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lundi 5 septembre 2022

Prisonnière réduite en esclavage.

 

Nudité forcée humiliation torture moyen âge.
Princesse réduite en esclavage.

La capture des esclaves femelles au moyen âge


Les guerres étaient dans l'antiquité  et au moyen âge une occasion de piller et de faire des prisonniers qui étaient transformés en esclaves. Sous le règne des mérovingiens, une dynastie qui règne d'environs 481 à 751, l'une des particularité de ce régime était que le pouvoir et les terres étaient partager entre les fils du roi à chaque succession, ce qui à entrainer de multiples guerres et complot fratricide entre les frères pour le pouvoir et les territoires les plus riches.


Au sein de la famille les complots et les crimes en tout genre sont extrêmement fréquent, c'est l'une des raisons de sa chute en 751.

Les pervers et les perverses et les sadiques s'en donnent à coeur joie.

La princesse Berthilde, la Belle fille du roi Sigebert, épouse d'un des rois en rivalité avec ses  deux frères coalisés contre lui  Théodebert et Clotaire V . La  princesse a  été capturée lors d'une bataille et d'un assaut contre sa place forte.

Elle est encore assez jeune, blonde bien conservée et en forme. Les guerriers l'ont apporter aux deux autres rois qui sont bien décider à humilier le clan rival.

Les vêtements de la princesses sont déchirée et ses chaussures enlevées et pour lui enlever toute dignité elle est obligée de parader totalement nue dans son château et dans la ville sous les rires des soldats et des habitants qui l'insultent, rigolent, lui crachent dessus.

L'un des soldats en voyant une flaque d'eau décide de forcer la prisonnière à boire comme une chienne à quatre pattes et le cul bien en l'air. L'un des soldats en profite pour lui mettre un coup de pieds au cul et fait tomber la captive dans la boue. Les spectateurs sont hilares.

Le but est d'enlever toute dignité à la princesse et d'en faire la dernière des cochonnes.

La princesse est ensuite mise sur une charrette et transportée exposée totalement à poil jusque a une sorte de centre ou sont retenus les captifs qui seront revendue comme esclaves.

La future esclave est jetée nue dans un cachot et enchainée. Totalement exposée, chatte ouverte et disponible pour satisfaire les guerriers.

La princesse est ensuite dressée avant d'être revendue sur un marché aux esclaves.


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samedi 12 février 2022

Séquestré à poil et soumis dans une cave.

 

Sequestration, nudité forcé, cave et dressage
Mec retenu à poil et ligoté dans une cave.

Mec retenu tout nu dans une cave par ses ravisseurs.


Dans les cités des banlieues françaises, des mecs sont souvent kidnappés et séquestré par des bandes de criminels organisées qui font régner l'ordre par la terreur et l'humiliation sexuelles des victimes.


Lorsqu'un mec est capturé, il est automatiquement mis totalement à poil, enchainé, menotté et bâillonné par ses ravisseurs. Mais la bande ici ne se contente pas d'une mise à nu.


Tout est fait ici pour briser  la volonté les captifs, les soumettre et les asservir et leur ôter toute dignité.


Les victimes sont obliger de parader complètement nue et pieds nus comme des trophées dans la cité, les jeunes parfois leur crachent et leur pissent dessus, les force à lécher le sol et à marcher à poil et tenu en laisse en public, il n'est pas rare que les captifs subissent une raclée, qu'ont leur écarte les fesses et exhibent leurs anus devant tout le monde !


Ils sont gardés tout nus dans des caves humides, sales, poussiéreuses sans aucune pudeur !



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dimanche 2 janvier 2022

Préparation aux interrogatoires : Nudité forcée et humiliation

 

Femme forcée d'être exhibée et de parader nue dans l'aile de la prison
Une femme défile nue et menotté en prison.

Totale nudité des prisonniers pendant leur captivité en vue des interrogatoires renforcés.


Durant l'été 2003, un scandale a éclaté  après la révélation de photos et de vidéos de détenus nus et humiliés par les forces américaine dans la prison militaire d'Abou Ghraib. Les responsables politiques et militaires US ont tenter d'expliquer que ces actes d'humiliations étaient des actes isolés à l'initiative d'une équipe de soldats mal formés et corrompus.


Mais la nudité forcée était présente et systématique dans la partie dure de la prison ou étaient retenus les personnes considérées comme étant lié à l'ancien régime, à l'insurrection ou au terrorisme international. A tel point que pour le personnel civil et militaire qui gère et administre le pénitencier trouvait banal et ordinaire le fait de garder les prisonniers sans vêtements.


La pratique de la nudité imposée est très agressive et a commencer des qu'un général du renseignement militaires ait visité la prison et ait donner pour consignes de traiter les prisonniers comme des chiens et et leur en faire baver  pour qu'ils craquent plus vite lors des interrogatoires. Personne ne sait exactement qui a donner l'ordre de garder nus la majorité des détenus ni même qui l'a autorisé pour en faire une pratique  généralisée quasiment institutionnalisée.


Les témoins et visiteurs déclarent avoir constater le dépouillement des captifs et avoir demander des explications qui ont obtenues diverses réponses. Certains officiers disaient que c'est le renseignement militaire qui demande de traiter les prisonniers ainsi et que ça fait partie du processus d'interrogatoire.


Un capitaine de l'armée disait que les détenus étaient déshabillés et devait défiler nus devant les gardiens et autres prisonniers. Lorsque Rania, une cousine d'un ancien membre du régime renversé est arrivé, les gardiens l'ont faite se déshabiller pour la fouille (strip search) et le retrait des vêtements civils. Certains officiers disent que la prisonnière est restée nue du fait du manque d'uniforme.


D'autre estime que la mise à nue est utile et efficace car ça permet de mettre mal à l'aise la prisonnière. Pour d'autre gardiens  dépouiller les détenus est simplement normal et justifié pour des raisons de sécurité (zone de guerre) et de chaleur.


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Nudité forcée et sévices.


Deux femmes humiliées en détention.

jeudi 27 mai 2021

Nue en confinement solitaire.

 

Prisonnière nue dans sa cellule de confinement solitaire.
Femme nue dans sa cellule de confinement solitaire.

Les conditions de détention des femmes.


Nora, une jeune femme âgée d'environs 25 ans à passer environs deux mois en confinement solitaire dans une prison militaire américaine. Elle parle de la dureté et de l'inhumanité de ses conditions de détentions qui visent selon elles à briser les captifs pour les faire parler et les rendre plus coopératif. Si elle n'a pas été physiquement torturée, elle a subie des pressions psychologiques intenses et de multiples humiliations pendant sa période de privation de liberté.


Les services de renseignement militaires l'ont capturés et l'ont considérées comme une détenue de haute valeurs du fait de sa position importante dans l'ancien régime, elle est la fille d'un scientifique important très recherché.


"Les miliaires après m'avoir arrêtée m'on transférée dans une prison près de la capitale dans laquelle j'ai passé deux mois environs.


Comme les quelques autres femmes, j'étais enfermée dans ma cellule 23 heures sur 24 et 7 jours sur 7. J'avais théoriquement droit à une douche tous les trois jours, et a une heure de sortie par jours qui n'était pas toujours respecté. 


L'isolement est très dur, et très cruel, il n'y a absolument rien à faire, j'étais enfermée dans une petite seule avec des barreaux et un simple matelas , un robinet pour avoir accès à l'eau et des toilettes à la turque. Hormis quelques livres et un journal par semaine  à lire nous n'avons rien.


Nous n'avons pas le droit de porter des vêtements en cellule, ils nous interdisent de nous habiller. Des les premiers instant ou nous arrivons, nous devons nous déshabiller soit disant pour la fouille de sécurité et ensuite ils nous laisse toute nue sans nous rendre nos affaires ni même nous donner d'uniforme !


J'ai passé deux mois intégralement nue sans pouvoir cacher mon intimité. Les gardes nous fouilles de façon humiliante plusieurs fois par jours : A poil ils nous font lever les pieds, écarter les orteils, puis nous accroupir et tousser pour s'assurer que nous ne cachons rien dans nos parties intimes, puis nous devons sautiller et soulever nos seins, et ouvrir la bouche en tirant la langue.


Ils nous traitent comme des animaux, l'isolement est très oppressif. C'est une expérience très difficile.



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Briser l'égo de la détenue.


Nue pour l'interrogatoire.





vendredi 21 mai 2021

Dans un site secret de détention pour femme.

Dessins d'une prisonnière nue dessiné par Tbool de Chainganggirls avec une petite histoire
Nue et enchainée en prison.

 Prisonnière nue dans un camp de détention spécial.


Anya est encore sous le choc de son mois passé en détention dans un site secret de l’armée américaine après une avoir été arrêtée par erreur par les services de renseignements.


Elle témoigne pour plusieurs ONG avoir passé plusieurs semaines dans un centre de détention pour l’interrogatoire et la punition des personnes soupçonnées de liens avec le terrorisme, les trafics de drogues et d’armes et tout ce qui porte potentiellement atteinte à la sécurité des États Unis. 


Dans ces endroits les prisonniers sont gardés nus et soumis à des traitements infâmes. Les détenus sont gardés dans des cellules en confinement solitaires souterraines. 


Tout est fait pour humilier et maintenir les captifs dans la soumission en permanence et pour les rendre docile et coopératif.


Anya raconte : “Des soldats m’ont arrêtée lors d’une patrouille dans mon village. Au début tout de passait bien, ils ont vérifier mon identité, et ils ont tout de suite dit qu’il y avait un problème. Mon nom était sur une liste de personnes recherchées par la coalition internationale.


 Alors un groupe spécial est venu me chercher, ils étaient tous masqués et ils n’ont menottée et bandée les yeux avant de me placer dans un hélicoptère pour une prison située dans un endroit très isolé dans très certainement le désert car la journée la température y était très élevé.


Lorsque je suis arrivée dans  cet endroit, les gardiens en uniforme militaires m’ont faite déshabillée devant eux sans le moindre respect pour ma pudeur et mon intimité et quasiment en public.


Ils m’ont mise toute nue comme le jours de ma naissance comme toutes les personnes incarcérées dans ce terrible endroit. Ils exigent la nudité totale, lorsque  j'ai demander si je pouvais garder mes sous vêtements, l'un des gardes m'a dit que ce n'est pas possible et qu'il fallait tout retirer. Ensuite ils m'ont fouiller et inspecter vraiment partout (NDLR : les détenus sont soumis a des fouilles corporelles très strictes et invasives qui incluent des vérification des cavités intimes comme l'anus et le vagin).


Ensuite ils nous mettent les lourdes chaines aux pieds et nous mettent les menottes, puis m'ont obliger à parader à poil jusque dans ma cellule. C'était trop la honte et ils en profitent pour nous ridiculiser devant les autres détenus. Ils m'ont placée devant la cellule d'un homme et m'ont exposée et exhibée devant lui en lui disant que quand ils attraperont sa soeur ils lui feront pareil et la mettrons toute nue devant tout le monde. Ils m'ont aussi dit que j'étais une mauvaise personnes car je me promène nue devant tout le monde car je suis une mauvaise fille alors que c'est eux qui m'oblige à rester en tenue d'Eve !


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vendredi 7 mai 2021

Femme soumise à des interrogatoires renforcés.


nudité bondage et scenario BDSM.
Prisonnière d'un bondage et orgasme forcé nue.

La fille du général.


Une association de défense des droits de l'homme affirme que d es femmes et des jeunes filles proche de personne recherchée par les troupes américaines sont gardées en détention de façon arbitraire et sans motifs réels par l'armée. Et qu'elles sont soumises à des traitements dégradants. Aujourd'hui nous avons accès à un rapport qui concerne une jeune femme arabe irakienne, fille d'un général de l'armée de l'ex dictateur renversé par la coalition internationale dirigée par les Etats Unis en 2003. Elle est âgée de 29 ans environs. Son prénom a été modifiée et elle est identifiée sous le pseudonyme de Lilia.


Elle a été arrêtée lors d'un raid d'un commando sur la maison familiale, son père, un haut gradé étant absent, les américains ont embarqué sa fille. Si les autorité américaines affirment respecter les conventions de Genève, et que les détenus sont correctement nourris et non maltraités,  la situation de Lilia comme de beaucoup d'autres personnes privées de liberté est jugés inquiétante et problématique pour les organisations de défense des droits de l'homme pour plusieurs raisons. 


Lilia est sous le statut de "détenu de haute valeur" ce qui fait qu'elle est gardée dans une partie spécifique de la prison ayant pour objectif de faire parler les prisonniers et comme étant une zone de sécurité maximum. Elle est donc retenue au secret sans aucune inculpation pour une période indéterminée. 


De plus, depuis son arrivée, elle est gardée toute nue en permanence, les gardiens conformément aux consignes qu'ils ont reçu ont sans aucune explications dépouiller Lilia de tout ses vêtements, bijoux, montre, effets personnels, et de ses chaussures. La prisonnière est détenue dans la plus totale nudité dans une  petite cellule elle même vide, uniquement composé d'un ban pour dormir et de toilettes turques.


La prisonnière est régulièrement interrogée par les militaires qui cherche à avoir des informations sur son père. Elle doit à chaque fois marcher nue dans le couloir qui mène à la salle d'interrogatoire, si elle ne souffre pas de violence physique, elle est régulièrement attachée nue sur le sol les jambes bien écartées  et exposée en publique. Des gardiennes lesbiennes en profitent pour lui imposer des multiples orgasmes forcés en lui mettant des doigts dans le cul et la chatte, en lui léchant les seins et les pieds, en utilisant des godes et des plugs à mettre dans ses orifices.


Après chaque orgasme elle reprend son souffle et c'est partie pour une autre séance de masturbation forcée et intensive. Elle à avouer tellement de choses sous ce traitement que les militaires en ont finalement tirer peu de chose, aucune information viables.


Liens : 


Interrogatoire d'une femme nue.

mardi 4 mai 2021

La prison des soumises nues

 

Nudité et confinement solitaire.
Groupe de prisonnières nues en confinement solitaire.

Prison de la soumission BDSM.


Depuis les années 2000, les grandes puissances ont pris quelques décisions entre elle, hors du cadre de l'ONU et des conventions de Genève pour répondre aux problématiques géopolitique du 21 émetteur siècle. Pour ne jamais être considéré comme des Etats pratiquant la torture tout en s'évitant de respecter certaines normes du droit international. Les grandes puissances, au lieu de jouer chacune de leur coté ont décider de mettre en commun certains moyens pour détenir des opposants, criminels, terroristes et trafiquants  de drogue et d'armes internationaux. La Chine, l'Angleterre, l'Iran, les Etats Unis, la Russie, le Brésil, le Mexique, l'Afrique du sud, l'Arabie Saoudite et la France ont décider d'un pacte de détention secret. 


De multiples prison secrètes sont donc créer dans le cadre de ce projet, dont une qui est réservée pour les femmes. On trouve de ces prisons en général dans des pays africains, d'Amérique Latine ou des pays arabes pour des raisons de discrétion. Ces camps de détention sont tenus dans des régions isolés et discrètes pour éviter que des journalistes curieux viennent s'y mêler. C'est pour éviter de nouveaux scandales qui peuvent porter atteinte à l'image de certains pays comme les affaires autour de Guantanamo, Abou Ghraib, camps chinois, goulags communistes etc. C'est une nouvelle forme de solidarité internationale.


Les prisonnières ont entre 18 et 50 ans, pas plus, et elles purgent des peines de prison pour diverses raisons :  On y trouve des femmes  politiques corrompues,  des opposantes politiques,  des femmes terroristes, des femme militantes dans des organisations de gauche ou écologiste, des prostitués, des trafiquantes importantes et même des féministes ou des militantes lesbiennes. Les Etats y envois leur prisonnières selon leurs propres critères. Le but de la prison est d'apprendre l'ordre et la soumission aux femmes incarcérées pour leur permettre à terme de se ré insérer dans la société.


Ce centre de détention est régie par les règles d'une prison de haute sécurité et des règles du BDSM (Bondage, Domination, Sado Masochisme). Les femmes détenues sont originaires de tout pays, une journaliste française ayant un peu trop critiquer l'ancien président français Nicolas Sarkozy Séverine est une femme brune de 30 ans, française, elle est bien habillée et elle est dans un bus à destination de ce pénitencier féminin en compagnie de femmes venues du monde entier. A bord du bus il y a Vanessa, une américaine  blonde de 23 ans ayant été condamnée pour trafic de stupéfiant pour couvrir sont petit ami, un baron de la mafia en fuite. On trouve aussi Maria, une criminelle brésilienne de 41 ans, elle a la peau mate et le corps couvert de tatouage. Reem 30 ans, une dissidente saoudienne habillée tout en noir et couverte de la tête aux pieds, et Mili  40 ans, une démocrate chinoise.

Nue lors d'une séance de bondage
Femme prisonnière mise nue et bondage avant interrogatoire.


Le bus arrive et passe plusieurs portails avec des barbelés, avant d'entrer dans une zone clôturée et fermée.


Les gardiens sont des hommes et des femmes, habillés en uniforme noirs, avec des bottes militaires. Les nouvelles arrivantes sont invitées à descendre du bus et à se rendre dans un bâtiments non loins de l'entrée principale. Elles sont accueillies par la directrice , une femme blonde d'une cinquante d'année, probablement une allemande qui à un anglais parfait, elle porte un tailleur noir  et des escarpins de la même couleur. Elle est entourée de gardes femmes et hommes accompagnés de gros chiens d'attaque,  elle parle sur un ton ferme et stricte.


"Bienvenue, je suis la dirigeante de cette prison, vous êtes des prisonnières soumises à nos règles visant à vous inculquer des valeurs permettant la vie en société (NDLR : lavage de cerveau). L'une des premières choses ici, c'est qu'il n'y à pas d'uniforme, la nudité totale est imposée aux prisonnières pour mieux vous punir, vous faire comprendre vos places de soumises, vous exhiber et exposer comme de la viande fraiche, et pour des raisons de sécurité : Etre nu rend impossible le fait de cacher sur soit des armes ou des objets illicites.

Alors maintenant, déshabillez vous, retirez vos vêtements."


Les détenues sont un peu choquées même si elles savent toutes qu'en prison il y a des fouilles à nus, elles s'attendaient à un peu plus d'intimité et que ce ne serait pas en public.


"Vous enlevez tout, chaussures, chaussettes, bas, collants, culottes, soutiens-gorges et tout le reste."  Répète la directrice.

Les prisonnières se déshabillent chacune à leur manière, mais elles sont toutes très humiliées de devoir s'effeuiller devant tout le monde.

Interrogatoire de prisonnière BDSM
Nue et attachée sur une chaise pour l'interrogatoire.


Les femmes sont alignées nues comme au jours de leur naissance  avec les piles de vêtements à leurs pieds. Les gardiennes inspectent les corps des détenues sans ménagement, tout est contrôlé de la têtes aux orteils, et chaque femmes se prend un doigt dans l'anus et un dans le vagin et la bouche, car toutes les cavités naturelles sont vérifiées. Les prisonnières même si elles ont l'air honteuses, mouillent, leurs chattes commencent à s'humidifier par cette humiliante entré en matière.

Les captives sont aussi tripoter et harceler sexuellement par les gardiens qui leur frotte la chatte, leu mettent des claques sur les fesses et leur pincent les tétons. Ensuite les femmes sont entravées au niveau des chevilles.

Le programme de détention est en partie basé sur l'humiliation et la dégradation, la femme n'est ici qu'un objet et sont obliger de pratiquer des choses peu avouables. Chaque prisonnière est  : 


- Exhibée nue et privée de pudeur, claquée, fessée, insultée, peut se voir tirer les cheveux, etre contrainte de se masturber devant les autres, être soumise à des orgasmes forcés, attachée dans diverses position de bondage.

- Les prisonnières sont aussi obligée d'avoir des relations lesbiennes entre elles.


- De prendre des douches nues et de s'introduire des savons dans la chatte et le cul.


- De lutter nue entre elles sous les rires des gardiens.


- Soumise aux travaux forcés etc.


Esclavage BDSM et prison
Travaux forcés pour une femme prisonnière nue.



Liens : 


Enhenced interrogation.


Perverpeper le site des perversions lesbiennes.


lundi 12 avril 2021

De la nudité en prison


Nudité en détention BDSM
Prisonnière nue conduite dans sa cellule par un gardien.

Une prison ou les femmes sont gardées nues.



Incident  impliquant la nudité avec la détenue Soraya.


Un membre de la police militaire sous couvert d'anonymat dit  avoir tenté de demander des explications à ses supérieurs sur la nudité imposée aux détenus dans la prison. Ce membre des renseignements a été rapidement écarté et témoigne pour nous de ce qu'il a vu pendant son passage dans cette prison.



"La première fois que je suis allé dans la partie en béton du site, j'ai constaté que la nudité était omniprésente qu'elle paraissait normal et naturel pour les gens qui y travaillaient depuis longtemps. Lorsque vous demandiez à quelqu'un "pourquoi sont ils nus ?", vous n'obteniez que des haussements d'épaules et des réponses évasives du style, c'est la procédure du renseignement, que les détenus ont perdu leurs vêtements et qu'il n'y a pas d'uniforme, ou tout simplement pour éviter qu'ils cachent quelques choses d'illégal. Les gardiens voyaient bien que c'était embarrassant pour les prisonniers. Certains reconnaissaient même que c'est dégradant, mais personne ne voyaient ça comme un abus. Pour les manuels de l'armée, la nudité forcée si elle est justifiée n'est pas contraire aux conventions de Genève.

La majorité des détenus sont des hommes, mais il y avait quelques femmes, certaines étaient gardée individuellement isolées à part, et d'autre étaient regroupées dans une petite aile de la prison masquée du reste par des rideaux et couverture. Je me souviens d'une détenue, Soraya âgée d'une trentaine d'années, elle était considérée comme étant de "haute valeur". Je sais qu'elle était nue et tentait de dissimuler son corps en public.
"

Le cas de la femme prisonnière ici mentionnée est bien connu. Soraya ( un pseudonyme pour respecter son anonymat) est l'une des dernières prisonnières a avoir été officiellement libérée. Elle est une proche parente d'un cousin d'un des plus fidèles ministres de l'ancien régime renversé par les Etats Unis, elle est âgée de 32 ans, et travaillait comme professeur avant l'invasion militaire US. Elle a passé plus de 6 mois et demi en détention dans les geôles américaines. Elle est maintenant en Exil en Australie et refuse toute sollicitation d'ONG pour témoigner. 

Les observateurs du CICR (Comité International de la Croix Rouge) se souviennent d'elle. Soraya était détenue à l'isolement dans la section de la prison ou sont regroupé les prisonniers de haute valeurs ou arrêtés dans le cadre de la lutte contre le terrorisme et l'insurrection.


Elle était dans une petite cellule isolée du reste du block de détention. Elle était entièrement nue et sous contrôle. La cellule est toute simple : deux mètres de large pour trois mètres de long, un banc en pierre pour dormir et des toilettes "turques" et une toute petite fenêtre en hauteur, et rien d'autre. Elle n'a pas subi de torture physique ni de mauvais traitements, elle avait accès à une nourriture relativement correcte.

Lorsque les responsables américains ont été interrogé sur le fait que la prisonnière soit gardée nue, ils ont tout simplement répondu que ça faisait parti du processus, et que c'était une mesure de sécurité pour s'assurer que la prisonnière ne cherche pas à se suicider ou à cacher des objets de contrebande. Notons que l'administration justifie de la même manière les cas de nudité forcée sur les autres personnes privées de liberté.


Marche de la honte une prisonnière forcée de marcher nue en public.
Femme prisonnière nue contrainte de parader à poil.



Soraya était une femme riche et respectable et de haut niveau social, normal après tout, elle était proche de l'ex régime et membre d'une famille privilégiée. Lors de son arrestation et incarcération, elle était vêtue d'une sorte de long "tchador" noir comme les occidentaux appellent ça, et d'une abaya (longue robe arabe traditionnelle). Elle est intégralement couverte à l'exception du visage et des mains comme beaucoup de femmes orientales de son niveau social. Elle porte plus ce type de vêtement par conformisme social et tradition que par convictions religieuses.

Des fouilles humiliantes.


Lors du processus d'accueil, elle est soumise à une fouille approfondie comme tous les prisonniers, ici, c'est comme aux Etats Unis, les fouilles sont systématique et Soraya était obligée de se déshabiller devant les gardiennes. Malgré ses protestations, la jeune femme  doit retirer tous ses vêtements sous la menace d'utilisation de la force et de la contrainte physique.

Elle a très mal pris le déshabillage obligatoire, comme tout les autres détenus  qui refusent de retirer leurs vêtements et tentent aussi de négocier pour garder leurs culottes ou slips. Les gardiennes, on expliquer  à la prisonnière que la nudité totale était requise et non-négociable pour tout le monde, hommes ou femmes tout le monde doit se mettre à poil, car ce sont les règles américaines. Soraya doit se dépouiller de ses vêtements, sous-vêtements, chaussures, effets personnels et même de ses bijoux qui sont placés sous scellés.

La procédure US est choquante et dégradante pour une femme comme Soraya contrainte de se mettre nue pour une inspection complète. L'administration militaire qui gère la prison donne des manuels expliquant que les prisonniers de guerre et de droit commun détenus par l'armée doivent selon le protocole de fouilles (strip search) retirer leurs vêtements pour une inspection visuelle complète du corps, notamment vérifier les chevelures, les oreilles, les mains, les doigts , les aisselles, le nombril, le pubis, entre les fesses, et les américains sont même aller jusque à examiner ses pieds et entre ses orteils.

Soraya a dû exposer son anus et l'intérieur de son vagin aux gardes américaines, quelle honte pour une personne si pudique que de devoir exposer ses partis les plus intimes sans le moindre respect de sa pudeur. Surtout que les soldates prennent des gants en latex, de la vaseline et lui ont écarté manuellement les lèvres vaginales et les fesses pour y introduire un doigt par sécurité.

Elle fait partie de ces femmes n'ayant jamais ne serait ce que porter un maillot de bain sur une plage publique et là, les Américains l'ont mise à poil sans pitié ni état d'âmes.

Pour palier à toute accusation de viols, les Américains imposent des tests de virginité qui seront détaillés plus tard et des contrôles stricts aux femmes prisonnières d'importance.

Soraya n'a subi aucune agression physique ni violences sexuelles pendant sa détention comme le prouve les rapports médicaux hebdomadaires, du fait de son rang et sa situation, la direction de la prison à décider de la soumettre à un stricte suivie de son état de santé.


Elle a donc eu un traitement préférentiel. Un médecin était chargé de l'examiner et de l'inspecter chaque semaine (alors que l'accès à des traitements médicaux pour les autres détenus est quasi inexistant.).

Le CICR a constaté que des rapports hebdomadaires indiquant que la prisonnière était inspectée chaque semaine. Elle était conduite dans une petite salle ou un médecin et des surveillants (hommes ou femmes) en tenue militaire l'attendaient.
Son corps était examiné totalement dans la plus totale nudité. Le docteur était à la recherche de marques, d'ecchymoses, de traces de blessures, et pour cela, il doit avoir accès et vérifier la moindre parcelle de peaux de Soraya.


Humiliation à poil pour une pauvre prisonnière innocente.
Femme nue et enchainée dans une cage.



Le médecin insiste même souvent sur ses orteils, à se demander s'il n'est pas fétichiste des pieds.

Soraya est ensuite placée sur une chaise gynécologique pour un examen visant à vérifier qu'elle n'a subi aucune agression, et le docteur fait ensuite la même chose avec son anus.

Selon les documents, la jeune femme au début fut très traumatisée de ces examens sans aucun respect pour sa pudeur, mais après trois mois de détention elle s'y est habituée et ne portait même plus d'attention à sa nudité. C'est la routine de la prison.

Elle a eu la chance d'être protégée pendant sa détention, les gardes avaient interdiction de porter la main sur elle. La direction a décidé de lui imposer la nudité totale et permanente pour plusieurs raisons, avant tout sécuritaire. C'est une détenue importante qui doit être protégée d'elle-même, c'est l'une des premières femmes arrêtées par les troupes américaine. Les prisonniers males étaient tous nus et laissés ainsi dans les cellules. Après le débat au sein du conseil de la police militaire, la décision prise a été de traiter Soraya comme les autres et donc de la garder sans aucun vêtement. Le secrétaire d'Etat à la défense  autorise recommandé  la nudité aux personnes maintenues en détention par les forces américaines.


La partie "Isolement" de la prison est pour les gardiens une zone ou les prisonniers sont nus, Soraya doit l'être aussi, qu'elle soit une femme ne lui donne pas le droit de porter de vêtements.


"Soraya demandait les premières semaines tout le temps des vêtements, elle pleurait souvent, elle criait pour réclamer de quoi se couvrir, chose qui lui étaient bien sur tout le temps refuser. Elle avait beaucoup de pudeur et tentait tout le temps de cacher son corps de la vue des gardes. Ensuite, elle n'y prêtait plus aucune attention, comme si être nue était devenu normal pour elle.

Elle a perdu toute pudeur apparente en un mois.
 Elle montre tout sans ressentir la moindre gêne lors des inspections quotidienne."


S'habituer à la nudité.



Une ancienne surveillante se souvient d'une anecdote concernant cette détenue :

"Cette femme était la depuis quelques mois lorsque je suis arrivée. Elle était intégralement nue et ne manifestaient visiblement aucune pudeur devant nous, lorsque elle devait montrer ses fesses, elle le faisait. Nous pouvions de temps en temps discuter avec elle, elle nous racontait sa vie avant la prison, parlait de son ex-mari, de son quotidien ici. Nous lui donnions souvent de notre nourriture qui est meilleure que celle réservée aux autres détenus, des bonbons, des cigarettes.

Elle est devenue très intime avec un garde, tout à commencer lors des inspections ou nous avons remarqué des traces de masturbation, Soraya était, en effet, toute mouillée, la chatte pleine de cyprine lors d'une visite surprise de sa cellule. Elle était particulièrement excitée lors de l'examen de son vagin et anus.


Nue et humiliée devant sa cellule de prison avec un sac sur la tête.
    Exposée nue et attachée dans les couloirs de la prison.



Quand nous vérifions les orifices d'un prisonnier, nous utilisons habituellement du lubrifiant, mais avec Soraya, il n'y en a pas besoin, elle est très humide, nous introduisions nos doigts gantés sans problème dans son canal vaginal, ça glissait tout seul.


Un des gardes qui n'avait pas de copines est devenu très proche d'elle, il parait qu'elle a passait plusieurs nuits dans sa chambre, c'est totalement illégal, mais c'était tolérer par l'équipe.

Soraya ne pouvait pas s'enfuir, ou serait elle aller toute nue dans un pays comme ça ? Elle ne cherchait pas non plus à fuir donc, c'est passer avec l'équipe surveillante. Elle marchait nue au milieu des soldats, qui s'y sont vite habitués, c'était une prisonnière sympa.

Soraya lors de sa libération est partie accompagnée de soldat US, vers l'aéroport, elle est en Australie en couple avec cet ancien gardien.

Il parait qu'elle fait souvent du naturisme et a des problèmes avec les vêtements, elle est restée tellement longtemps toutes nue qu'elle n'aiment pas la sensation que procure le fait de s'habiller et sort souvent en oubliant qu'elle est à poil."



Liens :



Femme prisonnière tondue et humiliée à poil.



Nudité, contention et restriction en prison.





vendredi 26 mars 2021

Humiliation et dégradation d'une femme en prison

 

Femme nue au cachot et enchainée
Captive nue, sale et enchainée au cachot.

Prisonnière traitée pire qu'un animal.


Durant la révolution française (1789/1798 environs), la France connait une alternance de régime (monarchie constitutionnelle, 1 République, Terreur, Convention Thermidorienne, Directoire avant la dictature de Napoléon Bonaparte) ces régimes tantôt totalitaire tantôt dictatorial et la répression contre toutes formes d'opposition est terrible.


Une femme d'origine noble et très pieuse, Marie Cécile qui fréquentait assidument l'Eglise Catholique, épouse d'un noble exilé en Angleterre durant la période a été gardée emprisonnées pendant plusieurs années par les révolutionnaires qui l'ont traitée comme un animal et humilier pendant sa captivité.


Lorsque les actions anti catholiques ont commencés, les femmes jugées trop bigotes, les nommes, bonne soeurs religieuses, les femmes de prêtres ( concubine du moins car pas mariée officiellement) ont été très souvent persécutées par les pouvoirs en place.


Lorsque ces femmes prisonnières arrivent dans leur lieu de détention, l'une des premières choses que font les gardes révolutionnaires c'est de déshabiller les femmes, de les dépouiller de tout leurs vêtements, elles sont mises à poil de gré ou de force et leurs vêtements et bijoux sont volés.


Les prisonnières doivent ensuite défilées nues et enchainées et faire des longues marches de la honte nue devant le peuple, elles doivent traverser la ville sous les rires, insultes et moqueries du peuples.


Marie Cécile et les autres femmes soumises à ce traitements sont si honteuse, impuissantes et humiliées qu'elles baissent les yeux et la tête en espérant ne pas être reconnues par des connaissances. Elles sont exhibées à poil  et pieds nus pour amuser la populace qui a tendance à se déchainer sur elles. Elles sont doigter, palper, tripoter par le public, se font cracher dessus, pincer les seins, introduire des doigts dans le cul, certaines doivent marcher comme des chiennes ou se rouler à poil dans la boue ou dans des excréments.


Imaginez ce que ces religieuses (bonne soeurs) devaient ressentir ?


Ensuite Marie Cécile est enfermée, toujours nue, dans  le cachot d'un châteaux qui sert de centre de détention ou elle est retenue avec une dizaine d'autres femmes catholiques.



Liens :


Procédure d'incarcération humiliante.


Prisonnière nue et impitoyablement humiliée.


Naked Female Degradation sur BDSMLR.



dimanche 14 février 2021

Prison : une femme gardée nue

 

Une prisonnière honteuse se sent humiliée d'être intégralement nue en prison
Nudité forcée et humiliation d'une prisonnière pudique.

Incarcération, humiliation et nudité imposée.


Lors de son arrestation par l'armée dans une opération contre la rébellion, cette femme a découvert les joies de l'emprisonnement et de la nudité forcée.



Imaginez ce qu'une personne honorable et respectable comme Sonia sur la photo, une professeure respectée dans sa communauté d'origine, une personne qui pourrait être votre voisin, un homme d'Église ou de religion, un ami, un collègue de travail, votre ancien maire, etc. Et bien Sonia avant sa capture n'aurait jamais pu penser être soumise à la nudité forcée.

Elle est gradée prisonnière sans vêtements sous la surveillance de ses geôliers, et exposée ainsi sans possibilité de cacher son intimité.

Cette méthode de traitement des détenus hommes et femmes a pour but selon l'armée et les autorités qui on valider cette technique dans le but de démoraliser, déshumaniser, ramollir les prisonniers en vue des interrogatoires.

De plus garder nu les captifs permet d'exercer sur eux un contrôle psychologique, psychique et physique et de les humilier cruellement et de les dégrader.



Imaginez ce que la pauvre Sonia a dû ressentir quand elle a dû parader et marcher toute nue après la fouille à corps d'accueil en direction de sa cellule ou elle a été jetée à poil et forcer de rester ainsi plusieurs mois ?

Selon la doctrine militaire, les prisonniers lors de leur incarcération doivent subir une fouille à nu minutieuse. Puis selon leur profil, les risques qu'ils représentent. Et les personnes soupçonnées de détenir des informations importantes sont gardée à poil et les vêtements ne peuvent être donner qu'en cas de complete coopération, s'habiller n'est pas un droit dans ce type de prison, c'est une récompense.



La nudité dans les centres de détention militaire est donc normal du point de vue de l'administration, c'est une partie du processus et c'est pratiqué systématiquement.



Sonia par son métier et sa position sociale justifie totalement ce statut de détenue de haute valeur.



De plus, pour des raisons de sécurité, la nudité est imposée lors des fouilles qui sont très strictes et profondes, qui comprennent des examens des anus des prisonniers, et pour les femmes, leurs vagins sont aussi contrôlés.


Une procédure humiliante.



Sonia lors de son arrivée s'est vu donner l'ordre de vider le contenu de ses poches, de donner ses bijoux, sa montre, ses boucles d'oreilles, son argent liquide, ses cartes de crédits, ses papiers d'identité, ses lunettes et tous ses effets personnels qui sont confisqués et interdit en détention.



Sonia doit ensuite se déshabiller et des gardiens hommes sont présent pour accroître la pression sur la prisonnière. Elle doit obtempérer sous la menace d'être battue et de voir ses vêtements découpés et déchirés par les surveillants.



La direction du camp affirme qu'en cas de refus, la force est utilisée par les militaires. Sonia a donc dû se soumettre et faire un effeuillage public.



Comme beaucoup d'autre, elle s'est dénudé jusque aux sous-vêtements avant de supplier pour demander si elle pouvait au moins conserver la culotte et le soutien-gorge ?

On lui répond que les règles exigent la nudité totale. La prisonnière se retrouve à poil devant ses geôliers qui lui inspecte le corps dans tous les sens. Elle est fouillée de la tête aux pieds, les militaires fouillant même entre ses doigts de pieds pour s'assurer qu'elle ne cache rien.



Elle doit sautiller à poil et faire des exercices sportifs, s'accroupir nue et tousser fort pour voir si elle n'a rien de cacher dans le cul ou dans la chatte.



Elle a bien sur le droit à un doigt en profondeur dans l'anus et le vagin.



Elle est ensuite menottée les mains dans le dos et contrainte de marcher dans le plus simple à pareil jusque a sa cellule de deux mètres sur deux. Cette marche de la honte est très humiliante, on l'a forcé à s'exhiber à poil devant les autres prisonniers, dont certains devaient probablement la connaître, elle avait les fesses, la chatte et les seins à l'air sans possibilité de les couvrir.



Les prisonniers sont gardés nus en permanence et Sonia et les autres femmes n'y font pas exception. La nudité imposée fait partie de la punition. L'humiliation ressentie par la prisonnière qui sait qu'elle ne peut cacher aucune partie de son corps au regard des autres donne un fort sentiment de honte.



Sonia a passé 8 mois en tenue d'Eve avant d'être libérée.


Liens :


Briser l'ego des prisonniers.




mardi 2 février 2021

Contention, restriction, bondage en prison de haute sécurité

 

Punition et nudité en prison (contention et restriction)
Prisonnière nue en restriction et contention.


Prison Supermax : nudité forcée, confinement solitaire et contention.


Les  membres d'une ONG accompagne l'avocat d'une prisonnière détenue, Thalia dans la section d'isolement pour femme d'une des prisons les plus fermées et les plus dures des Etats Unis. Il n'y a pas à proprement parler de psychopathes ni de meurtrières mais des femmes capable d'ingéniosité, qui se sont par exemple déjà évadée, ou ont des réseaux en dehors qui s'active pour les faire sortir. Les femmes sont jugées très du fait des risques d'évasion. On y trouve femmes de grands trafiquants, des terroristes, des voleuses de grande chemin, des arnaqueuses  etc. 


Les règles de sécurité y sont draconiennes et la sécurité maximale. 

Les femmes retenues sont toutes âgées entre 21 et 40 ans, pas plus selon la direction de la prison. Elles sont de tout mieux sociaux (ouvrière, show biz, banditisme, mafia, délinquantes en col roulée, politiques, faits divers etc.) de toutes origines : afro américaine, caucasienne ,moyen orientale, asiatique, latines, etc. et de toute religions. Thalia comme toutes les détenues est soumise lors de son arrivée à une fouille à nu très approfondie comportant un examen gynécologique et une vérification de l'anus. 


C'est très simple pour la tenue vestimentaire, c'est nue. Une commission chargée de la sûreté estime que porter des vêtements peut représenter une menace pour la sureté et la sécurité du complexe, et que laisser sans vêtements les prisonnières peut être considérer comme une parti intégrante de la punition que constitue une condamnation judiciaire. Cette politique à été validé par les juges du tribunal et par le ministère de la justice. La nudité peut donc être imposée en tout légalité aux détenus.

Thalia comme les autres est gardée à poil. En général les prisonnières sont un peu gênées les premières semaines mais elles s'y habituent très vite. La nudité rend les captives plus dociles et plus coopérative et créer un environnement sur dans le pénitencier. De plus elles sont plus facilement excitées sexuellement et ont tendance à passer leurs temps à se masturber dans leurs cellule.


Lors des premiers jours, les nouvelles marchent les fesses à l'air dans les couloirs sous les rires et les insultes des autres prisonnières qui n'hésitent jamais à faire des remarques salaces et perverses sur les parties intimes des nouvelles. Les femmes savent bien sur toute qu'en prison, il faut être nue pour les fouilles et inspections, pour les douches, lors des visites médicales, mais aucune ne s'attend à devoir purger sa peine en tenue d'Eve.

Thalia comme beaucoup d'autre était d'abord prise d'un sentiment de honte et de gêne mêlée à de la colère, à l'impression de subir une injustice.


Les prisonnières passent aussi beaucoup de temps nues sur des chaises de contention ...



Liens :


Détenue nue


De la nudité des prisonnières en confinement solitaire.





mercredi 27 janvier 2021

Prisonnier nu en confinement solitaire

 

Un prisonnier nu et soumis a l'humiliation

Nudité forcée, humiliation et dressage des prisonniers.


Lorsqu'une personne est arrêtée et placée en détention par la police politique ou le renseignement militaire, c'est qu'elle est soupçonnée d'être une menace pour la sécurité nationale ou de détenir des informations importantes.

Enzo est un jeune journaliste ayant été suspecté de soutenir l'opposition, il a été retenu dans une prison et a subie des mauvais traitements et des humiliations.

Les procédures et les techniques standards de mise en condition des détenus sont appliquées systématiquement et vont des insultes et moqueries a des actes de pression physiques et psychologique visant à obtenir la parfaite soumission et la coopération des prisonniers et de les "faire parler", avouera et donner des noms et des adresses.

L'une des techniques les plus utilisées est la nudité forcée et le confinement solitaire, qui consiste à priver les prisonniers de tout vêtements et de les enfermer dans des petites cellules vides et sans lumières sur de longue durée. Sur 6 mois de détention, Enzo à passer 5 dans le plus simple appareil.

De plus, le prisonnier était quasi constamment entravé par des chaines, menottes. Il affirme avoir reçu plusieurs fessées et des gifles de la part des gardiens qui l'obligeaient souvent pour l'humilier  à danser tout nu devant eux, ou a se branler.

La nourriture y était infecte, la seule eau accessible était l'eau des toilettes, le droit à la douche n'était pas respecter car se laver était considérer comme une récompense et il fallait se montrer conciliant avec les surveillants.

Les obligations et marcher et de parader nus devant les autres prisonniers dans la prisons sous les brimades des gardiens.

Subir des moqueries et des humiliations de la part des surveillants, qui prennent des photos des captifs nus dans des positions honteuses et dégradantes. Les prisonniers sont soumis régulièrement a des fouilles des cavités très intrusives, souvent avec des chiens qui reniflent les anus sous prétexte de chercher des substances illicites ou des objets de contrebande.

Enzo a aussi du se masturber devant un public divers sous la menace d'être battu ou sodomiser.

Tout ces techniques visent à ramollir et soumettre les détenus pour les rendre docile et respectueux de la discipline, Enzo a parler et donner tout les noms qui lui sont passer par la tête.

Le jeune homme reste sous le choc et très traumatisé par cette expérience, et maintenant c'est un farouche défenseur du régime politique en place et du président. 

Dans cette république, quasiment personnes n'osent désormais remettre en cause l'ordre établi et le pouvoir en place.


Liens :


Séquestré tout nue par des racailles


Le blog de Léon Soumis (leonsoumis.centerblog.net)


lundi 25 janvier 2021

Kidnnapé et mis au cachot par des gays

Prisonnier soumis et nu au cachot
Mec captif nu et soumis

 Des gays dresse un prisonnier nu


Un malheureux garçon, Romain, vient de tomber entre les mains d'un groupe paramilitaire homosexuel bien décidé à lui en faire baver et à le dresser. Le jeune gars a été capturé à un barrage routier lorsqu'il rentrait chez lui, et il est depuis une semaine porté disparu.

Lors de sa capture, il a été rapidement transféré dans une prison secrète ou sont détenus les opposants et toute personnes suspectées de faire parti de la rébellion contre le régime, qui utilise des groupes armés gays pour mater l'opposition.


Romain est forcé de se mettre tout nu devant ces hommes qui de toute façon n'hésiteront pas une seule seconde à utiliser la force et la brutalité pour le soumettre. Ses vêtements de valeurs sont volé et le reste est détruit devant lui. C'est nu comme un ver, on ne lui laisse rien du tout pas même le slip ou les chaussettes !


Pour la fouille il faut ouvrir les fesses sous les railleries des militaires qui prennent plaisir à forcer les mecs à ouvrir leur cul le plus possible et à y introduire leurs doigts. De lui palper les couilles et la bite, de le faire marcher pieds nus sur le sol froid.


Romain doit aussi marcher comme un chien à quatre patte et tenus en laisse, puis se prendre une bonne raclée de bienvenue avant d'être enfermé à poil dans un cachot en confinement solitaire.


Liens :


Le site de domiaddict


Smboy.fr le restau social gay