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dimanche 23 juillet 2023

Des gardiens humilient une femme en prison.

Une femme mise à poil et dressée par les gardiens de prison.
Une femme est constamment humiliée et dégradée en prison.

Une femme se fait humilier et déshabiller par les gardiens.


 

Dans la prison irakienne d'Abou Ghraib sous le contrôle de l'armée américaine en 2004, les gardiens ont reçu carte blanche de la part de leurs supérieurs pour humilier et maltraiter les détenus dans le but de des rendre coopératifs et de les ramollir pour les interrogatoires. Et pour cela presque tout les moyens sont bons. Beaucoup d'images, de témoignages et de vidéos circulent sur les prisonniers hommes, mais les femmes détenues ne sont pas épargnées par les outrages.


Sara,  avant de se retrouver à poil à écarter les fesses sous les rires des américains n'a jamais imaginer que les américains pratiquaient la torture ni prêter attention aux rumeurs de mauvais traitements. Elle, qui a 27 ans et qui est de formation ingénieur en génie électronique, issue d'une famille conservatrice et bourgeoise, avec un père médecin et d'une mère professeur,  pas forcément hostile aux Etats Unis, s'est faite arrêtée sur de vague soupçons de liens avec l'ancien régime et ensuite incarcérée dans la sinistre prison.


Elle est  une fervente croyante musulmane, très religieuse, porte un grand voile et une robe traditionnel qui lui couvre le corps de la tête aux pieds. Les gardiens sur recommandation des responsables de la CIA et du renseignement militaire ont pour consigne d'utiliser la nudité pour humilier et avilir les prisonniers en utilisant  toutes les craintes, phobies et tabous culturels et religieux. 


Les gardes lui ont pris sa montre, ses bijoux, ses boucles d'oreilles et tous ses effets personnelles puis l'ont forcer à se mettre toute nue devant tout le monde. La jeune femme est très pudique, les gardiens le savent et l'utilise pour mieux l'humilier.


Dans les couloirs de la prison, elle est forcée de  rester debout les mains sur la tête et de s'exposer et de tout montrer, ses fesses sont à l'air visible par tous, sans culotte pour cacher sa chatte et son anus.


Comme pour les autres détenues, cette exhibition forcée et publique est un choc, les américains lui interdise toute intimité toute dignité, ici aucun respect pour ses convictions religieuses et sa pudeur, c'est à poil qu'il faut être !


Liens :


Humiliations sexuelles et tortures nues.


dimanche 1 mai 2022

Une femme interrogée nue sans pudeur.

 

Nudité forcée pour les femmes durant les interrogatoires.
Prisonnière attachée nue pendant l'interrogatoire.

La nudité forcée lors des interrogatoires.


L'une des choses pour laquelle les femmes ayant été incarcérée et détenue par l'armée américaine durant la seconde guerre d'Irak (2003/2011) garde le plus d'amertume sont les obligations de se déshabiller et les humiliations.


Lorsque les forces armées américaine arrêtent des femmes irakiennes, en général pour des raisons de soupçons de liens avec l'ancien régime, de soutient à la résistance ou encore de liens familiaux important avec des personnes recherchées. Si les femmes  prisonnières sont relativement exemptées d'agression physique, de passage à tabac, de torture hard etc. Elles n'en demeurent pas moins soumises à des mesures de sécurité très stricte, d'isolement (confinement solitaire), d'humiliation, de mesures vexatoires et de pression psychologique très forte.


C'est comme le cas rapporte d'Houda, une jeune femme détenue plusieurs semaines en 2004 pour avoir  été soupçonnée d'organiser des manifestations contre la présence américaine.


Les personnes emprisonnées avec Houda sont majoritairement des hommes et deux trois femmes, elles ont été amenées dans un centre de détention militaire spéciale près de Baghdad. Sur place Houda et les quelque femmes ont étés contraintes de retirer leurs vêtements devant une gardienne blonde américaine accompagnés de 3 soldats hommes et femmes dans une pièce ou la porte reste grande ouverte et avec une fenêtre qui rend les déshabillage visible par les gens qui passent de l'extérieur.


Les américains obligent les prisonnières à retirer leurs hijab (voile), et tout le reste ; vêtements, sous vêtements, bijoux, chaussettes, chaussures pour une fouille public visibles par les soldats hommes et même par les prisonniers qui peuvent tout entendre et voir.


Les militaires se moquent et rient de voir les prisonnières nues devoir prendre des poses gênantes et humiliantes pour l'inspection qui est très complète : bouches, oreilles, aisselles, nombril, entre les fesses, doigts de pieds etc. Et bien sur inspection anale et vaginale avec l'obligation de pencher pendant que la gardienne regarde le fond de leurs trou du cul avec une lampe torche. Certains prennent des photos des femmes nues.


Ensuite Houda n'a pas eu la possibilité de remettre le moindre vêtements car elle a du attendre d'être interrogée entièrement nue par un agent du renseignement et de la police militaire et subir des remarques avilissantes.

Dans la prison d'Abou Ghraib les détenus interrogés le sont et toujours complètement nus. Houda garde un très mauvais souvenir car après la fouille elle a attendu plusieurs heures à poil et pieds nus et a été exhibée devant ses camarades d'études et des gens de sont quartier.

Ce processus est validé par les autorités militaires américaines qui le trouve très simple efficace et facile à mettre en place. Houda et ses compagnes d'infortune restent très choquées par cette expérience 


Liens : 




vendredi 21 janvier 2022

Prisonnière nue avec un sac sur la tête

 

Femme nue attachée et exhibée un sac sur la tête.
Nue avec un sac sur a tête, la prisonnière humiliée et exhibée.


Sévices et humiliation en prison.


En 2003/2004, en Irak, pendant l'occupation américaine du pays les forces armées américaines dans la prison militaire d'Abou Ghraib près de Baghdad les surveillants sont très cruels et sadiques et imposent toutes sortes d'humiliations et de traitements dégradants aux prisonniers.


Leila, 24 ans la fille d'un haut responsable de l'ancien régime a été humiliée pendant sa détention. Pour faire pression sur son père, les surveillants l'exposent complètement nue avec un sac sur la tête attachée à un mur dans les couloirs de la prison du matin jusque  au soir sans lui donner la possibilité de couvrir ses partis intimes. La prisonnière  est exhibée nue devant le staff pénitentiaire et les autres prisonniers avec la possibilité de croiser des membres de sa famille.


La détenue connue sous le numéro d'identification 325672 lors de son arrivé a subie la procédure d'admission US, qui est très traumatisant car ça implique de se déshabiller complètement devant une assemblée de gardiens et de se défaire de ses effets personnels.


Se retrouver nue, devoir écarter les fesses pour montrer son anus qui est inspecté au lampe torche, écarter les lèvres vaginales , lever ses seins, remuer les orteils,  défaire ses cheveux, et se promener sans vêtements  devant une bande de soldat curieux et hilare est choquant pour une femme arabe de culture conservatrice et pudique.  


Les responsables américains reconnaissent utiliser les fouilles a nus (strip search) de façon systématique sans prendre en considération la culture , le sexe et la religion lors de l'arrivé des prisonniers dans la partie dure de la prison, les gardiens lorsqu'une femme arrive aiment la regarder se mettre nue sous la contrainte et la menace et profiter de sa vulnérabilité .


Pamela, une femme soldat  gradée et responsables des femmes  de la section aiment obliger des femmes très pudiques culturellement a faire des strip tease devant un public comportant des hommes, si les femmes américaines en général n'aime pas la prison car il y a des fouilles à poil avec des , des douches publiques, l'imposition d'uniforme orange etc. Alors  elle se dit de faire  le maximum pour punir et dégrader les prisonnières irakiennes. Les obliger à rester nues est un moyen très simple et efficace de les ramollir et de faire pression sur les hommes de leurs familles.


Cela permet aussi de montrer qui sont les maitres et de contrôler, Leila par exemple a pleurer et supplier les américains de ne pas la dépouiller et de lui permettre de rester couverte mais elle a due tout enlever sous pression. C'est extrêmement humiliant d'enlever ses vêtements surtout pour une respectables personnes bien éduquées. Comma les autres femmes incarcérées Leila est arrivée voilée et vêtue d'une abaya et les soldats l'ont mise à poil et a du ouvrir son anus et sa chatte en public et passe son temps nue et exposée comme de la viande sur un étal !


Liens : 


Prison de haute sécurité.