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lundi 12 mai 2025

L'humiliation et le dressage d'une nouvelle en pensionnat.

Humiliation hard en pensionnat de jeunes filles
Dressage sans pitié.

Élitisme et dressage en grande école.


Sainte-Clothilde, un pensionnat isolé dans les Alpes françaises, était un bastion de l’élite bourgeoise, où les filles de familles blanches et fortunées, héritières d’un conservatisme hautain, étaient formées à régner. Derrière les murs ornés de dorures, un système sadique prospérait : les nouvelles venues, surtout celles jugées « inférieures » par leur classe ou leur origine, étaient soumises à un rituel d’humiliations érotiques et cruelles. Les anciennes, dirigées par la cruelle Clémence, imposaient leur domination avec la complicité tacite de la direction, méprisant les « filles du peuple » et, plus encore, celles d’origine maghrébine ou africaine, même françaises de longue date.

Amira, 18 ans, boursière issue d’une famille modeste de Marseille, d’origine algérienne, venait d’arriver dans cet antre de privilèges. Elle rêvait d’ascension sociale, mais dès son premier jour, les regards des anciennes lui firent comprendre qu’elle n’était qu’une proie. Clémence, une brune au sourire venimeux, la toisa. « Une boursière », siffla-t-elle, le mot dégoulinant de mépris.

Le soir même, dans le dortoir éclairé par des chandelles, Clémence ordonna : « Déshabille-toi, lentement, sale petite Arabe. » Sous les rires des anciennes, Amira, tremblante, ôta sa robe, exposant sa peau mate. « Pas mal pour une moins-que-rien », railla une fille, tandis que Clémence lui pinçait les seins, arrachant un sursaut. « Ici, tu rampes, ou tu souffres. »

Les jours devinrent un enfer d’humiliations. Amira n’avait droit qu’à une tunique transparente, si courte qu’elle révélait ses cuisses, et devait marcher pieds nus sur le marbre glacé. Les corvées étaient son fardeau : elle servait les anciennes à table, ramassant leurs insultes – « Dépêche-toi, chienne ! » – tout en recevant des pincements sur les fesses ou les seins. Les douches étaient un calvaire : nue sous un jet d’eau froide, elle devait se savonner pendant que les anciennes la fixaient, certaines glissant des doigts sur son corps, l’une s’attardant sur son entrejambe, la forçant à se mordre les lèvres pour ne pas gémir.

Les fessées étaient quotidiennes. Pour une assiette mal lavée ou un regard jugé insolent, Amira était traînée dans une salle aux murs de pierre. « À quatre pattes, salope », ordonnait Clémence, un fouet en cuir à la main. Les coups claquaient sur ses fesses, chaque claque résonnant sous les rires. Parfois, après, une ancienne la forçait à rester dans cette position, lui pinçant les seins ou glissant un doigt entre ses lèvres intimes, riant de ses frissons. « Tu aimes ça, hein, pute du peuple ? »

Les « séances d’autocritique » étaient particulièrement humiliantes. Amira, nue, devait s’agenouiller devant les anciennes et réciter ses « fautes » : « Je suis une boursière indigne, une Arabe qui ne mérite pas d’être ici. » Chaque phrase jugée insuffisante valait une claque ou un pincement. Une fois, Clémence lui ordonna de se masturber devant elles, sous leurs regards moqueurs. « Montre-nous à quoi servent les filles comme toi », ricana-t-elle. Amira, rouge de honte, obéit, ses larmes coulées sous leurs insultes.

Les défis étaient incessants. Une nuit, on la força à ramper à travers le dortoir, un collier de cuir autour du cou, tirée par une laisse. Les anciennes jetaient des miettes sur son passage, criant : « Mange, chienne ! » Une autre fois, par une pluie battante, elles la firent marcher nue dans la cour, à quatre pattes, la boue collant à sa peau, tandis qu’elles riaient depuis les fenêtres. « Regardez la sauvage, elle est dans son élément ! »

Les « soirées de soumission », dans une crypte aux torches vacillantes, étaient le summum de la perversion. Amira, « l’exotique », était attachée par des rubans de soie, forcée de danser nue sur des musiques lancinantes. « Écarte les jambes, sale pute », ordonnait une ancienne, tandis qu’une autre lui pinçait les seins ou glissait un plumeau sur son corps, s’attardant sur ses zones sensibles. Un soir, Clémence lui banda les yeux et l’attacha à une chaise, laissant les anciennes, une à une, effleurer sa peau, pincer ses mamelons, ou caresser son entrejambe, murmurant des obscénités. « Devine qui te touche, petite traînée. »

Un autre défi la marqua profondément. On lui ordonna de ramper sous une table où les anciennes dînaient, nue, pour « divertir » leurs pieds. Elles la forçaient à lécher leurs chaussures ou à rester immobile pendant qu’elles pressaient leurs talons sur son dos, riant de sa soumission. Une ancienne, plus audacieuse, glissa un orteil entre ses cuisses, la faisant tressaillir sous leurs moqueries.

 

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Dressage des nouvelles. 

dimanche 4 mai 2025

Discipline et autorité en foyer pour jeunes filles.

 

Chatiment corporels et humiliations en foyer.
Fessée nue et pieds nus en pensionnat.

Stricte punition en pensionnat.


Dans un pensionnat pour jeunes femmes situé au cœur d’une région attachée aux traditions d’excellence et à l’ordre, la discipline est une valeur cardinale. Ce foyer accueille des jeunes filles de 18 à 26 ans, placées par décision de justice, par l’Aide Sociale à l’Enfance ou par leurs familles, souvent pour des troubles familiaux ou des comportements jugés déviants. L’objectif est clair : les remettre sur le chemin de la réussite par un cadre strict et des valeurs intransigeantes, où aucune entorse au règlement n’est tolérée.

Le règlement intérieur, d’une rigueur absolue, proscrit toute manifestation religieuse ostentatoire, imposant une laïcité inflexible. La pudeur, considérée comme un frein à l’esprit collectif, est également bannie : douches communes, inspections corporelles pour détecter drogues ou objets interdits, et visites médicales collectives sont la norme. Les châtiments corporels, héritage d’un passé autoritaire, restent en vigueur pour briser toute résistance et forger l’obéissance.

Aïcha, une jeune femme d’origine maghrébine, arrivée à la rentrée, défie ces règles. Musulmane pratiquante, elle persiste à porter son hijab et refuse de se plier aux exigences vestimentaires – jupes courtes et uniformes ajustés – ainsi qu’aux douches collectives, invoquant sa foi et sa pudeur. Malgré les avertissements répétés des surveillantes et une mise en garde formelle du directeur, Aïcha campe sur ses positions, défiant l’autorité du pensionnat.

Le directeur, un homme inflexible aux allures de tyran, décide qu’il est temps de mater cette rébellion. Aïcha est convoquée dans la salle de punition, une pièce austère aux murs nus, où l’humiliation est une arme aussi affûtée que la douleur. On lui ordonne de se déshabiller entièrement, de retirer chaque vêtement sous le regard glacial des surveillantes.

Nue, pieds nus sur le sol froid, Aïcha tremble, mais la véritable punition commence. La fessée, administrée à mains nues par une surveillante robuste, est méthodique, chaque claque résonnant dans la pièce. Les larmes coulent, mais ce n’est que le début. Pour briser son ego, on la force à rester exposée, immobile, face à un miroir, afin qu’elle contemple sa propre déchéance. « Regarde-toi, Aïcha. Voilà ce que devient une rebelle ici, toute nue, les fesses rouges », tonne le directeur.

La sanction ne s’arrête pas là. Le pensionnat pratique aussi le bastinado, un châtiment ancestral consistant à fouetter les plantes des pieds. Aïcha est allongée, ses chevilles attachées, et une canne fine s’abat sur ses voûtes plantaires. Chaque coup arrache un cri, la douleur irradiant jusqu’à ses os. Les surveillantes, impassibles, comptent les coups, tandis que le directeur rappelle que cette souffrance est le prix de son insubordination.

Pour parachever l’humiliation, Aïcha doit traverser le réfectoire, toujours nue, sous les regards des autres pensionnaires. Cette exhibition publique, conçue pour anéantir toute trace de fierté ou de pudeur, la laisse brisée, ses sanglots étouffés par la honte. « Que ceci serve de leçon à toutes ! » proclame le directeur, sa voix résonnant comme un verdict.

Dans ce pensionnat, l’ordre triomphe toujours. Aïcha, désormais silencieuse, a appris que la désobéissance n’a qu’un seul issue : la douleur et l’humiliation, jusqu’à ce que l’ego cède et que la soumission devienne la seule voie.

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Histoire de fessée.

dimanche 20 avril 2025

Humiliée pour paques

 

Bizuter en pensionnat catholique
Anus exposée pour humilier.

Dans un pensionnat catholique.

Dans le centre de la France, dans un établissement catholique , la cruauté prospère et la perversion prospèrent sous couvert de défendre la foi et les traditions. 
 
Pour les filles pensionnaires dans ces établissements, une hiérarchie impitoyable règne, où les faibles sont brisés pour le plaisir des forts.
 
 Éloïse, une jeune femme de 20 ans, douce réservée, est la victime désignée. Dès son arrivée, elle est devenue la proie d’un trio de pensionnaires sadiques mené par Victoire, une jeune femme charismatique à la cruauté raffinée, secondée par Adèle, brutale et impulsive, et Margaux, sournoise et observatrice.
 
Les bonnes sœurs, dirigées par Sœur Gertrude, une femme au regard d’acier, ferment les yeux sur ces sévices, qu'elle trouve amusant. Le père Anselme, prêtre autoritaire et énigmatique, va plus loin : il voit dans ces humiliations une forme perverse de « purification » et y participe indirectement, renforçant l’emprise des bourreaux. Sous leur autorité, Éloïse endure un calvaire quotidien.
 
Chaque soir, dans les dortoirs du pensionnat, Victoire, Adèle et Margaux convoquent Éloïse pour leur rituel d’humiliation. La jeune femme, pieds nus sur le parquet glacé, sent son cœur s’accélérer dès que Victoire claque des doigts. L’ordre est toujours le même : se déshabiller entièrement, sans exception. Éloïse, pudique, tremble à l’idée de se retrouver nue, exposée aux rires et aux regards cruels. Mais la moindre hésitation est punie.
 
 
Au début, Éloïse tentait de résister, serrant sa culotte contre elle ou gardant ses chaussettes dans un réflexe de pudeur. Ces supplications déclenchaient une avalanche de moqueries et de violences. 
 
Une fois, alors qu’elle pleurait, « S’il vous plaît, laissez-moi garder ma culotte, je vous en supplie… », Victoire s’était approchée, un sourire aux lèvres. « Oh, la petite sainte veut cacher ses fesses ? Trop tard, tout le monde va voir va les voir ! Enlève ça, !» 
 
Adèle, impatiente, avait arraché le sous-vêtement d’un geste brusque, giflant Éloïse au passage. « Ferme-la et vire tout, ou je te tabasse ! » Margaux, plus subtile, ajoutait en ricanant : « Tu crois que ta culotte va te servir ?»
 
Les chaussettes, dernier rempart de dignité, étaient tout aussi intolérables pour le trio. 
Une autre fois, Éloïse, en larmes, avait murmuré : « Juste mes chaussettes, s’il vous plaît… Le sol est froid… » Victoire avait éclaté de rire. « Des chaussettes ? À poil, ça veut dire tu vire tout, donc les pieds nus, et plus vite que ça !» Adèle l’avait forcée à retirer ses chaussettes en la bousculant, puis l’avait frappée sur les cuisses pour « lui apprendre à obéir ».
 
Face à ces supplications, les bonnes sœurs, lorsqu’elles assistaient à la scène encourageaient les anciennes à éduquer la nouvelle.
 
Désormais conditionnée, Éloïse obéit presque mécaniquement. Pieds nus, elle se déshabille sous les ricanements, ses mains tremblantes défaisant chaque bouton. Mais l’humiliation ne s’arrête pas là. Victoire l’oblige à ramper à quatre pattes, imitant un animal, tandis qu’Adèle claque ses seins ou pince ses fesses, riant de ses cris. Margaux, toujours en retrait, consigne chaque détail dans son carnet, qu’elle lit à voix haute lors des « réunions » du trio pour prolonger la honte d’Éloïse. 
 
 
Les sévices d’Éloïse ne sont pas un secret. Les bonnes sœurs, menées par Sœur Gertrude, y voient une belle traditions pour endurcir les faibles. « Les faibles doivent porter leur croix », répète-t-elle lors des messes, jetant un regard appuyé sur Éloïse, qui baisse les yeux, rouge de honte. 
 
Le père Anselme, figure charismatique du pensionnat, est encore plus troublant. Lors des confessions, il interroge Éloïse sur ses « faiblesses », insinuant que son sort est une punition pour son manque de force. « Soumets-toi, être soumise et lesbienne n'est pas un péché», murmure-t-il, un sourire ambigu aux lèvres. Parfois, il observe les humiliations depuis l’ombre, prétendant « superviser » pour maintenir l’ordre.
 
Chaque année, à Pâques, l'établissement organise une cérémonie dans la chapelle, réservée à un cercle restreint de pensionnaires, de sœurs et du père Anselme. Officiellement, c’est une célébration de la résurrection du Christ. En réalité, c’est un rituel cruel où la victime désignée – cette année, Éloïse – est humiliée publiquement sous le couvert de la foi.
 
 
La nuit de Pâques, Éloïse est conduite dans la chapelle, pieds nus sur la pierre glacée, ses pas résonnant dans le silence. Les vitraux projettent des ombres inquiétantes, et les autres pensionnaires, forcées d’assister, forment un cercle muet. Victoire, vêtue d’une robe blanche parodiant la pureté, déclare : « Éloïse doit expier ses péchés de lesbienne possédée » Le père Anselme, brandissant un crucifix, approuve d’un signe de tête.
 
Sous ses ordres, Éloïse est déshabillée. Lorsqu’elle tente, dans un sursaut de désespoir, de garder sa culotte, elle murmure : « Pitié, juste ça… » Victoire la coupe d’un rire cruel : « Tu oses ? Enlève tout, ou je te fais laver le sol avec ta langue ! » Adèle arrache le vêtement, ajoutant : « Pleure encore, et je te fais ramper jusqu’à l’aube ! » 
  Sœur Gertrude, présente, intervient : « Cesse cette rébellion, Éloïse. Tu aime trop être la chienne des anciennes et te promener à poil !. »
 
Pieds nus, Éloïse est forcée de s’agenouiller, tremblante, sur le sol froid. Les bonnes sœurs entonnent un chant latin, leurs voix graves couvrant ses sanglots. Victoire verse de l’eau glacée sur son corps, prétendant la « purifier ». 
 
Adèle, un fouet d’orties à la main, inflige de légères brûlures sur ses épaules, sous les murmures approbateurs de Sœur Gertrude. Margaux encourage les autres filles à jeter des tomates et autres déchets pour lapider symboliquement satan incarné dans cette diablesse soumise.
 
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jeudi 28 novembre 2024

Pensionnat pour jeunes filles catholique.

Exploitation sexuelle des nouvelles.
Humiliation des nouvelles filles du pensionnat.

 Les nouvelles dans ce pensionnat catholique, sont victimes d'humiliations et de sévices de la part des anciennes avec la complicité des bonnes sœurs et du prêtre de l’Église. Dans cette institution, la tradition veut que les nouvelles soient exploitées et sous l'autorité des anciennes, qui en abuse, car ayant été elles même "dressées" les années précédentes, elles sont toujours sans pitié avec les nouvelles.


Des les premiers jours, on leur fait comprendre qu'ici elles ne sont que des proies, les anciennes les obligent à rester nues la plupart du temps comme les esclaves du temps de Rome. Les pauvres jeunes filles qui pour beaucoup ont été élevées dans la tradition catholique se retrouve sous le joug des anciennes qui sont des lesbiennes dominatrices sans pitié qui les considèrent comme du bétail, de la viande fraîche.

Dès qu'elles rentrent des cours, elles doivent se déshabiller complétement pour subir des sévices et humiliations sataniques. Les nouvelles ont l'obligation de se raser la chatte, les anciennes organisent des concours d'anus ou les nouvelles doivent prendre des postures obscènes et perverses, faire des pyramides nues sous les rires et insultes pour qu'une "élue" à l'anus sacré soit désignée.


Les nouvelles doivent lécher les anus des autres et se faire lécher le leur, elles doivent frotter leurs chattes les unes contre les autres, se lécher les seins et les doigts de pieds.

Les filles doivent perdre dignité et devenir des lesbiennes totale et faire allégeance à Satan.

 

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Chrétiennes perverses.

samedi 2 novembre 2024

Le groupe des nouvelles bizutes.

Bizutage à poil pendant la rentrée 2024.
Les filles pudiques humiliées pendant la journée d'intégration.

 

La journée d'intégration ou le bizutage est toujours l'un des évènements marquant de la rentrée dans les universités et établissements d'enseignement supérieurs et c'est quelque chose de très marquant pour les nouvelles.

Dans les foyers ou résidences étudiantes, Les filles  nouvelles sont prises en main par les anciennes, beaucoup de filles sont terrorisées lorsque les ordres de se déshabiller retentissent, ici pas de place pour la pudeur, les filles pudiques sont particulièrement humiliées.

Les nouvelles réagissent de différentes manières, certaines se soumettent dans la honte et la résignation, car elles savent que de toute façon elles ne peuvent rien faire, les anciennes sont trop bien organisées et c'est impossible d'en échapper et les profs, personnels, agent de sécurité sont complices. Certaines filles un peu délurée trouvent ça fun, ce type de filles n'a aucun problème avec la nudité, elles sont même assez contente de participer à ces véritables fêtes. Et d'autres pleurent, crient et tente de résister.

Les filles qui se montre récalcitrantes sont très durement traitées, déjà les déshabillages forcées sont rapides et brutaux. Si une fille refuse d'obéir, elle se prend une paire de claques, puis la rebelle est ceinturée, ses vêtements enlever de force et sa culotte arrachée.

Les filles religieuses sont elles aussi traitées comme les autres, les juives sont souvent assez pudiques, tout comme les musulmanes voilées et certaines chrétiennes, mais lors du bizutage, c'est la nudité qui met tout le monde d'accord, toutes les filles sont à égalité nues : Une paire de seins, des fesses, deux trous (vagin et anus) et les pieds nus en signe d'humilité.

Les anciennes se moquent de celles qui tentent de cacher leurs poitrines et chattes, il faut tout montrer, s'exposer nue, pour que les anciennes puissent analyser les trou du cul des nouvelles, leurs clitoris et s'en moquer.

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Histoire de bizutage.

 

 


vendredi 18 octobre 2024

Bizutage de Neila

 

Le dressage des nouvelles en foyer.
Une fille se faite dresser en pensionnat pour jeune femme.

Le bizutage dans un institut catholique.

 Neila est une jeune fille musulmane de 21 ans qui s'est retrouvé obligée d'aller dans un institut catholique privée à l'autre bout de la France. 

La famille de la jeune fille l'encourage et la soutienne pour qu'elle puisse réaliser ses rêves, mais malheureusement pour devenir ingénieur en génie civil, seule une seule école d'enseignement supérieur l'a acceptée et c'est un institut catholique privé sous contrat qui accueil des étudiants de toutes origines et confessions. La jeune fille doit donc prendre une place dans cette école supérieure qui dispose d'un internat (pensionnat).

Les premiers jours se passent bien, certes elle est la seule étudiante musulmane qui porte le voile, mais le révérend Mc Cormick lui a dit que ce n'est pas du tout un soucis et que l'institut accueil tout le monde sans distinction.

Mais ce qu'elle ne sait pas, c'est que dans cet institut, les anciens qui constitue une véritable bande sont  sous la direction de la bonne soeur Marguerite, la concubine et la cousine de l'évêque font la loi dans l'établissement et y impose leur ordre pervers, vicieux et sans partage.

Après deux semaines, les anciens mettent leur plan en marche : asservir et soumettre toutes les filles de première années et Neila qui est l'une des plus sexy et des plus jolies est une proie de choix.

Les nouvelles ne sont pas très nombreuse, durant la deuxième semaine les bizuteurs passent à l'action. 

Les filles sont surprises vers 21h30 dans leurs chambres, les bizuteurs ont les doubles des clés.

"C'est nous hurle" les anciens, "Nous sommes les dresseurs, les agents de l'antéchrist et de la dépravation." en entrant dans la chambre de Neila qui est en pyjama et sans voile. La nouvelle sursaute. Les anciens sont en parti cagoulés avec des masques de tête de mort, de "Scream" et sont armés de barre et frappent sur les portes et les murs en faisant un vacarme énorme.

La jeune fille est terrifiée, les membres de la bande lui disent de bien "ouvrir ses oreilles", et qu'ils sont là pour assurer le bien être, la protection et la sécurité des nouvelles. Puis le porte parole demande à Neila de lui remettre ses clés, ses papiers, carte bancaire,  son téléphone et tout son argent.

Le porte parole des anciens lui dit qu'il est maintenant venu le moment de "se présenter.", et de se mettre "A poil" par respect des anciens.

Pendant ce temps là Neila peut entendre les cris des autres filles. "Tu peux hurler et crier autant que tu veux ici, c'est nous les chefs et c'est nous qui fixons les règles." Tu te déshabille ou nous te découpons tes vêtements ?

"Les filles de premières années dorment nues et toute ensembles dans une autre salle, avec des matelas posés sur le sol. Les chambres ne sont pas pour les premières années" expliquent le porte parole de la bande." Et sors un couteau pour menacer l'étudiante terrifiée. Puis les autres sont en train de fouiller dans les valises, armoires et tiroirs de Neila, ils jettent la plupart de ces affaires.

Voyant la jeune femme tétanisée, les anciens décident de lui donner quelques bonne claques et de lui arracher ses vêtements, l'un des membre de la bande aime beaucoup couper les culottes des filles avec son couteau.

La pauvre fille est à poil, et elle voit les voyous prendre ses vêtements et les découper et  déchirer.

Neila est conduite entièrement nue dans le dortoir avec les autres filles, quelle honte peut elle ressentir ?

Ensuite le lendemain matin, les filles sont réveillées très tôt, puis doivent aller aux toilettes et se doucher devant les anciens.

Les pensionnaires doivent prendre leurs douche en commun complétement nue devant les anciens présent.

Le port de vêtement court et sexy est obligatoire, les sous vêtements sont interdit, les filles doivent porter des chaussures ouvertes sans bas ni chaussettes. 

Les cuisses, le nombril, doivent être découvert, les vêtements du haut doivent être moulant.

Les filles doivent dormir nue.

En règle général les filles doivent se déshabiller et rester "à poil" dans les locaux du pensionnat.

Les filles doivent être punies pour leurs "péchés", les anciens avec la bénédiction de sœur Marguerite doivent les fesser et les fouetter pour leur "manque de pudeur" pour leurs "exhibition" et les actes infâmes de lesbiennes qu'on les oblige à pratiquer.

Il n'est pas rares que les anciens obligent ou incitent les filles à s'accoupler mutuellement, puis sur ordre de Sœur Marguerite soient chargés de les punir afin d'éradiquer le mal.

Le dressage sexuel des étudiantes en pensionnat.
Pas de pudeur pour les nouvelles filles du foyer.

Neila n'est autorisé à mettre son voile que par moment, pour mieux l'humilier les anciens l'obligent à mettre des vêtements très court tout en la forçant à se voiler pour ensuite lui dire qu'elle est une vraie pute, une vrai allumeuse. "Elle porte le voile mais elle préfère enlever sa culotte !"

Les anciens lui reprochent d'être une mauvaise personne, une mauvaise musulmane qui ne pense qu'a s'exhiber toute nue et faire des cochonneries avec les filles. Bien sur que si Neila ou une autre nouvelles répondre autre chose que "Oui je suis coupable, oui je suis une pute", elle est immédiatement punie et fessée durement.


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Fessées et dressées par les anciennes au pensionnat.

 

lundi 30 septembre 2024

Bizutage en pensionnat pour jeune fille.

Bizutage et brimades dans le pensionnat pour jeune fille.
Une étudiante se fait exhibée nue pendant le bizutage étudiant.

Les humiliations lors des bizutages en foyer.

Dans ce foyer pour jeunes filles du sud de la France, le bizutage est très ancré, et c'est impossible de le défaire tellement il fait partie des mœurs.

Les filles de chaque générations sont bizutées et reproduisent plus tard ce bizutage sur les nouvelles pour leurs transmettre le "flambeau". La mairie, la direction du foyer étudiant, la police et les éducateurs sont eux aussi tous partisans des traditions et coutumes.

Dans ce foyer du sud de la France ou l'été se prolonge souvent jusque mi octobre voir début novembre avec de belles températures permettant "des activités" intéressantes en extérieur.

Les filles pudiques et réservées, en général celles qui refusent de se déshabiller sur les ordres des anciennes sont "traitées" et "corrigées"en vue de  mettre fin à leurs "déviance pudique".

Les filles catholiques, musulmanes ou juives pratiquantes si elles font preuve de pudeur sont exhibées publiquement "pour l'exemple".

Lors des mois d'octobre, il n'est pas rare de trouver à la vue et aux yeux de tous, y compris des visiteurs, et des passants des filles attachées et exposées dans le jardin et le parc du pensionnat en guise de "leçons".

Bien sur les filles sont entièrement nues et pieds nus.

Cette année Asma et Olga ont été "traitée", la première est une jeune étudiante  musulmane qui s'est présenter en "tenue pudique" c'est à dire en portant le voile (hijab) et en se couvrant de la tête aux pieds et l'autre une fille un peu grosse et complexée, car dans ce foyer pour jeune fille, il faut être dans "la norme" et les personnes en surpoids sont considérées comme des personnes sans discipline, égoiste et qui passent leur temps à bouffer, bref être gros est considéré comme un déviance et les grosses doivent en "baver" et "payer".

Asma refusait au nom de sa religion d'être toute nue comme les autres, ce qui est considéré comme de l'intégrisme et de la pudibonderie, après plusieurs jours d'expositions, surtout que les anciens aiment forcer les filles exposées à boire beaucoup d'eau pour les forcer à faire pipi sur elle en public et devant tout le monde pendant que les autres se marrent et prennent des photos.

Les deux filles sont exposées et prises en photo nues par les passants, il y a même une forme de tourisme qui s'est développé en septembre octobre ou même des japonais viennent dans ce bled paumé pour y voir des étudiantes à poil et humiliée.

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Bizutage en public.

vendredi 13 septembre 2024

Bizutage lesbien en foyer pour jeunes filles.

Les nouvelles dressées et humiliées lors du bizutage en pension.
Jeux et asservissement sexuelles des nouvelles au pensionnat.

Le bizutage des nouvelles dans un pensionnat pour jeunes femmes.

Dans cet foyer pour jeunes femme catholique, l'ordre et la hiérarchie sont très claires : les anciens asservissent les nouveaux. L'ordre mis en place par la terrible sœur Madelaine, une femme très cruelle et autoritaire qui gère ce pensionnat pour remettre les filles dans le droit chemin.

Les nouvelles sont les premières semaines quasiment réduit en esclavage par les anciennes; d'une part par respect des anciens, elles doivent enlever leurs vêtements devant eux, et s'occuper du ménage, de l'entretien, de la cuisine, mais il y a aussi ces séances de punitions et de dressage.

Les filles sont soumises à tout les jeux et toutes les fantaisies perverses des anciennes. Les filles doivent par exemple jouer à "saute mouton" ou plutôt "léchouille la chatte", pour faire conaissance, les nouvelles doivent faire toutes sortes de jeux humiliants et dégradants et avoir des rapports lesbiens en public.

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Les nouvelles bizutées.


mercredi 11 septembre 2024

Bizutage en foyer pour jeunes étudiantes.

 

Les nouvelles misent à poil et dresser lors du bizutage étudiant.
Une bizutage pervers par des lesbiennes dominatrices.

Le bizutage dans les logements étudiants.

Dans ce foyer pour jeunes filles âgées entre 18 et 26 ans, rien ne pourra jamais enlever la tradition solidement enracinée du bizutage. Le directeur du foyer défend depuis toujours des valeurs d'ordre, de hiérarchie, de morale et d'intégration.

Les anciennes, qui elles même ont été bizutées lors de leur arrivé sont d'impitoyables "dresseuses" sans pitié. Les nouvelles leur doivent respect et obéissance aux anciennes, et sont sous leur "protection".

Les anciennes ont pour mission de décoincées les nouvelles, pour en faire des femmes libres et épanouies.

Beaucoup de première années arrivent pudiques et réservées dans l'établissement, mais avec la formation de choc que leur réserve les bizuteuses, elles ne le reste pas longtemps.

Des la première semaine, les nouvelles sont tout de suite prisent sous l'aile de leurs supérieures.

Dès les premiers jours, les novices sont toutes "convoquées" et doivent se réunir dans une chambre étudiante pour leur première soirée de dressage, elles sont misent entièrement nues, et les pudiques sont déshabillées de force et punies plus ou moins durement selon l'humeur et la volonté des dresseuses.

La modestie est considérée comme une valeur à abattre.

Les filles sont obligées de s'exhiber, de dire si elles sont vierges ou pas, et de raconter les premières fois qu'elles se sont faite baiser, les tests de virginité sont effectuées, les anus et leurs élasticités sont aussi contrôlés, les filles sont aussi estimées par rapport à leur propreté physique, celles qui puent des pieds, de la chatte ou des aisselles sont humiliées, insultées de crades, de cochonne, de saleté et souvent sorties dehors pour être trainées dans la boue.

Une fille pas très propre à même été retrouvée à poil enfermé dans une benne à ordure ...

L'une des spécificité est que les anciennes enseignent à leurs "disciples" à devenir des lesbiennes de gré ou de force. Les filles doivent s'inspecter et se titiller l'anus, s'observer nues, se lécher les seins, danser nues jusque à ce qu'elles développent des vrais attirances lesbiennes.

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Pas de pudeur lors du bizutage.