Ma femme humiliée et incarcérée en Amérique

Fouille et humiliation publique.

Les gardiens américains de la prison de conté de Greenwood  ont pour consigne d'humilier et de dresser les détenus pour réduire la délinquance et les incivilités. Le shérif est l'un des plus sévères du pays, il est très populaire et est appuyé par le gouverneur républicain pro Trump.

Mon épouse, Rania, une femme franco marocaine musulmane, qui était la pour ses études s'est faite arrêtée lors d'une manifestation en faveur de la Palestine et la police l'a conduite dans le centre de détention du conté.

Sur place, Rania était avec 3 autres femmes américaines,  l'une est membre d'un gang, l'autre est probablement là pour fraude fiscal les gardiens les ont placé dans une salle réservée à l’accueil

D'une part, elles sont misent toutes nues et soumises à des fouilles et inspections très poussées devant tout le monde, y compris des hommes. Les gardiens aiment faire comprendre aux femmes quand ils leurs ordonne d’enlever leurs vêtement, tout bien sur, "Il faut tout montrer aux gardiens" ricane un des surveillants.

En Amérique les femmes peuvent être fouillées par des gardiens hommes au nom de l'égalité entre les sexes, et de plus sans aucune intimité devant tout le monde, les femmes culturellement pudiques et réservées comme mon épouses doivent elles subir le même processus humiliant : Se déshabiller et se faire fouiller en public.

Le shérif a décider que la nudité était  naturelle, et dans sa prison, les femmes sont toutes traitées de la même façon sans distinction de religion: Nue, pieds nus avec fouilles des anus et des vagins, dessous les seins et entre les orteils.

Aucune intimité n'est prévue, surtout depuis le retour de Trump, ou les autorités sont autorisées à utiliser de méthodes punitives dont les fouilles corporelles et les mise à poil en publique font partie.

Les délinquantes sont en général humiliées pour l'exemple et en public pour générer de la crainte.

 

Lien : 

 

En garde à vue.

 

Une femme pudique parade et est humiliée nue en prison.

Exercice physique nue en prison.

 Dalila, 28 ans est arrivée dans la prison militaire américaine d'Abou Ghraib en Irak, elle y a passé quelques mois pour soupçons de soutient à la résistance et liens avec l'ancien régime. En arrivant, les gardiens américains l'ont obliger à se mettre toute nue et pieds nus avec les autres femmes irakiennes arrêtées en même temps qu'elle.

Les détenues irakiennes de confession musulmanes comme Dalila qui portent le voile (hijab) et se couvrent de la tête aux pieds sont soumises à un processus très dégradant : Les gardes lui indique avec ses compagnonnes d'infortune "C'est le moment de la fouille, Il faut tout enlever" "Vous devez être entièrement nues", les femmes si elles ne coopèrent pas sont de toute façon déshabiller de force, fouettée et placer en isolement.

"Votre religion vous apprend à être pudique et à cacher vos corps, et bien ici on va vous apprendre à vivre nue, la nudité est essentielle , oubliez toute pudeur, ici pas de voile, pas de culotte, pas de soutien gorge, ni de chaussures ou de chaussettes, vous devez rester nues et pieds nus en permanence, abandonnez toute pudeur".

Les fouilles des cavités sont "pratiquées très régulièrement , on vérifie dans vos anus, vagins, sous vos seines, entres vos orteils, nombril, bouche, oreilles si vous ne cacher rien de dangereux".

Les femmes musulmanes étant pudiques, elles sont forcées de s'exhiber nue, en particulier de faire des exercices physiques et sportifs parfois jusque à l'épuisement , Dalila doit courir et monter et descendre les escaliers nues.

Lien :

Nudité forcée.

Centre éducatif fermée pour jeunes filles.

Toute nue les fesses rougies avant la fouille.

De la discipline dans les centre éducatifs fermés pour femmes.

Le ministère de l'intérieur et le ministère de la justice ont décider d'ouvrir des centres éducatifs fermés (maison de correction) pour les jeunes femmes délinquantes et radicalisées dans leur but de refaire leur éducation et de leur apprendre les règles d'ordre et disciplines de la société. Le foyer qui accueille les jeunes filles à un règlement intérieur très stricte.

1/ Tenue vestimentaire.

Les pensionnaires sont habillées par l'établissement,  aucun vêtements civils extérieurs ou objets personnels n'est autorisé. Tout signe d'appartenance communautaire ou religieux est également prohibé. Le foyer fournit les tenues réglementaires.

Deux uniformes jaunes de prisonniers.

Un manteau gris pour l'extérieur.

Des sous vêtements roses.

Une chemise de nuit obligatoire le soir.

Un peignoir.

Une paire de tong.

Une paire de chaussure de sport.

Des produits d'hygiènes sont à disposition.

2/ Horaires.

Le petite déjeuné est pris a 07h00.

la douche à 07H30.

Le levé du drapeau  et l'hymne nationale dans la court à lieu et 08h00

De 09h00 à 13h les pensionnaires suivent leur formation professionnelle ou leurs cours.

Déjeuner de 12h à 15h au self.

3/ Dortoir.

Le dortoir est collectif et toutes les filles doivent être couchée à partir de 22h00 extinction des feux. 

le réveil se fait à 06h00.

4/ Discipline et sécurité.

Pour des raisons de sécurité les éducateurs et surveillants ont le droit de procéder à des fouilles et de faire se déshabiller les pensionnaires pour des inspections complète comprenant l'anus, la bouche et le vagin.

Le foyer applique des châtiments corporels et humiliants en guise de sanction pour les jeunes filles.

Les fessées ont lieu en public, des filles peuvent être exposée entièrement nue devant le public, des coups de badines, de cravache, de martinet sont aussi possible.

Liens :

Punie par l'éducatrice.

Vidéo d'une femme fessée nue.

Toute nue et examen gynécologique à la visite médicale

Examen gynécologique obligatoirement nue et sans pudeur.

Visite médicale nue

Ce mercredi 14 avril , Clara, 19 ans se réveille avec un peu de retard , elle a oublié qu'à 9 h 30, elle a un rendez-vous au centre médical de prévention universitaire pour la traditionnelle visite médicale.Ce mercredi 14 avril , Clara, 19 ans se réveille avec un peu de retard, elle a oublié qu'à 9 h 30, elle a un rendez-vous au centre médical de prévention universitaire pour la traditionnelle visite médicale.


Le jour de la rentrée, les étudiants ont été informés de l’obligation cette visite, et que c’est une pièce importante du nouveau système de santé nationale. Le gouvernement ayant réformé le système de santé, la prévention de la santé des jeunes étant mise en avant, les moyens de la médecine préventive et ses compétences, ayant été multipliées par trois, le suivi médicale des étudiants étant obligatoire, tout refus de s’y rendre pouvant avoir des conséquences sur la scolarité des étudiants, en particulier le passage aux années supérieures. Clara est étudiante en première année de licence économie gestion. Elle a 19 ans, brune aux cheveux bouclé, avec la peau assez mate, elle est d’origine espagnole. Elle mesure environs 1.65 m pour 52 kilos.


Elle a tout juste le temps, de prendre une petite douche, et de d’enfiler ses vêtements, et prendre ses papiers, carte d’étudiante, carnet de santé et sa convocation. Puis elle doit partir rapidement pour ne pas manquer ce rendez-vous important pour son année scolaire. Elle est un peu stressée, elle a comme tout le monde entendu parler des visites médicales étudiantes, qui dans les années précédentes, étaient très légères, et beaucoup d’étudiants y échappaient sans aucune conséquence. Maintenant, les choses ont l’air d’avoir changé, mais elle n’en sait pas plus.


L’étudiante arrive avec quelques minutes de retard, à l’arrivée, on lui dit d’attendre dans une salle attente ou se trouve d’autres étudiants, garçons et filles qui attendent aussi. Les lieux sont très simples et austères, avec des murs blancs.

Questionnaire médicale.

Une infirmière appelle Clara, qui doit la suivre dans un petit bureau. L’infirmière lui explique et lui présente les lieux, et lui pose des questions pour établir son dossier médical.

Puis avoir votre date de naissance ?

12 juillet 2000.

Où êtes-vous née ?

Je suis née à Melun.

Vous plaisez-vous à l’Université ?

Oui, je m’y sens bien, c’est un peu grand, et on est un peu lâché dans tout ça, mais je m’y habitue bien.

N’es-tu pas as isolé à la Fac ?

Non, j’y ai de bonnes amies.

Vous êtes bien en éco-gestion ?

Oui, vos informations sont justes.

Si je vous pose les questions, c’est pour votre dossier.

Avez-vous déjà été opéré ?

Oui, juste de l’appendicite.

À quel âge ?

Vers 9 ans.

Et depuis plus rien ?

Plus rien.

Vous arrive-t-il de boire de l’alcool ?

Oui, mais rarement.

À quelle fréquence ?

Euh, je dirais 2 fois par an.


L’infirmière la questionna sur beaucoup d’aspects de sa vie, sa situation familiale, sa consommation de drogues, si elle a vu un gynécologue, un dentiste, si elle a un problème avec ses dents de sagesse, si elle a fait des examens médicaux récents, sa vie sexuelle, protection, contraception, si elle fait du sport, etc. Les questions sont parfois très poussées, l’infirmière va jusque à lui demander les noms et les dates des médecins. Quand Clara à l’air de trouver ça un peu trop intrusif, l’infirmière lui répond qu’elle doit tout savoir pour remplir le dossier médical. Et que ce dossier est important pour le suivi de la santé de l’étudiante tout au long de sa vie.



L’infirmière apporte aussi une machine pour faire passer à notre étudiante des test visuels, Clara a 10/10 pour chacun de ses yeux, puis elle passe des tests d’audition. Une fois ceci réalisé, la jeune fille est invitée aller aux toilettes pour faire pipi dans un gobelet, elle  prends quelques minutes à uriner. Puis elle doit retourner en salle d’attente et de patienter quelques minutes qu’un médecin vienne la chercher pour la suite.

Baisser sa culotte devant le docteur est nécessaire.

Déshabiller les étudiantes est une pratique courante.

Après environ 15 minutes, une autre infirmière vient chercher Clara et l’amène à l’étage supérieur, vers une cabine à double porte et lui ordonne « Déshabillez-vous, vous pouvez garder le slip, le médecin arrive ». 

Clara se déshabille lentement dans la cabine, elle retire ses chaussures, une paire de converses, sa veste, puis son pull et attend quelques minutes. Elle est un peu stressée, car elle a bien entendue qu’on lui à donner l’ordre de se déshabiller et de garder sa culotte. Et elle est en partie encore habillée, elle se dit qu’on la laissera tranquille, elle fait la même chose qu'au lycée ou personnes n'embêtent ceux et celles qui restes habillés.



Soudain, en ouvrant la porte l'infirmière l'apostrophe et lui ordonne de respecter les consignes : l’examen médical se passe en petite culotte ! Elle referme la porte en lui disant de faire vite !

La jeune femme doit retirer son pantalon et son t-shirt. Elle sait parfaitement qu’on lui a dit en « slip » mais elle se dit qu’en soutien-gorge, culotte et chaussettes, on l'a laissera tranquille.

L’infirmière revient et hausse le ton «tout le monde passe la visite en petite culotte, dépêchez vous !» , et lui rappel qu’il y a des règles et un protocole, et qu’il est le même pour toutes les étudiantes et qu’aucune contestation n’est possible. Le règlement est le même pour tous, les étudiants doivent être torse-nu pour le passage devant le médecin de prévention de l’université par égalité homme/femme, et pieds nus sans chaussettes, ni collants, bas ou autres pour des raisons de respect et d’hygiène, les étudiantes doivent se présenter poitrines nus et pieds nus aussi et mettre leur pudeur de côté !



Et que des vrais visites médicales se déroulent nu, qu’il est contraire au bon sens de laisser des jeunes passé une visite médicale habillée."



La visite et les examens de bases étant obligatoires, Clara doit se soumettre aux injonctions du personnel médical.



Elle retire ses chaussettes et dévoilent ses petits pieds nus, puis ôte aussi son soutien gorge libérant ses seins, l’étudiante rougie de honte met ses mains sur sa poitrine, et elle entre dans la salle d’examen médical ou le docteur l’attend, il n’est pas seul , il était accompagné d’une autre infirmière. Ils sont debout face à l’étudiante et l’observent quelques instants, elle est en culotte et rien d’autre.

« Ah vous voilà, nous vous attendions », nous allons reprendre brièvement quelques questions pour vérifier votre dossier ». Chose que fait l’infirmière très rapidement en lui demandant son nom, âges , filière, etc.



Clara est d’abord pesée ; elle pose ses pieds nus sur la balance, « 52 kilos » s’écrit l’infirmière, « voyons voir la taille » ; « 1.65 m ».



« Maintenant, penchez vous et touchez vos orteils avec les mains sans plier les genoux » lui ordonne le docteur.

Les seins à l'air et pieds nus, juste vêtue d'une petite culotte lors de la pesée.

Examen clinique, contrôle gynécologique et nudité.

L’étudiante arrive à toucher ses pieds sans plier les genoux, elle est souple, et le médecin le remarque. Le médecin contrôle ensuite son dos et sa colonne vertébrale, RSA, tout est bien. L’infirmière lui donne quand même quelques conseils pour bien se tenir. Clara est un peu gênée de devoir prendre ses postures en petite culotte et les seins à l’air.



Maintenant, la patiente doit s’asseoir sur la table d’examen, le médecin prend son pou, mesure sa tension, et écoute son cœur et sa respiration.



Ensuite, il ordonne à l’étudiante de se mettre debout et de faire des flexions, une dizaine. L’étudiante s’exécute et fait ses exercices sous les yeux observateurs, pour ne pas dire voyeur du personnel médical. Puis Il reprend la tension et ré écoute le cœur de la fille.



Puis le docteur teste  les réflexes, il tâte les genoux, les coudes etc. Vérifie les oreilles, la bouche, le cou, les yeux de Clara, puis il l’a fait s’allonger sur le dos vêtue d’une simple culotte et torse-nu, et il palpe le ventre, le cou, l’aine. Le médecin appuie, puis il contrôle les jambes, les chevilles et les pieds nus de la jeune fille.



L’étudiante doit se lever, et mettre les mains derrière la tête sur ordre du médecin qui veut examiner sa poitrine. Clara proteste, le docteur et son assistant infirmière lui répondent qu'elle n'est plus une enfant, que c'est un examen médical de prévention pour accéder à l’enseignement supérieur. Le temps semble long pour l'étudiante, le docteur lui palpe les seins, pendant trois bonnes minutes.



« Retirez votre culotte et asseyez vous sur la table là-bas, vous avez le droit à un examen gynécologique, la ministre de la Santé s’étant engagée à ce que chaque étudiante puisse avoir doit à une visite de cette nature dans sa scolarité ».



Clara n’est pas d’accord cette fois-ci, mais rien à faire, le médecin lui répond fermement que c’est obligatoire. Qu’il n’y a pas de place pour les fausses pudeurs.



Et lui dit fermement « Mademoiselle, je vous ai dit d’enlever votre culotte et de vous allonger sur cette table.»

A la fac lors de la visite médicale, les étudiantes sont mêmes soumises à un examen gynécologique toute nue !

Clara n’a pas le choix, elle retire sa culotte et se retrouve intégralement nue. L’étudiante se met en position, et le docteur examine d’abord l’aspect extérieur du sexe de la jeune fille « L’aspect de l’appareil génital de l’étudiante est normale » et l’infirmière le note sur le dossier. Le médecin procède ensuite à un toucher vaginal et un bref examen au spéculum.



La visite médicale est terminée.

Liens : 

Voyeur et visite médicale.

Vidéo de l'examen d'un jeune couple.