dimanche 18 février 2024

Les règles de la prison des femmes d'Abou Ghraib

 

Les prisonnières doivent faire les corvées et travaux forcés à poil.
Une prisonnière nue lors des travaux forcés.
 

Notes et révélations sur les consignes données par l'armée et la CIA pour traiter les prisonnières d'Abou Ghraib.

 

Suite au scandale concernant les abus et les tortures subies par des prisonniers irakiens entre les mains des américains pendant la seconde guerre du golfe (2003/2011), c'est vite poser la question du traitement des dizaines de femmes retenues dans ce terrible complexe pénitentiaire. Plusieurs journalistes et chercheurs ont découvert que ces abus ne sont pas le fruit de la perversion de brebis égarées, mais un système mis en place et pensée par les plus hautes autorité du renseignement militaire et de la CIA. Des notes ayant valeurs de consignes et de règlement à appliquer aux femmes comme lignes directrices ont été données au staff pénitentiaire.

 

 Pour plus d'information sur le contexte historique et politique veuillez vous référer à ce lien.

 

Les méthodes d'interrogatoires renforcés utilisées :


Les interrogateurs estiment qu'il faut utiliser les tabous culturels et religieux des prisonniers, et comme la nudité est particulièrement infamante pour les arabes, toutes les personnes incarcérées doivent donc être nues.

Les prisonnières doivent être nues en permanence, les femmes musulmanes doivent être déshabillées lors du processus d’incarcération, les gardes doivent veiller à ce qu'elles enlèvent tout. Elles sont pudiques et voilées de la tête aux pieds et les gardiens sont sans pitié et les force à tout retirer, bien sur que les femmes enlévent leurs robes et leurs voiles, les culotte aussi et les gardes interdisent même les tampons hygiéniques !

Les fouilles des cavités (bouche, oreils, anus, chatte, orteils) plusieurs fois par jours pour s'assurer qu'elles ne cachent rien. 

Les femmes doivent être exposées nues pour une humiliation totale, entre elles,  devant les gardiens mais aussi devant les prisonniers masculins.

C’est plus efficace de forcer les femmes à s’exhiber devant leurs communautés, elles paradent nues devant des hommes qui peuvent être leurs époux, cousins, voisins, employés, frères etc.

Obligation de travailler à poil en prison.
Une prisonnière nue lave et nettoie le sol.


Les prisonnières doivent apprendre l’humilité, en étant nues et pieds nus. Elles doivent s'exhiber devant leur proches.

Les femmes sont utilisées comme moyen de pression sur les hommes, qui prennent vite peur, car ils savent que si  une femme de leur entourage est capturée, et bien elle sera exposée comme un trophée par les américains.

Les femmes lors des défilés doivent se présenter, dire leurs noms, prénoms, ville, confession religieuse, profession tout en montrant leurs corps aux hommes irakiens.

Les hommes doivent bien comprendre que si leurs femmes, sœurs ou filles sont arrêtées, elles subiront le même sort.

Travaux forcés et corvées: Chaque femme doit à tour de rôle servir les repas des autres prisonnières et prisonniers, c'est une habitude qu'on pris les gardes pour obliger les femmes à perdre leur pudeur.

Les femmes doivent aussi effectuer diverses taches et corvées comme nettoyer le sol, laver les murs, balayer, récurer. Tout doit briller et être propre.

Les gardiens obligent les prisonniers et prisonnières à marcher pieds nus et si leurs pieds sont sales les autres détenues doivent les lécher.

Les fouilles : les femmes sont soumises à plusieurs inspections des cavités par jours pour vérifier qu'elles ne dissimulent rien et surtout apprendre l'humilité. Elles doivent régulièrement faire une sorte de chorégraphie ou elles exposent leurs cheveux, doivent ouvrir la bouche, , soulever, leurs seins, écarter les fesses pour montrer l'anus, ouvrir les lèvres de leurs chattes, secouer les orteils.

L'homosexualité et la masturbation : Les prisonnières sont régulièrement forcées d'avoir des relations lesbiennes et de se toucher la chatte jusque à la jouissance.

Les gardiennes utilisent les femmes pour les soulager sexuellement.

Sport et épuisement : Courir, sauter, sautiller, faire des squats et des flexions  jusque à l'épuisement, sous les rires et moqueries des surveillants qui regardent leurs seins et fesses bouger dans tous les sens.

Autocritique et conditionnement mental : Les détenues doivent critiquer leurs cultures d'origine et rejeter le port de vêtements et de chaussures.

Photos et vidéos :les photos des prisonnière nues dans des positions obscènes sont placardées partout dans la prison.


Liens :

 

L'humiliation comme mode de gestion de la prison.

samedi 17 février 2024

Bizutage : une fille stockée toute nue dans la salle de cours

Toute nue au bizutage

 Chloé se souviendra longtemps de sa journée de bizutage de première année de fac.

Les anciens ont littéralement traqué les filles de premières années, ils sont aller les chercher partout, Chloé est l'une des premières, les maitres de cérémonie l'ont placée dans la salle, ou ils l'ont obligée à se mettre toute nue.

L'étudiante n'a pas résister car elle a vue d'autres filles plus pudiques se faire mettre à poil de force et déchirer leurs vêtements. Dans ces bizutages les anciens font mettre totalement à poil les nouvelles, elles doivent même retirer leurs chaussures et chaussettes pour être pieds nus.

Chloé se rase la chatte donc elle est tout de suite bien vue car c'est une jeune fille moderne est propre.

Liens :

 

A poil dans le parc au bizutage.


Une femme forcée de se déshabiller devant les gardiens homme.

Striiped naked in front og male guard.
Prisonnière se déshabille devant un gardien homme.

Rapport d'incident à la prison d'Abou Ghraib  :  une femme forcée de se dénuder devant des hommes.

Le 7 mars 2004, dans la prison d'Abou Ghraib, Lila D, une détenue irakienne de 28 ans, retenue pour soupçons de soutient financier à la rébellion a été obligée de se déshabiller devant un garde américain en guise de punition.

Les gardes utilisent la nudité comme moyen de domination et de punition. La décision de lui enlever ses vêtements vient du fait qu'elle se soit plaint à son avocat de mauvais traitements, et aurait refuser de se lever pour écouter l'hymne américain.

Dans la section d'isolement les détenues portent un uniforme de prison de couleur orange, comme à Guantanamo Bay, avec inscrit "Inmate". Les détenues ne porte pas de sous vêtements, ni de chaussures ou de chaussettes.

Le hijab (voile islamique) que ces prisonnières portent comme toutes les bonnes musulmanes est interdit. Les prisonnières doivent en signe de soumission et d'humilité restées "tête nue" et pieds nus et porter des uniformes impersonnels oranges.

Les prisonnières sont traditionnellement gardées pieds nus pour leur enseigner la soumission et l’humilité.

Les femmes n’ont pas le droit de manifester leur appartenance religieuse.

Elles doivent se déshabiller devant des hommes, c'est important qu'elle comprennent qu'elles n'ont pas le droit à l'intimité ni à la pudeur et que les gardes ont le droit de voir leurs seins, leurs fesses et leurs chattes à volonté.

Lorsque une femme arrive elle doit se soumettre à une fouille très complète avec une inspection de l’anus et du vagin. C’est très humiliant, pudeur n'a pas sa place, mais c'est une prison de haute sécurité dans une zone de guerre.

 

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Discipline en prison.

dimanche 11 février 2024

L'importance des fouilles et de la nudité en prison.

Deux femmes déshabillées par le garde de la prison.

Un responsable des interrogatoires explique gardiens  l'importance d'humilier les femmes en prison.



Depuis le 11 septembre 2001, nous avons décider d'autoriser toutes les techniques interrogatoires par soumettre et rendre docile les prisonniers dans le cadre de notre lutte contre le terrorisme, et l'une des techniques les plus simples, les plus économique, sécuritaires  et paradoxalement l'une des plus efficace c'est la nudité forcée et les fouilles corporelles.

Nous avons décider de faire de ce complexe pénitentiaire d'Abou Ghraib le centre de nos interrogatoires en Irak et un centre d'expérimentation des méthodes les plus pratiques et performants en vue d'obtenir des résultats : Coopération complète et soumission. Le tout sans aucun état d'âme.

Les femmes que nous arrêtons le sont pour diverses raisons qui pour les gardiens n'ont pas vraiment d'importance alors nous le l'évoquons ici que brièvement : Liens avec l'ancien régime, liens de parenté avec un homme recherché (soeur, fille, épouse, cousine), opposantes, personnes dénoncée abusivement etc.

La plupart des femmes entre vos mains sont des irakiennes, musulmanes sunnites ou chiite, parfois chrétiennes voir même athée, mais toutes sont de culture très traditionnelle et conservatrice, presque aucune n'oserait ne serait ce que se promener en bikini sur une plage. De plus elles sont très pudiques et réservées.

Environs 90 % des arrivantes porte des vêtements religieux et coutumiers arabes (la longue et ample robe arabe abaya, voile islamique, Tchador), l'une de vos priorités doit être de dépouiller la femme incarcérée de son identité (elle devient un numéro), de son argent, et bien sur de ses vêtements et bijoux.

Pour imposer directement votre autorité, la fouille à nu est essentielle, la prisonnière doit y perdre sa dignité, sa pudeur, sa fierté pendant cette étape.  Le mieux est de l'obliger  à enlever ses vêtements d'elle même en lui faisant comprendre que toute résistance est inutile, avec la présence de gardes masculins très costaud.


Faite en sorte que la fouille se déroule en  publique et en présence d'hommes pour augmenter le sentiment de dégradation des prisonnières. Moquez vous d'elles, dites leurs que la nudité est la règle ici, et qu'elles doivent tout montrer, aucune intimité 

Certes ça rend le déshabillage plus long, mais aussi plus humiliant et donc plus efficace. Aucune faveurs ne doit être accordées à la détenue malgré les larmes et supplications, n'oubliez pas de leur faire enlever leurs montres ou leurs chaussettes si elles portent, et même leurs tampons hygiénique !

Si possible découper ou déchirer leurs vêtements devant elles, ou prenez les et mettez les hors de vue de la détenue pour lui faire perdre tout espoir de se rhabiller.

Une fois dépouillée de toute pudeur et vulnérable, laissez la prisonnière nue totalement exposée, regardez ses seins, sa chatte, ses fesses. Et moquez vous d'elles, exploitez la situation en lui rappelant qu'elle est toute nue et pieds nus alors que quelques instant elle était une femme respectable et pudique !

Nous devons reconditionné l'esprit de ces femmes, leur imposer le nudisme comme mode de vie et détruire en elles toutes traces de pudeur et de modestie doit être l'objectif.

Vous avez les fouiller intégralement, et partout même entre leurs fesses !

Elles doivent toucher leurs orteils et ouvrir les fesses pendant que vous regarder l’intérieur de leurs entrailles, si possible en y introduisant un doigt ganté lubrifié ou pas et avec une lampe torche.

Ensuite vient une étape très importante pour le reconditionnement des détenues, la parade “a poil”, vous devez conduire les prisonnières dans leurs cellule totalement nues en prenant tous votre temps et en faisant le tour de la prison.

Bien sur, elles ont l'interdiction de mettre les mains sur la poitrine pour cacher les seins ou la chatte et les fesses qui doivent être à l’air et pleinement visible.

Elles doivent être présentée à tous le staff mais aussi aux autres détenus hommes et femmes, si possible devant des membres de leurs familles ou de leurs quartiers pour les humilier au maximum. Et comprendre qu’ici les concept tels que dignité, pudeur, modestie, vie privée n’ont pas d’application ici.

Moquez vous d’elles pendant la balade les fesses à l’air  en prenant bien votre temps ! Si vous le pouvez; faite bruler ou découper en public leurs vêtements, surtout leurs voile (hijab) et leurs robes pour symboliquement les rabaisser.
 
N'oubliez pas que leur religion les incitent à se couvrir et cacher leurs corps, alors imposez leur la nudité totale et permanente. 
 
Dite leur qu'ici les prisonnières sont gardées obligatoirement nues pour être dressées, et que dans quelques semaines elles s'habitueront à vivre nue.

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samedi 10 février 2024

Harcèlement sexuel, nudité forcée, fouille humiliantes pour prisonnières de guerre.

 

Femme dressée et humiliée par les gardiens de prison.
Prison et humiliation.

Un interrogateur explique l'importance des humiliations et des inspections des prisonnières en terme de renseignement militaire.


Depuis les temps immémoriaux que les guerres existent, les prisonniers et prisonnières de guerre ont toujours représenter un enjeux important, qu'ils soient symbolique comme faire des défiler de prisonniers nus et de vendre les femmes comme esclave, économique comme au moyen âge ou les nobles capturés étaient rançonnés, et surtout en terme de domination du peuple conquis et de renseignement militaire et stratégique.

Les Etats Unis d'Amérique ont développer un grand savoir faire pour "traiter" les détenus et les briser et les rendre dociles et coopératifs. Dans la prison militaire d'Abou Ghraib en Irak pendant la seconde guerre du golfe (2003/2011), les américains ont mis en place un processus de traitement pour briser et rendre docile les captifs et les faire parler et avouer lors des interrogatoires.

Les femmes sont particulièrement visées et appréciées par les gardiens, à l'image de Salma,  prisonnière irakienne 34 ans, pharmacienne de profession, de milieu aisé, d'une conservatrice et pleine de traditions religieuses musulmanes et arabes, sont durant la première étape de leur admission dans cette prison sont dépouiller de leurs identités, argents, effets personnels, montres, bijoux, boucles d'oreilles, de toute liberté et aussi de leurs vêtements.

Cette respectable,  pieuse et bien éduquée  jeune femme s'est retrouvée très humiliée quand on lui a fait retirer son voile (hijab) qui lui couvre la tête, pour qu'elle soit priver de son identité culturelle et religieuses, qui est interdit dans la prison, ainsi que le reste de ses vêtements ses chaussures.et même ses sous vêtements et chaussettes !

Le déshabillage des prisonnières se déroulent devant un public mixte avec obligatoirement la présence d'homme pour accroitre le sentiment dégradation des femmes. Lorsque Salma a appris qu'elle devait être nue en présence d'homme elle a pleurer et était toute rouge de colère et les yeux plein de honte.

Le processus a pour but de dépouiller la prisonnière de tout ses droits, de sa liberté et de sa dignité et de la briser.

La détenue doit ensuite prendre des postures obscène et dégradante pour que tout le monde puisse voir quand elle écarte les fesses et sa chatte sous les rires et doit toucher ses orteils, pour les gardiens c'est un spectacle, ces femmes si pudiques sont des prisonnières et elles doivent être totalement exhibées de la têtes aux orteils !

Les cavités intimes sont explorés la pieuse femme se prend un long toucher rectal puis vaginal.

Avant le placement en cellule la jeune femme a été laissée nue et pieds nus au milieu des couloirs de la prison pour ensuite faire une parade à poil devant le staff et les autres prisonniers. Pour les interrogateurs c'est important de permettre aux gardes et aux membres du personnel découvrir  ces femmes sans culotte ni aucun tissu pour se couvrir et de profiter du choc et de voir à quel point c'est humiliant et gênant pour elles.

La prisonnière déteste toujours ce moment ou pour la première fois , elle est soumises à l'obligation d'exposer les recoins les plus intimes de leurs corps. Le tout devant les soldats  américains qui ne respectent pas sa vie privée, ni sa dignité,  et lui fait savoir qu'elle n'a aucun droits.
 
Les consignes données aux gardiens  sont de pratiquer des fouilles intimes très régulièrement et de façon minutieuse tant pour des raisons de sécurité mais aussi pour apprendre l'obéissance et la soumission.
 
Utilisez leur religion pour mieux les humilier, demandez leur si elles sont contente d'être à poil entre nos mains. Moquez vous d'elles, du fait que leurs fesses soient à l'air, attribuez leur des sobriquets comme "cul nu" , "pute".
 
Faite lui remarquer  qu'elle n'a pas de droit de porter des vêtements, et qu'elle doit rester nue et pieds nus alors qu'une bonne musulmane est censée être pudique, couverte et voilée. 

Salma par exemple est obligée de répéter plusieurs fois par jours qu'elle est fière et heureuse d'être nue.
 
C'est important pour les reconditionner de leur faire répéter  des paroles comme "Je ne mérite pas de porter des vêtements".

Nos ennemis doivent payer, il est normal de les humilier, les perdants lors des guerres sont en général mis à poil et soumis, nous devons perpétuer cette longue tradition de domination.



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vendredi 9 février 2024

La nudité forcée dans les prisons militaires en temps de guerre.

Nudité forcée
Prisonnière escortée et exhibée nue en prison.

Une femme vient d'arriver en prison, et elle est mise nue et humiliée.

Quand vous voyez cette femme complétement nue, tête baissée, enchainée et menottée entre les mains de son gardien et forcée de parader nue avant de rejoindre sa cellule, vous devez savoir que quelques minutes avant, elle était encore une femme digne et fière, qu'elle portait le voile et une abaya comme la plupart des femmes musulmanes d'Irak.

Mais en arrivant dans la célèbre prison d'Abou Ghraib, les gardiens l'ont obliger à enlever ses vêtements, car les prisonnières doivent être punies et dressées, et donc misent complétement nues devant tout le monde, y compris des hommes. C'est une terrible et implacable humiliation.

Elle a subie une fouille très invasive, avec examen de l'anus et du vagin pour s'assurer qu'elle ne dissimule rien. Les femmes doivent se déshabiller devant les hommes.

Cette détenue de sécurité n'aurait jamais imaginer dans ses pires cauchemar subir ça. Elle est à poil, les gens se moque d'elle, elle n'a même pas eu le droit de garder ses chaussettes, le contact de ses pieds nus sur le sol lui est très désagréable, c'est sale, humides, poussiéreux.

Les militaires se moque de ses petits seins et de son corps tout maigre, d'autre lui demande ce que ça fait d'être balader  poil, et qu'ici les femmes prisonnières sont gardées toutes nues.

Dans les couloirs de la prison d'Abou Ghraib la nudité de cette prisonnière est normale pour les gardiens.

La responsable du secteur lui dit qu'elle restera nue en permanence, que les femmes prisonnières sont strictement interdite de porter le moindre vêtements. "

La nouvelle constate avec effroi que toutes les femmes sont nues. Une détenue est exhibée les jambes écartées.

 

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Humiliations et nudité forcée en prison.

mercredi 7 février 2024

Les prisonnières humiliées nues en vue des interrogatoires.

 

Des femmes humiliées à poil par les gardiens
Les prisonnières humiliées et avilies en public.

Les gardes mettent nues et humilient sexuellement les femmes dans cette prison.

 

 En mars 2004 en Irak dans la prison militaire d'Abou Ghraib tenue par l'armée américaine.
 
 
 Les femmes prisonnières irakiennes d'Abou Ghraib en voie des vertes et des pas mures, les gardes par méchanceté et sadisme les rabaissent, maltraitent et les humilient constamment. Lorsqu'un nouveau gardes ou qu'un observateur se promène dans la zone ou les femmes sont détenues, il assiste souvent à des scènes spectaculaire et marquantes.

Tout d'abord, les prisonnières sont  totalement à poil, ce traitement infamant est choquant quand on sait que ces femmes sont des musulmanes très conservatrices, pudiques, qu'elles portent le voile (hijab) et l'abaya et que là on leur impose la nudité intégrale. Elles sont toutes pieds nus.

Les gardiens américains les réunissent souvent dans les couloirs pour de vrai séance d'humiliations publiques.
 
Elles sont alignées nues les mains sur la tête,  les jambes écartées, les yeux et la tête baissées , elles doivent parfois rester plusieurs heures comme ça. Les seins et leurs fesses sont pincés, tripoter, leurs chattes sont doigter et leurs anus sont titillés.
 
Les gardes les insultent, lancent des commentaires et des moqueries sur leur seins, le fesses, leurs chattes, elles doivent "jouer" à des jeux stupides, comme le jeux des chiennes, ou les gardes les force à marcher à quatre pattes et à se renifler les fesses. Certains gardes pour corser le jeux colle parfois le nez d'une détenue dans le cul d'une autre et l'oblige à lécher.

Les femmes doivent aussi régulièrement "se présenter" dans des rituels humiliants et dégradant. Une à une, les détenues doivent donner leur numéro de matricule, leur nom, prénom, âge, ville d'origine et présenter leurs seins, leur sexe et leur anus écarté puis remercier les Etats Unis d'avoir libérer l'Irak.
 
Elles doivent aussi dire plusieurs fois par jours qu'elles remercie les responsables de la prison de leur interdire de porter des vêtements.
 
Les femmes sont exposées nues en permanence même devant les autres prisonniers. Les gardes forcent les femmes à s'exhiber devant leur propre famille et leurs proches.
Les femmes sont de vraies trophées

Ils aiment aussi organiser des séances de sport dans les couloirs, forcer les femmes à s'épuiser dans des exercices intenses. 
 
Les prisonnières doivent faire des monter de genoux, leurs seins bougent dans tous les sens, elles font des squats et les gardes regardent les fentes s'ouvrir.
 
Elles sautillent et leurs seins rebondissent, marchent en canard, des jumping Jack,  les plus sportives font des burpees.

Les femmes doivent s'épuiser au sport avant d'être passées au jet d'eau froide.


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mardi 6 février 2024

La prisonnière humiliée et interrogée.


Nudit lors des interrogatoires.
Une prisonnière nue pendant l'interrogatoire.

Comment se déroulent les arrestation et les interrogatoires des femmes ?

Depuis les attentats du 11 septembre 2001, les Etats Unis se sont lancés dans la guerre contre le terrorisme et ils ont modifiés leurs lois pour les rendre plus répressives, permettre de détenir des personnes sans charges pour des durées indéterminées, et autorisé toute une série de mesures d'interrogatoires renforcés.

Ils ont ensuite attaquer l'Irak et renverser le régime en place.

Malika, 26 ans, la fille d'un responsable de l'ancien régime en fuite a été arrêtée et à passer plusieurs semaines en détention sans charge, juste parce qu'elle est proche d'une personne recherchée.

Elle a passer presque un mois dans la prison d'Abou Ghraib. Les forces spéciales l'ont capturée pendant un raid sur sa maison en pensant trouver son père. L'arrestation s'est déroulée proprement, les militaires lui ont menottées les mains dans le dos, et lui ont placer une cagoule sur la tête avant de l'embarquer pour une destination inconnue.

Après plusieurs heures de périples et d'attente, Malika a été conduite dans le centre de détention d'Abou Graib, dans la section d'isolement ou sont retenues plusieurs femmes comme elle.

Sur place, le processus se met en place, Malika est soumise à une fouille à nue qui comprend un examen gynécologique. Les femmes musulmanes irakiennes comme Malika sont très pudique, portent le voile hijab et s'habillent de façon ample pour dissimuler leurs formes. Mais les autorités américaines ont décider qu'il fallait faire preuve d'autorité envers toutes personnes susceptible d'être liées plus ou moins à la domination américaine ou au 11 septembre. Malika a vécue très difficilement cette nudité forcée.

Devoir retirer ses vêtements devant des étrangers, et des hommes est très dégradant pour une pieuse musulmane. Pourtant elle n'a pas le choix, elle est contrainte par des militaires bien plus fort et costaud qu'elle et très agressifs. 

Comme les autres détenues, Malika n'a pas d'autre choix que de se déshabiller et se soumettre, remettre ses vêtements un à un aux gardiens, qui se marrent de voir une respectable femme musulmane se foutre à  poil devant eux.

C'est toujours marquant pour les gardes de voir une femme pudique et couverte, enlever ses vêtements l'un après l'autre en pleurant, et qui en quelques minutes se retrouve totalement à poil.

Les responsables américains ont décidé après les attentats du 11 septembre 2001 d'autoriser les " techniques d'interrogatoires renforcées" et la nudité forcée dans la loi du Patriot Act.

Les prisonnières irakiennes comme Malika passe du voile à la nudité totale, les femmes sont gardées nues et pieds nus. Les détenues qui portent des bas, collants, chaussettes doivent aussi les enlever, les tampons hygiéniques sont aussi confisqués. Les am

Conformément à la procédure, Malika est prison en photo, nue bien sur, de face, de profil et par derrière. C'est infamant pour les détenues, mails les photos sont pour les dossiers et la fiche des prisonnières accompagnées d'examen biométrique.

La détenue est ensuite exposée et obliger de parader nue dans la prison pour que tous les gardiens et prisonniers puissant la voir.

Elle est ensuite interrogée nue et pieds nus et contrainte de prendre des poses obscènes. Malika doit se présenter  nue en pleine lumière au milieu de la pièce devant les interrogateurs. 

C'est plus difficile de mentir lorsqu'on est à poil, c'est pour ça qu'un bon interrogatoire se déroule toujours dans la nudité totale. Surtout que le questionnement est filmé et que les agents font du chantage : si la prisonnière ne coopère pas totalement, et bien les photos et vidéos seront diffuser à sa famille.

Ce chantage est très efficace sur Malika. Elle dit tout ce qu'elle sait par peur qu'on montre les images à ses proches. Les américains lui ont fait se mettre les doigts dans le cul et dans la chatte et l'ont obliger à lécher, elle a aussi été contrainte de danser nue dans une vidéo et de remuer ses fesses.

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Nue en cellule.

dimanche 4 février 2024

Rapport de visite de la détenue n°974598 (Kenza J)

 

Prisonnière nue assise et enchainée dans sa cellule
Femme enchainée nue et pieds nus en cellule de prison.

Note sur le traitements des femmes irakiennes dans la prison d'Abou Ghraib en avril 2004.

Un mémo déposé par un agent lors de son témoignage devant la commission d'enquête suite au scandale des tortures et des mauvais traitements.

La personne interrogée est un agent du secrétariat d’État à la défense ( équivalent du ministère des armées) chargé de superviser traitement des prisonniers de guerre de guerre pendant la seconde guerre d'Irak. Le fonctionnaire a été envoyé le 7 avril 2004 dans la prison d'Abou Ghraib pour rencontrer Kenza J, une jeune femme irakienne arrêtée quelques semaines avant, et cousine d'un ancien haut fonctionnaire activement recherché par la coalition.

"Je suis arrivé le 7 avril 2004 dans la prison d'Abou Ghraib pour prendre des renseignement sur Kenza J, la cousine d'une personne activement recherchée par l'armée. Elle a été arrêtée pour ses liens familiaux et faire pression sur son parent pour qu'il se rende, et aussi parce qu'elle est susceptible de par sa position de détenir des informations stratégiques capitales. C'est donc ça qui justifie sont statut de prisonnière de haute sécurité et son placement en isolement et au secret sans avocat pour une période indéterminée.

L'équipe de gardiens et le responsable de la partie dure de la prison m'ont accueillis. Après quelques présentation j'ai pu accéder à la détenue.

La prisonnière étaient nue et pieds nus, mais elle n'avait aucune traces de blessure ni de maltraitances sur le corps. Elle semblait calme et n'avait pas l'air d'avoir peur. Elle était juste gênée d'être nue. 

Le responsable des interrogatoires ordonnent aux gardiens de confisquer les vêtements des détenus, pour les hommes comme pour les femmes, et j'ai pu constater  les autres femmes irakiennes retenues dans la même section sont elles aussi gardées sans le moindre vêtements.

Le renseignement militaire, les administrateurs de la prison sont parfaitement conscient de cette pratique, puisque les femmes sont transportées et déplacer nues pour aller aux interrogatoires, aux douches, aux sorties (qui consiste à se rendre dans une toute petite court pour prendre l'air ou faire un peu d'exercice).

Ces pratiques sont récurrente, j'ai pu voir une autre détenue irakienne nue et menottée les mains dans le dos et ramener manu militari dans sa cellule après un interrogatoire. Cette situation avait l'air parfaitement normale pour les gardiens et toute l'équipe d'Abou Ghraib.

Prisonnière nue escortée par sa gardienne en uniforme de la salle d'interrogatoire vers sa cellule.

 

J'ai demandé à la détenue si tout allait bien et si elle voulait voir un médecin, j'ai aussi demander au responsable des gardiens dont j'ai oublier le nom de lui rendre ses vêtements. Avec un garde il a fait mine d'aller les chercher, puis au bout de 20 minutes, il a dit qu'il ne les avait pas trouver.

Les vêtements et les effets personnels des prisonnières sont mélangés dans une armoire dans un bureau administratif de l'autre côté du secteur. C'est impossible de les retrouver, surtout qu'un administrateur m'a parler de vols, il a constater que les culottes des prisonnières étaient systématiquement confisquées et utilisées pour torturer et humilier les prisonniers hommes (souvent attachés à poil avec des sous vêtements féminins sur la tête).

 

Kenza J m'a confirmé que les autres prisonnières sont nues, et que le chef des gardiens est hypocrites et menteur, qu'il n'a aucunement l'intention de permettre à la moindre femmes de s'habiller.

 J'ai donc insister après du responsable pour en savoir plus sur les vêtements des prisonnières, et qu'il fallait au moins remettre à Kenza et aux autres les vêtements qu'il est possible de leur remettre.

Ce dernier m'a dit que c'était impossible, puisque il n'y avait jamais eu la moindre livraison d'uniforme de prisonnière faute de moyens, et que les vêtements dans l'armoire sont abimées ou peuvent servir de pièce à conviction.

Ces arguments étaient un peu bancales mais je n'avais aucune autorité pour faire changer les choses, et il avait l'air d'avoir des appuis parmi ses supérieurs.


Kenza m'a dit que pour une femme musulmane et arabe, la nudité était très difficile, surtout au début. Sa religion enseigne la pudeur et la modestie, les femmes ici retenues sont toutes très traditionnelles et conservatrices. Kenza,  comme l'autre détenue que j'ai croisée escortée nue prénommée Leila m'a dit qu'elle portait le hijab (voile islamique) et une robe arabe large qui couvre toutes ses formes, et qu'elle n'avait jamais été nue en public ni même porter un maillot de bain.

 En arrivant à Abou Ghraib, elle s'est faite déshabiller complétement pour une fouille très approfondie (la procédure prévoit un examen gynécologique et anal). Puis qu'ensuite aucun vêtements n'est rendus aux femmes qui sont placées en cellule totalement à poil après une parade de la honte.

Le chef des gardes participe toujours au processus et assiste au fouilles et à toutes les étapes de l'incarcération des femmes.

Ici les femmes sont obligées de se montrer nues devant les hommes, le gardien estime que les femmes irakiennes doivent être punies et humiliées, et donc être à poil.

Il aime voir arriver une détenue, bien couverte de son voile, digne, qui en quelques minutes se retrouve sans dignité et entièrement nue et soumise aux gardiens.

Même les culottes et les chaussettes sont interdites, la détenue n°974598 a demandé à pouvoir au moins porter des tongs ou des chaussettes pour marcher car le sol est sale et froid. Le responsable des surveillants a rigoler et a dit que tant qu'il sera là les prisonnières sous sa responsabilité seront 100 % nue et pieds nus.

Concernant l'autre détenue que j'ai croisé, Leila, j'ai pu selon mon mandant demander des informations sur elle et lui parler. Elle est une journaliste proche des médias de l'ancien régime.

Elle m'a dit que les prisonnières sont prises en photo totalement à poil, devant, derrière, sur les cotés et que ces photos sont mises dans des fiches mais qu'elles circulent au sein de la prison.

Les gardes pour ma visite avaient retirer ces images, mais sur la porte de chaque cellule, il y a des photos nues de chaque prisonnières sur les portes de leurs cellules, donc des photos de leurs anus ouvert lors des fouilles ou dans des positions obscènes.

 

Liens : 

 

Les femmes humiliées publiquement en prison.


 

jeudi 1 février 2024

Femme nue en cellule de la prison

 

Naked female prisoner
Prisonnière nue.

Une femme gardée entièrement nue pendant sa détention.

Prison d’Abou Graib, région de Baghdad, Irak, 2004.


Les observateurs du  CICR (Comité International de la Croix/Croissant Rouge) ont constaté de graves manquements aux droit de l'homme et à la dignité humaine lors de leur visite de la prison d'Abou Ghraib.

Ce qui est le plus frappant pour les visiteurs, c'est que la section du complexe pénitentiaire ou sont retenue les personnes ayant été arrêtées pour liens avec l'ancien régime, d'activité anti coalition, de liens avec le terrorisme, de détenir des informations sur le programme d'armement massif ou sur des personnes activement recherchées sont soumises à des conditions de détention difficile avec des pressions physiques et psychologiques intenses, des interrogatoires renforcées.

Une femme d'environ 31 ans, identifiée comme Sara, une professeure de lycée portée disparue suite à un raid de l'armée contre un quartier rebelle de la capitale. Le renseignement militaire a décider de la garder en détention comme étant une "Détenue de sécurité" pour ses liens avec l'ancien régime.

Elle a été retrouvée lors d'une visite inopinée, elle est confinée dans une petite cellule d'isolement et a des conditions de détention très difficiles. 

Comme tous les prisonniers entrants, la prisonnière Sara a été soumise à une fouille de sécurité, systématique en prison ou les gardiens l'ont obliger à retirer ses habits. La nudité et les fouilles sont au cœur du traitement spécial imposée aux prisonnières pour les soumettre. Sara est une femme respectable et culturellement pudique, musulmane attachée aux traditions comme la plupart des prisonnières.

Ses gardes lui interdisent de porter des vêtements. Depuis son arrivée sur le site,  elle est contrainte de rester toute nue comme l'explique le plus naturellement possible l'un des responsables aux visiteurs.

Il ajoute que dans la procédure, la technique d'interrogatoire  préférée et aussi la plus utilisée et la plus spectaculaire est "la nudité forcée". La majorité des personnes détenues sont gardés entièrement nues, certains depuis plusieurs mois. 

Sara comme la plupart des femmes de son milieu porte par pudeur et respect de sa religion un voile (hijab) lui cachant les cheveux,  robe traditionnelle ample et large pour dissimuler ses formes, et en arrivant les gardiens lui ont confisqué et découper devant elle, ses chaussures et tout ses effets personnelles ont été pris par les américains, qui découpent systématiquement les foulards et les tenues trop couvrante devant les prisonnières pour mieux les humilier et leur faire comprendre qui est le maitre.

 La jeune femme a été conditionnée à la nudité. Elle n'a même pas chercher à couvrir ses seins et son sexe devant les visiteurs, c'est comme si elle avait perdue toute pudeur. Les observateurs se sont bien sur demandé plusieurs choses, déjà premièrement,  pourquoi est elle totalement nue dans sa cellule ? La réponse est que Sara ne porte aucun vêtements depuis plusieurs mois; et que les prisonnières sont soumises à un véritable reconditionnement psychologique.

 

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Nudité forcée.