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samedi 11 janvier 2025

L'arrestation de Safia par le shérif

Le processus humiliant de l'incarcération
Prise de photos nue avant d'aller en cellule.


 Safia est une jeune femme américaine musulmane d'origine arabe de parents libanais et musulmane, elle vit dans cette petite ville dans le Tennessee depuis sa petite enfance.

La jeune fille est une brillante étudiante à l'université, et par conscience citoyenne, avec le soutien de ses professeurs et certains de ses amis étudiant elle est partie manifester pour soutenir le peuple palestinien face au massacre.

La manifestation s'est mal passé, plusieurs manifestants ont attaquer les policiers et la police a du procéder à des arrestations, souvent assez arbitraire et Safia s'est malheureusement retrouvée dans le lot et se retrouve officiellement accusée d'attroupement illégaux.

Les manifestants et manifestants sont conduites dans les locaux du shérif  locale avec un petit centre de détention du conté géré par ce dernier, pour les gardes à vue.

Le shérif est un homme qui prend très au sérieux la sécurité et dont la prison est très redoutée par les femmes.

Safia est une personne très pudique mais le shérif lui réserve le même sort qu’à toutes les malheureuses détenues.

Les rares femmes musulmanes voilées comme Safia sont soumises à la procédure : prises d’empreintes, et la fouille à nue et la prise de photographies.

Safia doit tout enlever devant le représentant de la loi, et mettre sa pudeur de côté, se mettre toute nue est très difficile pour elle car c'est une fille pudique, peu de gens hormis son ex et les médecins l'ont vue à poil, et comme toute bonne musulmane elle porte le voile (hijab) et s'habille de façon très modeste.

Elle supplie et invoque divers droits pour refuser la fouille, elle prétend que ses droits constitutionnel sont bafoués, car devoir se déshabiller en public et devant des hommes serait une grave violation de sa dignité !

Hors avant elle, les juges ont estimé que les méthodes du shérif étaient parfaitement légales et justifiées pour des raisons de sécurité.

Le shérif filme toujours les fouilles et laisse assister des témoins pour prévenir toute accusation d'agression sexuelles.

La jeune femme n'a pas son mot à dire, le shérif est stricte et sans concession : il exige la plus totale nudité : même les montres et les élastiques à cheveux sont confisqués !

Il faut tout enlever, être nue et pieds nus pendant tout le processus de fouilles et d'enregistrement.

 

 Lien : 

Humiliée et interrogée.


mercredi 29 décembre 2021

La mésaventure d'une étudiante arrêtée par erreur.

 

Prisonnière photographiée nue pendant le mugshot.

Emprisonnée et humiliée par inexactitude.



Houda est une étudiante de 25 ans, en droit, elle est irakienne et vit a Baghdad en 2004 en pleine occupation américaine. Constatant l'instabilité et le désordre elle décide de fuir pour être en sécurité dans un pays voisin. 


C'est une jeune femme de classe moyenne, éduquée, qui parle en plus de sa langue natale l'Arabe, parfaitement l'anglais et elle a de bonne bases en russe et en allemand. Elle est assez moderne même si elle s'habille de façon mixte, à la fois occidentale (jean, baskets) et traditionnel (voile, tunique, robe large a motif).

C'est une fille assez droite, organisé et disciplinée. 


Une après midi en mai 2004, pendant qu'elle se dirigeait vers une station de bus pour réserver un voyage  en vue de quitter le pays, une patrouille américaine l'arrête.


Les soldats l'ont braquer avec leurs fusils d'assauts en lui hurlant de ne pas bouger et mettre les mains sur la tête et de ne pas bouger. Les soldats ont pris le sac de la fille et vider ses poches avant de l'embarquer dans un fourgon militaire après l'avoir menottée et mis un sac noir  étouffant  sur la tête.


La jeune femme dont le nom ressemble a celui de l'épouse d'un responsable de l'ancien régime très recherché est la véritable cause de son arrestation. Comme c'est une prisonnière de haute valeur, elle est transférée directement dans la prison sous contrôle militaire US d'Abou Ghraib. Ce pénitencier  sert de centre d'interrogatoire spéciale et de lieu ou des prisonniers de haute importance sont gardés par les forces de la coalition.


A son arrivée, deux autres femmes sont présente, elles ont environs 40 ans totalement voilée dans de "long tchador".


Les gardes en uniforme militaire leur ordonne sèchement  en anglais de poser leurs vêtements sur le sol.


Constatant une forme d'incompréhension , l'un des gardes leur dit plus calmement en arabe et en anglais lentement qu'il faut enlever les vêtements et les bijoux et autres effets personnels car elles sont prisonnières des Etats Unis dans le cadre de la guerre contre le terrorisme, et qu'ici la procédure veut que les détenus se déshabiller en arrivant.


Houda et les autres  commencent à pleurnicher et à supplier.


Le garde répond qu'il s'agit ici de lois et de règles et que ce n'est pas négociable. et si elles ne le font pas elles seront mises nues de force et durement punies pour désobéissance.


Un soldat tend un sac à Houda et lui dit d'y mettre ses vêtements, Se mettre nue publiquement et encore plus devant des hommes est très difficile pour des femmes culturellement si pudique qui n'ont jamais oser mettre ne serait ce porter un bikini en public pour aller à la plage ou à la piscine. Et c'est encore pire car les déshabillage se font devant des hommes.


Mais sous l'autorité des militaires personnes n'osent résister, de toute manière se serait peine perdue les vêtements de ceux qui résiste sont déchirés ou découpés.


Houda entend les pleurs des autres femmes et comprend qu'elles enlèvent leurs habits. Elle enlève ses chaussures, oui défait son hijab (couvre chef porté par les musulmanes autrement appeler voile), elle fait ensuite glisser son jean sur ses pieds, puis elle retire sa montre son collier  et ses boucles d'oreilles avant d'enlever sa tunique. Il ne lui reste plus que ses sous vêtements et ses chaussettes. 



Elle remarque qu'un garde arrache brutalement le slip d'une autre captive qui se retrouve à poil.


L'étudiante est prise par deux soldats qui arrachent sa lingerie et lui retirent les socquettes.


Houda et ses deux partenaires de malheur se retrouvent entièrement nues, pieds nus, sans rien pour couvrir. Pour les soldats ce n'est qu'une pratique commune et routinière que de mettre à poil les captifs.

Les trois femmes sont escortés jusque dans une salle d'identification, pour y subir une prise d'empreintes digitales, des prélèvements d'ADN (salive, prise d'un cheveux). Et surtout une séance horrible  de prise de photo totalement nues (mugshot).




Liens : 









dimanche 10 janvier 2021

Des femmes humiliées et déshabillées dans le commissariat de police.

 

Des femmes prises en photo nues en garde à vue
Mug shot de prisonnière prise nue en photo.

Humiliations, sexisme, nudité forcée et abus de pouvoir dans la police.


Un groupe de femme à décider de saisir la justice, sans obtenir le moindre succès contre les pratiques d'un commissariat de police d'une région du centre de la France.


Des femmes de toutes origines, caucasiennes, maghrébines, africaines, asiatiques  et de toutes religions et de tout milieux sociaux  et âgées entre 20 et 35 ans ont lancer une protestation de groupe contre le ministère de l'intérieur suite aux pratiques controversées d'un poste de police.


Ces femmes ont étés placées en garde à vue pour d'obscur motifs, ou pour des pseudos infractions routières, des raisons futiles; et des contrôle  d'identité routinier. On se demande sur quoi juridiquement ces policiers se sont baser pour les mettre en GAV car la loi française ne prévoit pas ce type de mesures lors de ces situations. Le commissaire a justifié cette pratique  en affirmant cibler une catégorie de personnes plus susceptibles d'acte de délinquances. De plus ces arrestations donnent lieu systématiquement à des fouilles à nu avec recherche des cavités corporels.


Ces mesures sont jugées nécessaires dans ce poste de police alors qu'ailleurs la législation française interdit les fouille avec déshabillage intégral.


De plus ces fouilles à poil sont précédées de palpations souvent strictes et jugées agressives par les femmes détenues qui se retrouvent tripoter de partout souvent pas des gardes de sexe masculins qui n'hésitent pas a malaxer les seins des femmes.


Les femmes sont aussi contrainte de se déshabiller complètement devant des policiers hommes et devant me commissaire sous prétexte qu'il n'y a aucune femmes policières pour y effectuer les fouilles. Le commissariat en question dit rechercher des agents de police féminins mais que pour le moment il n'y en a pas. De plus les policiers se plaignent de coupe budgétaires bloquent tout nouveau recrutement.


Les mises à nue se font sans aucun respect de la pudeur et de l'intimité des prisonnières qui doivent ôter leurs vêtements un à un, y compris les culottes, bas, chaussettes pour être pieds nus, leurs bijoux, et même leur tampons et serviette hygiénique quand elles en porte. La nudité des prisonnières est visible depuis l'extérieur de la salle de fouille car la porte n'est jamais fermée.`Tout les fonctionnaires, visiteurs, hors personnes en détention peuvent voir le spectacle. Les femmes victimes sont souvent très traumatisée de cette exhibition forcée.


De plus par mesure de sécurité les opérations d'inspections corporels sont filmer, et les femmes prisonnières doivent être photographier nues sous toutes les coutures et prendre des postures parfois humiliantes et dégradantes.


Liens :


Strip search naked in jail


Humiliation en GAV