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| Les prisonnières humiliées et avilies en public. |
Les gardes mettent nues et humilient sexuellement les femmes dans cette prison.
En mars 2004 en Irak dans la prison militaire d'Abou Ghraib tenue par l'armée américaine.
Les femmes prisonnières irakiennes d'Abou Ghraib en voie des vertes et des pas mures, les gardes par méchanceté et sadisme les rabaissent, maltraitent et les humilient constamment. Lorsqu'un nouveau gardes ou qu'un observateur se promène dans la zone ou les femmes sont détenues, il assiste souvent à des scènes spectaculaire et marquantes.
Tout d'abord, les prisonnières sont totalement à poil, ce traitement infamant est choquant quand on sait que ces femmes sont des musulmanes très conservatrices, pudiques, qu'elles portent le voile (hijab) et l'abaya et que là on leur impose la nudité intégrale. Elles sont toutes pieds nus.
Les gardiens américains les réunissent souvent dans les couloirs pour de vrai séance d'humiliations publiques.
Elles sont alignées nues les mains sur la tête, les jambes écartées, les yeux et la tête baissées , elles doivent parfois rester plusieurs heures comme ça. Les seins et leurs fesses sont pincés, tripoter, leurs chattes sont doigter et leurs anus sont titillés.
Les gardes les insultent, lancent des commentaires et des moqueries sur leur seins, le fesses, leurs chattes, elles doivent "jouer" à des jeux stupides, comme le jeux des chiennes, ou les gardes les force à marcher à quatre pattes et à se renifler les fesses. Certains gardes pour corser le jeux colle parfois le nez d'une détenue dans le cul d'une autre et l'oblige à lécher.
Les femmes doivent aussi régulièrement "se présenter" dans des rituels humiliants et dégradant. Une à une, les détenues doivent donner leur numéro de matricule, leur nom, prénom, âge, ville d'origine et présenter leurs seins, leur sexe et leur anus écarté puis remercier les Etats Unis d'avoir libérer l'Irak.
Elles doivent aussi dire plusieurs fois par jours qu'elles remercie les responsables de la prison de leur interdire de porter des vêtements.
Les femmes sont exposées nues en permanence même devant les autres prisonniers. Les gardes forcent les femmes à s'exhiber devant leur propre famille et leurs proches.
Les femmes sont de vraies trophées
Ils aiment aussi organiser des séances de sport dans les couloirs, forcer les femmes à s'épuiser dans des exercices intenses.
Les prisonnières doivent faire des monter de genoux, leurs seins bougent dans tous les sens, elles font des squats et les gardes regardent les fentes s'ouvrir.
Elles sautillent et leurs seins rebondissent, marchent en canard, des jumping Jack, les plus sportives font des burpees.
Les femmes doivent s'épuiser au sport avant d'être passées au jet d'eau froide.
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RépondreSupprimerPour les étudiantes aussi quand elles sont bizutées, on les met entièrement nues et pour les humilier un peu, on leur passe la chatte au cirage et on leur fait faire le tour du campus à poil et cirées.
SupprimerMilky 2
C'est surtout d'exhiber une femme devant son mari. Quand les gardes amènent une femme devant son mari, pour une pression psychologique, pendant que les gardes tiennent bien le mari, ils déshabillent sa femme jusqu'à la mettre complètement nue en faisant des commentaires salaces, du genre :comme ta femme a des poils à la chatte, on va les lui griller devant toi. Je préfère te prévenir que l'on va tout lui brûler à la flamme d'un chalumeau, après on passe les lèvres à la flamme pour qu'elle sente bien la brûlure . Ça va sentir le cochon grillé et ça lui fera des cloques sur les lèvres. Tu parleras, crois-moi, car voir sa femme se faire mettre à poil et se faire passer la chatte à la flamme d'un chalumeau, tu ne vas tenir longtemps."
RépondreSupprimerMilky 2
Attachée nue debout, jambes écartées au dessus d'un brasero, elle donne des coups de ventre en avant et en arrière, mimant une saillie pour échapper à la chaleur un spectacle long et excitant pendant que sa fille est soumise aux saillies canines
RépondreSupprimerSûrement qu'elle devait ressentir de la chaleur qui petit à petit lui chauffait la chatte. Moi je la verrais bien nue et assise sur un réchaud à gaz, ça lui aurait chauffé direct la chatte, et cramer un peu les poils de la chatte si elle en avait bien sûr. Il faudrait allumer et éteindre le réchaud quand ça commence à bien lui chauffer un peu la chatte, le rallumer ensuite et ainsi de suite.
SupprimerMilky 2
Les tétons et les lèvres sexuelles lestées de gros poids, elles devront sauter à la corde jusqu'à épuisement
RépondreSupprimerCe spectacle appelé danse des mamelles est encore employé lors de jeux organisés avec des femelles acquises sur le marché aux enchères.. Des paris sont faits sur la plus résistante, Des gardiens sont chargés de stimuler les danseuses à coups de baton jusqu'à épuisement. La gagnante aura droit à etre assise au dessus d'un braséro pour finir la soirée et les autres déchirées au fouet pendues par les pieds
RépondreSupprimerLes hurlements de douleurs des femmes doivent être excitants et je pense qu'il est laissé un peu de temps aux bastonnés afin qu'elles retrouvent leur esprit pour être fouettées. Elles doivent rapidement tomber dans les pommes vu les douleurs des coups. La plus résistante a du chanter quand les flammes auront grillé ses poils.
SupprimerJC
Pour les humilier un peu plus, amenée leur famille devant elles, et là les mettre complètement nues, puis les faire asseoir sur un brasero,pour bien montrer à leur famille comment on les interroge en leur chauffant bien la chatte. Si elles ont des poils, ça va bien les brûler, et celles qui n'en ont pas, on leur chauffe direct les lèvres et le clitoris.
RépondreSupprimerMilky 2