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dimanche 1 juin 2025

Toute nue dans le bar pendant le bizuage.

 

Danser toute nue au bizutage
Elles dansent et se trémoussent nues dans un bar étudiant au bizutage.

Danser et se trémousser à poil au bizutage.

 

Dans une petite université parisienne nichée au cœur du 13e arrondissement, l’automne marque chaque année le retour d’une tradition aussi légendaire que controversée : le week-end d’intégration, ou plutôt, le bizutage déguisé sous ce nom festif. Les anciens, autoproclamés gardiens des coutumes estudiantines, orchestrent une soirée où les nouveaux doivent se plier à leurs règles, dans un mélange d’excès, d’humour douteux et de débordements.

Camille, 19 ans, fraîchement arrivée de son village provençal, est une étudiante en première année de licence de biologie. Réservée, presque timide, elle a grandi dans une famille où la pudeur est une seconde nature. Habituée à porter des vêtements amples et à éviter les regards indiscrets, elle redoute déjà cette soirée d’intégration dont tout le monde parle avec un mélange d’excitation et de crainte. Mais, poussée par la pression sociale et la peur d’être mise à l’écart, elle se rend au vieux bar rock du quartier, un lieu aux murs tapissés de posters vintage et au sol collant de bière renversée.

À son arrivée, l’ambiance est électrique. La musique hurle, les lumières clignotent, et une foule d’étudiants s’agite dans une chaleur étouffante. Mais ce qui frappe Camille, c’est le spectacle qui s’offre à elle : plusieurs nouvelles, déjà intégrées au « rituel », déambulent dans le bar, entièrement nues, certaines riant nerveusement, d’autres visiblement au bord des larmes. Camille sent son cœur s’accélérer. Elle, qui rougit rien qu’à l’idée de porter un décolleté, se sent soudain projetée dans un cauchemar.

Un groupe d’anciens, portant des t-shirts fluorescents marqués « Bizutage Squad », l’intercepte à peine franchie la porte. « Bienvenue, la nouvelle ! » lance un grand barbu avec un sourire carnassier. « Ce soir, tu fais ce qu’on te dit. Et on commence fort : tout le monde à poil ! » Les rires fusent autour d’elle, et Camille, pétrifiée, tente de bafouiller une excuse. « Je… je ne suis pas très à l’aise, je peux peut-être juste… » Mais une fille aux cheveux bleus, une des anciennes, l’interrompt : « Pas de chichi, ma belle. C’est la règle. Si tu veux être des nôtres, tu joues le jeu. »

Camille sent ses joues s’enflammer. À la maison, elle ne se déshabille jamais devant personne, pas même sa propre sœur. Même à la plage, elle garde un paréo bien noué autour de la taille. Mais ici, pas d’échappatoire. Les anciens l’entourent, et elle comprend vite que résister ne fera qu’empirer les choses. Tremblante, elle commence à retirer sa robe à fleurs, un vêtement modeste qu’elle avait choisi pour se sentir en sécurité. Les sifflements et les rires des spectateurs, clients du bar mêlés aux étudiants, résonnent dans ses oreilles comme une tempête. Elle retire son soutien-gorge, puis sa culotte, chaque geste lui coûtant un effort surhumain. Ses mains tremblent, et elle tente de cacher son corps avec ses bras, mais un ancien lui tape sur l’épaule : « Pas de cachette, princesse. On assume ! »

Le pire arrive quand une fille lui ordonne d’enlever ses petites ballerines blanches, son dernier rempart contre l’humiliation. « Pieds nus, c’est la règle ! » Camille proteste faiblement : « Mais… le sol, il est dégueulasse… » Un éclat de rire général lui répond, et un ancien renchérit : « T’inquiète, ça forge le caractère ! » À contrecœur, elle pose ses pieds nus sur le sol poisseux, sentant la crasse et les éclaboussures de bière sous ses orteils. Elle grimace, mais n’a pas le temps de s’appesantir : on la pousse vers le centre de la piste.

Là, sous les regards avides des clients et les éclats de rire des anciens, Camille doit défiler, nue comme au premier jour, ses petits seins exposés et son corps frêle frissonnant dans l’air moite du bar. Les sifflets fusent, certains clients lèvent leur verre en riant, et elle entend des commentaires graveleux sur ses courbes. « Pas mal pour une coincée ! » lance un type au comptoir. Camille, rouge de honte, baisse les yeux, fixant le sol pour éviter les regards. Chaque pas est une torture, la sensation du sol sale sous ses pieds nus amplifiant son malaise.

Mais les anciens ne s’arrêtent pas là. Pour pimenter la soirée, ils imposent un jeu : les nouvelles doivent danser en duo, corps contre corps, sous les acclamations de la foule. Camille se retrouve collée à une autre fille, tout aussi mal à l’aise, leurs corps nus glissant l’un contre l’autre dans une chorégraphie imposée par les cris des anciens. La musique techno fait vibrer le sol, et Camille, au bord des larmes, tente de se concentrer sur les pas pour oublier les regards lubriques qui la transpercent.

 Lien : 

 

Déshabiller au bizutage. 

dimanche 18 mai 2025

Fouille nue d'une détenue pudique et soumise.


Humiliante fouille à nu
Fouille (strip search).

Fouille à nue (strip search) lors du processus d'accueil en prison.

Abou Ghraib, Irak, 2005.

 

 Noor, une Irakienne de 27 ans, était assise à l’arrière d’un Humvee, les mains entravées par des menottes en plastique, le regard baissé. Son hijab noir couvrait ses cheveux, et son abaya, légèrement poussiéreuse, témoignait de sa foi sunnite et de sa pudeur. Murmurant des versets du Coran, elle tentait de calmer son cœur affolé. Accusée à tort de complicité avec des insurgés sur une dénonciation malveillante, elle avait été arrêtée trois jours plus tôt. Aujourd’hui, elle entrait dans un centre de détention sous contrôle américain.

Le véhicule s’arrêta dans un nuage de poussière à l’arrière du complexe. Deux femmes en uniforme militaire attendaient près d’une entrée. La première, une blonde d’une trentaine d’années au chignon strict, portait des galons sur son uniforme. C’était la sergente Mitchell, dont l’autorité froide intimidait Noor. Réservée et timide, Noor évita son regard, mais ne put ignorer la prestance de cette femme, qui la troublait étrangement.

« Noor al-Hassani ? » demanda la sergente Mitchell, consultant une feuille.

Noor hocha la tête, puis murmura : « Oui… Madame. » Sa voix tremblait, et elle rougit, gênée par son propre malaise.

« Nous sommes ici pour vous prendre en charge officiellement. Placez vos mains contre le véhicule. »

Noor obéit, posant ses mains contre la carrosserie brûlante. La seconde gardienne, silencieuse, la fouilla rapidement, inspectant son hijab et ses vêtements. Noor, submergée de honte, garda les yeux rivés au sol. Les menottes en plastique furent remplacées par des menottes métalliques, froides contre ses poignets. Elle murmura une prière, implorant la force.

Les gardiennes l’escortèrent vers un bâtiment entouré de barbelés. Un panneau indiquait « Intake ». La sergente activa sa radio : « Une pour l’admission. » La porte métallique s’ouvrit dans un bourdonnement.

À l’intérieur, l’air était glacial. On la fit asseoir face à un bureau encombré de dossiers. La sergente s’installa et lut : « Noor al-Hassani, 27 ans, cheveux noirs, yeux marrons, poids approximatif : 55 kilos. Est-ce exact ? »

« Oui, Madame », répondit Noor, intimidée par l’assurance de Mitchell. Une étrange fascination pour cette femme autoritaire naissait en elle, mêlée de crainte.

« Bien. Vous allez être conduite au traitement. Vous devrez retirer tous vos vêtements – vous serez toute nue, mais ne vous inquiétez pas, c’est entre femmes. Vous serez fouillée, recevrez votre uniforme, vos photos seront prises, et vous irez en cellule. Comprenez-vous ? »

Noor hocha la tête, mais la sergente la reprit : « Réponse verbale. Appelez-moi Madame. »

« Oui, Madame », murmura Noor, les joues brûlantes. L’idée de se dévêtir la terrifiait, mais la précision « entre femmes » l’apaisa à peine.

Les gardiennes la firent lever et l’escortèrent dans un couloir gris jusqu’à une porte marquée « Processing ». La sergente activa sa radio : « Une pour le traitement. » La porte s’ouvrit, révélant une pièce austère avec une table métallique, une chaise, et un coin pour les photos. Une troisième gardienne, à la table, tenait un bac en plastique. Noor sentit son estomac se nouer.

« Nous allons retirer vos menottes », annonça la sergente. « Tenez-vous droite, mains le long du corps, face à la gardienne à la table. Suivez ses instructions, ou votre désobéissance sera signalée. Comprenez-vous ? »

« Oui, Madame », répondit Noor, la gorge serrée.

Les menottes ôtées, Noor se tint droite, tremblante. La sergente et l’autre gardienne reculèrent près de la porte. La gardienne à la table ouvrit un sac en plastique : « Retirez vos boucles d’oreilles. »

Noor n’en portait pas. « Je n’en ai pas, Madame », dit-elle doucement.

La gardienne nota quelque chose. « Retirez vos chaussures et chaussettes. »

Noor défit ses sandales usées et ses chaussettes blanches, posant ses pieds nus sur le sol glacé. La gardienne inspecta les chaussures, les chaussettes, et ordonna : « Levez chaque pied, montrez-moi la plante. » Noor obéit, humiliée, tandis que la gardienne commentait : « Vous êtes bien sensible, hein ? On dirait que vous n’avez jamais marché pieds nus. »

Noor rougit, baissant les yeux. « Maintenant, retirez votre hijab. »

Noor défit les épingles, pliant le foulard avec soin avant de le tendre. Ses cheveux noirs tombèrent sur ses épaules. « Regardez-moi ça, on dirait une nonne qui se cache », ricana la gardienne, jetant le hijab dans le bac. Noor sentit les larmes monter.

« Votre abaya. »

Noor défit les boutons, laissant l’abaya glisser à ses pieds. Elle la tendit, restant en tunique et pantalon noirs. La pièce était si froide qu’elle frissonna, croisant les bras. « Bras le long du corps », ordonna la gardienne. « Pas la peine de jouer les pudiques ici. »

Noor obéit, rouge de honte. La tunique, puis le pantalon, furent retirés. En sous-vêtements, elle se sentit exposée. La gardienne lança : « Pas très épais, votre corps. On dirait une gamine qui se cache sous tous ces tissus. »

Noor, mortifiée, garda le silence. « Retirez votre soutien-gorge. »

Les larmes coulèrent alors qu’elle dégrafait son soutien-gorge, le tendant tout en couvrant sa poitrine. « Bras le long du corps », répéta la gardienne. « Arrêtez de faire la timide, ça ne sert à rien. » Noor obéit, exposant ses seins. La gardienne ricana : « Pas grand-chose à montrer, hein ? »

« Maintenant, la culotte. »

Noor, sanglotant, fit descendre sa culotte et la tendit, se tenant nue, pieds nus sur le sol froid, les mains le long du corps. « Regardez-moi cette pudeur ridicule », commenta la gardienne. « Vous croyez que votre Dieu vous regarde ici ? »

Noor ferma les yeux, récitant une sourate en silence. La gardienne dressa la liste : « Un hijab noir, une abaya noire, une tunique noire, un pantalon noir, un soutien-gorge blanc, une culotte blanche, une paire de sandales, une paire de chaussettes. Exact ? »

« Oui, Madame », murmura Noor.

« Signez ici. » Noor signa, tremblante. « Maintenant, la fouille corporelle. Éloignez-vous de la table, tenez-vous droite, bras le long du corps. »

Noor obéit, les larmes roulant sur ses joues. La gardienne prit une lampe torche, lui ordonnant de secouer ses cheveux, de tirer ses oreilles, d’ouvrir la bouche, de soulever sa langue. Puis, elle inspecta ses mains, ses aisselles, et ordonna : « Soulevez vos seins. » Noor obéit, humiliée, tandis que la gardienne lançait : « Rien à cacher là-dessous, visiblement. »

« Écartez les jambes. Écartez vos lèvres vaginales. » Noor, sanglotant, obéit, exposant son intimité. « Toujours aussi gênée ? Vous vous y ferez », railla la gardienne, inspectant avec sa lampe. « Tournez-vous, écartez vos fesses, accroupissez-vous, toussez. » Noor s’exécuta, chaque mouvement brisant un peu plus sa dignité. Enfin, elle leva chaque pied pour une nouvelle inspection. « Vos pieds sont trop propres pour une terroriste », ironisa la gardienne.

« Fouille terminée », annonça-t-elle. « Vous pouvez prendre une douche avant l’uniforme. Suivez-moi. »

Noor, toujours nue, fut conduite à une cabine de douche ouverte. L’eau froide la fit frissonner, mais elle se lava rapidement, sous le regard de la gardienne. Revenue dans la pièce, elle attendit, tremblante, pieds nus sur le sol glacé.

La gardienne revint avec une simple combinaison orange. « Voici votre uniforme. Pas de sous-vêtements, pas de voile. Les hijabs sont interdits. Enfilez ça, pieds nus. »

Noor, horrifiée, protesta faiblement : « Madame, s’il vous plaît… mon hijab, c’est ma foi. Je ne peux pas… »

La sergente Mitchell, qui avait observé en silence, s’avança. Sa voix était ferme, mais étrangement douce : « Noor, écoutez-moi. Ici, les règles sont strictes. Pas de hijab, pas de discussion. Vous devez vous conformer. Mais je veillerai sur vous, d’accord ? Faites ce qu’on vous dit, et ça ira. »

Noor, les larmes aux yeux, hocha la tête, vaincue. Elle enfila la combinaison, qui grattait sa peau nue. Sans sous-vêtements, elle se sentait encore plus exposée, et ses pieds nus sur le sol froid renforçaient sa vulnérabilité. Le numéro 47219 était cousu sur la poitrine.

« Mains derrière le dos », ordonna la sergente. Les menottes claquèrent. On la conduisit aux photos d’identification. Noor fixa l’objectif, puis tourna la tête pour les profils, son visage marqué par la honte et la résignation.

« C’est terminé », dit la sergente. « Vers votre cellule. »

 

Lien : 

 

 Strip search. 

 

mardi 22 avril 2025

C'est le bizutage, les filles se déshabillent.

Les étudiantes se mettent nue au bizutage
Mise à poil au bizutage étudiante.

 Mise à poil en école de commerce.

Dans une grande école de commerce privée de banlieue parisienne, le bizutage des premières années était un rituel sadique, une mise à nu impitoyable orchestrée pour briser les nouvelles élèves, âgées de 18 à 20 ans, sous les regards lubriques des aînées, des garçons, de certains professeurs, du personnel administratif et des gardiens. La grande salle de l’amphithéâtre, transformée en théâtre de cruauté, résonnait de rires obscènes et de sifflets, tandis que les nouvelles, alignées comme du bétail, attendaient, tétanisées, l’épreuve qui allait les dépouiller de toute dignité.
 
 
Avant le carnage, les filles portaient l’uniforme obligatoire de l’école : une jupe plissée bleu marine, un chemisier blanc ajusté, une cravate assortie, des chaussettes blanches montant aux mollets, et des mocassins noirs. 
 
Camille, la blonde extravertie, avait déboutonné le haut de son chemisier pour un effet provocant, sa cravate lâche comme un défi. 
 
Léa, toujours dans la séduction, avait retroussé sa jupe pour dévoiler ses cuisses, ses chaussettes légèrement baissées pour un air rebelle. 
 
Amina, fidèle à sa pudeur religieuse, portait son uniforme avec un hijab blanc soigneusement épinglé, ses chaussettes couvrant chaque millimètre de peau. 
 
Sophie, élevée dans une famille catholique rigoriste, avait ajouté un cardigan gris pour masquer les courbes de son corps, ses chaussettes tirées au maximum. Inès et Nour, plus sobres, portaient l’uniforme sans fioritures, leurs visages crispés par l’angoisse.
 
Le silence fut pulvérisé par Clara, la meneuse des aînées, dont la voix tranchante claqua comme un ordre militaire. « À poil ! Tout, pas de sous-vêtements, rien ! Et enlevez vos chaussures et chaussettes. Pieds nus, tout de suite, ou vous allez le regretter ! » L’ordre, chargé d’une menace sexuelle à peine voilée, fit frémir l’assemblée. 
 
La foule – garçons braillards, surveillants au regard vicieux, professeurs complices – explosa en rires graveleux, leurs yeux déjà dévorant les silhouettes alignées.
 
 
Pour certaines, l’épreuve était un jeu à peine dérangeant. Camille, habituée aux plages nudistes et aux vestiaires mixtes, arracha son uniforme avec un rire provocateur, jetant ses mocassins et chaussettes comme des trophées. « Vous voulez un spectacle ? Le voilà ! » lança-t-elle, se tenant nue, les mains sur les hanches, sous les sifflets enthousiastes. Léa, fidèle à son personnage, fit glisser sa jupe et sa culotte avec une lenteur calculée, roulant ses chaussettes en boule et les lançant à un garçon qui hurla de joie. 
 
Pour elles, être nues, pieds nus sur le sol glacé, n’était qu’une occasion de dominer la foule par leur assurance.
 
Mais d’autres vivaient un enfer. Amina, pétrifiée, sentit son monde s’effondrer. Dans sa culture, la nudité était un tabou absolu, et l’idée de se dévoiler devant des hommes, des inconnus, était une profanation. « Je ne peux pas… », murmura-t-elle, ses mains agrippant son hijab. Clara s’approcha, son sourire venimeux dégoulinant de mépris. « Ton Dieu ne te sauvera pas ici. À poil, ou on te rase la tête après t’avoir déshabillée nous-mêmes ! » 
 
Un garçon cria : « Montre-nous tout, princesse ! » déclenchant des rires salaces. Amina, les larmes coulant sur ses joues, tenta de garder ses chaussettes, pensant que ce détail passerait inaperçu. Mais Clara, impitoyable, les arracha d’un geste brutal, exposant ses pieds nus au sol froid et à la foule hilare.
 
 
Sophie, élevée dans la honte du corps, était au bord de l’évanouissement. La nudité totale, sans même la barrière d’une culotte, était un péché mortel à ses yeux. Elle essaya de garder ses chaussettes blanches, marmonnant : « Ce n’est pas grand-chose, juste les chaussettes… » 
 
Mais une aînée, plus cruelle encore, les lui arracha, lui griffant la peau au passage. « T’es pas là pour cacher, t’es là pour montrer ! » aboya-t-elle. Sophie, nue, pieds nus, tenta de se couvrir avec ses mains, mais un surveillant lança : « Écarte les bras, ou on t’attache ! » La foule rugit, et un professeur, un rictus au coin des lèvres, détourna les yeux sans intervenir.
 
 
Inès, elle aussi, tenta de garder ses chaussettes, espérant que l’agitation masquerait son geste.
 
 Mais Clara, comme un prédateur, la repéra. « Toi, la discrète, t’as cru qu’on était aveugles ? À poil, et vite ! » 
 
Inès, humiliée, obéit, ses pieds nus tremblant sur le sol poussiéreux. Pourtant, elle se rapprocha d’Amina et murmura : « On est plus fortes qu’eux. Tiens bon. » 
 
Nour, à quelques pas, forma un rempart avec deux autres filles pour protéger Sophie, dont les sanglots étaient noyés par les cris de la foule. « On ne les laissera pas nous détruire », chuchota Nour, sa voix tremblante mais déterminée.
 
 
Les épreuves furent un crescendo de sadisme : défilés nus sous les flashes des téléphones, danses forcées où chaque mouvement exposait davantage leurs corps, poses obscènes imposées par les aînées. 
 
Être pieds nus amplifiait l’humiliation, le sol froid et sale rappelant leur vulnérabilité à chaque pas. Camille et Léa, jouant le jeu, dansaient avec une provocation assumée, leurs pieds nus frappant le sol comme un défi. Sophie, elle, avançait en titubant, ses pieds rougis par le froid, son corps secoué de sanglots. 
 

Les aînées, ivres de pouvoir, se repaissaient de l’humiliation qu’elles infligeaient. Les garçons, encouragés par l’absence de sanctions, hurlaient des commentaires sexuels, certains allant jusqu’à mimer des gestes obscènes. Les professeurs présents, censés incarner la morale, se contentaient de regards fuyants ou de sourires complices.


 

dimanche 1 décembre 2024

Interrogatoire renforcée d'une jeune femme pudique

Nudité forcée et interrogatoire renforcé.
Utiliser les craintes des détenues pour les faire parler.

J'ai commencer ma carrière  d'agent du renseignement militaire avec le colonel Mc Kenzie, un vétéran expérimenté de la contre insurrection et de la lutte contre le terrorisme. Nous étions en poste sur le terrain pendant la guerre en Irak et nous avions comme consignes de collecter le plus d'informations possibles et de qualité sur la localisation  et les habitudes des chefs rebelles liés à la résistance irakienne.


Nous travaillions sur le terrain en collaboration avec les forces armée régulière et la CIA. En fin de journée d'une chaude journée de printemps, dans un quartier  Bagdad pourtant censé être sécurisé, nos troupes avaient subies 2 attaques et des tirs de mortiers étaient partis de la zone pour atteindre la zone verte. En réaction l'armée a effectué plusieurs raid sur le quartier et arrêté une vingtaine de personnes susceptible d'être complice ou témoin.

Parmi ces gens nous avions capturé Safia, une jeune femme d'environ 25 ans, habitante du quartier et étudiante en doctorat de physique à l'université de science. Elle portait comme toute bonne musulmane un joli hijab noir (foulard  porté par les musulmanes pratiquantes) en tissu brodé, une tunique beige qui descend jusque aux genoux , un jean et des baskets. Elle parlait un anglais parfait et avait voyagé plusieurs fois en Europe et en Amérique. C'est une fille de famille de classe moyenne ayant réussi.

Après le raid les prisonniers ont été conduit dans la petite base ou nous opérons pour faire du renseignement. Safia était la seule femme du lot.

La protocole dans ces circonstances obligent les soldats à effectuer des fouilles et de déshabiller les prisonniers, les suspects sont mis à poil, ils doivent même retirer leurs slip et leurs chaussettes.

Concernant Safia, son cas et remonté aux oreilles du colonel Mc Kenzie, car il est rare que des femmes soient arrêtées et transférées ici et donc son cas méritait réflexion concernant l'attitude à avoir.

Le militaire expérimenté a décider qu'elle devait être traitée comme les hommes, selon la procédure en vigueur dans l'armée. Les soldats ont confisqués les vêtements et les chaussures de la prisonnières, le colonel a même fait rappeler à ses gars que la détenue devait enlever ses chaussettes, car nous sommes dans un pays chaud, le sol n'est pas froid donc elle doit aussi être pieds nus.

Après avoir donner ses consignes, nous avons attendus une dizaine de minutes que les soldats préparent Safia, c'est à dire la déshabiller et la fouille.

La détenue est conduite dans la salle d'interrogatoire en pleurant et rouge de honte, elle est totalement à poil devant des hommes !

La jeune fille est placée sur une estrade avec de la lumière devant les interrogateurs.

Elle croise les jambes et tente de cacher ses seins avec ses long cheveux.

Le colonel prend la parole sur un ton strict :

- Tu es bien Safia G ?

- Oui répond la jeune femme en tremblant et tentant de dissimuler son corps.

- Quel âge as tu ?

- J'ai 25 ans.

- Es tu bien de nationalité irakienne et née à Kirkouk ?

- Oui vos informations sont justes.

- Quelle est cette posture, c'est interdit de croiser les cuisses, et tu dois mettre tes mains dans le dos et empêcher tes cheveux de cacher ta poitrine. Lui dit sur un ton moqueur le colonel.

- Mais je suis toute nue répondit Safia paniquée

- Et alors ! sur des intonations tout de suite plus agressives, écarte les cuisses et mains dans le dos ou je te fouette !

Safia n'a pas le choix elle est déjà terrifiée.

- Alors ça fait quoi de montrer ta chatte rasée et tes mini seins à des américains ? avec un sourire narquois et pervers  , Des seins tout petit en riant.

- Hahahahhaaa hiihiiiiiii s'exclame l’interrogateur en pointant la poitrine de la détenue.

Safia rougit encore plus et se retient de pleurer.

- REPOND A LA QUESTION SALOPE ! 

- C'est honteux monsieur répond Safia avec une petite voix.

- Tu es pourtant selon mon dossier une femme pieuse et respectable, bonne musulmane, voilée, et là tu t'expose avec ta chatte humide et rasée devant des soldats américains, qu'est ce que ta famille va penser ?

- Ils vont me tuer, me renier ... répond Safia.

- Nous interdisons aux femmes prisonnières de porter des vêtements et des chaussures, et bien sur les pieds nus aussi. Dit Mc Kenzie en ayant la culotte culotte et les chaussettes de la jeune fille dans les mains. Tout le monde vas te voir à poil.

- Oui dit Safia en pleurant, s'il vous plaît arrêtez

- C'est qui qui est toute nue et pieds nus et interrogée ici ?

- C'est moi monsieur.

- Qui est quoi !?

Je suis toute nue et pieds nus monsieur, vous m'avez fait horriblement fouillée avant d'entrer dans ce bureau et j'ai aussi interdite de garder mes chaussettes ... 

Mc Kenzie sort son appareil photo et prend quelques clichés de la prisonnière nue.

- Je vais envoyer ça à ta famille et mettre ça sur internet pétasse.

- Non non non non ! arrêtez s'il vous plait ! s'exclame la fille en détresse.

- Tu mouille salope, tu voudrais qu'un régiment te baise ? en quelque claquement de doigt je peux appeler des soldats qui feront un gang bang et te prendront par la chatte et le cul ... sauf si tu coopère...

- Pitié pitié non, Safia a peur.

- Oui alors tu ferais mieux de parler. Qui sont les rebelles dans ton quartier ?


 La jeune femme à dénoncer la plupart de ses voisins et collègues de travail, elle ne sait manifestement rien mais elle a cracher tout ce qu'elle pouvait. Les soldats l'ont libérer quelques heures après.

Lien :

Méthode musclé.


vendredi 29 novembre 2024

Deux filles pudiques lors du bizutage

 

Nue soirée intégration étudiante.
Deux filles pudiques défilent nue bizutage.

 Soirée d'intégration des nouvelles.

Les soirées dans les bars dans les villes universitaires en début d'années scolaires réservent souvent des spectacles et surprise agréable grâce à cette super tradition du bizutage, pour les patrons de bars et boite de nuit c'est une période importante, qui attire beaucoup de clients : Des étudiants bien sur mais aussi des curieux , dont beaucoup d'homme qui aiment assister aux différents spectacles.

Ces rituels du bizutage sont admis et soutenus par les directions des grandes écoles et par les autorités locales.

Les nouvelles filles sont très encadrés par les anciens durant ces moments. Je me souviens de deux filles , Annabelle et Farida, deux filles pas très à l'aise dans l'ambiance festive et déjantée. Encadrées par plusieurs anciens, les deux étudiantes en IUT de technique de commercialisation sont contrainte de se déshabiller, et complétement, une dizaine d'autres filles sont complétement à poil, certaines l'acceptent avec le sourire, d'autre résignées se soumettent et certaines crient et pleurent mais les anciens sont intraitables sur cette question, les filles sans exception doivent obéir à l'ordre de se mettre à poil.

Nos deux jeunes filles sont très pudiques, mais il leur faut tout enlever la pudibonderie n'est pas tolérée, les culottes doivent être enlevées, et même les chaussettes !

Les filles rouges de honte tentent de cacher leurs seins et leurs fesses, et les anciens décident de les faire parader à poil et pieds nus pour les décoincées car de toute façon elles doivent passer la soirée à poil.

Elles ne doivent pas cacher leurs seins, car il faut les montrer à tout le monde.

Lien : 

Groupe de bizutes.

 

mardi 26 novembre 2024

Une femme pudique parade et est humiliée nue en prison.

Sport et exercice phyique nue.
Exercice physique nue en prison.

 Dalila, 28 ans est arrivée dans la prison militaire américaine d'Abou Ghraib en Irak, elle y a passé quelques mois pour soupçons de soutient à la résistance et liens avec l'ancien régime. En arrivant, les gardiens américains l'ont obliger à se mettre toute nue et pieds nus avec les autres femmes irakiennes arrêtées en même temps qu'elle.

Les détenues irakiennes de confession musulmanes comme Dalila qui portent le voile (hijab) et se couvrent de la tête aux pieds sont soumises à un processus très dégradant : Les gardes lui indique avec ses compagnonnes d'infortune "C'est le moment de la fouille, Il faut tout enlever" "Vous devez être entièrement nues", les femmes si elles ne coopèrent pas sont de toute façon déshabiller de force, fouettée et placer en isolement.

"Votre religion vous apprend à être pudique et à cacher vos corps, et bien ici on va vous apprendre à vivre nue, la nudité est essentielle , oubliez toute pudeur, ici pas de voile, pas de culotte, pas de soutien gorge, ni de chaussures ou de chaussettes, vous devez rester nues et pieds nus en permanence, abandonnez toute pudeur".

Les fouilles des cavités sont "pratiquées très régulièrement , on vérifie dans vos anus, vagins, sous vos seines, entres vos orteils, nombril, bouche, oreilles si vous ne cacher rien de dangereux".

Les femmes musulmanes étant pudiques, elles sont forcées de s'exhiber nue, en particulier de faire des exercices physiques et sportifs parfois jusque à l'épuisement , Dalila doit courir et monter et descendre les escaliers nues.

Lien :

Nudité forcée.


samedi 16 novembre 2024

Bizutage traditionnel dans une ville universitaire

Nudité totale pendant le bizutage
Le "Bal des culs nus" pendant la journée d'intégration.


 J'admire la très bonne organisation des bizutages dans cette ville étudiante du sud de la France, chaque année les journées d'intégration (bizutage) se déroule sur le campus et dans le centre de la petite cité.

Il faut féliciter les BDE (Bureau des anciens), c'est à dire les bizuteurs, et la coopération du président de l'université, des professeurs et de tous les personnels impliqués dans la réussite de ces évènements.

Le sens du devoir, l'amour et le respect des tradition qui anime les anciens de cette institution.

C'est toujours incroyable de voir des dizaines de nouveaux et de nouvelles se faire bizuter, de voir ces jeunes et moins jeunes regrouper ensemble et totalement à poil pour des épreuves souvent spectaculaire et festives.

Ici, l'un des événements les plus connues est appelé "Le bal des culs nus", ou les nouveaux sont regrouper en plein centre ville sous les regardes des anciens mais aussi des habitants pour une parade et des danses ayant pour but de divertir.

Ce spectacle attire même des touristes. Nous comprenons donc pourquoi le bizutage perdure et ne sera jamais réellement interdit. Il fait parti du patrimoine culturel.

Les nouveaux et les nouvelles sont obligés de se déshabiller complétement, c'est un moment difficile pour les personnes pudiques, mais c'est obligatoire, les anciens sont organisés de façon quasi militaire, avec la pression et l'effet de groupe, les étudiants enlèvent leurs vêtements, il y a bien sur quelques un qui tentent de résister (les pudiques, les religieuses comme les musulmanes voilées, les bourgeoises catholiques coincées, certaines juives à l'éducation strict.) mais elles sont vite maitrisées et déshabiller de force et sans ménagement.

Les étudiants et étudiantes nus et pieds nus sont tous exhibées de la même manière sans distinction.

Ils doivent faire le tours du campus et parader à poil dans les couloirs de l'université et dans le centre ville pour se rendre "au bal".

Sur la place du centre ville, les bizutes dansent et prennent des positions parfois obscènes.

Lien :

Bizutage au gymnase.




vendredi 15 novembre 2024

Le cas d'une jeune prisonnière pudique.

 

Obligée d'être nue en prison.
Femme prisonnière fessée nue car pudique.

Mise à poil sans ménagement en prison.

Abou Ghraib en avril 2004.

Sa famille et ses amis avertirent plusieurs fois Maya, 22 ans,  qu'elle devait faire attention à ce qu'elle dit et ce qu'elle fait. Cette jeune fille musulmane irakienne refuse de voir son pays occupé par les troupes américaines et a émis des critiques un peu trop prononcées au yeux des autorités d'occupation.

C'est une fille assez timide et réservée, elle est célibataire et n'a pas de petit ami. Elle porte le voile et de longues robes arabes traditionnelles depuis l'âge de 16 ans. Elle une musulmane assez pratiquante, cette jeune fille ne s'est jamais mise de maillot de bain à la plage ou à la piscine par respect de sa religion et des valeurs de pudeur et de modestie que sa famille lui à transmise et enseigner depuis son enfance.

Mais elle n'a pas sa langue dans sa poche, même si c'est une personne assez introvertie, quand elle n'accepte pas quelque chose, elle le dit et le manifeste et est capable de s'énerver. Bien que l'incident soit assez minime, il lui a valut de passer plusieurs semaines en détention, sous le statut de "combattante ennemie" et "détenue de haute valeur" pour avoir dénoncer le fait que certaines étudiantes se prostituaient avec des soldats américains. L'une de ces dernière l'a dénoncer à ses "clients" pour se venger.

La jeune fille ne s'attendait pas à se faire arrêter pour ça, et encore moins se retrouver dans la tristement célèbre prison d'Abou Ghraib.

En arrivant dans la prison, dans l'aile féminine du site, il faut savoir que la fouille est un élément clé du processus, la jeune détenue a découvert stupéfaite et terrifiée qu'en prison son hijab est interdit, ainsi que les robes traditionnelles arabe.

Mais pas seulement, d'abord pour l'inspection, c'est toute nue, totalement à poil qu'il faut être, il faut aussi enlever les chaussures, la jupe, le T Shirt, la montre, les bijoux, et bien sur aussi la culotte, le soutien gorge et même les chaussettes !

Les gardiens n'ont aucun respect pour les coutumes et la religion des captives, et ne tolèrent pas la pudeur et la modestie, c'est nue et pieds nus en permanence.

Maya a beau pleurer, protester et supplier, les gardes s'en amusent.

Manifester de la pudeur est interdit, Lorsque Maya tente de dissimuler ses seins ou son sexe, elle est fessée et menacée d'aller au cachot pour ça.

Lien :

Pas de pudeur en prison.