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Fessée nue et pieds nus en pensionnat. |
Stricte punition en pensionnat.
Dans un pensionnat pour jeunes femmes situé au cœur d’une région attachée aux traditions d’excellence et à l’ordre, la discipline est une valeur cardinale. Ce foyer accueille des jeunes filles de 18 à 26 ans, placées par décision de justice, par l’Aide Sociale à l’Enfance ou par leurs familles, souvent pour des troubles familiaux ou des comportements jugés déviants. L’objectif est clair : les remettre sur le chemin de la réussite par un cadre strict et des valeurs intransigeantes, où aucune entorse au règlement n’est tolérée.
Le règlement intérieur, d’une rigueur absolue, proscrit toute manifestation religieuse ostentatoire, imposant une laïcité inflexible. La pudeur, considérée comme un frein à l’esprit collectif, est également bannie : douches communes, inspections corporelles pour détecter drogues ou objets interdits, et visites médicales collectives sont la norme. Les châtiments corporels, héritage d’un passé autoritaire, restent en vigueur pour briser toute résistance et forger l’obéissance.
Aïcha, une jeune femme d’origine maghrébine, arrivée à la rentrée, défie ces règles. Musulmane pratiquante, elle persiste à porter son hijab et refuse de se plier aux exigences vestimentaires – jupes courtes et uniformes ajustés – ainsi qu’aux douches collectives, invoquant sa foi et sa pudeur. Malgré les avertissements répétés des surveillantes et une mise en garde formelle du directeur, Aïcha campe sur ses positions, défiant l’autorité du pensionnat.
Le directeur, un homme inflexible aux allures de tyran, décide qu’il est temps de mater cette rébellion. Aïcha est convoquée dans la salle de punition, une pièce austère aux murs nus, où l’humiliation est une arme aussi affûtée que la douleur. On lui ordonne de se déshabiller entièrement, de retirer chaque vêtement sous le regard glacial des surveillantes.
Nue, pieds nus sur le sol froid, Aïcha tremble, mais la véritable punition commence. La fessée, administrée à mains nues par une surveillante robuste, est méthodique, chaque claque résonnant dans la pièce. Les larmes coulent, mais ce n’est que le début. Pour briser son ego, on la force à rester exposée, immobile, face à un miroir, afin qu’elle contemple sa propre déchéance. « Regarde-toi, Aïcha. Voilà ce que devient une rebelle ici, toute nue, les fesses rouges », tonne le directeur.
La sanction ne s’arrête pas là. Le pensionnat pratique aussi le bastinado, un châtiment ancestral consistant à fouetter les plantes des pieds. Aïcha est allongée, ses chevilles attachées, et une canne fine s’abat sur ses voûtes plantaires. Chaque coup arrache un cri, la douleur irradiant jusqu’à ses os. Les surveillantes, impassibles, comptent les coups, tandis que le directeur rappelle que cette souffrance est le prix de son insubordination.
Pour parachever l’humiliation, Aïcha doit traverser le réfectoire, toujours nue, sous les regards des autres pensionnaires. Cette exhibition publique, conçue pour anéantir toute trace de fierté ou de pudeur, la laisse brisée, ses sanglots étouffés par la honte. « Que ceci serve de leçon à toutes ! » proclame le directeur, sa voix résonnant comme un verdict.
Dans ce pensionnat, l’ordre triomphe toujours. Aïcha, désormais silencieuse, a appris que la désobéissance n’a qu’un seul issue : la douleur et l’humiliation, jusqu’à ce que l’ego cède et que la soumission devienne la seule voie.
Lien :
Chez les sœurs, il y a des punitions. Elles font mettre les novices toutes nues pour les fouetter, les fesser, ou d'autres réjouissances. Il peut arriver qu'un prêtre participe aux punitions, voire même plus.
RépondreSupprimerMilky 2
Les foyers pour jeunes filles dirigés par l'église sont de véritables aubaines pour les religieux qui ont fait vœux de chasteté mais peuvent en toute impunité, sous couvert d'éducation, denuder, punir, fesser et mettre en pénitence les pensionnaires.
RépondreSupprimerDe longues heures de pénitence à genoux, nues en attendant leurs punitions. Les fouilles et examens d'hygiène devant leurs lits dans les dortoirs.
Certaines jeunes filles étaient des souffres douleurs, qui non seulement étaient punies plus souvent mais en plus moquees par leur camarades et humiliées par celles ci.
Nelly
Je pense qu'il devait y avoir un prêtre qui se chargeait de doigter des jeunes filles. Mais il n'y avait pas de bizutage pour les nouvelles arrivantes ?
SupprimerMilky 2
Bizutage comme partout, avec la complicité des religieux.
RépondreSupprimerNotamment fausse visite médicale, alignées en slip chaussettes
Examen genital
Je ne sais pas si cela est vrai, mais il paraîtrait que les sœurs avec la complicité d'un ou deux prêtres bizutaient les nouvelles. Ils déshabillaient les nouvelles pour les mettre à poil, les allongeaient dos sur une table, et leur passait un genre de pommade chauffante(Dolpic),sur toute la vulve ,et leur ouvrait la fente pour en introduire dans le vagin. Si cela a été vrai, ça devait bien leur chauffer dans le vagin.
SupprimerMilky 2
Peut être vrai. Il y a toujours l'idée de purifier les parties sales, les exorciser du diable qui les habite.
RépondreSupprimerC'est toujours un comble d'entendre un prêtre qui a deculoter une fille et lui doigte l'anus, de la traiter de vicieuse et la menacer d'un châtiment.. peut être celui de la pommade chauffante
Nelly
Je suis certain que parfois un prêtre devait baiser une nouvelle,bien sûr si elle n'était plus vierge après vérification.
SupprimerMilky 2
Beaucoup de jeunes filles étaient placée en foyer parcequ'elles avait fauté en couchant.
RépondreSupprimerCela donnait toute latitude aux sœurs et aux prêtre de les punir par ou elles avaient pêcher. Penetration, puis pommade chauffante sur la vulve, coups de baguette et les filles attachées pour éviter qu'elles se touchent
Nelly