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mercredi 28 août 2024

Grossophobie : Une grosse humiliée et harcellée

 

Une grosse se fait dresser et humilier
Sale grosse ouvre ton cul et écarte les fesses.

Une bande de délinquante humilie et victimise Magalie parce qu'elle est grosse.

 L'une des pratiques les plus perverses et abjectes qui vient d'apparaitre, et que certaines bandes de filles sans pitié ni scrupules s'en prenne par hasard à des filles en surpoids pour les humilier et les punir.

Magalie, une femme en surpoids se promenait tranquillement quand un groupe de fille méchante s'est approché d'elle et la prise à partie. La le cauchemar à commencer pour la pauvre fille.

Elles ont commencer par l'insulter de  "Sale grosse merde, tu est obèse et ressemble à une truie, nous allons nous occuper de toi" "Nous ne supportons plus les grosses", puis elles ont commencer à frapper Magalie et l'ont amener près d'un canal dans un endroit isolé.

Magalie s'est faite complétement déshabiller et les filles ont jeter ses affaires et ses chaussures dans le cours d'eau pour que la pauvre ne puisse pas les récupérer et doive rentrer à poil.

Magalie devait défiler nue et prendre des postures perverses et obscènes sous les rires gras et les insultes du groupe de fille. "Montre bien ton sale trou du cul, écarte bien les fesses à la caméra hahahaha" 

"Nous allons battre tes mamelles de vache grosse chienne" Puis l'une des fille a eu l'idée d'obliger la victime à marcher à quatre pattes et à faire des bruits de cochonne et de chienne, car cette "grosse truie ne mérite pas d'être considérée comme un être humain, c'est une bête sale et immonde à dresser !"

La méchanceté et la cruauté de ces filles n'est plus à prouver après ce qu'elles ont fait à cette fille en surpoids.

 Les pouvoirs public et les médias restent relativement silencieux sur cette affaire, qui pour eux n'est pas très grave.

Lien :

Grosse prisonnière humiliée.

dimanche 31 décembre 2023

Deux femmes punies et humiliées par les gardes.


Humiliation et nudité forcée.
Deux prisonnières attachées nues aux barreaux de leur cellule.

Les punitions dégradantes imposées aux prisonnières.


Suite aux révélations sur les tortures et mauvais traitements infligés aux prisonniers irakiens par les forces américaines en 2004 dans le centre de détention d'Abou Ghraib, plusieurs photos ont été diffusées dont ces deux femmes prisonnières menottées nues aux barreaux de leur cellule.

Les deux femmes sont âgées d'environ 40 ans et détenues par les forces américaines pour leurs liens avec l'ancien régime, l'une, Hind, 41 ans, professeur dans un lycée et cousine d'un ancien ministre et Hoda 44 ans, scientifique et propriétaire d'une entreprise soupçonnée de financer l'insurrection.

Ces deux femmes sont donc considérées comme des "détenues sensibles" et soumises à différentes techniques et punitions visant à faire pression physiquement et psychologiquement sur elles pour les rendre coopératives et docile.

Les deux prisonnières sont en cellule disciplinaire et vivent dans des conditions difficiles.

Tout d'abord, en isolement, elles sont gardées complètement nues et soumises à des fouilles des cavités plusieurs fois par jours (vérification de l'anus, du vagin, de la bouche, du nombril, entre les orteils , sous les aisselles etc.). Les psychologue et interrogateurs ont spécifiquement recommander d'utiliser la nudité forcée car c'est un moyen simple et efficace pour briser et humilier les femmes. Elles sont très pudiques, de par leur religion et leur culture qui enseigne aux femme la pudeur, la modestie et de cacher son corps.

Les surveillants ont pour ordre et consignes d'utiliser les tabous culturels et religieux contre les détenus pour mieux les avilir. Les deux quadragénaires portait le voile islamique et une tenue large et ample arabe lors de leur arrestation. Les deux femmes ont ensuite étaient obligées de se dévoiler et de retirer tout leurs vêtements pour une fouille très approfondie avec examen gynécologique et test de virginité.

Les américains décident que les femmes prisonnières arabes et musulmanes doivent être nue, et pieds nus, pour y être déconstruite  psychologiquement et oublier toute pudeur. Le programme d'interrogatoire renforcé prévoit d'utiliser la nudité forcée comme un élément essentiel du processus.

Hind et Hoda doivent marcher nues en dehors de leurs cellule, et parader ainsi devant les gardes mais aussi les autres détenus hommes et femmes. Les gardes rient, sifflent et se moquent des pauvres femmes honteuse d'être vues nues et font des remarques salaces sur les grosses fesses plates et molles ou les seins tombant des prisonnières qu'elles doivent exhiber.

Elles sont gardées dans de petite cellules d'isolement vide sans aucun vêtements.

Pour les punir, les gardiens attachent les prisonnières nues aux barreaux de leurs cellules en pleine journée  pendant plusieurs heures pour les exhiber totalement devant tout le monde.

Elles sont soumises à plusieurs fouilles des cavités par jours incluant le vagin, l'anus, la bouche, sous les seins et les pieds pour selon les américains leur enseigner l'humilité.
 
La nudité forcée est obligatoire devant les hommes, qui narguent les pauvres prisonnières à poil.


Liens : 
 



mercredi 3 mars 2021

Fille humiliée en captivité

 

Enchainée et nue, la prisonnière grassouillette est honteuse
Nue et enchainée 


Une paysanne arrêtée par l'armée et placée en détention.


Une ONG (Organisation Non Gouvernementale) de défense de droit des prisonniers a constater des traitements humiliants et dégradants de la part des policiers et des gardiens de la prison militaire sur des détenus civils.


L'organisation a pu rencontrer une femme ayant été arrêtée et incarcérée dans cette prison plusieurs jours sans aucunes raisons. Cette ancienne détenue qui témoigne sous le pseudonyme de Lydia a passée deux semaines dans le pénitencier après avoir été arrêtée dans une rafle dans son village.


La jeune femme n'est qu'une paysanne de 25 ans pas encore mariée qui vit du travail de la terre. C'est une jeune femme très conservatrice et traditionnelle avec une image respectable dans sa communauté d'origine.


Si elle dit ne pas avoir subie de violence pendant son arrestation, lorsqu'elle est arrivée dans la prison, les choses se sont compliquées pour elle. Elle affirme avoir été considérée comme moins qu'un animal, pire qu'un chien dit elle, et que les prisonniers sont traité comme des moins que rien et soumis à des mauvais traitements, inhumains et dégradants.


Lydia est restée enfermée dans une petite cellule de deux mètres sur deux sans fenêtre ni aération avec seulement un ban en bois pour dormir et une toilette à la turque. Elle affirme que certains gardiens et gardiennes sont extrêmement cruels et sadiques et passent leur temps à humilier les prisonniers sans raisons.


Elle affirme qu'elle et les autres femmes sont souvent obligée de se déshabiller et de se mettent nues devant les gardiens qui leurs confisque leurs vêtements. Comme elle est un peu grosse et enrobée, les militaires l'appelle chubby girl, le surnom qu'ils lui ont donner. 


Lydia est très pudique et s'est sentie très honteuse et humiliée d'être ridiculisée toute nue. Elle a aussi vue que sa voisine ainsi que la professeur du village sont gardées en détention, et que les gardiens les force aussi à rester nue, quelle honte, quelle humiliation ! 


Tout le monde va savoir qu'elles sont gardées sans vêtements dans leurs entourages.



Lydia affirme que les prisonnières  sont souvent filmer en tenue d'Eve et prise en photo par les surveillants qui menacent en suite de les diffuser et de les montrer à leurs familles si elles ne sont pas coopératives.


Liens :