliée attachée en bondage avec un sac sur la tête pour un interrogatoire très dur.
Prisonnière nue un sac sur la tête attachée sur une chaine pour l'interrogatoire musclé.


La prisonnière nue pendant l'interrogatoire renforcé.


C'est l'un des quartier de la prison militaire le plus terrible : celui ou sont regroupés et détenus les prisonniers de hautes valeurs susceptibles d'avoir des informations importantes pour les forces de la coalition militaires qui utilisent des méthodes et des techniques d'interrogatoires renforcés dans le but de mettre une pression maximale et de stressée le plus possible les prisonnier pour les briser et les faire parler. Même si la majorité des détenus sont de sexe masculins, certaines femmes sont soumises à ce traitements. L'une des soeurs d'un insurgé, Marwa est passée par là et le fait qu'elle soit une femme ne lui a pas faciliter les choses.


Bienvenue en Enfer, Welcome to hell.


La prisonnière est déshabillée totalement lors de son arrivée, et elle est laissée dans une  mini cellule cellule vide totalement à poil avec une cagoule sur la tête  et entravée aux poignets et aux chevilles. Deux interrogateurs viennent l'a voir, l'un lui pisse dessus,  et l'autre lui attrape les chevilles et l'a trainer dans l'urine toute jaune et dégoutante..


Après quelques heures passées dans ce trou, deux autres soldats viennent l'a prendre pour interrogatoire, elle est escortée nue dans les couloirs direction la salle d'interrogatoire.

Elle est à genoux, en face d'elle il y a un bureau avec deux hommes et une femme qu'elle ne peut pas identifier.


On installer des bracelets en cuir sur ses poignets, puis on les fixe à une barre horizontale, ses pieds touche à peine le sol, elle est à moitié suspendue, elle ne tient que par la pointe des pieds. on lui écarte les jambes et fixe les chevilles au sol. Tout le poids de son corps est sur ses mains et le bout de ses pieds, la douleur arrive rapidement dans cette position.


"Après ça tu parlera sale chienne !" Hurle un militaire.


L'autre soldat, un, afro américain d'une trentaine d'année, il passe d'abord le fouet lentement   sur le corps nu de la prisonnière, en lui passant sur le sexe,  tout en puis pinçant le bout des seins.


Interrogatoire musclé.


"Tu va aimer le fouet salope, et tu nous dira tout ce que tu sais pétasse."


Puis l'autre soldat frappe le premier coup.


Slaaap le coup est très sec et très fort, il laisse une marque sur le bas du dos de la détenue qui pousse un hurlement instantané.


Le tortionnaire attends quelques instant et lui donne un second coup aussi fort, un autre cri de la jeune femme.


Les frappes se répètent et chacune  laisse une trace zébrée, l'interrogateur frappe sur les fesses qui sont pleine de marques, mais vise aussi les cuisses, le dos et parfois les épaules.


La prisonnière  s'évanouie, on la réveil avec des claques.


La femme militaire, en retrait lui demande son nom.


"Je m'appelle Marwa X"


"Tu mens" répond l'une des deux brutes qui lui pince les seins.


"Ton métier ?"


"Ingénieur en génie civil"  dit elle épuisée.


"Tu mens" et le soudard lui claque les seins.


"Tu est notre ennemie salope, alors parles, dis nous comment tu a comploter contre nous !"


Epuisée, Elle répond qu'elle ne sait pas ce qu'ils veulent, elle était journaliste, jamais eu aucun rapport avec la politique.


"Ton frère, ou est il ?"


"Je ne sais pas"


"Menteuse, nous l'avons arrêté, il est en route vers Guantanamo."


"Quand l'a tu vu pour la dernière fois ?"


"Lors de la chute de la capitale, il m'a dit qu'il partait aider des blessés par les bombardements, puis il n'est jamais revenu."


"Tu mens !" et le malabar lui met une baffe sur les parties génitales.


"Je vois que tu ne coopère toujours pas pétasse" dit l'interrogatrice.


Toujours attachée et au bord de l'effondrement, les deux sbires sortent des pinces du tiroir d'un bureau, ils les installent d'abord sur chaque mamelons, ils en disposent d'autre sur toute l'auréole mammaires, puis ils s'en prenne à ses lèvres vaginales, vulves et clitoris.


La prisonnière les supplie de retirer les pinces, ça lui fait très mal.


"Nous les retirerons quand tu parlera et cessera de nous mentir. Si tu parles, nous te rendons tes vêtements, et tu aura un certain confort, mais si tu ne parle pas tu restera comme ça, nue et nous te questionneront régulièrement jusque a ce que tu parle." explique calmement la femme militaire chargée de délier les langues.


"Mais je ne sais rien  !" dit  la prisonnière en pleurant.


"Au début toutes les personnes entre nos mains disent ça, mais nous, nous voulons des informations. qui sont les amis de ton frère  ?"


"Je ne sais pas." répond encore Marwa.


"Quel lieu fréquentait-il ? qui sont ses amis ?"


"Il allait souvent au café du centre ville parler avec des étudiants , des jeunes." répond la jeune femme.


Tu nous donnera la liste des noms et des lieux.


Les américains ôtent les pinces du corps de la suspecte.


Nous allons vérifier tout ça. Reconduisez là en cellule.


Avant de la remettre en cellule d'isolement, Marwa est passée au jet froid par des militaires, ces derniers prennent un malin plaisir à viser ses seins et ses parties génitales. Sa cellule est nettoyée de la même manière, mais elle restera  nue, entravée, on lui retire juste sa cagoule avant de l'enfermer.


Elle reste enfermée à l'isolement, elle n'entend que des bruits, des cris, hurlements. On lui sert chaque jours une nourriture immondes.


Les interrogatoires se répètent, plus ou moins violent ou humiliants, toujours les mêmes questions, et les mêmes réponses.



3 commentaires:

  1. Interrogatoire courant sur une femme.Les pinces aux seins et sur les lèvres vaginales, ainsi que sur le clitoris est un bon moyen pour la faire parler.Si elle ne dit toujours rien, c'est la baignoire ou ce qui serait un bon moyen, le wooden horse (cheval de bois),en mettant la femme assise dessus,l'arête lui rentrant bien dans la fente.

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  2. Pour le cheval de bois, certains ligaturent les tétons étirés au maximum et farcissent sexe et anus au piment, elle danse bien et parfois un téton cède

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