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jeudi 11 septembre 2025

Une prisonnière parade nue dans les couloirs de la prison.

Nue en public en prison.
Femme parade nue dans les couloir de la prison.

 Défilé nue et humiliant en prison.

 

Le soleil de midi cognait sur la cour d'Abu Ghraib, transformant le sol poussiéreux en une plaque brûlante. Amina, trente-deux ans, se tenait debout, nue, les pieds nus écorchés par le béton rugueux. C'était son premier jour dans la prison, quelques heures à peine après son arrestation à Bagdad pour "suspicion de soutien à des insurgés". Son cousin, un vague rebelle, avait été vu chez elle ; cela suffisait pour faire d'elle une "détenue de haute valeur". Pas de procès, pas de sentence, juste un vide administratif et une humiliation méthodique.

La "fouille initiale" venait de se terminer. Dans une pièce aux murs métalliques, deux gardiens – un homme, le sergent Mike, et une femme, la caporale Sarah – l’avaient forcée à retirer son hijab, sa abaya, ses sous-vêtements, et même ses vieilles sandales. "C’est la procédure", avait répété Sarah, son ton aussi froid qu’un formulaire. Amina avait supplié, les joues trempées de larmes : "Je suis musulmane, c’est haram, laissez-moi mon voile !" Mike avait ricané, tenant le tissu noir entre ses doigts comme un trophée. "Ici, c’est nous qui décidons ce qui est sacré, ma belle." Sarah avait ajouté, légaliste : "Article 3, section 2 : tous les vêtements sont confisqués pour raisons de sécurité. Coopère, ou on prolonge la fouille." Amina, tremblante, avait cédé, sentant son identité s’effilocher avec chaque vêtement retiré.

Maintenant, ils l’emmenaient vers sa cellule, à travers ce qu’ils appelaient la "parade d’entrée" – un rituel cruel pour briser les nouvelles détenues. Amina était seule, pas de chaîne de prisonnières comme dans d’autres prisons, mais l’isolement rendait l’expérience encore plus pesante. Ses bras pendaient le long de son corps, ses coudes crispés par la honte, tandis qu’elle avançait, pieds nus, sur le sol inégal. Chaque pas était une épreuve : les cailloux s’enfonçaient dans ses plantes de pieds, et la poussière collait à sa peau moite. Elle baissait la tête, ses cheveux noirs tombant sur son visage, un maigre rempart contre la nudité imposée.

Mike marchait devant, son treillis impeccable contrastant avec la vulnérabilité d’Amina. Sarah suivait, un carnet à la main, notant chaque détail comme une bureaucrate zélée. "Allez, bouge, Amina !" lança Mike, son ton oscillant entre l’ordre militaire et une moquerie presque joviale. "T’es pas au marché de Bagdad, ici, pas besoin de traîner !" Il se tourna à moitié, un sourire en coin. "Regarde, t’es libre comme Ève au paradis, non ?" La référence biblique, jetée comme une plaisanterie, poignarda Amina. Elle murmura une prière silencieuse, espérant qu’Allah lui pardonne cette indignité.

Le couloir métallique s’ouvrait sur une série de portes rouillées. D’autres soldats, postés à des checkpoints, la regardaient passer. Certains détournaient les yeux, gênés ; d’autres, plus jeunes, ricanaient ou murmuraient entre eux. Une voix lança : "Hé, c’est quoi ce tatouage sur son épaule ? Un code secret pour Saddam ?" Amina n’avait pas de tatouage, mais la remarque, absurde, visait à la ridiculiser. Sarah, toujours dans son rôle de gardienne "professionnelle", répondit : "Pas de tatouage, juste une vérification à faire. Notez ça pour le rapport." Tout était codifié, légaliste, comme si l’humiliation était une simple case à cocher.

Le pire était le contraste. Amina, qui n’avait jamais montré plus que ses mains et son visage en public, se sentait comme un animal exposé. Son voile, symbole de sa foi et de sa dignité, gisait quelque part dans un sac plastique étiqueté "Propriété de la détenue 472". Ses pieds nus, autrefois protégés par des chaussures modestes, étaient maintenant noirs de crasse, chaque pas un rappel de sa chute. Elle tenta de se redresser, de marcher avec une once de fierté, mais Mike s’en aperçut. "Oh, on fait la princesse maintenant ? Baisse les yeux, c’est mieux pour tout le monde." Son ton était dur, mais il ne la toucha pas – la violence ici était dans les mots, les regards, la nudité imposée.

Ils passèrent devant une salle où d’autres détenus, hommes, hurlaient derrière des barreaux. L’un d’eux cria quelque chose en arabe, un mélange de pitié et d’insulte. Amina rougit, ses joues brûlant sous la honte. Sarah s’arrêta pour noter : "Interaction non autorisée avec le bloc masculin. À signaler." Amina voulait disparaître, mais il n’y avait nulle part où se cacher. Elle plaça un pied devant l’autre, mécaniquement, comme un automate.

Enfin, ils atteignirent sa cellule : un cube de béton gris, avec un lit métallique et un seau. Mike ouvrit la porte avec un claquement théâtral. "Bienvenue chez toi, Amina ! Pas de tapis de prière, mais tu peux toujours parler à ton dieu comme ça, non ?" Il éclata de rire, et Sarah, pour une fois, sembla mal à l’aise. "Laisse-la, Mike. Elle est enregistrée. On a fini." Elle se tourna vers Amina, presque compatissante : "Tu restes ici jusqu’à nouvel ordre. Coopère, et ça ira mieux." Mais ses yeux disaient le contraire.

Amina entra, ses pieds nus frôlant le sol glacé de la cellule. La porte se referma avec un clang métallique. Seule, elle s’effondra sur le lit, les larmes coulant en silence. Elle murmura une sourate, les mains couvrant son visage, tentant de retrouver un fragment de sa pudeur.

 

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Défilé humiliant et nue en prison. 

 

 

 

 

 

mercredi 10 septembre 2025

Une détenue en confinement solitaire.

La prison ou les femmes sont gardées nues.
Toute nue et sans pudeur lors de l'interrogatoire.

Une respectable prisonnière découvre la nudité forcée.

Sabrina a été profondément traumatisée par son séjour de trois mois en confinement solitaire dans la prison d'Abou Ghraib. Ce lieu infernal, où les forces américaines imposaient une domination absolue sur les détenues irakiennes, l'avait brisée psychologiquement, la forçant à une soumission totale à travers des rituels d'humiliation constants.

Comme pour les autres femmes irakiennes détenues par les forces américaines en isolement dans le quartier spécial du complexe pénitentiaire, les fouilles qui se déroulent totalement nues sont très fréquentes. Avant et après chaque sortie, chaque visite, les gardes estiment que les femmes doivent être vraiment punies. Ils savourent ces inspections dégradantes, forçant les détenues à ouvrir leurs chattes et leurs anus devant les gardes hommes, sous des regards lubriques et moqueurs. "Écarte plus grand, salope, qu'on voie si tu caches quelque chose dans tes trous", ricanaient-ils souvent, transformant chaque fouille intime en un spectacle d'humiliation pure. Sabrina sentait son esprit se fissurer à chaque fois, son corps exposé comme un objet, sa dignité respectable piétinée sous le poids de cette dégradation féminine impitoyable.

Comme les autres, Sabrina doit quitter ses vêtements dès son arrivée : abaya, hijab, robe, sous-vêtements, chaussures, chaussettes et tous ses effets personnels ont été confisqués sans pitié. Pour montrer leur pouvoir et leur domination totale, les détenues musulmanes sont contraintes à une nudité forcée permanente devant les gardiens. Pas de voile pour cacher leur honte, pas de tissu pour préserver leur modestie – juste une vulnérabilité crue, exposée à chaque instant. Sabrina, autrefois une femme fière et respectable, se sentait régresser à un état de soumission animale, son corps nu tremblant sous les regards insistants, son esprit hurlant en silence contre cette perte de contrôle absolue.

Comme les autres, elle fait moins la fière à devoir répondre aux questions des militaires en étant à poil et exposée. Les interrogateurs, avec un sadisme calculé, l'obligent d'abord à se présenter devant eux toute nue, les mains sur la tête, les jambes écartées. "Répète après moi : je suis une prisonnière nue, soumise et dégradée", ordonnaient-ils, forçant Sabrina à articuler ces mots humiliants d'une voix brisée, tandis que des rires étouffés résonnaient dans la pièce froide. Chaque interrogation devenait une séance de soumission psychologique, où ses réponses haletantes étaient entrecoupées de larmes de honte, son intimité offerte comme un trophée de guerre. La nudité forcée n'était pas seulement physique ; elle rongeait son âme, la transformant en une ombre de femme, éternellement marquée par cette humiliation en prison.

Au fil des jours, Sabrina apprenait à anticiper les ordres, à baisser les yeux devant les gardes, à accepter sa dégradation comme une seconde peau. Mais le traumatisme persistait, un feu intérieur qui consumait sa résistance, la laissant à jamais prisonnière de ces souvenirs de domination militaire et de nudité imposée.

 

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Confinement Solitaire BDSM. 

samedi 17 mai 2025

Prisonnière pudique sanctionnée.

Pas de pudeur en prison lors des fouilles
Fouettée et sanctionnée par les gardiens de prison.

 Fouettée et fessée en prison.

Par une journée étouffante de 2004, Amira 42 ans, arriva à la prison d'Abou Ghraib, le cœur lourd de honte et de peur. Détenue pour de vagues accusations de « risques pour la sécurité » à la suite d’une dénonciation mensongère d’un voisin, elle se tenait dans une pièce en béton sans fenêtre, entourée de cinq autres Irakiennes, toutes dans la vingtaine. Certaines arrêtées lors de rafles, d’autres trahies par des liens familiaux ou par pur hasard, elles partageaient la même indignité. Amira, élevée dans la pudeur et la préservation de sa dignité, tremblait à l’idée de se dévêtir.

Leurs vêtements civils, hijabs et effets personnels remplissaient une caisse qu’une soldate américaine avait déjà emportée. L’ordre aboyé résonnait dans l’esprit d’Amira : « Déshabillez-vous ! Tout, maintenant ! Pas de pudeur ici, détenues ! » Les gardiens – hommes et femmes soldats savourant leur autorité – lançaient des ordres d’une voix méprisante, indifférents aux sensibilités culturelles des femmes. Amira, paralysée par la honte, hésita, ses mains tremblantes agrippant son hijab. « Plus vite ! » cria une gardienne. Son retard, bien qu’involontaire, fut perçu comme une désobéissance.

La fouille à nu obligatoire et l’inspection des cavités corporelles, effectuées devant le groupe, constituaient la première étape pour briser les nouvelles détenues. La politique des soldats semblait conçue pour maximiser l’humiliation. Alors que des mains gantées exploraient son corps, y compris une inspection anale invasive, Amira sentit ses joues s’enflammer de honte. Les jeunes femmes pleuraient en silence, les yeux rivés au sol. Un soldat ricana : « Si tu n’aimes pas ça, tu n’avais qu’à obéir plus vite, terroriste ! »

Pour son hésitation à se déshabiller, Amira fut immédiatement punie. « Tu veux traîner ? » lança une gardienne. Au lieu de passer à l’étape suivante, elle fut forcée de poser nue pour ses photos d’admission, le flash de l’appareil gravant son humiliation. Puis, les gardiens la traînèrent dans une petite pièce à l’écart, où deux soldates lui administrèrent cinq coups de lanière en cuir sur le dos, chaque coup un rappel cinglant de son impuissance. La douleur était vive, mais c’était l’exposition – son corps dénudé devant des étrangères – qui la blessait le plus profondément.

La fouille fut suivie d’une pulvérisation de désinfectant et d’une douche froide en groupe, les femmes exposées sous les regards des soldats. Puis vint le rasage obligatoire du pubis, effectué avec des rasoirs émoussés par une soldate indifférente, ajoutant une nouvelle couche d’humiliation. Amira, comme les autres, sentit son intimité violée davantage, son corps exposé sans égard pour sa dignité. La perte de son hijab, qui couvrait ses cheveux, lui donna l’impression qu’on lui volait son identité. Elle serra ses bras contre sa poitrine, désespérée de se protéger.

Après la punition, Amira fut envoyée directement dans une cellule d’isolement pour une nuit – toujours sans vêtements – pour « apprendre à obéir rapidement »

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Traitement et procédures d'incarcération.

mardi 13 mai 2025

Les femmes humiliées lors des fouilles.

Strip search, humiliation collective.
Fouille collective nue très humiliante en prison.


 Femmes humiliées lors d'une rafle de l'armée.

 

Prison dAbou Ghraib en 2004.

 

 La nuit vibrait encore de l’attaque au mortier dans Al-Mansour. Les blindés américains avaient envahi le quartier, et les rafles avaient rempli un camion de quinze femmes, âgées de 19 à 35 ans, arrachées à leurs foyers sans accusation. Amina, 24 ans, institutrice, tremblait à côté de Layla, 19 ans, étudiante pieuse, de Fatima, 32 ans, mère de famille, et de Noor, 28 ans, vendeuse au tempérament rebelle. Sunnites, chiites, chrétiennes, kurdes – leur diversité importait peu. Elles étaient des corps à soumettre, des esprits à briser, dans une détention administrative sans procès.

Le convoi s’arrêta à Abou Ghraib, la prison de l’horreur. Sous des projecteurs aveuglants, les femmes furent poussées dans une cour de béton, leurs pieds nus écorchés par le sol rugueux. « Déshabillez-vous ! » hurla un soldat, secondé par un interprète irakien, la voix tremblante de honte. Les femmes se figèrent. Amina, élevée dans la pudeur, sentit ses jambes flancher. Layla, en pleurs, serra son hijab contre elle. Fatima murmura une prière, ses mains crispées sur sa robe. Noor, plus dure, lança un regard de défi, mais ses doigts hésitaient.

Les gardes, tous hommes, ne patientèrent pas. Ils s’avancèrent, arrachant foulards, abayas, tuniques. Amina tenta de retenir sa culotte, un réflexe désespéré pour préserver un semblant de dignité. Un soldat la gifla, tirant le tissu si fort qu’il se déchira. Layla, en sanglots, s’accrocha à son soutien-gorge ; un garde le coupa avec un couteau, riant de ses cris. Fatima, paralysée, oublia ses chaussettes dans la panique ; un soldat les arracha, moquant ses « pieds sales ». Noor, déterminée à ne pas supplier, enleva tout sauf sa culotte, qu’un garde fit glisser lentement, savourant son humiliation. Une femme, chrétienne, tenta de cacher ses seins ; un coup dans le dos la força à se redresser. Les vêtements, symboles de leur identité, furent jetés dans un brasier, leurs odeurs de tissu brûlé emplissant l’air.

Nues, exposées, les femmes furent alignées pour une fouille humiliante. Des gardiennes américaines, visages durs, prirent le relais, traitant les prisonnières comme du bétail. Amina sentit des doigts gantés fouiller ses cheveux, arrachant des mèches. Une gardienne lui ouvrit la bouche, inspectant ses dents, sa langue, comme si elle cherchait des armes dans sa gorge. Ses oreilles furent sondées, son nombril scruté. Puis vint le pire : on lui ordonna d’écarter les jambes. Une gardienne, sans un mot, inspecta son vagin et son anus avec une lampe et des doigts intrusifs, ignorant ses tremblements. Entre ses fesses, la fouille était brutale, déshumanisante. Layla, à côté, sanglotait, incapable de supporter l’intrusion. Fatima, stoïque, serrait les dents, mais ses yeux trahissaient sa douleur. Noor jura à voix basse, ce qui lui valut un coup. Les gardiennes passèrent aux pieds, écartant les orteils d’Amina, grattant sous ses plantes comme si la saleté était une preuve de culpabilité. Chaque femme subit ce rituel, certaines hurlant, d’autres se murant dans le silence.

Le processus se poursuivit, méthodique, implacable. Les femmes, encore nues, furent conduites à une table pour les mugshots. Une à une, elles durent fixer un appareil photo, les flashs brûlant leurs yeux. Amina, les joues inondées de larmes, entendit le clic de l’appareil immortaliser sa nudité. Layla tenta de baisser la tête ; un garde lui releva le menton de force. Les photos, elles le savaient, seraient diffusées, leur honte rendue publique.

Ensuite, une douche collective. L’eau, froide et puante, jaillissait de tuyaux rouillés. Les gardiennes hurlaient : « Lavez-vous, sales bêtes ! » Amina frotta son corps, essayant de se concentrer sur l’eau, mais les regards des gardes masculins, postés à l’entrée, la transperçaient. Fatima⁓Fatima, épuisée, s’appuya contre le mur, son corps tremblant. Noor, plus résistante, se savonna avec défi, mais même elle ne pouvait ignorer les rires. Layla, paralysée par la honte, se recroquevilla, à peine capable de bouger.

Puis vint l’épouillage. Une gardienne aspergea les femmes d’un produit chimique âcre, brûlant leur peau. Amina toussa, les yeux piquants. Layla, fragile, s’étouffa, tandis que Fatima murmura des prières pour ses enfants. Noor, malgré tout, lança un regard noir à la gardienne, qui répondit par un sourire cruel.

Chaque femme reçut un bracelet en plastique, gravé d’un numéro. Amina était désormais « 472 ». Plus un nom, juste un chiffre. Les formalités administratives suivirent : des formulaires en anglais, incompréhensibles, signés sous la menace. Amina apposa son empreinte digitale, les mains tremblantes. Layla pleurait doucement, Fatima fixait le vide, Noor serrait les poings.

Enfin, le cortège final. Enchaînées, les coudes tirés en arrière par des menottes, les quinze femmes paradèrent, nues et pieds nus, vers les cellules. Les couloirs gris d’Abou Ghraib résonnaient des insultes des gardes : « Avancez, chiennes ! ».

 

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Interrogatoire renforcé. 

dimanche 2 février 2025

Suspecte de terrorisme interrogée nue

Détenue nue et interrogée.
Nue lors de l'interrogatoire.

Nadia arrêtée et interrogée le renseignement militaire américain en Irak.


Une jeune femme prénommée Nadia a signaler avoir été arrêtée en mars 2004 lors d'un raid dans sont quartier par les forces américaines et était soumises à un interrogatoire humiliant entre les mains des forces américaines sur la base militaire d'Abou Ghraib, bien qu'elle ait été détenue sans charge que quelques jours, par simple mesure de vérification.

Elle a été arrêtée lors d'une rafle, assez fréquente à cette époque, avec un groupe de jeunes comme elle. Bien qu'elle ne soit ni frappée ni torturée, elle a du se soumettre au processus jugé  particulièrement humiliant et dégradant.

C'est difficile pour une jeune femme respectable et pudique de se déshabiller, surtout devant des hommes, pour les fouilles et la confiscation des vêtements qui dure quelques heures le temps de vérifier.

Nadia doit suivre les ordres et enlever ses vêtements pour la fouille obligatoire et systématique dans ces circonstances, elle est contrainte de retirer ses vêtements devant les soldats américains, tout bien sur, y compris sa culotte et ses chaussettes.

Pour les américains c'est la procédure normale dans le cadre de la lutte contre le terrorisme, et Nadia doit s'y soumettre comme les autres malgré sa honte.

Il ne faut pas être coincée, ni pudique lui disent les soldats, ici faut tout montrer et tout dire lors de l'interrogatoire.

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Nue en garde à vue.


mercredi 15 janvier 2025

La prison avilie les femmes fières et digne

 

Humiliation intégrale en prison
Se mettre à poil et écarter les fesses devant un gardien de prison

Nudité et fouille en prison pour briser les prisonnières.

Dans cette prison américaine, depuis le retour de Donald Trump au poste de président, les autorités pénitentiaire en mis en place des mesures de discipline et de contrôle très strictes pour soumettre totalement les captives.

Les autorités utilisent les fouilles et la nudité forcée comme mode de gestion de la prison pour soumettre et humilier totalement les femmes prisonnières.

Nora, une jeune femme américaine d'origine arabe  et musulmane arrêtée lors d'une manifestation pour la Palestine a été condamnée à 30 jours de prison fermes pour une juge locale pro Trump et pro Israël.

La juge, réputée très sévère et sans pitié n'épargnent rien aux femmes qu'elles condamnent, chaque jours de prison doit être une punition; même pour les infraction mineures.

Nora en arrivant a été soumise à la fouille complétement nue et pieds nus, et la juge a décider d'autoriser des hommes à regarder, de plus, le traditionnel mugshot et les prises d'empreintes se sont déroulés dans la plus totale nudité.

Le voile (hijab) est totalement interdit, ainsi que les vêtements et les chaussures car la juge a stipuler que Nora serait dangereuse et suicidaire et donc sous le statut de nudité totale et permanente.

Nora n'aurait jamais dans ses pires cauchemar devoir exhiber l'anus et tousser devant tout le monde,  plusieurs fois par jours.

Les gardes se moquent d'elle et l'insulte régulièrement de putes, de chienne, de terroristes, et elle doit payer, morfler.

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Nudité forcée en détention.

lundi 13 janvier 2025

La déchéance de Safia

Fouille humiliante et déshumanisante en prison.

 La prison et l'humiliation.

En prison, Safia n'est plus qu'un numéro d'écrou, et une victime de l'arbitraire et de la brutalité des gardes qui prennent un malin plaisir à l'humilier et la dégrader en permanence.

La prison dans ce compté tenue par un shérif républicain est l'une des plus sévère du pays, malgré les protestations des organisations de gauche et des ONG de défense des droits de l'homme, toutes les requêtes et poursuites juridiques ont été repoussées par les juges qui estiment que le shérif est en droit d'utiliser toutes les méthodes qu'il souhaite dans le cadre des directives du gouvernement.

Le shérif ordonne au gardiens d'humilier, de dresser et de soumettre totalement les détenues.

Les femmes fières et respectables comme Safia, une musulmane pratiquante, condamnée à 30 jours de prison pour avoir participer à une manifestation pour la Palestine sont très choquées, sur place, elle est obligée de se mettre toute nue, de se déshabiller en public, sous les insultes et les moqueries des gardes.

 "A poil", les prisonnières sont "dressées" pour obéir aux ordres, en prison, la pudeur et la modestie n'ont pas leur place ici.

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Voyage dans les pires prisons du monde.

samedi 11 janvier 2025

L'arrestation de Safia par le shérif

Le processus humiliant de l'incarcération
Prise de photos nue avant d'aller en cellule.


 Safia est une jeune femme américaine musulmane d'origine arabe de parents libanais et musulmane, elle vit dans cette petite ville dans le Tennessee depuis sa petite enfance.

La jeune fille est une brillante étudiante à l'université, et par conscience citoyenne, avec le soutien de ses professeurs et certains de ses amis étudiant elle est partie manifester pour soutenir le peuple palestinien face au massacre.

La manifestation s'est mal passé, plusieurs manifestants ont attaquer les policiers et la police a du procéder à des arrestations, souvent assez arbitraire et Safia s'est malheureusement retrouvée dans le lot et se retrouve officiellement accusée d'attroupement illégaux.

Les manifestants et manifestants sont conduites dans les locaux du shérif  locale avec un petit centre de détention du conté géré par ce dernier, pour les gardes à vue.

Le shérif est un homme qui prend très au sérieux la sécurité et dont la prison est très redoutée par les femmes.

Safia est une personne très pudique mais le shérif lui réserve le même sort qu’à toutes les malheureuses détenues.

Les rares femmes musulmanes voilées comme Safia sont soumises à la procédure : prises d’empreintes, et la fouille à nue et la prise de photographies.

Safia doit tout enlever devant le représentant de la loi, et mettre sa pudeur de côté, se mettre toute nue est très difficile pour elle car c'est une fille pudique, peu de gens hormis son ex et les médecins l'ont vue à poil, et comme toute bonne musulmane elle porte le voile (hijab) et s'habille de façon très modeste.

Elle supplie et invoque divers droits pour refuser la fouille, elle prétend que ses droits constitutionnel sont bafoués, car devoir se déshabiller en public et devant des hommes serait une grave violation de sa dignité !

Hors avant elle, les juges ont estimé que les méthodes du shérif étaient parfaitement légales et justifiées pour des raisons de sécurité.

Le shérif filme toujours les fouilles et laisse assister des témoins pour prévenir toute accusation d'agression sexuelles.

La jeune femme n'a pas son mot à dire, le shérif est stricte et sans concession : il exige la plus totale nudité : même les montres et les élastiques à cheveux sont confisqués !

Il faut tout enlever, être nue et pieds nus pendant tout le processus de fouilles et d'enregistrement.

 

 Lien : 

Humiliée et interrogée.


jeudi 2 janvier 2025

Punition collective et excercices physiques forcés en prison

Humiliation en prison
Les prisonnières contraintes à des exercices physique à poil.

 

Les humiliations dans les couloirs de la prison.

Je me rappel avoir lu il y a plusieurs années un article sur la prison d'Abou Ghraib en Irak, ou en 2004, les forces américaines qui occupaient ce pays ont humiliés et torturés des prisonniers.

Il y avait un article dans un journal d'investigation et d'enquête qui à révélé certains incidents et abus en rapport avec les quelques femmes irakiennes ayant séjourné dans ce centre de détention.

Les détenues irakiennes étant souvent musulmanes sunnites ou chiites, quelques unes chrétiennes, de culture très conservatrices, et portent très souvent des tenues pudiques et très couvrantes en conformité avec leurs convictions religieuses comme des longues robes amples qui couvre tout leurs corps de la tête aux pieds et des voile (hijab) sur leurs cheveux. 

En détention, les femmes avaient parfois du mal avec les ordres et l'obligation d'obéir sans discuter, car en prison, les ordres sont les ordres, en particulier quand les gardiens et gardiennes disent "déshabillez vous" "à poil" "enlevez vos vêtements".

En prison, certaines femmes ont protester et contester les ordres, alors en réponse, les gardes ont assemblées et réunis les rebelles et les contestataires, les ont forcer à retirer leurs vêtements en public, les unes devant les autres et devant les gardiens, pour bien leur faire comprendre leur place et qui commande et mettre à mal leurs fiertés et leurs égos.

Les surveillants leurs disent "Entre nos mains, vous êtes toutes nues, soumises, exposées, vous suivez nos consignes et tout se passera bien" Ici bien sur vous allez renoncer à toute dignité, mettre votre fierté et vos coutumes religieuses à la poubelle."

"Ici vous ne cachez rien, c'est nue que vous devez être".

Vous êtes sous vos voiles et vêtements des grosses putes, nous allons vous dresser et vous apprendre à faire du sport et à manger correctement bande de truie puante".

"Vous allez transpirez même à poil et pieds nus les vachettes" faite nous des jumping jack, des squats, des monter de genoux devant nous qu'on se marre bien de vous voir ainsi.


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Meriem exhibée nue en public.


dimanche 8 décembre 2024

Femme incarcérée pour terrorisme

 

Les conditions de détention dans les prisons de haute sécurité pour les femmes arrêtées et incarcérées dans le cadre de la lutte contre les terrorisme sont très difficiles et sont dénoncées par de multiples organisations de défense des droits de l'homme.

Najoua B, une détenue américano syrienne impliquée dans une tentative d'attentat avorté avec son mari est détenue en isolement dans une prison de haute sécurité.

Elle est condamnée à 8 ans de prison, sous surveillance permanente dans une cellule de ségrégation vide d'environ 2 mètres sur deux, avec seulement "des toilettes à la turque".

Aucun confort n'est permis, sa cellule est éclairée en permanence. De plus, la prisonnière est contrainte de rester nue et pieds nus en permanence. Elle est sous le statut de nudité permanente, avec l'interdiction de porter le moindre vêtements, même lors de ses rares visites avec un avocat ou avec sa famille.

Les fouilles sont quotidienne, avec des examens agressifs et intrusifs sans aucun respect pour sa pudeur et sa dignité, les gardiennes l'obligent à ouvrir son anus et son vagin de façon obscène tous les jours et en public.

Elle passe en général plus de huit heures par jours debout les mains sur la tête quand elle n'est pas de corvée ou soumise à des travaux forcés.

Elle a l'interdiction de regarder les gardiens dans les yeux, de leur adresser la parole sans autorisation, ou de communiquer avec d'autres détenus.

Najoua est régulièrement ré éduquée, dans le but de la soumettre et de la déradicaliser, elle est filmée nue et régulièrement prise en photo à poil et les images sont diffusées.

L'hymne nationale des États Unis retenti deux fois par jours et elle doit l'écouter et le chanter.

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Haute sécurité.

jeudi 5 décembre 2024

Un gardien témoigne du sort réservé aux prisonnières.

Forcer les femmes à rester nue en prison.
Humiliation collective en prison.

Témoignage exclusif d'un ancien garde de la prison.

Les détenues irakiennes de la prison militaire américaine d'Abou Ghraib sont traitées comme pires que des bêtes. Ces femmes sont fouillées à poil et en  public devant tout le monde sans aucun respect pour leur dignité et leur pudeur !

C'est sur qu'entre nos mains, elles perdent vite toute traces de timidité et de pudeur, nous avons pour consigne de les garder complétement nues et pieds nus en permanence 24/24h et 7/7j. Nous les dressons pour leur apprendre le respect et l'humilité, qu'elles soient musulmanes sunnites, chiites, chrétiennes ou peu importe, elles sont toutes à poil.

Elles arrivent très pudiques, voilées de la têtes aux pieds avec leurs abayas et hijab, des tenues pudiques couvrant tous leurs corps et nous les déshabillons devant tout le monde pour les humilier et remettre en place !

Elles sont forcées de parader  nues dans toute la prison pour que les gardes puissent les voir à poil, ainsi que les autres prisonniers car c'est bien de les humilier devant leur communauté, de montrer aux hommes ce qu'ont fait à leurs femmes.

Elles sont interdites de tout morceau de tissu et doivent tout montrer,  et accepter la nudité et d'être vues à poil.

Nous les inspectons et fouillons plusieurs fois par jours pour s'assurer qu'elles ne dissimulent rien sous leurs seins, dans leurs cavités (anus et vagin), entre leurs orteils, dans leurs bouches car les femmes peuvent cacher plein de truc en elle ce qui nécessite une vigilance absolue.

Nous nous moquons d'elles, faisons sans cesses des remarques sur leurs seins, la forme de leur cul, sur l'odeur de certaines, elles doivent se sentir comme pire que des bêtes.

Nous leur hurlons dessus des ordres pervers comme "écarte tes fesses et ouvre ton anus de pute".

Elles ne mettrons jamais de voile, ni de robe, ni de culotte, soutien gorge, chaussures ou chaussettes tant qu'elles seront sous notre garde dans cette prison. C'est 100% nue.

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Humiliation publique.

dimanche 1 décembre 2024

Interrogatoire renforcée d'une jeune femme pudique

Nudité forcée et interrogatoire renforcé.
Utiliser les craintes des détenues pour les faire parler.

J'ai commencer ma carrière  d'agent du renseignement militaire avec le colonel Mc Kenzie, un vétéran expérimenté de la contre insurrection et de la lutte contre le terrorisme. Nous étions en poste sur le terrain pendant la guerre en Irak et nous avions comme consignes de collecter le plus d'informations possibles et de qualité sur la localisation  et les habitudes des chefs rebelles liés à la résistance irakienne.


Nous travaillions sur le terrain en collaboration avec les forces armée régulière et la CIA. En fin de journée d'une chaude journée de printemps, dans un quartier  Bagdad pourtant censé être sécurisé, nos troupes avaient subies 2 attaques et des tirs de mortiers étaient partis de la zone pour atteindre la zone verte. En réaction l'armée a effectué plusieurs raid sur le quartier et arrêté une vingtaine de personnes susceptible d'être complice ou témoin.

Parmi ces gens nous avions capturé Safia, une jeune femme d'environ 25 ans, habitante du quartier et étudiante en doctorat de physique à l'université de science. Elle portait comme toute bonne musulmane un joli hijab noir (foulard  porté par les musulmanes pratiquantes) en tissu brodé, une tunique beige qui descend jusque aux genoux , un jean et des baskets. Elle parlait un anglais parfait et avait voyagé plusieurs fois en Europe et en Amérique. C'est une fille de famille de classe moyenne ayant réussi.

Après le raid les prisonniers ont été conduit dans la petite base ou nous opérons pour faire du renseignement. Safia était la seule femme du lot.

La protocole dans ces circonstances obligent les soldats à effectuer des fouilles et de déshabiller les prisonniers, les suspects sont mis à poil, ils doivent même retirer leurs slip et leurs chaussettes.

Concernant Safia, son cas et remonté aux oreilles du colonel Mc Kenzie, car il est rare que des femmes soient arrêtées et transférées ici et donc son cas méritait réflexion concernant l'attitude à avoir.

Le militaire expérimenté a décider qu'elle devait être traitée comme les hommes, selon la procédure en vigueur dans l'armée. Les soldats ont confisqués les vêtements et les chaussures de la prisonnières, le colonel a même fait rappeler à ses gars que la détenue devait enlever ses chaussettes, car nous sommes dans un pays chaud, le sol n'est pas froid donc elle doit aussi être pieds nus.

Après avoir donner ses consignes, nous avons attendus une dizaine de minutes que les soldats préparent Safia, c'est à dire la déshabiller et la fouille.

La détenue est conduite dans la salle d'interrogatoire en pleurant et rouge de honte, elle est totalement à poil devant des hommes !

La jeune fille est placée sur une estrade avec de la lumière devant les interrogateurs.

Elle croise les jambes et tente de cacher ses seins avec ses long cheveux.

Le colonel prend la parole sur un ton strict :

- Tu es bien Safia G ?

- Oui répond la jeune femme en tremblant et tentant de dissimuler son corps.

- Quel âge as tu ?

- J'ai 25 ans.

- Es tu bien de nationalité irakienne et née à Kirkouk ?

- Oui vos informations sont justes.

- Quelle est cette posture, c'est interdit de croiser les cuisses, et tu dois mettre tes mains dans le dos et empêcher tes cheveux de cacher ta poitrine. Lui dit sur un ton moqueur le colonel.

- Mais je suis toute nue répondit Safia paniquée

- Et alors ! sur des intonations tout de suite plus agressives, écarte les cuisses et mains dans le dos ou je te fouette !

Safia n'a pas le choix elle est déjà terrifiée.

- Alors ça fait quoi de montrer ta chatte rasée et tes mini seins à des américains ? avec un sourire narquois et pervers  , Des seins tout petit en riant.

- Hahahahhaaa hiihiiiiiii s'exclame l’interrogateur en pointant la poitrine de la détenue.

Safia rougit encore plus et se retient de pleurer.

- REPOND A LA QUESTION SALOPE ! 

- C'est honteux monsieur répond Safia avec une petite voix.

- Tu es pourtant selon mon dossier une femme pieuse et respectable, bonne musulmane, voilée, et là tu t'expose avec ta chatte humide et rasée devant des soldats américains, qu'est ce que ta famille va penser ?

- Ils vont me tuer, me renier ... répond Safia.

- Nous interdisons aux femmes prisonnières de porter des vêtements et des chaussures, et bien sur les pieds nus aussi. Dit Mc Kenzie en ayant la culotte culotte et les chaussettes de la jeune fille dans les mains. Tout le monde vas te voir à poil.

- Oui dit Safia en pleurant, s'il vous plaît arrêtez

- C'est qui qui est toute nue et pieds nus et interrogée ici ?

- C'est moi monsieur.

- Qui est quoi !?

Je suis toute nue et pieds nus monsieur, vous m'avez fait horriblement fouillée avant d'entrer dans ce bureau et j'ai aussi interdite de garder mes chaussettes ... 

Mc Kenzie sort son appareil photo et prend quelques clichés de la prisonnière nue.

- Je vais envoyer ça à ta famille et mettre ça sur internet pétasse.

- Non non non non ! arrêtez s'il vous plait ! s'exclame la fille en détresse.

- Tu mouille salope, tu voudrais qu'un régiment te baise ? en quelque claquement de doigt je peux appeler des soldats qui feront un gang bang et te prendront par la chatte et le cul ... sauf si tu coopère...

- Pitié pitié non, Safia a peur.

- Oui alors tu ferais mieux de parler. Qui sont les rebelles dans ton quartier ?


 La jeune femme à dénoncer la plupart de ses voisins et collègues de travail, elle ne sait manifestement rien mais elle a cracher tout ce qu'elle pouvait. Les soldats l'ont libérer quelques heures après.

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Méthode musclé.


samedi 30 novembre 2024

Conditions de vie rustique en prison.

Femme enfermée nue en cellule.
Prisonnière dort nue sur le banc de sa cellule.

Nue en cellule d'isolement.

Nous sommes en avril 2004 dans la prison d'Abou Ghraib tenue par les forces militaires américaines en Irak. 

Dans la section ou sont détenues les femmes irakiennes arrêtées par les États Unis. Elles sont là pour diverses raisons :  Suspectes de soutenir le terrorisme, de liens avec l'ancien régime, de financer la résistance, d'avoir des informations stratégiques etc.

Les prisonnières sont gardées en isolement dans des petits cachots vides sans aucun confort. Il n'y à pas que les cellules qui sont nues, les détenues sont aussi gardées à poil en permanence.

Les prisonnières en arrivant doivent retirer leurs vêtements pour la fouille traditionnelle, bien sur, c'est très humiliant et dégradant, surtout pour des femmes musulmanes très pudiques, les gardes américains obligent les femmes à vivre nues et à s’exposer devant les hommes.

Il faut se dévoiler, tout y passe, le hijab, la robe, les chaussures, les femmes doivent être entièrement nues y compris les pieds nus.

Une femme connue comme étant l'épouse d'un ministre en fuite dort entièrement à poil  sur le banc de  sa petite cellule. Elle ne porte aucun vêtements depuis son incarcération en dehors de ses chaines et menottes ...

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Zeyna nue en détention.

mardi 26 novembre 2024

Une femme pudique parade et est humiliée nue en prison.

Sport et exercice phyique nue.
Exercice physique nue en prison.

 Dalila, 28 ans est arrivée dans la prison militaire américaine d'Abou Ghraib en Irak, elle y a passé quelques mois pour soupçons de soutient à la résistance et liens avec l'ancien régime. En arrivant, les gardiens américains l'ont obliger à se mettre toute nue et pieds nus avec les autres femmes irakiennes arrêtées en même temps qu'elle.

Les détenues irakiennes de confession musulmanes comme Dalila qui portent le voile (hijab) et se couvrent de la tête aux pieds sont soumises à un processus très dégradant : Les gardes lui indique avec ses compagnonnes d'infortune "C'est le moment de la fouille, Il faut tout enlever" "Vous devez être entièrement nues", les femmes si elles ne coopèrent pas sont de toute façon déshabiller de force, fouettée et placer en isolement.

"Votre religion vous apprend à être pudique et à cacher vos corps, et bien ici on va vous apprendre à vivre nue, la nudité est essentielle , oubliez toute pudeur, ici pas de voile, pas de culotte, pas de soutien gorge, ni de chaussures ou de chaussettes, vous devez rester nues et pieds nus en permanence, abandonnez toute pudeur".

Les fouilles des cavités sont "pratiquées très régulièrement , on vérifie dans vos anus, vagins, sous vos seines, entres vos orteils, nombril, bouche, oreilles si vous ne cacher rien de dangereux".

Les femmes musulmanes étant pudiques, elles sont forcées de s'exhiber nue, en particulier de faire des exercices physiques et sportifs parfois jusque à l'épuisement , Dalila doit courir et monter et descendre les escaliers nues.

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Nudité forcée.


dimanche 24 novembre 2024

Une détenue nue enchainée d'Abou Ghraib

 

Nudité forcée et humiliation Abou Ghraib
Prisonnière nue en enchainée avec sa gardienne

Nudité forcée et interrogatoire renforcée des femmes.

Nous sommes en Irak, dans la prison d'Abou Ghraib dans la banlieue de Bagdad qui sert de base et de centre d’interrogatoire pour les forces militaires américaine qui occupent le pays.

Les femmes irakiennes capturées par les forces militaires qui sont incarcérées dans cette prison sont contraintes de se dévêtir entièrement, y compris devant des hommes, en contradiction avec leurs valeurs et principes religieux.

Elles sont musulmanes et elles portent toute le voile (hijab), et l'abaya, large robe traditionnelle arabe que portent les femmes du Moyen Orient. 

Chaque femme est soumise à une fouille à nue en arrivant, c'est difficile à vivre mais ici pas de voile, les hijab sont confisqués, et il faut tout retirer. Les femmes fières et dignes sont terriblement humiliées de se retrouver entièrement nues pour y être inspecter dans la nudité totale. 

Aucune négociation n'est possible sur ce sujet. En cas de refus elles sont déshabiller de force, battues, et fouettées et misent en isolement dans le noir avec des musiques assourdissantes et désagréables en permanence pendant des semaines.

Les surveillants inspectent les cheveux, les oreilles, les bouches, sous les seins et les aisselles, contrôle du nombril, et inspection du vagin et de l'anus avec une lampe torche et un doigt ganté et lubrifié, et même les doigts de pieds des prisonnières sont examinés !

Leurs vêtements sont découpés et détruit, et elles sont obligées de rester nues, aucun vêtements ni uniformes de prison ne leur est fournis.

Elles doivent défiler nues et pieds nus jusque à leurs cellules, pour "être présentées"  comme de la viande fraiches à tout le personnel de la prison (gardiens, interrogateurs, staff administratif etc.) mais aussi s'humilier devant les autres prisonniers, y compris les hommes.

La nudité totale est obligatoire et permanente. Les femmes musulmanes entre les mains des forces américaines sont nues pour être formatée et formée à perdre toute pudeur et modestie, comme elles arrivent voilées et couvertes de la tête aux pieds, par pudeur et convictions religieuses et qu'elles n'ont jamais été nues en publique et bien tout le monde doit pouvoir les voir à poil.  Elles doivent abandonner toute espoir de porter des vêtements.

Lien : 

Malika soumise à une fouille gynécologique.


mardi 19 novembre 2024

Prisonnière pudique conduite à la douche.

 

Aucune intimité pour la prisonnière nue.
La prisonnière se douche nue devant son gardien.

Les humiliations quotidiennes subies par les femmes en prison.

Les femmes irakiennes incarcérées dans la prison militaire d'Abou Ghraib en Irak, entre les mains des forces américaines sont humiliées et maltraitées tous les jours.

Amira vient d'être amené dans la salle des douches pour la première fois depuis son arrivé, les gardes l'ont conduite nue et pieds nus, après l'avoir obliger à parader à poil dans toute la prison sous les rires, insultes, moqueries et huées.

Les gardes en uniforme militaire l'a regarde de façon stricte et sévère. "Lève les yeux salope", la pauvre prisonnière très pudique et honteuse d'être à poil, c'est une femme arabe et musulmane qui porte le voile et s'habille de façon large et ample avec de longues robes traditionnelles  pour cacher ses formes comme la majorité de ses compatriotes.

"Ici tu es à poil compris ?" les gardes obligent les détenues à rester nues pour les reconditionner et leur faire perdre toute pudeur. La prisonnière pudique doit apprendre à montrer son intimité aux hommes comme aux femmes. "Pute, ici tu montre ta chatte, tes seins, ton cul, tu dois rien cacher, et tout exposer".

Si Amira en principe gardée nue en cellule d'isolement, les gardes obligent les femmes à s'exhiber nues publiquement. Elle doit parader nue et pieds nus, il va de soit que la nudité totale étant requise dans toute la prison et pas seulement en cellule.

Lien : 

Douche devant les gardes hommes.

lundi 18 novembre 2024

Les femmes n'ont pas le droit de porter de vêtements en prison.

Toute nue et sans pudeur.
Femme nue et pieds nus en prison.

 Nudité totale pour la jeune prisonnière pudique.

Dans la prison militaire d'Abou Ghraib, les femmes irakiennes musulmanes et arabe comme Meriem n'ont pas le droit de couvrir leurs corps et doivent rester nues en permanence et devant tout le monde.

Au mépris de leur culture et de leur religion, ces pauvres femmes souvent innocentes, dont le seul "crime" est d'avoir un proche recherché par la coalition sont soumises à des conditions de vie terriblement humiliante.

Ce qui choque le plus Meriem et ses compagnes, c'est l'obligation d'être nue.

Les musulmanes pratiquantes sont très pudiques et portent le voile (hijab) et sont couvertes de la tête aux pieds. Alors les responsables des interrogatoires, pour utiliser les tabous  culturels et les faiblesses des prisonnières décident qu'elles doivent être nues et pieds nus en permanence.

Meriem qui était voilée et couverte de la tête aux pieds doit se soumettre aux ordres des gardiens, elle n'a de toute façon pas le choix car les femmes récalcitrantes qui tentent de se rebeller sont mise à poil de force et sans ménagement, elle sait que toute résistance est stupide et inutile et ne fera qu'augmenter ses problèmes. De plus tout refus de coopérer est punit "du mitard", enfermement à poil dans une mini cellule isolée ...

La détenue doit subir de multiples fouilles plusieurs fois par jours, les gardiens estiment qu'en apprenant à montrer son vagin, son anus, ses fesses, ses pieds, la jeune femme oubliera sa pudeur et deviendra comme les femmes américaines occidentales.

Meriem demande souvent pourquoi est ce qu'on la fouille puisque elle est toute nue et qu'ils savent qu'elle ne cache rien. La réponse est qu'elle doit se soumettre et montrer son corps à tous le monde en guise de punition et qu'il ne faut plus ressentir de pudeur et adopter le nudisme. Et qu'il faut quand même contrôler ce qu'elle pourrait cacher dans ses fesses ...

 Lien : 

Exhibition forcée en prison.