Princesse réduite en esclavage. |
La capture des esclaves femelles au moyen âge
Les guerres étaient dans l'antiquité et au moyen âge une occasion de piller et de faire des prisonniers qui étaient transformés en esclaves. Sous le règne des mérovingiens, une dynastie qui règne d'environs 481 à 751, l'une des particularité de ce régime était que le pouvoir et les terres étaient partager entre les fils du roi à chaque succession, ce qui à entrainer de multiples guerres et complot fratricide entre les frères pour le pouvoir et les territoires les plus riches.
Au sein de la famille les complots et les crimes en tout genre sont extrêmement fréquent, c'est l'une des raisons de sa chute en 751.
Les pervers et les perverses et les sadiques s'en donnent à coeur joie.
La princesse Berthilde, la Belle fille du roi Sigebert, épouse d'un des rois en rivalité avec ses deux frères coalisés contre lui Théodebert et Clotaire V . La princesse a été capturée lors d'une bataille et d'un assaut contre sa place forte.
Elle est encore assez jeune, blonde bien conservée et en forme. Les guerriers l'ont apporter aux deux autres rois qui sont bien décider à humilier le clan rival.
Les vêtements de la princesses sont déchirée et ses chaussures enlevées et pour lui enlever toute dignité elle est obligée de parader totalement nue dans son château et dans la ville sous les rires des soldats et des habitants qui l'insultent, rigolent, lui crachent dessus.
L'un des soldats en voyant une flaque d'eau décide de forcer la prisonnière à boire comme une chienne à quatre pattes et le cul bien en l'air. L'un des soldats en profite pour lui mettre un coup de pieds au cul et fait tomber la captive dans la boue. Les spectateurs sont hilares.
Le but est d'enlever toute dignité à la princesse et d'en faire la dernière des cochonnes.
La princesse est ensuite mise sur une charrette et transportée exposée totalement à poil jusque a une sorte de centre ou sont retenus les captifs qui seront revendue comme esclaves.
La future esclave est jetée nue dans un cachot et enchainée. Totalement exposée, chatte ouverte et disponible pour satisfaire les guerriers.
La princesse est ensuite dressée avant d'être revendue sur un marché aux esclaves.
Liens :
Dommage que ce traitement ne soit oas appliqué de nos jour aux responsables politiques dechues aux elections
RépondreSupprimerEncore maintenant des bourgeoises sont mises aux enchères sur le marché africain, les lots mère et filles ont beaucoup de succès pour des spectacles hard sans modération
RépondreSupprimerAprès un mois de cachots, offerte aux saillies non stop, elle sera saillie par un cheval en place publique, fouettée pour relation zoophile et pendue par une patte
RépondreSupprimerOn ne raconte pas tout sur l'inquisition, c'était souvent des belles bourgeoises qu'il interrogeaient en commencant par une nudité complète, attachée par les poignets, les jambes relevées écartées, ils procédaient à une inspection du sexe. Les lèvres vaginales étirées, on décalottait le clitoris pour le masturber entre deux doigts, bien érigé, souvent la fille avait un orgasme, les juges venaient voir de près la cyprine s'écoulait. On continuait par un doigtage, ce qui faisait remuer la fautive dans tous les sens, preuve qu'elle était damnée. Certain profitait de la position pour se faire sucer. Celà suffisait à condamner la femelle à toutes les perversions. certaines résistaient plusieurs jours au travail au corps, allant de l'extraction des ovaires et le lent dépecage, quand aux mamelles, elles cuisaient longuement au dessus d'un braséro. La petite mort consistait à la faire empaler longuement par l'anus pendant qu'on entreprenait le travail sur une suivante à qui on commençait la branlette du clitoris. C'était un vrai travail car les geoles regorgeaient de "vicieuses" qu'il fallait faire se repentir. Un simple refus au Maitre et elle était déclarée comme damnée à punir.. Quelquefois Maitres et Maitresses venaient assister à la punition de cette "garce" en s'excitant un maximum et demandant une spécialité comme de reçevoir le clitoris et les tétons arrachés en souvenir, une Duchesse collectionnait les ongles de ses servantes soumises aux inquisiteurs qu'elle arrachait elle meme à la pince, elle se pamait de jouissance
RépondreSupprimerA la révolution, bon nombre d'aristocrates, des familles complètes ont subi les salles de torture et tous les sévices sexuels des geoliers, les femmes et leurs gamines en première ligne étaient saillies à répétition avec des raclées mémorables, les femelles de tout age étaient fouettées, bastonnées, sexe , anus et mamelles démolis avant avant la guillotine.. On rapporte que des gamines étaient placées sur la figure de leur mère pour etre sodomisées
RépondreSupprimer